Baby-sitting

BÊTA PUBLIQUE

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SamBotte
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C'est sûr que globalement, il marchait quand même, mais ça plante toujours au mauvais moment ces engins là! Vraiment, je ne sais pas comment vous remercier!

Ecoutez, il y aurait bien quelque chose, mais je ne sais pas si je peux...

Je vous en prie, dites.

Et bien, voilà, vous me refaites la bise et on est quitte! D'accord?

D'accord.

Elle sourit et se pencha vers moi. Elle ne me fit pas une bise "à la sauvette", non, elle posa délicatement ses lèvres sur mes joues à quatre reprises.

Tout en sirotant nos verres, nous parlâmes de choses et d'autres. Elle m'expliqua qu'elle était divorcée depuis un an, qu'elle travaillait dans une maison d'édition, mais qu'elle avait parfois du mal à concilier ses exigences professionnelles avec son "job de maman".

C'est à ce moment que le téléphone se mit à sonner. Elle décrocha le combiné et son visage s'éclaira lorsqu'elle reconnut son interlocuteur. Puis je la vis se renfrogner en répondant :

Ce soir? Merde! Non, je suis désolée, ce n'est pas possible...

...

Tu sais, avec mon fils, je ne peux pas me libérer comme ça.

...

Mais non, c'est pas de la mauvaise volonté, mais comment veux-tu que je trouve une baby-sitter comme ça, au pied levé. Et en plus, dans une heure!

...

Et bien, tu l'annules la réservation, qu'est-ce que tu veux que je te dise. ... Attends. Ne quittes pas, une seconde, s'il te plait.

Ce changement de ton soudain était dû au fait que depuis sa dernière réplique, je lui faisais de grands signes. Elle mit la main devant le micro du combiné et je lui dis :

Je ne voudrais pas que vous puissiez croire que je me mêle de ce qui ne me regarde pas, mais si ça peut vous rendre service, je peux garder Florian. Je vous jure que je n'avais rien prévu de spécial ce soir.

Non, je ne peux pas vous demander ça, c'est pas possible. Pas, comme ça, "à l'arrache"!

Je vous promets que ça ne me dérange absolument pas. Si vous voulez sortir, allez-y.

Elle reprit le combiné et dit

Je peux te rappeler dans cinq minutes?

...

OK, donne-moi ton numéro.

...

Cinq minutes. Merci. A tout de suite.

Elle raccrocha et se tourna vers moi :

Vous êtes sérieux?

Ecoutez, vous venez de me dire que vous sortiez trop rarement à votre goût parce que ce n'est pas toujours facile de faire garder son enfant. On s'est plutôt bien entendu lui et moi l'autre soir, je vous trouve très sympa, et je vous répète que moi, je n'avais rien de prévu.

Mais cette soirée risque de se terminer tard, peut-être deux heures ou trois heures du matin! Et puis je n'ai même pas de quoi vous faire à manger, j'avais prévu de commander une pizza pour Florian et moi ce soir!

Et bien, vous commandez la pizza pour Florian et Sam, c'est tout. Je ne vois pas quel est le problème!

Bon, j'accepte, mais à une seule condition : je vous offre la pizza et je considère que votre séance de baby-sitting a commencé à 18 heures. C'est à prendre ou à laisser!

D'accord, je prends...

Elle avait fini par se rendre à mes arguments. J'avais fait le maximum pour la convaincre, et j'avais réussi! Mieux, elle m'avait fourni elle-même le prétexte que je cherchais pour me retrouver à nouveau seul chez elle!

Elle rappela son mystérieux correspondant et lui fixa rendez-vous au restaurant pour une heure plus tard. Elle appela ensuite pour se faire livrer une pizza, puis me dit :

Je ne sais même pas quoi me mettre. Ah! Je déteste me préparer en quatrième vitesse comme ça. Merde! Euh, pardon... zut! Je n'aurai pas du accepter.

Si je peux me permettre, vous êtes parfaite comme ça; le cuir et la fourrure, pour moi, c'est le top de l'élégance pour une femme.

Pour ça, je suis d'accord avec vous. Personnellement ce sont des matières que j'adore. Mais je veux porter une jupe. Alors, voyons voir ce que nous avons, vous me direz ce que vous en pensez, OK?

