Aventures Intergalactiques – Ch. 07

Informations sur Récit
Pour sauver Abby, Sariah pactise avec Qualed le reptoïde.
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Partie 7 de la série de 10 pièces

Actualisé 06/14/2023
Créé 01/27/2023
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Comment séduire un allié virtuel

Les deux Allyuens promirent de les aider, pour délivrer Abby et mettre les pirates hors d'état de nuire. Après avoir reçu de chaleureux remerciements de la part de Jayline, ils repartirent vers leur vaisseau.

Sariah donna à sa coéquipière la petite puce informatique trouvée sur le Yautja, lui demanda si elle pouvait la décrypter pour essayer de trouver des renseignements qui pourraient les mettre sur une piste. Ce fut promptement fait, la puce livra ses secrets, elle indiqua ou les bandits avaient rendez-vous.

C'était la planète Dagobah, dans le secteur Sluis, un monde de sombres marais, de bayous putrides et de forêts d'arbres tortueux. De nombreux insectes géants erraient dans les marais de Dagobah. Cette planète hostile possédait une ville Kamina ou s'était réfugiée la lie des bandits des galaxies, comme dans les temps immémoriaux ou les pirates qui sillonnaient les océans de la terre, établissaient leurs quartiers généraux dans les îles désertes.

Les ravisseurs devaient livrer leur précieuse cargaison dans un entrepôt. Les deux jeunes filles décidèrent de délivrer Abby à tout prix. Quel était le sort que ces bandits réservaient au jeune médecin? L'esclavage, la servitude ou la mort. Le Protée décolla, il atteignit en très peu de temps la barrière de l'hyperespace.

Le voyage se passa sans anicroche, l'astronef glissa gracieusement dans l'atmosphère de Dagobah.

Le vaisseau fut amarré à une petite station spatiale vétuste et densément peuplée, dans les faubourgs assez loin du centre-ville. La structure de la ville était assez importante et donnait asile à des milliers d'Aliens, inconnus de l'humanité. Sariah avait jugé trop dangereux de simplement s'amarrer à la station sans avoir fait quelques recherches sur la structure de la ville et ses habitants. La citée était équipée de toute sorte d'armes redoutables, de canons anti-vaisseaux de grande puissance à des modèles de plus petites versions sur des tourelles sentinelles. Elle donnait asile à des milliers de créatures, sûrement les plus féroces de l'univers. Le capitaine du Protée avait donc jugé trop dangereux de s'amarrer à la station principale.

Jayline demanda aux computeurs de manœuvrer le Protée de façon à pouvoir scanner et intercepter les communications provenant de la ville. Il fallut des heures aux ordinateurs de bord pour déchiffrer les langues étrangères, heureusement leurs efforts aboutirent. Selon les transmissions captées, il n'y avait rien de moins qu'une cinquantaine espèces différentes d'Aliens qui vivaient ici. La ville était la plaque tournante de nombreuses activités illégales, dont la presque totalité des habitants avait fait leurs occupations.

Un dénommé Qaled régnait sur ce ramassis de personnages sans foi ni loi. C'était un grand Alien bestial reptoïde de, forme humaine. Les Transmissions qui parlaient de lui, avaient révélé que toute cette racaille, entassée dans la métropole du crime, avait une peur bleue de cette créature, qui était autant rusé qu'il était redoutable. Il savait exactement tout ce qui se passait dans « sa » ville. Chaque transaction malhonnête l'enrichissait chaque jour un peu plus. Il avait une faiblesse cependant, un appétit insatiable pour les femmes quelle que soit leur espèce, mais il les voulait parfaites...

Sariah après une âpre discussion avec Jayline, se porta volontaire pour séduire Qaled, il devait obligatoirement savoir ou était retenue Abby. Une fois que l'emplacement serait connu, elles récupéreraient Abby par tous les moyens... Le plan était audacieux, téméraire, pas dénué de risques, mais Sariah savait que c'était leur meilleure chance.

