Aquitania 02 - Fierebrace

Informations sur Récit
La Geste des Ducs d'Aquitaine.
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Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 03/15/2021
Créé 03/16/2015
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En ce matin brumeux de l'an de grâce 955 , les quatre gardes peinèrent à hisser le palanquin d'Erik de Maupertuis en haut de la rampe de terre qui menait au sommet du mur de fortification. A près de soixante-trois ans, le vieux guerrier n'était presque plus capable de se déplacer seul tant la terrible maladie qui s'attaquait aux jointures des os avait déformé ses membres et transformait le moindre mouvement en un calvaire.

Ils rejoignirent enfin l'aréopage qui surveillait la plaine qui s'étendait sous les murs de Poitiers. Ces murs étaient d'ailleurs une des fiertés du Connétable du Poitou. Après moultes discussions avec Guillaume l'Aîné et ce vieux grigou de Jaufré de Ventadour, il avait réussi à les convaincre qu'une ville bien défendue par de coûteuses murailles serait toujours plus prospère qu'une cité vaguement entourée de levées de terre.

« Pourquoi croyez-vous que mes ancêtres Vikings ont pillé si facilement les villes côtières et même Paris? Une levée de terre, cela s'escalade au trot ; une palissade, cela se brûle! Rien ne vaut une solide muraille de pierre! »

Le mur d'enceinte n'avait pu être terminé partout mais au moins, les portions les plus faibles étaient entourées de solides tours d'où les défenseurs contrôlaient les alentours.

Guillaume 'Tête d'Etoupe' , Comte de Poitou, de Limousin et d'Auvergne et prétendant éternel au Duché d'Aquitaine, le salua avec déférence.

« Erik mon ami! Merci de t'être déplacé. J'espère que les frimas de janvier ne t'accablent point trop? »

« Moins que les soldats d'Hugues ou les mercenaires de Lothaire! Au moins j'ai pu m'emmitoufler tandis que ces manants n'ont même pas pu récupérer nos moutons pour se protéger du froid! »

Après vingt années de lutte contre les Comtes de Toulouse, les Rois de Francie et maintenant les Robertiens, les Ramnulfides avaient appris à se préparer face à toute incursion de troupe ennemie. L'armée qui assiégeait Poitiers s'était retrouvée dans une contrée désertée de tous ses habitants et de leurs troupeaux qui avaient fui vers le sud en emmenant le contenu de leurs greniers.

« Une armée qui grelotte le ventre vide et la verge au sec ne tiendra pas longtemps! » conclut le vieil homme. « Ils sont arrivés il y a presqu'un mois, au début de janvier ; beaucoup ne verront pas l'équinoxe -- si tant est qu'ils tiennent jusque là! »

« Nos jeunes gens me pressent cependant d'organiser une sortie pour en découdre avec nos adversaires! » répondit le Comte-Duc

« Foutaises et billevesées » trancha le Connétable. Attendons le printemps bien à l'abri. Vos alliés de Bretagne et de Normandie nous rejoindrons alors et nous serons en nombre pour occire les envahisseurs! »

« Grand-Père » intervint Erik-le-Jeune « Nous avons l'armée la mieux entraînée de Francie Occidentale! »

Le Connétable regarda son petit-fils avec un mélange d'affection et d'impatience. Quel dommage que son fils Harald soit mort aussi jeune. L'absence d'un père et ses propres expéditions guerrières n'avaient pas permis au garçon d'acquérir auprès d'un guerrier adulte la discipline qui seyait à tout homme d'armes de haut rang.

Il devait bien admettre que les premières années du garçon avaient été chaotiques . Son jeune jouvenceau de père, avait forniqué, bien avant son Initiation aux Mystères de l'Amour, avec la pucelle Bernardine, l'héritière de feu le Vicomte de Poitiers qui s'était rapidement retrouvée grosse. Les Vrais-Croyants ne lui en avaient pas tenu rigueur mais pour étouffer le scandale auprès de la communauté papiste, il avait fallu les marier en urgence.

