Au Nom Du Père 02

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la machiavélique Esther tombe à son tour.
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Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 10/23/2021
Créé 07/16/2011
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Translated from Literotica US, by the author AStropirate, story's name In The Name Of The Father 01, with the agreement of the author.

Traduit de Literotica US, par l'auteur AStropirate, histoire au nom de In The Name Of The Father 01, avec l'accord de l'auteur.

Scène 02 : Esther Ellingham

Le lendemain, Esther Ellingham sortait de son vehicule et s'apprêtait à rentrer dans ses appartements privés quand elle fut approchée par Marie, la jeune bonne polonaise de David Ellingham.

"Excusez-moi, Madame Ellingham, mais Monsieur Ellingham Senior requière votre présence dans son bureau."

Esther était perplexe. Elle s'était absentée à Londres et n'avait été, jusque là pas au courant de ce qui était arrivée à Julia. Elle frappa à la porte du cabinet, ne sachant pas à quoi s'attendre. La porte fût alors ouverte par David lui-même.

"Vous vouliez me voir Monsieur Ellingham?" Tout comme Julia, elle n'avait pas le droit de s'adresser à lui d'aucune autre manière que ce soit.

Il y eu un silence momentané alors que David étudiait sa belle-file immobile. Plus petite que Julia, elle semblait faire un mètre soixante sept, avec des cheveux sombre bouclé lui retombant le long de ses épaules, une ample poitrine et de longue et fine jambes. Contrairement à Julia, elle portait un jean et un pull à col roulé, mais l'ampleur de ses seins restait évidente.

"Oui, en effet, enfin, c'est surtout cette paire de sein que je souhaite voir."

Après avoir récupérée du choc initial, Esther réagit.

"Vous avez perdu l'esprit ou quoi? Allez au diable!" et elle se retourna vers la porte.

Elle était bien plus énergique que Julia, mais rien ne pouvait la préparer à la réponse de son beau-père.

"Vas donc faire tes valises, et casse toi de ma maison, avec ton merdeux de mari."

"Vous nous mettriez à la porte? Votre propre fils également?"

"Laisse moi mettre les choses au clair. Tu t'est mariée avec lui afin de mettre la main sur ma fortune."

Esther allait rétorquer mais il l'en empêcha.

"Ne t'embêtes pas à le nier, et évite de me balancer toute ces conneries sur l'amour. Si tu veux vraiment une partie de ma fortune tu ferait bien de commencer à le mériter. La lune de miel est terminée poussin. C'est à toi de voir. Une vie confortable avec mes règles sur le dos, où une vie de gouttière, sans un sou. Qu'est ce que tu choisie, hein?"

Pour Esther, les secondes de silence qui passèrent semblèrent durer des heures alors qu'elle tentait en vain de trouver un échappatoire. Elle était confuse. Elle pensait l'avoir jouée fine en se mariant avec Paul, avec tout son pognon. Elle réalisait à présent, mais trop tard, qu'elle avait sérieusement sous-estimé David Ellingham. Ses pensées furent brisé par David qui lui demanda quel serait sa réponse.

Sans un mot, Esther souleva son pull le long de ses épaules,, révélant son soutien gorge en dentelle fine blanc, et ses seins qui pressaient le tissu pour s'échapper de leurs prison, pour le faire tomber au sol. Son soutien gorge suivit la même destinée et ses mamelons se dressèrent instantanément.

"Je pensais bien que tu comprendrais mon point de vue."

Dit-il en souriant, tout en tâtonnant ses melons énormes. Esther ferma les yeux avec dégoût. Elle ne pouvait pas comprendre ses réactions. Elle avait déjà laissée des hommes plus vieux que lui lui toucher les seins dans l'espoir de faire fortune, mais pour une raison quelconque, qu'elle ne pouvais expliquer, c'était maintenant que cela l'humiliait. C'était bien la première fois.

Soudainement Esther senti ses seins être léchés puis aspirés. Le picotement lui donnait envie de gémir, mais elle réussi à résister à la tentation. Cependant, lorsque sa main se glissa contre sa chatte, après avoir dé zippé son jean, et tandis qu'il la massait à travers sa culotte, sa résistance s'effondra, et elle gémit bruyamment.

"Oohhh mon Dieu..." répétait elle honteusement.

Esther se noyait dans son plaisir alors que la langue de son beau père glissait le long de sa taille. Lorsque son jean et sa culotte glissèrent à ses genoux, elle ne pouvait, ni ne désirait résister. Ses mains saisirent fermement ses fesses désormais nues alors que sa langue pénétra les lèvres de son minou, excitant son petit clitoris.

"Aaaargh..." fut tout ce qu'elle put exprimer. l'activité de cette langue la trempait.

Cela s'arrêtait brusquement et la jeune femme revint à la réalité. Lorsqu'elle ouvrit a nouveau les yeux, elle pouvait voir David debout, devant elle, souriant.