Secrètement, elle s'était délectée de l'idée de séduire Qaled. Ses « expériences » sur la planète qu'elles venaient de quitter, l'avaient changé tant physiquement que mentalement. Ce qui n'était pas surprenant étant donné la quantité excessive de phéromones du sperme Alien plus ou moins aphrodisiaque qu'elle avait reçu dans ses entrailles au cours de la mission. Il en avait résulté qu'un énorme appétit sexuel était né. Pendant le voyage, elle s'était surprise à se masturber sans vergogne avec d'énormes godemichés pour se essayer de se libérer de la convoitise et de l'excitation charnelle accumulée. Cela lui donnait un soulagement temporaire, mais n'assouvissait pas son désir qui restait toujours présent. Qaled, allait-il la soulager de ce côté-là?

Elle enfila une paire de petites cuissardes noires, une tunique tissée dans un voile diaphane complètement transparent qui s'arrêtait juste en dessus de son entrejambe. Les deux pans étaient simplement retenus un peu plus haut que ses hanches par deux petits clips, laissant le haut des cuisses dénudé. Le vêtement révélateur, mettait son corps tonique en évidence, laissant seulement une fine couche de maille assez transparente couvrir sa peau dorée et laissait apercevoir sa chatte épilée, le voile s'arrêtait juste au-dessus de son clitoris, celui-ci pointait légèrement entre ses lèvres lorsqu'elle s'asseyait. Ses seins étaient couverts par le haut opaque de la tunique, mais ses aréoles et ses mamelons se laissaient apercevoir par deux fentes judicieusement placées et moulait ses deux globes fermes qui, serrés à l'intérieur semblaient vouloir à tout prix se libérer du bustier qui les comprimait.

Elle se dirigea vers le sas, la porte du navire glissa doucement pour s'ouvrir, une ruée d'air vicié et moisi teinté de phéromones agressa les narines de Sariah quand elle s'avança sur le débarcadère de la station orbitale.

Avant de franchir le poste de contrôle donnant accès à la ville, elle fut arrêtée par deux Aliens, des grands gris, semblables à celui qui l'avait baisé dans le vaisseau pirate. Le souvenir de cette copulation attisé par les senteurs provoqua une bouffée de chaleur qui circula dans tout son corps, avant de venir se fixer dans sa chatte. Sa tenue devait les exciter, car leurs bites énormes étaient en érection. Leurs mines étaient renfrognées, ils étaient en état d'alerte, elle était la première femelle humaine à poser le pied sur la station, c'est ce qui retenait toute leur attention et leur méfiance. Ils lui firent signe de s'arrêter. Ils lui demandèrent de bien vouloir se soumettre à un scanner total. Ils l'installèrent sur un socle dans un drôle d'appareil, lui firent lever les bras au dessus de la tête et appuyèrent sur bouton, une lumière verte tomba du plafond, enveloppa Sariah. Ses bras furent tirés vers le haut, ses poignets bloqués au-dessus de sa tête. Sa tunique remontée dévoila entièrement sa chatte rasée. Ses grandes lèvres légèrement entrouvertes laissèrent deviner le rose humide de ses petites lèvres, le regard lubrique des Aliens fixé sur son sexe ne la laissa pas indifférente. Leurs érections étaient au maximum. Une main palmée, de quatre doigts traversa la lumière pour venir se plaquer sur son entrejambe.

— Nous avons ordre de tout vérifier! Toutes les cachettes possibles...

Un doigt, puis deux firent se retourner l'ampoule rectale de Sariah, puis ils s'insinuèrent dans le conduit conquis, le pouce partit du bas de fente de la chatte, remonta lentement effleurant l'entrée du vagin pour aller titiller pendant un moment le clitoris qui commença à durcir. Il redescendit ensuite pour s'enfoncer dans l'orifice trempé, il le fit tourner lentement son ongle griffant légèrement les parois vaginales.

— Putain, elle mouille cette salope de Terrienne, et même drôlement...

Les tétons de la jeune fille, étirés de deux centimètres, gorgés par un afflux sanguin pointèrent par les fentes de sa tunique. S'en apercevant le second gris, passa derrière elle et saisit les seins remontés par la position des bras, il les malaxa tout en faisant rouler les petites pointes brunes entre ses doigts, les pinçant et les étirant encore plus. Sariah était de plus en plus excitée.

— Et ou allez-vous comme ça? Demanda-t-il d'un ton bourru

— Je...Je...vaiiiiiiiiis.......v.................voir...........

— Qui donc? Ricanèrent les deux gris amusés de voir le trouble de la jeune fille, en continuant leurs caresses.