Quatre ans plus tard, Harald avait été tué lors d'une escarmouche contre les Toulousains. Le Connétable, veuf lui-même de sa merveilleuse Isabella, avait alors recueilli la mère et l'enfant avant de l'épouser devant le Dieu d'Amour.

Il soupira en repensant à ces quelques années de folle passion charnelle où une chevauchée contre les ennemis de Guillaume succédait à la chevauchée de la tendre Bernardine et vice-versa à son retour. Ils avaient eu deux enfants, hélas morts en bas-âge, avant que la maladie des os ne le cloue à son palanquin.

Bernardine lui resta cependant fort attachée malgré son infirmité. Et même s'il savait qu'elle se consolait régulièrement dans les bras du Berger de Poitiers, elle ne manquait jamais de lui proposer sa bouche pour soulager son Priape sans mettre à mal son ossature tourmentée.

« Et je suppose » continua t'il en s'adressant à l'autre jeune homme qui le regardait aux côtés de Tête d'Etoupe « que tu es d'accord avec lui , Fierebrace? »

S'il n'avait hérité de la chevelure noire de son grand-père Ebles, Guillaume 'Fierebrace' , fils de Guillaume 'Tête d'Etoupe' aurait pu passer pour un Ragnarsen avec sa haute stature et sa musculature d'Hercules. Contrairement à ce que les papistes et les Francs croyaient, son surnom ne venait cependant pas de la puissance de ses bras mais lui avait été donné par l'Assemblée des Vrais-Croyants suite à son Initiation deux ans auparavant au cours de laquelle il avait dévoilé la plus monumentale verge depuis celle du Dieu d'Amour lui-même. Son troisième bras lui avait donc valu le surnom de 'Fierebrace'.

Depuis lors, son succès auprès des Vraies-Croyantes d'Aquitaine ne s'était jamais démenti et il n'était pas rare que le Castel Comtal ne résonne des cris de pâmoison d'une dame ou damoiselle en tain de défaillir sous le pal monstrueux de Fierebrace.

On racontait d'ailleurs que sa propre mère, Gerloc, fille de Rollon de Normandie, convertie sur le tard au Culte du Dieu d'Amour, avait tâté du Priape de sa progéniture mais Erik avait des doutes . Même les Vrais-Croyants se laissaient parfois aller à la médisance.

« Nos hommes s'impatientent Erik » lui répondit Fierebrace « Il leur tarde d'en découdre et de prouver leur valeur »

« J'ai l'impression d'entendre le Vieil Ebles » soupira le Connétable « Rompu à toutes les intrigues mais le plus désastreux des généraux sur le champ de bataille! Pourquoi se hâter vers la défaite alors que nous pouvons attendre la victoire à l'abri de nos murs? »

Erik-le-Jeune maugréa entre ses dents et il emmena Guillaume Fierebrace loin de leurs aînés.

« Allons réveiller la Bergère et ses acolytes. » proposa t'il à son ami. « Il paraît qu'elle vient d'initier une jeune donzelle qui échaufferait les sangs de grand-père lui-même! »

Ils se rendirent à l'Abbaye Saint-Cyprien qui abritait le temple secret du Culte et se firent annoncer.

La Bergère qui venait de terminer ses ablutions matinales vint les accueillir vêtue d'une chaude pelisse qui couvrait entièrement son corps.

