Au Fond d’un Parking

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Le rêve d'une épouse aventureuse.
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Rainett
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Je suis tellement énervée et honteuse! Je suis tellement énervée que je pourrais hurler, et je donnerais n'importe quoi pour renouveler le moment que je viens de vivre. Tant pis, je dois rassembler mes esprits avant de rentrer à la maison.

Mais putain, quelle soirée! Rachid était totalement différent de ce que j'imaginais. Nous avions planifié un jeu de rôle et nous avions prévu d'aller jusqu'au bout, mais merde, il a vraiment bien assuré son rôle, et son personnage était beaucoup plus inquiétant que prévu. Et grossier! Et ce petit baiseur m'a mise en danger! Il n'y a pas d'excuse pour ça. Merde! Mais putain que c'était intense.

Pourquoi ne l'ai-je pas vu venir? Nous nous sommes rencontrés sur un réseau social spécialisé où j'ai mes habitudes. Le courant passait bien et nous avons décidé de nous offrir une fantaisie. C'est un jeune étudiant qui souhaitait vivre une expérience érotique avec une femme mariée. J'aime m'envoyer en l'air, même si je suis mariée, j'aime la baise.

Et j'aime le risque pour les émotions que cela me procure. Je voulais refaire l'expérience de baise dans un parking du centre-ville. Je l'avais déjà fait avec un autre partenaire, j'avais adoré, et je voulais le recommencer avec un scénario un peu différent. Simple. Voilà ce qui s'est passé.

Je suis arrivée au parking souterrain juste à temps. Une décharge ce parking. Déguisée en pute pas chère. Je ne suis pas farouche, mais je ne crânais pas en exposant mes atouts dans cette mini-robe noire très décolletée devant et derrière. Je portais des bottes à talon-aiguilles montantes au-dessus du genou. Mes cheveux tirés en arrière en chignon, maquillée comme une voiture volée, pas de sous-vêtements, je pouvais concurrencer une star du porno!

Merde, j'étais parfaite dans le rôle! J'ai fait ce qu'il voulait, c'est lui qui l'avait demandé!

Nous nous sommes retrouvés devant la porte principale comme convenu. Je l'ai trouvé très bien. Il n'avait pas l'air d'un étudiant, il semblait presque naturel, habillé en petit gangster local, genre mac de banlieue. Méconnaissable.

J'ai été impressionnée par le fait qu'il ait minimisé sa musculature dans nos échanges, les costauds me font mouiller!

Et mon étalon a joué son rôle comme un champion, il n'a jamais brisé le personnage.

"Vous ne semblez pas à votre place, ici" dit-il, le regard sombre.

"Eh bien, je ne vais pas m'attarder ici longtemps" et je lui offrais mon plus beau sourire.

"En fait, tu es venue ici pour le tapin" répondit-il.

"Je suppose que c'est ce que je suis, pour trouver un bon client," je ricanais. "Ma voiture est là-bas"

"Je te suis," gronda-t-il, "mais je ne paye pour ça." Ce commentaire m'a fait mal.

J'aurais dû alors me rendre compte qu'il poussait son rôle un peu plus loin que je l'aurais souhaité. Pourtant, tout se passait comme prévu et cela faisait des jours que j'attendais ça, alors j'ai continué le jeu. Les choses ne se sont pas améliorées lorsque nous sommes arrivés à mon 4x4.

J'avais reculé dans un espace isolé et peu éclairé. Il m'a dit d'ouvrir le coffre et de m'asseoir sur le pare-chocs. C'est ce que j'ai fait, et il m'a regardé comme un chien regarde un morceau de viande.

"Sale pute, t'es bonne!" dit-il. Même avec l'insulte, son compliment m'a fait sourire.

"Je t'explique comment ça va se passer. D'abord, tu vas me sucer, et ensuite je vais te baiser. Pigé?"

"Hé!" j'ai voulu me plaindre, mais il a levé la main pour que je me tienne tranquille.