— Qa.......Qaled..........vo.....votre chef...........ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Le nom prononcé les coupa net dans leurs élans. Ils se concertèrent tout bas, éteignirent le scanner. Ils transmirent la destination dans un transpondeur, un troisième gardien apparut.

— Il va vous guider vers celui que vous cherchez

Sariah fut un peu contrariée que cela se termine ainsi, elle aurait bien aimé qu'ils la fassent jouir... Tant pis! Son guide arborait un sourire de plus en plus ironique au fur et à mesure qu'ils approchaient.

Il était obséquieux, envers la "naïveté" du nouvel arrivant qui ne connaissait pas son maître. Il dirigea Sariah vers l'entrée du bâtiment. Des créatures de toute formes et de toutes tailles vaquaient à leurs affaires louches. Ils traversèrent de grandes salles ou tout et n'importe quoi était à vendre, toute sortes de machines, de marchandises et d'esclaves... son cœur se serra en pensant à Abby.

Leur marche rapide les conduisit à un ascenseur, muni d'un panneau de commande holographique, son guide appuya sur quelques symboles étranges et l'ascenseur accéléra vers le haut. Le tohu-bohu des étages commerciaux fut remplacé par le chuintement de la machinerie de l'ascenseur qui cessa seulement quand ils eurent atteint leur destination.

La porte s'ouvrit révélant une salle de forme hexagonale avec une vue panoramique sur le vide. La lumière provenait d'un millier de projecteurs lointains qui éclairaient la pièce en trouant les baies vitrées et donnaient une lueur bleue, ce qui donnait une atmosphère étrange. Le garde lui fit signe d'avancer, mais il resta dans l'ascenseur, qui repartit aussitôt.

Dans l'ombre, elle aperçut Qaled, ses yeux jaunes phosphorescents, visibles dans l'obscurité. Il se leva avec souplesse de sa chaise, déplia lentement sa masse musculaire. Il était vraiment énorme, il devait mesurer plus de deux mètres, pour un poids avoisinant les cent soixante kilos. C'était bien un reptoïde. Ses yeux brillaient d'une intelligence froide. Il était vert pâle, sa petite tête était ovoïdale, ses narines légèrement proéminentes semblaient humer le parfum de la jeune fille. Sa bouche aux lèvres épaisses était garnie de petites dents acérées. Les extrémités de ses quatre doigts étaient terminées par des ongles orangés et celles de ses pieds par des sortes des griffes rouges.

Une énorme bite pendait sans pudeur entre ses cuisses, elle descendait jusqu'à ses genoux. Sa peau était écailleuse, mais la texture avait l'air douce. D'un ordre, il fit jaillir la lumière.

— Et que me vaut l'honneur de ta visite, jolie Terrienne? Ça m'intrigue?

Sa voix profonde gronda dans toute la pièce. Ses petits yeux jaunes lubriques parcoururentt Sariah des pieds à la tête.

— Je sais que tu es le capitaine du vaisseau qui vient de s'amarrer au dock 136, tu es venue dans « ma ville », car tu es inquiète pour l'une de tes coéquipières.

Il fit une pause pour avoir un effet dramatique.

— Mais nous pourrions peut-être nous rendre utile l'un pour l'autre...

Sariah resta sans voix, Qaled l'avait percée à jour, son plan était-il réalisable.

— N'aie pas l'air surprise, reprit le reptoîde vert. Je n'ai pas réussi à être le maître de cette ville, par mes seules capacités physiques et ce que tu peux voir ici, dit-il en soulevant son énorme bite.

Sariah ressentit un immense trouble à la vue de cet énorme organe vert, elle se sentit mouiller, juste à la pensée de ce qu'il pourrait lui faire... Ses fantasmes la reprenaient.

— Calme-toi se dit-elle ... Pense à Abby.

Frémissante de désir, elle ne savait pas si elle devait le considérer comme ami ou ennemi.

— Je ne sais pas, dit-elle comment aborder le sujet...

Rassemblant son courage, elle s'approcha de lui...

— Vous n'êtes pas vraiment ce à quoi je m'attendais... Mais j'aurai beaucoup de questions à vous poser.