Sur son invitation, je la suivis dans la lingerie. Elle ouvrit la porte de la penderie et me demanda mon avis en sortant la jupe longue en cuir blanc et un chemisier en soie noire.

"Stop! Ne cherchez pas plus, je pense que vous serez absolument superbe, je ne sais pas quoi dire d'autre. Et ce n'est pas de la flatterie" ajoutai-je en lui faisant un clin d'œil malicieux.

Allez, c'est vendu. Je vous laisse vous occuper de Florian, je prends une douche et je file.

Elle nous retrouva vingt minutes plus tard attablés devant la pizza. La jupe semblait vouloir s'enrouler autour d'elle chaque fois qu'elle se tournait pour se montrer sous tous les angles! Elle constituait un ensemble avec un spencer en cuir blanc qui faisait plus encore ressortir les courbes de ses hanches et de son fessier. Elle avait aux pieds ses bottes bleues. Cette femme était vraiment définitivement canon! Je jalousai un instant l'inconnu qui aurait le plaisir de passer cette soirée avec elle, mais me consolai en pensant qu'à défaut de la tenir dans mes bras, moi, je passerai quelques heures dans ses vêtements!

"Vous êtes superbe" lui dis-je en insistant sur le présent du verbe être. J'ajoutai en souriant :

Et ce n'est toujours pas de la flatterie, mais juste une constatation.

Merci, c'est gentil. Tenez, je vous redonne le numéro du portable, on ne sait jamais.

Elle enfila le maxi manteau de fourrure qu'elle avait déposé dans le salon et, la main sur la poignée de la porte, elle ajouta :

Je pense rentrer vers deux heures, deux heures et demi, ça ira?

Je vous le promets. Tout ira bien, ne vous occupez pas de l'heure et profitez de votre soirée.

Comme la veille, j'attendis l'heure où Florian serait couché et endormi pour assouvir mes fantasmes.

3

Dans la salle de bains, je me mis complètement nu, puis enfilai la nuisette qui était accrochée derrière la porte. Elle était rigolote autant que sexy : noire et presque transparente, avec un ourlet en fausse fourrure blanche en bas et un petit pompon assorti sur la pointe de chaque sein; une petite culotte avec une boule de la même fourrure cousue au niveau du pubis complétait l'ensemble.

Je me mis en quête de savoir à mon tour "ce que j'allais me mettre sur le dos"! Je savais que je disposais de plusieurs heures et je voulais "devenir Ghislaine" pour cette tranche de la nuit. Levant tour à tour chaque bras, je pulvérisai son déodorant sous mes aisselles. Comme j'ai l'habitude de porter des verres de contact, et donc de toucher mes pupilles, je n'eus aucune difficulté à cerner mes yeux au khôl et à allonger mes cils avec du mascara. Je terminai cette séance de maquillage par du fard à paupières et du rouge à lèvres, en faisant bien attention à ne pas déborder autour de ma bouche.

Etape suivante, les sous-vêtements : avant d'aller fouiller dans sa commode, je décidai d'examiner le contenu de la panière à linge. J'y trouvai trois jeux de sous-vêtements, dont un ensemble trois pièces et des bas qui n'y étaient pas la fois précédente.

Avec un esprit de déduction que Sherlock Holmes n'aurait pas renié, j'en déduisis que j'avais sous la main la lingerie qu'elle portait lors de sa dernière sortie. Je humais avec délectation ses culottes tout en me caressant sous la chemise de nuit. Après quelques minutes où je profitai langoureusement du plaisir qui montait en moi, j'ôtai celle-ci pour attacher le porte-jarretelles avant d'enfiler (par-dessus les attaches, comme il se doit) le petit string dont ma verge tendue dépassait outrageusement. J'enfilai ensuite les bas, les agrafai en haut de mes cuisses et rembourrai le soutien-gorge avec deux petites culottes.

J'avais envie de remettre l'ensemble mini-jupe et spencer en cuir rouge que j'avais tant apprécié deux jours plus tôt. Je complétais ma tenue en enfilant les bottes blanches. Je retournai contempler mon image dans le grand miroir.

Je tendis mes jambes, cambrai le dos et sortis de sous la jupe ma verge tendue : je bandais "comme un taureau". Je voulais malgré tout maîtriser mon excitation, faire durer la vague de plaisir qui m'envahissait. Je me masturbai lentement, et je finis par éjaculer dans les mouchoirs en papier.