"Tu sent très bon mon bébé, et tu est une sacrée cochonne. j'ai hâte de coucher avec toi."

"Mais Monsieur Ellingham, et votre fils!"

"Je l'emmerde. Ce n'est qu'une mauviette. Si il veut sa part de l'héritage, il acceptera mes nouvelles règles. Et toi aussi. Viens dans ma chambre à 10 heures, vêtu de tes plus attrayants dessous. Sort, maintenant."

Tout comme Julia avant elle, Esther sortait sans un mot, mais très humiliée et en colère, et le pire dans tout cela, c'est qu'elle réalisait qu'elle n'était pas si habile qu'elle le pensait, et qu'elle venait de tomber sur un être bien plus machiavélique qu'elle.

* * * * *

Plus tard ce soir-là, la porte du bureau de David Ellingham fut ouverte avec fracas, et Paul et John entrèrent, vivement en colère.

"Je ne vous ai pas appris à vous comporter de la sorte, tout les deux." Déclara David avec un sourire.

Il était pleinement conscient de ce qu'il s'agissait.

"Vous ne vous en tirerez pas ainsi, espèce de salopard!!" explosa John. "Vous avez violé ma femme!"

"Violée? Je l'ai baisée comme une chienne, et elle y était très disposée. Elle a même pris son pied. Tout ce qu'elle a fait c'était de régler le paiement de son loyer quotidien. "

John tendit la main, sur le point de frapper son père.

"Vas-y donc. Mais avant, je te conseille de réfléchir à une chose. Est tu prêt à passer une vie dans la merde? Sans argent à ton nom? Parce que c'est ce qui t'arrivera. Vous avez eu la vie facile jusqu'à présent, mais sa suffit. Il est grand temps que vous payez votre mode de vie, et je pense que les corps féminins de vos compagnes feront l'affaire."

John rougie de colère. il frappa le siège en face de lui violemment et sortit, son frère sur ses talons. David Ellingham ri triomphalement.

Dehors, alors qu'ils l'entendaient encore rire, John se tourna vers Paul.

"Il doit y avoir quelque chose à faire. C'est obligé!"

Paul secoua la tête.

"J'en doute fort. C'est un salaud sournois, et avec son argent, il peut tout acheter. Peut être que notre avocat trouvera quelque chose."

* * * * *

Plus tard cette nuit-là. David Ellingham s'était retiré dans sa chambre. Il était assis dans son fauteuil vêtu de son pyjama de soie, et sa robe de chambre, attendant l'arrivée de son esclave sexuelle.

Lorsque l'on frappa à la porte, il ouvrit, acceuii par la jeune Esther, dans une nuisette transparente, dévoilant à travers son soutien gorge en dentelle rouge, assortie à sa culotte. Cette simple vue excita vivement David, qui l'invitait à entrer.

Il pris place sur son lit et, sans un mot, lui fit un geste évidant, l'invitant à se dévêtir. Elle fit tomber sa robe au sol et pendant un instant, se tint dans son ensemble rouge.

"Le reste."

Obéissante, mais avec quelques réticences, Esther défit son soutien gorge, libérant sa poitrine imposante et ferme, puis fit glisser sa culotte par terre, faisant un pas pour la retirer. Elle rougit, se sentant nue devant son beau-père, et tenta de courvir ses atouts.

"Très drôle. Tu n'a rien que je n'ai déjà vu, tu sais. Allonge toi sur le lit."

Ce que fit a nouveau docilement Esther, et David pris soin immédiatement de lui caresser les seins. Il leur portait des attentions digne d'un masseur professoinnel. Puis il glissa ses paumes à sa chatte et, écartant ses lèvres intimes humides, sa langue descendit pour s'y glisser et se concentrer sur son clitoris sensible, pour sa grande excitation. Esther ne pouvait guère retenir son premier gémissement, qui lui échappa.

Son corps se mit à trembler. David avait peut être deux fois son âge, mais il savait exactement ce qu'il faisait, et ses douces caresses commençaient à la rendre folle.

"Oh putain, ohhh oui...." gémissait elle, encore et encore.

A présent, il pouvait sentir qu'elle était prête, et il fit glisser son énorme bitte entre ses lèvres intimes. Son martèlement systématique a été lent au début, mais s'accélérait progressivement. Le corps d'Esther aussi, commençait à réagir et après un court instant, les deux corps se synchronisait. Leurs rencontre physique mélangeait leurs sueurs, leurs gémissements augmentant, criant de plaisir lorsqu'ils jouirent de concert.

"Oh putain OUI!!"

"Tu est un aussi bon coup que ta belle-soeur."

Esther en fut horrifiée. "Vous avez baisée Julia?"

"J'ai l'intention de vous baisez toute deux sur une base régulière. C'est à prendre ou à laisser."