— je n'en doute pas, et je vais même te donner quelques réponses avant que tu ne me poses celles que tu souhaites.

Il lui proposa de s'asseoir en face de lui, Sariah lui obéit, écartant imperceptiblement les jambes faisant remonter sa courte tunique, pour qu'il puisse apercevoir son orifice vaginal, et son clitoris qui durcissait. Il lui raconta en gros son aventure, les yeux fixés sur les trésors dévoilés.

— Mais tu n'as pas fait tout ce chemin seulement pour qu'on parler de moi.

Sa voix était maintenant rauque, curieuse.

— Comme vous le savez déjà, une bonne amie à moi a été capturée et amenée ici, pour devenir ce que je suppose une esclave, et je suis ici pour la retrouver. Et donc j'ai besoin de votre aide.

Dit elle en passant un bras derrière sa tête pour faire remonter encore plus haut sa courte tunique. Elle augmenta l'écartement de ses jambes, ses lèvres s'ouvrirent, sa chatte humide béait aux regards de Qaled. Elle suivit la direction des yeux jaune du géant assit en face d'elle et vit qu'ils étaient fixés sur son entrejambe.

— En effet, je te l'accorderai si tu en payes le prix. Celui que tu cherches est un Yautja nommé Ocerikor, un Bad Bloods, un misérable qui tente de passer en contrebande des marchandises sans payer la contribution appropriée.

Grommela-t-il, sa colère transparaissait à travers ses paroles.

— Il a en effet ton amie et plusieurs choses qui m'intéressent aussi. Il se cache dans le ventre de la ville se croyant à l'abri de mon courroux. À son insu, j'ai eu les codes d'accès à son repaire, et je peux verrouiller son navire à tout moment...

— Vous avez tout sous votre contrôle, en quoi pourrai-je vous être utile?

— J'étais en train de mettre en place son arrestation, lorsque ton vaisseau est apparu dans notre espace. Nous avons infiltré vos systèmes informatiques et j'ai su ainsi ce qui était arrivé, les rapports qui doivent fait à la terre sont une mine d'information! Vous savez vraiment vous y prendre avec vos hôtes! Maintenant, tu vois, j'ai goûté à beaucoup de choses dans ma vie, mais je n'ai jamais eu le plaisir de baiser une femme humaine. Ainsi, en échange de mon aide, je veux seulement satisfaire mon désir, surtout avec un corps comme le tien.

Dit-il en fixant le sexe qui luisait de foutre dans la lumière crue, une légère tâche c'était formée sur le fauteuil...

Sariah sourit, il lui sembla que le sexe monstrueux commençait à prendre de la vigueur. Elle songea que même en cas de catastrophe, son plan pourrait fonctionner, quand même.

— Alors je vais vous donner juste un avant-goût. Certes après, nous pourrons faire, des choses plus satisfaisantes dit-elle en passant langoureusement sa langue sur ses lèvres.

Elle sépara le plus largement possible, ses jambes, écarta ses lèvres, décapuchonna son clitoris et le caressa d'un mouvement circulaire de l'index qu'elle avait sucé avec un air canaille auparavant. Son autre main écarta largement les fentes de sa tunique sur ses seins et malaxa les mamelons déjà tendus.

Son index quitta le petit bouton rose, avec une légère moue, elle l'insinua dans son vagin, puis le majeur suivit, l'annulaire vint s'y adjoindre, elle regarda Qaled en souriant. Elle ressortit ses doigts dégoulinant de foutre, puis lentement les cinq doigts fermés elle commença à enfoncer sa main dans sa chatte, comme pour dire au reptoïde géant :

— Tu vois ton énorme bite va rentrer sans problème.

La main fine disparut entièrement dans la chatte bien lubrifiée. Qaled s'agita sur son siège, son énorme queue bandant monstrueusement, il se masturba doucement. Il appuya sur une touche, une musique bizarre, suave et érotique emplit la pièce.

Sariah était maintenant complètement excitée, elle se leva et se mit à danser en se caressant le corps. Ses mains tels deux papillons voletèrent sur toutes les parties de son anatomie. Elle se mit sur le dos mimant une pénétration, puis écarta les jambes, ouvrit sa chatte entre ses doigts, se retourna et fit de même avec les globes de ses fesses et offrit son trou intime à la vue de Qaled.