Je m'essuyai soigneusement afin de ne pas tacher la doublure, car même en débandant un peu, mon sexe avait beaucoup de mal à tenir tout entier sous le petit triangle du string!

La jupe était vraiment très courte : le seul fait de me pencher en avant dévoilait presque mes fesses! Je prenais aussi plaisir à me baisser, genoux serrés. Je passais ainsi une heure à bouger "comme une femme".

Revenu devant la penderie, je choisis de mettre les bottes noires à talons aiguilles qu'elle avait porté l'avant-veille. En fait, j'eus envie de finir la soirée vêtu des habits qu'elle portait le "premier soir".

Avant de décrocher la jupe en cuir grise qui me faisait de l'œil sur son cintre, je me retournai un instant vers le miroir. Ce n'était pas par esprit de narcissisme, c'était plutôt pour constater de visu la féminité que j'étais capable de dégager. Les bas noirs brillaient et faisaient ressortir le rouge vif de la mini-jupe.

Je la remplaçai par la jupe longue en cuir gris et mis sur mon bras le maxi en cuir dans les poches duquel je trouvai une paire de gants noirs en chevreau. Je revins fouiller dans la panière à linge et en sortis le chemisier de soie. Machinalement, je reniflai sous les manches pour y retrouver son odeur.

En me regardant à nouveau, j'avais l'impression que je devenais vraiment Ghislaine, du moins tant que je ne regardais pas mon visage!

Je retournai dans le salon, profitant à chaque seconde de l'émoi que provoquaient en moi la marche sur les hauts talons, la douceur du frottement de la jupe sur les bas et l'odeur de son parfum accrochée aux vêtements. Les talons aiguille associés à la jupe serrée jusqu'aux genoux m'obligeaient à faire de petits pas. C'était là aussi une sensation à laquelle je n'étais pas habitué, mais qui contribuait à maintenir au plus haut mon degré d'excitation.

Je me forçai malgré tout à faire durer le plaisir et je résistai à la tentation de me branler à nouveau.

Ne négligeant pas (malgré tout) la raison première de ma présence, je jetai un œil par la porte de la chambre de l'enfant pour m'assurer que tout allait bien.

Je ramassai mes propres habits que j'avais jeté en vrac dans la salle de bain et les posai sur la patère derrière la porte. Je décidai ensuite de regarder un peu la télé pour passer le temps, sans cesser malgré tout de profiter des sensations inimitables que je tirais de mon travestissement. Je passai ainsi une nouvelle heure, puis ne trouvant pas d'émission à ma convenance, j'éteignis le poste.

Un peu avant 22 heures 30, je pénétrai une nouvelle fois dans "l'espace nuit". En passant devant la chambre de Florian, j'entendis un gémissement. Je poussai la porte et compris qu'il devait faire un mauvais rêve. Au moment où je me penchai sur le lit, il entrouvrit un œil et murmura dans un demi-sommeil "Maman". Je lui répondis "Je suis là. Ce n'est rien, mon chéri, c'est un mauvais rêve, ça va passer".

Ces paroles étaient sorties de ma bouche sans préméditation aucune, mais il faut croire que je m'étais vraiment tout à fait pris à mon propre jeu!

Je déposai un baiser sur son front. Etait-ce à cause de l'odeur du parfum dont j'étais imprégné, je ne sais, toujours est-il que sa respiration se calma et qu'il se rendormit presque aussitôt.

Je sortis sans bruit de la chambre.

4

C'est au moment précis où je faisais demi-tour après avoir fermé la porte de la chambre que l'imprévisible se produisit : je me trouvai nez à nez avec Ghislaine que je n'avais pas entendu arriver dans mon dos!

Je vis la stupéfaction sur son visage se transformer en fureur à peine contenue.

Non, mais, je rêve! Décidément, c'est la soirée... Enlevez-moi ça tout de suite... Immédiatement!

Ecoutez, je peux tout vous expliquer. Je pourrais essayer d'inventer n'importe quoi, mais je préfère vous dire la vérité : c'est pour pouvoir ressentir ce qu'une femme telle que vous peut vivre en étant vêtue ainsi que je me suis permis d'enfiler vos vêtements.

Comment ça, "ressentir"? Non mais vous êtes malade!