David monta à nouveau sa belle-fille et commençait à embrasser et aspirer la peau de son cou, puis ses épaules et finalement sa bouche engouffra ses mamelons, les léchant, les suçant et les mordillant à intervalles réguliers. Ces sensations excitaient Esther et elle gémit intensément à cet agréable contact, qui en soi, la prit complètement par surprise. Il voyageait à présent jusqu'à sa mince taille avec un effet semblable.

"Ton corps sent tellement bon." Déclara David avec enthousiasme.

Il passa alors son bar autour d'elle et se blotti contre la douceur de son corps.

"Dort bien mon poussin. Bonne nuit."

Elle mit plus de temps à s'endormir. Tout comme Julia avant elle, la pensée que toute deux n'étaient désormais guère plus que des esclaves la troublait. Mais finalement, sa fatigue la submergea.

* * * * *

Lorsque Esther se réveilla, elle réalisait qu'elle était seule dans le lit. Elle regarda autour d'elle et trouva son beau-père assis dans le fauteuil, vêtu d'un peignoir et souriant méchamment.

Surprise, elle s'empressa de se couvrir.

"Quel heure est il?"

"Sept heures et demie." répondit il.

La jeune fille se leva, couvrant son corps d'un drap.

"J'ai besoin de prendre une douche."

David lui indiqua sa salle de bain personnel.

"Bien sur. Marie va t'aider. Marie!" Appela il.

Marie entra "Vous avez appelé, Monsieur Ellingham?

"Madame désire se doucher. Assiste la."

"Oui, Monsieur."

"Je suis capable de me doucher toute seule."

"Oh, mais j'insiste" répliqua David, sarcastique.

Esther se dirigea vers la douche et fit couler l'eau. Lorsqu'elle décida que l'eau était à la bonne température, elle laissa tomber le drap de son corps et entra sous la douche. Alors que le torride jet d'eau chaude l'envahit, elle commença à se savonner elle même. Tournant le dos à Marie, Esther ne la vis pas faire glisser son uniforme au sol, révélant ses jeunes formes.

Esther fut surprise par les douces mains de la jeune femme touchèrent ses épaules nues. Marie la retourna et l'embrassa passionnément, au milieu de l'eau qui dévalait leurs corps.

Esther était sur le point de s'écarter pour protester lorsque, du coin de l'oeil, elle aperçu David Ellingham se caressant. Il avait clairement prévu cela et Esther savait que si elle résistait, elle pouvait dire adieu à ses rêves de fortune.

Marie commença à embrasser son cou, son épaule, pour atteindre sa poitrine, qu'elle commença à lécher et sucer, avec délectation. Esther n'avait jamais été avec une femme avant et la douceur du toucher de cette fille l'excitait beaucoup. En effet, elle gémit doucement en réponse à ses gestes.

Marie s'est insinuée alors à sa taille et finalement s'agenouilla avec la même douceur amoureuse, poussait sa langue contre la chatte de Esther. La sensation de la langue de la bonne assaillant son clitoris rendait folle Esther.

"Oh! Mon Dieu.. Bon sang..."

Ses soupirs d'extase trahissaient son excitation et son plaisir. elle jouit alors, poussant un profond soupir de soulagement saphique.

Comme elle essayait de reprendre son souffle, elle fut mise à genoux par Marie, et du faire face à sa jeune chatte rasée. Il ne pouvait y avoir de méprise sur ce qu'elle voulée et Esther, assujetti, glissa doucement sa langue vers l'intimité de cette jeune femme, se concentrant sur son petit bouton, envoyant Marie planer dans une euphorie sauvage de luxure. Elle aussi jouit rapidement. Elle aussi jouit bruyamment, dans un profond soupir comparable.

Les deux femmes étaient tellement perdues dans leurs plaisirs communs qu'elles avaient oubliées leur auditoire. Elles retombèrent sur terre par les applaudissements de David.

"Bravo les filles. Un spectacle ravissant. Merci beaucoup, Marie. "

La jeune polonaise sourie et s'enveloppa d'une serviette, quittant la salle de bain.

David apprécia du regard le corps nue de sa belle-fille.

"D'accord. Voici le topo. Je vais te baiser quand je voudrais. Tu portera des jupes, ou des robes, et uniquement des dessous très érotiques. Fait tout ce que je te dirais et je m'engage à ce que toi et ton vaurien de mari receviez ce que vous méritez. C'est entendu?"

Elle opina de la tête.

"Parfait. Sort maintenant. J'ai une journée chargée qui m'attend.

* * * * *

Ce fut environ une heure plus tard qu'il observa de la fenêtre de sa chambre, situé au plus haut étage de son manoir que David espionnait ses deux fils s'apprêtant à partir au boulot. Tout deux levèrent les yeux vers leurs père avec un air renfrogné. David croisa simplement les bras et ri.

"Non mes gars, il n'y a rien à faire. C'est à prendre ou à laisser" Pensait il, souriant.

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