Il y avait maintenant un désir malsain en elle, ce ne fut pas une simple exécution artistique, mais cela devint un désir sexuel sincère, obscène, sans borne et sans retenue. Elle trouva cela délicieux.

Le reptoîde la bite tendue comme un arc s'avança sur le bord de son siège pour ne rien rater des évolutions de la jeune Terrienne, Sariah se mit en face de lui, elle pencha sa tête en arrière presque jusqu'au sol ce qui porta sa chatte chaude, humide et ouverte au niveau des yeux jaunes étincelants de désirs. Dans toutes les races, ce langage corporel était clair... Je suis prête, prends-moi...

Il se leva, passa dans son dos, ses mains énormes aux ongles orangés se mirent à la caresser avec une douceur à laquelle ne s'attendait pas. Elle le sentit explorer son corps, la palpant, la frottant, la pinçant doucement, elle gémit doucement tandis qu'il effectuait son exploration. Elle se noya dans l'envie d'être pénétrée par sa queue monumentale, son foutre coula entre ses jambes, sa chatte fut abondement lubrifiée.

Elle fut heureuse lorsque les énormes doigts griffus trouvèrent leur chemin en pénétrant dans sa chatte. Elle sentit les ongles massifs glisser sur ses parois vaginales. Elle se pencha bien en avant pour lui permettre de bien la baiser profondément avec son doigt, puis elle se releva lentement lui maintenant sa main plaquée sur son entrejambe, tourna la tête en la penchant en arrière pour un lui prodiguer un baiser, leurs langues se nouèrent l'une sur l'autre en échangeant leurs salives.

La main de la jeune fille chercha et trouva sans mal l'énorme bite, maintenant bien raide. Elle la caressa doucement tout en continuant leur baiser mouillé. Qaled retira les doigts de son vagin, ce qui mit un terme à leur baiser passionné. Il la fit pencher en avant, le gland de la bite qu'elle avait décalottée s'enfonça entre ses lèvres bien lubrifiées, le diamètre de la masse chair était de par son érection, supérieur à l'orifice de la chatte de Sariah, le haut du gland lui frotta le clitoris.

C'était et de loin la plus grande et grosse queue qu'elle eut connu, qui s'enfonçait en elle. Sa chatte dut s'étirer largement pour accueillir sa corpulence. D'un seul coup, il passa les mains sous la tunique et lui arracha plutôt qu'il lui quitta son léger vêtement.

Au début, Caler fut inquiet, il pensa qu'il ne pourrait pas vu la grosseur de sa queue pénétrer la Terrienne, mais il poussa fermement et son pieu glissa dans les profondeurs du vagin de Sariah. L'énorme pénétration fut grandement facilitée par le foutre qui coulait de la chatte écartelée. Qaled la trouva serrée et chaude, putain ce qu'elle était chaude. Sa queue poisseuse se recouvrit de beaucoup de fluide, il le sentit s'égoutter jusque sur ses monstrueuses couilles. Le corps de l jeune Terrienne se déplaça au rythme de ses pénétrations. Tout en elle était incroyable, les relations sexuelles avec d'autres espèces n'étaient pas toujours agréables, tant pour lui que pour les femelles et Qaled avait eu sa part de mauvaises expériences, mais cette créature qu'il était en train de baiser était un délice.

Il la pénétra entièrement, Sariah pensa que la bite en elle devait avoir douze centimètres de diamètre et près de trente-cinq centimètres de long tellement elle était grosse! Elle poussa un long gémissement, en avalant chaque centimètres de la chair verte à l'intérieur de sa vulve. Le reptoîde sa pénétration terminée resta calé au fond sans bouger, en appréciant les contractions subtiles des parois vaginales que Sariah prodigua sur sa queue.

Elle essaya de contrôler et de stabiliser sa respiration lorsqu'elle eut pris entièrement l'énorme virilité en elle. Le cuir de l'immense bite frottant contre les parois de sa chatte la rendit folle, elle la sentit l'envahir entièrement. Les spasmes de ses muscles enserrèrent l'énorme rouleau et il lui sembla qu'il durcissait encore. Il se retira brièvement et ensuite poussa profondément en elle, encore et encore. Il commença lentement, et progressivement gagna de la vitesse à chaque poussée.

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