Baignade surprise

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Une visite amicale prend des allures coquines.
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Je m'étais toujours bien entendu avec Catherine. Aussi, quand elle a été virée de ma boîte, j'étais plutôt contrarié. Mais bon, je pouvais toujours demeurer en contact avec elle, ce dont je ne me suis pas privé.

Nous nous écrivions donc à l'occasion. Petits appels téléphoniques aussi. Déjeuners à deux ou trois reprises.

Faut que je précise. Catherine et moi étions tous deux dans la mi-quarantaine. Soucieuse de son apparence et de sa santé, elle se tenait en grande forme. Toujours mince, toujours active, telle une gamine qui aurait eu la moitié de son âge. Un rire de gamine, aussi. Ce rire qui m'emballait sans cesse. Et un je ne sais quoi qui me laissait croire qu'elle avait eu... comment dirais-je... une vie bien remplie d'expériences de toutes sortes. Pas une vie de débauche, bien sûr. Mais une vie... enjolivée! Elle déplorait cependant n'avoir aucun homme dans sa vie depuis son divorce, il y a trop longtemps.

Un jour, alors que j'avais eu l'idée de lui téléphoner, elle me dit « Passe chez moi samedi : ce serait tellement chouette. » Il n'en fallait pas plus pour que je me décide. « Je suis justement tout fin libre samedi. C'est comme si j'y étais. Et on annonce un temps superbe : une vraie belle journée chaude de juillet! »

Le samedi arrive. Je me rends chez Catherine, qui habite un coquet petit pavillon de banlieue. Je sonne : c'est une jouvencelle qui m'ouvre. Catherine est vêtue d'une légère robe d'été. Elle ne porte aucun bijou, aucun maquillage, juste un léger parfum des plus enivrants. Elle est irrésistible.

Elle me fait donc visiter sa maison, que je n'avais jamais vue. Le salon, la cuisine, le bureau. Puis le patio. Un patio joint à une piscine hors-terre bien cachée par quelques arbres. Un petit coin de paradis.

« Souhaiterais-tu faire une petite trempette? » me demande-t-elle.

Alors là, les amis, c'est à ce moment que les neurones tordus de ma caboche ont pris le dessus. L'initiative saugrenue par excellence. Je réponds « Bien sûr! ». Je présume que j'aurais dû attendre qu'elle m'offre de me prêter un maillot. Mais en une fraction de seconde, je me lance. Je retire mon T-shirt. Je me déchausse de mes sandales. Et d'un geste rapide et déterminé, plantant les pouces directement sous l'élastique de mon slip, je descends en un instant celui-ci et mon bermuda. Je suis à poil devant Catherine, qui ne réagit pas — tant elle est estomaquée.

Vite, je me lance dans l'eau. Une petite minute de mouvements, histoire de dire que je me suis baigné. Puis je sors de la piscine pour revenir sur le patio.

Je suis nu devant Catherine, qui cherche un peu ses mots. « Ça fait du bien », dis-je avec une désinvolture un peu feinte. Catherine ne dit rien. Elle baisse son regard vers mon entre-jambes.

C'est alors que je la sens qui s'empare de mon sexe. Une main sous les testicules et l'autre sur la verge, qui ne demande pas mieux que de sentir la chaleur de sa paume, de ses doigts. Doucement, sans dire un mot, les yeux toujours fixés sur mon membre, elle commence à le masturber délicatement -- et habilement.

Puis, subitement, ses délicieuses caresses s'interrompent. « Pas ici. Entrons. » dit-elle, laconiquement. Il est vrai que nous sommes encore sur son patio -- endroit qui, compte tenu de la présence vraisemblable de quelque voisin curieux, pourrait n'être pas propice aux élans de passion.

Elle m'entraîne donc vers la porte-patio, toujours en caressant mon membre. Comme si elle me tenait en laisse — mais sans avoir besoin de me traîner. Je sais me montrer docile.

Dès que nous avons passé le seuil de la porte, dans l'intimité de sa cuisine, elle se penche et, ouvrant une bouche gourmande, y entre ma verge qui durcissait depuis un moment. La sensation est indescriptible. Peut-être n'a-t-elle pas pratiqué la fellation récemment, mais elle demeure douée.

La vue de ses lèvres autour de mon membre est irrésistible. J'ai envie de m'abandonner au plaisir qu'elle me donne. Mais comme j'ai tout mon temps, je lui dis : « Non, ne nous contentons pas d'une petite gâterie rapide. Allons dans ta chambre. »

Quelques pas plus loin, nous sommes au pied de son lit. Je poursuis dans mon audace. « Dis, comment se fait-il qu'il n'y ait que l'un de nous deux à poil? » Elle ne dit rien : elle me répond par ses gestes. Doucement, elle défait les boutons de sa robe, qu'elle laisse tomber sur le sol. Me regardant fixement dans les yeux, elle défait son soutien-gorge, dévoilant une poitrine alléchante. Puis, après un léger moment d'hésitation, elle glisse sa culotte le long de ses jambes.