Mais, je vous jure, c'est la vérité. Je voulais savoir quel effet ça fait de porter une jupe en cuir et des talons, et en essayant les vôtres, je voulais me mettre à votre place un instant.

Vous mettre à ma place? Non, mais c'est pas possible! ... Enlevez-moi cette jupe et ces bottes... Tout de suite! Vous mettre à ma place? ... Non mais je rêve!

Je ne sais pas quoi vous dire de plus. Je ... Je suis désolé.

Désolé? Pas tant que moi! Et dire que je vous faisais confiance, je vous trouvais même plutôt sympa, moi aussi. Je vous jure que si vous les avez abîmées, vous allez casquer. Vous faites quoi comme taille de vêtements et comme pointure?

Je chausse du 39 et je prends du 38 en pantalon. N'ayez aucune crainte, j'ai fait très attention.

Pendant cet échange, nous avions pénétré dans la lingerie. Je déposai les gants sur une étagère, puis me retournai pour déboutonner le chemisier de satin et enlever le soutien-gorge. C'est lorsque je fis glisser la jupe que je l'entendis :

Oh non, c'est pas vrai!

Elle venait de découvrir sur moi les sous-vêtements qu'elle avait déjà portés. Je me retournai vers elle en cachant tant bien que mal ce qui restait de mon érection dans le string.

Ses yeux verts lançaient des éclairs.

C'est pas vrai, non, vraiment... Je cauchemarde! Allez, à poil, merde!

Elle suspendit rageusement la jupe grise sur son cintre pendant que j'enlevais les bottes. Je commençai à traverser sa chambre pour replacer la lingerie fine dans la panière à linge, mais elle m'arrêta de la voix.

Mais j'ai laissé mes vêtements à moi dans la salle de bain...

Je m'en fous complètement! Restez là! Ne bougez plus!

Elle me prit les sous-vêtements des mains et les alla les déposer à coté. J'étais maintenant complètement nu, je ne me sentais pas franchement à l'aise, immobile sous son regard glacé.

Parce que, pour vous, ça ressent quoi, une femme, hein? Vous croyez que tout est toujours rose parce qu'on porte de la lingerie sexy?

Non, ce n'est pas aussi simple que ça, je sais bien, mais...

Vous croyez que tout est facile parce qu'on est perchée sur dix centimètres de talons?

A cet instant, une lueur étrange passa dans son regard. Elle reprit :

Vous vouliez "ressentir ce que je vis tous les jours", vous "mettre à ma place", hein, c'est bien ça? C'est ce que vous voulez. C'est bien ce que vous avez dit, hein?

Et bien, ... Oui, ... Enfin, c'est ce que je vous ai expliqué...

Et bien, vous allez le voir, ce que ressent une femme, vous allez le "ressentir", ce que j'ai vécu ce soir. Alors pour commencer, je vais vous faire connaître les joies de l'épilation.

Ecoutez...

Il n'y a pas de 'Ecoutez'. Vous avez voulu vous prendre pour une nana, je vous promets que je vais vous faire assumer ce choix jusqu'au bout. On va finir ce petit jeu que vous avez commencé... Mais à ma manière, sinon, je vous jure que vous allez le regretter! Et que ça vous plaise ou non, ça va commencer par une épilation. Venez avec moi à coté.

Elle sortit de l'armoire de toilette un épilateur à la cire et me fit signe de la tête de m'installer.

Pendant que l'appareil chauffait, je me sentais à la fois très mal à l'aise et survolté. Je me posais des questions sur les motivations qui poussaient Ghislaine à "prolonger mon jeu, mais avec ses propres règles". Pour quelles raisons rentrait-elle à 22H30 alors que sa soirée était censée durer jusqu'à deux heures du matin?

Est-ce que vous me permettez de... masquer ma nudité?

Du moment que vous gardez les pattes à l'air, je m'en fous complètement!

Depuis que j'avais ôté ses vêtements, ses propos étaient encore plus cassants, plus relâchés. Sa colère faisait voler en éclat sa distinction habituelle.

J'allongeai mon bras en direction de la patère, mais au dernier moment, au lieu d'y prendre mon slip, je saisis la nuisette et la petite culotte noire. Lorsqu'elle me vit les enfiler, elle eut un haussement d'épaule :

De toutes façons, au point où on en est...