"Et je ne veux pas t'entendre. Tu fais ce que je te dis. Et t'as intérêt à être mouillée quand je serai prêt" ordonna-t-il.

Quel connard! Jusqu'où allait-il aller? Il a de la chance que ce ne soit pas mon premier rodéo. Je peux supporter beaucoup d'insultes, mais Rachid poussait son personnage vraiment loin.

Et c'est ce que ce petit branleur a fait! Il a pris mes cheveux blonds dans sa main sombre et a approché mon visage de son entrejambe. "Occupe-toi de ma bite, poulette!"

J'étais suffisamment excitée pour m'occuper de Monsieur Rachid! J'ai défait le ceinturon et la braguette de son jean large et ridicule, et je l'ai tiré vers le bas. J'étais très contente de constater qu'il ne s'était pas vanté au sujet de la taille de son membre. Ce n'était sûrement pas un sexe moyen, il était plus long et plus épais que la norme, et je m'y connais! Mais je n'ai pas pu le contempler longtemps, il a aussitôt amené ma bouche dessus.

Mon étalon ne m'a même pas embrassé! Sérieux, quel connard! Mais j'ai aimé la sensation qu'il m'a procuré dans ma bouche distendue, et j'ai été très excitée par son jeu.

"Ça y est, salope, c'est rentré! Hé ... J'aime bien ton alliance sur ma bite. Tu es une pute mariée. Tu aimes les bites exotiques?"

La bouche pleine, j'ai secoué la tête pour acquiescer. Sérieux, pourquoi allait-il aussi loin? Je veux dire, nous savions tous les deux comment cela allait se terminer. À part son attitude, c'était exactement ce que nous avions prévu.

C'était excitant, sa queue était spectaculaire, et j'entrais dans son jeu, mouillée comme une radasse. Je devais faire attention à ma bouche à cause de l'épaisseur de son membre, mais il commençait à être très excité par les attentions que lui prodiguaient ma bouche et mes mains.

J'étais un peu déçue quand il se retira, mais il ne laissa aucun doute sur ses intentions.

"T'as intérêt à être prête, salope, parce que je vais te baiser maintenant."

"Je suis prête, bébé! S'il te plaît, mets un préservatif!"

"Je t'emmerde! Les salopes, je les baise à cru! C'est comme ça qu'elles jouissent, ces chiennes! Si t'es une bonne fille, je te laisserai avaler mon foutre quand j'aurai fini."

Non mais quel connard! Nous avions convenu de rapports sexuels protégés! Mais il a tiré mes hanches vers lui et a promené sa bite le long de ma chatte.

"Putain de salope, t'es trempée, tu as besoin d'une grosse bite!" se moquait-il.

Il avait raison et je n'avais jamais été autant excitée qu'en ce moment, ce jeune prédateur me faisait fondre. Son énorme queue poussait en moi. J'ai adoré cette émotion, ce sentiment d'être prise, possédée, et remplie par ce jeune mâle dominant.

"Putain, t'es serrée. Ton mari a un petit zizi blanc?" il riait, fier de sa connerie.

"Trou du cul!" J'ai pensé, mais j'ai juste acquiescé: "Oui, chéri!"

Je suis venue la première fois avant même qu'il soit entré totalement. Ça l'a fait rire. Ça m'a énervée, mais pas au point de lui demander de s'arrêter. J'avais besoin de lui. Besoin de sa bite. Besoin d'être prise, défoncée, humiliée au fond d'un parking crasseux.

Il pouvait faire tout ce qu'il voulait de moi, du moment qu'il continuait de fourrer son énorme bâton de viande au fond de ma vulve. Quand il a réussi à rentrer complètement en moi, il m'a ordonné d'enrouler mes jambes autour de sa taille et mes bras autour de ses épaules. J'ai fait ce qu'il a voulu. Je n'avais plus de volonté, plus de contrôle, juste une femelle baisée à fond par un jeune mâle viril.