Son corps est tout aussi irrésistible que je l'avais toujours imaginé. Mince, fait pour inspirer le plaisir. Des seins plutôt petits, mais tellement bien découpés. Une chatte naturellement peu poilue. Des jambes sveltes, entre lesquelles je sais que je vais connaître des moments exquis.

Je m'approche d'elle. Mon bras gauche s'enroule autour de ses épaules pendant que ma main droite se met à explorer le trésor qui se trouve au milieu de cette délicieuse toison. Nos lèvres se rencontrent dans un baiser des plus torrides. Nos langues font rapidement connaissance. Je ne parviens qu'à gérer deux sensations : celle de ma main sur la chatte de Catherine, qui devient rapidement de plus en plus humide. Et celle de la douce griserie que me procure la main de Catherine, qui s'est emparée de ma queue et qui la branloche tout doucement.

« Je veux te savourer » finis-je par dire. Je la guide de façon qu'elle s'allonge sur le lit, en position pour recevoir mes attentions orales. J'ouvre ses jambes délicatement, mais sans hésiter, comme si j'avais encore besoin de la convaincre de s'abandonner au plaisir.

Je m'avance entre ses jambes. Sa chatte est tout simplement irrésistible. Les lèvres sont bien définies et le clitoris est idéalement formé et disposé pour recevoir le cunnilingus. Je ne m'en prive pas.

Je commence par souffler délicatement sur ce sexe qui s'offre à moi. Un souffle léger, tout juste de nature à éveiller les sens, à faire deviner à Catherine les plaisirs qui l'attendent. L'effet ne se fait pas attendre. Elle se cambre délicatement tout en m'empoignant la tête pour attirer ma bouche sur sa chatte. J'aime qu'elle guide mes caresses buccales. Je veux tellement lui plaire.

Fermant les yeux, je m'abandonne aux délices de sa chatte. Mes lèvres et ma langue parcourent avec extase l'entrée de ce doux paradis. Pendant ce temps, cette fille que je tenais pour un peu réservée s'abandonne au discours le plus cru auquel je pouvais m'attendre de cette femme plutôt réservée.

« Oui, continue. Ma chatte appartient à ta bouche. J'aime que tu fasses rouler mon clitoris avec ta langue. J'aime que tu mordilles mes lèvres. Tu me fais brûler de plaisir. Ça me donne envie de recevoir ta queue, de la sentir s'enfouir au plus profond de moi. »

Appel auquel je ne saurais demeurer sourd. Comme cette belle enfant est déjà allongée sur le dos, la position du missionnaire me vient tout naturellement à l'idée. En quelques instants, je suis au-dessus d'elle. S'emparant de ma queue, Catherine s'empresse de la glisser à l'entrée de sa chatte : je me fais un plaisir de l'enfoncer tout doucement au fond de son sexe.

Le plaisir est indescriptible. Nous sommes enlacés de façon à maximiser le contact entre nos deux corps. Chaque centimètre carré de notre épiderme qui est en contact avec l'autre accroît notre enchantement. Je vais et je viens dans sa chatte si douce, si chaude, si accueillante. « C'est bon, continue de me baiser, fais-moi jouir au maximum » me dit Catherine.

Dans cette belle lumière estivale, la vue de son corps dénudé me comble de ravissement. Par moments, je relâche un peu notre étreinte pour pouvoir contempler ce corps que je ne savais pas si voluptueux. Mais vite, le contact de son épiderme me manque, et je me recolle sur cette poitrine si accueillante.

La chaleur de cette baise ne tarde pas à produire son effet : je sens l'orgasme s'annoncer. « Tu vas me faire jouir », parviens-je à dire à Catherine, qui répond illico « Moi aussi! Éclate dans moi, laisse-toi aller au maximum! »

À peine avait-elle fini sa phrase que les spasmes se firent sentir dans ma bite. M'enfonçant en elle, je largue quelques généreuses giclées pendant qu'elle plante ses doigts dans mon dos en soupirant de plaisir.

Peu à peu, nous reprenons notre souffle et relâchons notre étreinte. Nous sommes en nage, sous l'effet de la chaleur ambiante et de celle que nous avons générée. Je m'allonge à ses côtés, sur le dos, retrouvant peu à peu mon calme.

« C'était bien » me dit-elle avec un mélange de désinvolture et de ravissement. « Et maintenant que tu m'as donné l'exemple, allons faire un saut à la piscine. Discrètement, afin de ne pas alerter les voisins. »

Cette baignade marqua le début d'un weekend de rêve...

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