C'est à dire que, tant qu'à faire, si je dois continuer à jouer à la femme...

J'avais répondu un peu crânement, pour essayer de percer son état d'esprit.

Ma verge avait retrouvé un volume conséquent à partir du moment où j'avais mis la nuisette. Elle sembla ne même pas s'en apercevoir et commença à étaler la cire sur toute la longueur de mes jambes. Je tressaillis sous la brûlure. Elle me dit en retenant un léger tremblement dans sa voix "Ca n'est qu'un début!".

Effectivement, l'arrachage de la bandelette (et de celles qui suivirent) me fut beaucoup plus pénible, d'autant plus qu'elle ne prit volontairement pas de gants --au sens propre comme au sens figuré!

Elle fit par contre preuve d'un self-control étonnant en épilant le haut de mes cuisses, ignorant complètement le fait que mon sexe faisait une bosse sans équivoque sous le polyamide transparent de la nuisette!

Néanmoins, au fur et à mesure que l'opération avançait, elle se montra moins sèche dans ses gestes.

Elle finit par débrancher l'appareil et me dit calmement "Attendez encore une minute, ce n'est pas encore tout à fait fini". Elle prit un flacon et me le tendit en ordonnant "Etalez-vous ça sur les jambes, ça calmera la sensation de brûlure". Effectivement, passées les premières secondes où le picotement fut avivé, je me sentis vite soulagé. Elle m'invita à me changer et à repasser dans la chambre. Elle se calmait petit à petit.

Alors, ça vous a plu de "jouer à la femme"?

Ecoutez, j'ai été totalement franc avec vous depuis le début, je vais continuer : je voulais, j'aurais vraiment voulu être à votre place. Je me suis senti tellement bien quand j'ai mis vos vêtements et vos bottes tout à l'heure, j'ai essayé d'imaginer ce que pouvait être votre soirée. Et oui, excusez ma franchise, mais je ne regrette pas. Tout le monde dira que ça ne se fait pas, à beaucoup de points de vue, mais j'ai trouvé ça ... merveilleux, je n'ai pas d'autres mots. Alors, oui, "ça m'a plu de me sentir femme"!

Elle se raidit à nouveau et rebondit sur ce que je venais de dire :

Vous voudriez être à ma place? Vivre mes soirées? Très bien, cette fois-ci, vous l'aurez voulu!

Sa voix était redevenue cassante.

"Je vais vous la faire revivre, ma soirée, et on verra si vous pensez toujours la même chose après!" (Sa voix monta d'un ton) "Déshabillez-vous! Tout de suite!!! Et ne bougez pas."

Alors que j'obtempérais, il se passa quelque chose de complètement incroyable.

Elle enleva son spencer, déboutonna son chemisier en satin noir, puis fit coulisser la fermeture éclair dans le dos de sa jupe et la laissa glisser au sol. Elle apparut alors devant moi, vêtue en tout et pour tout de ses bottes (si érotiques avec leurs talons métalliques), d'une paire de bas tenus par un porte-jarretelles et d'une petite culotte satinée blanche! Elle était largement échancrée sur les cuisses, ce qui fait qu'entre les bottes, les bas et ce slip, ses jambes paraissaient interminables. Elle avait une poitrine superbe, des petits seins fermes et hauts perchés. La pointe de mon gland touchait maintenant mon nombril tellement je la trouvais désirable.

Je n'étais pas encore au bout de mes surprises. Elle se baissa pour ramasser sa jupe, me la tendit en disant "Puisqu'il semble que vous rentriez dans mes habits, mettez ça".

Je ne pus réprimer un frisson lorsque je remontai le cuir en le faisant caresser mon sexe sur toute sa longueur! Ghislaine ne me quittait pas des yeux. J'essayai d'avoir une attitude féminine pour remonter le zip dans mon dos, je ne voulais pas donner l'image grotesque que donnent parfois des travestis trop mâles dans leurs gestes autant que dans leur morphologie. Elle ôta ses bottes et me les tendit :

Allez, on continue. Je suppose que vous avez fouillé dans les placards et vous savez donc sans doute que j'en ai plusieurs paires, mais c'est celles-ci qui ont les talons les plus hauts et qui sont les plus serrées. On va voir combien de temps vous tiendrez avec ça aux pieds!

SamBotte
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