Il m'a extirpée de la voiture, s'est retourné et m'a plaquée contre le mur. Je pouvais sentir le mur crasseux déchirer ma robe et griffer mon dos nu, tandis que sa queue défonçait ma chatte. J'avais mal partout, mais mes reins en feu auraient voulu que cela ne se termine jamais. Ses pénétrations étaient longues et puissantes, agressives.

Il me baisait fort en heurtant le fond de ma vulve. J'ai adoré. Chaque coup de boutoir. J'avais besoin de ça. D'être prise comme une salope. C'était ce que j'étais venue chercher. J'ai joui encore et encore et encore. Mais il s'en fichait.

Tout à son plaisir, il ne s'occupait pas de moi, de mes sentiments, de mes états d'âme. Il m'a baisée sans se préoccuper de moi. Son rythme était stable. Ses mains cramponnaient fermement mon cul. J'ai eu toute une série d'orgasmes à répétition pendant qu'il prenait mon corps. Pendant qu'il me possédait.

Puis son rythme s'accéléra, j'avais l'impression que son sexe remontait jusque dans ma gorge et je le sentis durcir encore, ses mouvements devinrent saccadés, il se bloqua au fond de moi, éjaculant son sperme par saccades, provocant un ultime et merveilleux orgasme à travers mon corps.

Quel enfoiré! "Tu avais dit que tu te retirerais!" murmurai-je, lascive et amoureuse dans ses bras puissants.

"Tu n'es pas une pute, n'est-ce pas?" dit-il en me reposant sur le pare-chocs. "C'est bon, ne t'inquiète pas, il en reste. Allez, viens me sucer, salope!"

Docile, je me suis laissée faire, il a empoigné les restes de mon chignon pour pousser ma bouche sur sa queue. J'ai ouvert la bouche pour avaler son membre mollissant. Je suçais sa bite pleine de sperme et je m'enivrais du parfum musqué de son entrejambe.

"T'aimes ça, hein?" il riait. "Nettoie bien! Lèche mes bourses! Tu as besoin de plus? Pas de problème. Ta jolie chatte dégueule de foutre! Récupère-le sur tes doigts et lèche-le!".

Et je l'ai fait, j'ai léché mes doigts. Honteuse et excitée en même temps.

"Maintenant, bouge ton cul de salope et casse-toi avant que j'appelle mes potes pour faire une tournante avec ton cul."

Je l'en ai cru capable, alors j'ai démarré la voiture et je suis partie. Furieuse et ravie. Et c'est là où j'en suis maintenant.

Le dos griffé, la robe en lambeau, la chatte détériorée, les cuisses collantes, humiliée et brisée. Je rentre chez moi après la soirée la plus stimulante et la plus épanouie sur le plan sexuel de ma vie, les reins en feu, la tête dans les nuages.

Le risque était inacceptable. Inacceptable. Cela ne doit plus jamais m'arriver. Le jeu de rôle était excitant, son pouvoir sexuel exceptionnel, un baiseur incroyable. Peut-être a-t-il perdu son contrôle?

Si c'est le cas, car moi aussi je me suis laissée emportée par mes sens, nous pourrions nous revoir. J'ai décidé que, oui, nous devrions probablement nous revoir, mais sans le jeu de rôle.

J'ai encore envie de cette bite merveilleuse; de ces sensations incroyables; des sentiments qu'elle me procure. Mais plus de jeu de rôle avec Rachid. Avec lui, ces jeux ne sont pas nécessaires. Son énorme mandrin me suffit.

Soupir ... Je me sens un peu mieux.

Rentrer dans la maison a été plus facile que prévu, la douche a apaisé mon corps endolori et un verre d'alcool a calmé mon émoi. Avant de me coucher, je suis allée envoyer un courriel à Rachid pour lui dire à quel point la soirée avait été merveilleuse, exceptionnelle, inattendue, mais il m'avait battu d'une longueur en m'envoyant un message.

Son mail était bref: "Où étais-tu passée ce soir, et pourquoi n'es-tu pas venue, Jeannette?" c'était tout ce qu'il m'a dit.

Merde, fais chier!

Rainett
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