Augustine, Comédie érotique

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Teresa : On se fait un 69?

Sauf leurs bas et leurs coiffes de soubrettes et d'infirmière, elles sont nues, tête-bêche, elles se lèchent les pétales de leurs fleurs (peu) secrètes et se sucent les boutons avec entrain. Les langues se glissent entre les fesses aussi loin que possible. Des râles signalent des débuts d'orgasmes, mais elles ne s'arrêtent pas pour autant. Depuis un angle de la scène, Madame les regarde.

Madame : Ah les garces, elles s'amusent toutes seules et me laissent mourir d'ennui.

Madame s'approche, chatouille le dos de Teresa et lui claque amicalement les fesses. Les cuisses d'Augustine ont droit à des claques plus sévères.

Madame : Faites moi place les gougnottes, j'ai un truc à essayer avec vous.

Teresa s'allonge sur le dos. Madame lui ouvre ses cuisses avec autorité, applique à son bouton une sorte de pince, et deux autres aux tétons. Ces pinces sont reliées par des fils électriques à un boîtier équipé de plusieurs manettes. Madame les manœuvre. Le ventre de Teresa, puis ses cuisses se mettent à trembler de manière incontrôlable. Teresa gémit, en transe des pieds à la tête. Les gémissements se font cris. L'orgasme approche, la Baronne baisse la tension. Teresa respire plus calmement, mais pas longtemps. La Baronne remonte l'intensité, puis la baisse, puis la remonte, et chaque fois Teresa crie un peu plus fort, de souffrance ou de plaisir, impossible de savoir. Lorsque l'orgasme éclate, la Baronne appuie sur un bouton rouge et un grand jet d'urine jaillit du ventre de Teresa en une harmonieuse parabole qui va mouiller le sol, jusqu'à deux mètres plus loin. Cri final de jouissance. Puis reflux du plaisir, mais Teresa reste sous tension. Le moindre contact l'électrise toute entière.

Madame : Augustine, à ton balai pour nettoyer la pisse.

Augustine toute nue passe le balai et chantonne le thème du Boléro de Ravel. Les spectateurs peuvent contempler le doux balancement de ses seins au rythme du nettoyage.

En coulisse, une sonnette.

Madame : Augustine, termine ça vite. Monsieur le Baron se réveille. Lave tes fesses, il en aura besoin. Et va t'habiller comme d'habitude.

Augustine sort.

Madame : Teresa, à moi d'essayer cette machine à jouir.

La Baronne se dépoitraille, remonte sa jupe sur ses fesses nues. Teresa lui installe les pinces et démarre la machine à faire jouir. Les lumières baissent progressivement et c'est dans l'obscurité que la scène continue avec les gémissements puis les cris de la Baronne, et à chaque pic orgasmique, le rire complice de Teresa.

Quatrième et dernière scène

Un homme plus jeune et plus musclé que le Baron est assis dans le fauteuil. Sans aucun doute il s'agit de Gustave, le "neveu" du Père Frappard. Les spectateurs le voient de trois-quarts arrière. Son short brillant de joggeur découvre des cuisses bronzées, ce que l'on n'attend pas d'un curé défroqué. Son maillot de corps grisâtre de poussière et de sueur découvre des bras tout aussi musclés. On entend le Boléro de Ravel.

À la deuxième variation, une femme entre sur la scène et danse lascivement, enveloppée d'un burkha noir comme en portent les afghanes. Son visage est complètement masqué. Une sorte de grillage lui permet de respirer et de voir où elle va.

Le burkha est fendu par devant et elle l'ouvre fugitivement, juste assez pour que l'on voit que dessous elle est nue. A chaque variation, elle montre un peu plus de son corps. À un petit tatouage sur le ventre, le spectateur attentif peut reconnaître Augustine, dont on n'imaginait pas les talents chorégraphiques.

Les variations du Boléro s'enchaînent. Chacune apporte une touche instrumentale supplémentaire et Augustine montre un peu plus ses charmes. L'éclairage change légèrement à chaque reprise.

On devine que l'homme se masturbe. La danseuse s'en approche, lui frôle le visage de ses tétons, et la cuisse de ses jolis mollets charnus. Elle se penche pour lui montrer un (trop) court instant sa chatte et ses fesses. Elle monte de temps en temps sur une table basse devant le fauteuil, elle s'y vautre les jambes en l'air, commence à se caresser mais s'interrompt et repart danser. Elle utilise cette table comme support pour ses contorsions érotiques.

Le Père Frappard, dans un coin de la scène caresse les fesses de Teresa. Elle le caresse tellement bien que sa queue est suffisamment rigide pour tenir relevée sa soutane. D'un autre angle de la scène, le Baron regarde hautain et distant. Son membre émerge de sa robe de chambre. Dans l'angle opposé, la Baronne se caresse, seule et triste.

Lorsqu' éclate l'avant-dernière variation en mi majeur, soit deux tons plus haut que les autres, la scène s'éclaire au maximum et le "neveu", soudain guéri de sa timidité, se précipite sur Augustine qui lui offre son cul, l'enfile en levrette et la pistonne pour asperger ses fesses et son dos d'un grand jet de foutre.

Adresse finale aux spectateurs

Les actrices et les acteurs saluent.

Pere Frappard : Notre pièce est terminée. Nous espérons qu'elle vous bien plu et qu'elle vous a bien excités. Mais pour trois d'entre vous, ce n'est pas fini. Regardez bien les numéros de vos billets d'entrée. Augustine de sa main innocente, va tirer trois numéros parmi les vôtres. Les gagnantes et les gagnants bénéficieront des langues habiles et voluptueuses de Teresa, d'Augustine et de Madame la Baronne, sous les yeux pleins d'envie de tous les autres. Revenez souvent nous voir. La chance vous sourira forcément.

Note aux théâtreux : L'auteur, Alain Valcour ne prétend à aucun droit d'auteur et offre gratuitement Augustine à qui voudra la monter.

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
Lecteur9Lecteur9il y a plus de 16 ans
Rafraichissant

Merci pour ce texte qui bien que n'entrant pas dans ma catégorie "préférée" m'a été très agréable à lire.

Autant sur le fond que sur la forme. Après évidement, vous ne plairez pas à tous. Surtout ici.

Encore une fois merci.

maitrepapyjomaitrepapyjoil y a plus de 16 ans
bof

pas terrible du tout , ça ne vaut pas les histoires de coubylaca , c'est est loin

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Sex Toy Taste Testing Woman makes her boyfriend try out all her new sex toys on her.
A Deep Dark Secret Ch. 01 Abigail learns my secret fetish.
The Sister There was a little problem at the party.
Adult Corn Maze Only! Katrina makes her way through a provocative corn maze.
Arianna's Navel Play A man has bound her, how will he play with her navel?
Plus d'histoires