« Ah Messires Guillaume et Erik! Vous êtes bien matinaux! Venez-vous réchauffer nos couches après cette froide nuit? »

« C'est bien notre intention , Bergère! Surtout si la rumeur se confirme de l'arrivée d'une nouvelle sœur fraîchement initiée »

« C'est bien exact Messire Guillaume mais elle vient à peine d'être déflorée par notre Berger et son conin trop étroit ne pourra pas accueillir votre Priape géant. »

« A moins qu'Erik ne me serve de boute-en-train? »

« Je me fais fort de la rendre tout-à-fait accueillante à notre sire Guillaume, Bergère! »

« Soit, connaissant les qualités d'amant d'Erik, nous pouvons tenter l'aventure mais j'espère que dans l'entretemps, vous voudrez bien monter votre vieille Bergère , messire Guillaume! A mon âge et après trois enfants, seul votre Pal quasi divin peut encore m'émouvoir .. »

« Ce ne sera point me forcer, belle Bergère, vos mamelles ont toujours fait des miracles sur mon Priape! »

Elle les conduisit vers le dortoir qu'elle partageait avec les Sœurs-Bergères et se dirigea tout de suite vers le grand lit le plus proche de l'âtre tandis qu'elle désignait à Erik la couche la plus éloignée de la source de chaleur.

« Voilà Arminia, sois doux avec elle Erik, elle est encore si jeune »

« Est-elle destinée à l'enfantement? »

« Non, pas encore. Tu devras te retirer à temps! »

« A moins que je ne prenne son postère ou qu'elle m'accueille dans sa bouche? »

« Elle est vierge des deux côtés, Erik! Ce sera à toi de l'initier .. »

« Palsambleu ... voilà qui m'é les gonades! Je vais en avoir pour le journée à lui faire découvrir les plaisirs secrets du Dieu d'Amour! »

Il s'éloigna prestement vers la couche de la jeune Sœur-Bergère tandis que la Bergère emmenait Guillaume vers son lit. Ils se déshabillèrent devant l'âtre sous l'œil intéressé voire égrillard des autres Sœurs -- du moins celles qui s'étaient réveillées seules. La plupart connaissaient déjà le phénoménal Priape de l'Héritier et en avaient déjà tâté mais ne perdaient jamais une occasion de l'admirer une fois de plus.

Malicieuse, la Bergère Supérieure commença par lui enlever sa cape et sa chemise avant de s'occuper de ses bottes de cavalerie. Elle attendit la dernière minute pour baisser les braies du jeune homme, dévoilant le Priape dans toute sa splendeur.

Le Sœurs regroupées autour du lit poussèrent des « Oh » et des « Ah » d'admiration et d'envie et la Bergère le fit tourner sur lui-même pour que toutes profitent de la vue de la verge géante sous tous ses angles. Puis elle fit glisser la pelisse dans laquelle elle s'était emmitouflée pour ses ablutions, dévoilant son corps plein de femme mûre.

Guillaume constata avec plaisir qu'elle allaitait ou qu'elle venait à peine d'arrêter d'allaiter car ses mamelles étaient bien pleines, compensant un peu la désillusion de son ventre replet qui appelait peu à la fornication. Il s'étendit de tout son long sur le lit et lui tendit la main pour qu'elle le rejoigne. En Adepte accompli, il la caressa avec beaucoup d'habileté, l'amenant rapidement à un état d'excitation du meilleur aloi. Il hésitait encore sur l'aboutissement ou non de ses caresses en une jouissance gentillette lorsque la Bergère reprit le contrôle

« Vous n'êtes point maladroit de vos doigts Messire Guillaume et vous me donnez un bien agréable plaisir mais mes Sœurs sont au moins aussi expertes. Je préfère profiter séant du cadeau somptueux que vous m'avez amené! »

Elle repoussa le jeune guerrier sur le dos et l'enjamba, présentant son conin enamouré au-dessus de la verge monstrueuse. Elle se laissa retomber sur lui en poussant un petit glapissement de plaisir.

Aaah .. mes Sœurs ... que c'est bon ... honorer ... oooh... le dieu d'Amour avec pareil ... aah .. vit est une félicité sans pareille! »

Guillaume s'aperçut que sa verge n'était pas entièrement enfoncée dans l'antre d'Amour de la Bergère. Il la saisit par ses hanches grassouillettes et l'attira vers son pubis, l'empalant jusqu'à la garde sur son gourdin géant.

« OOOOHHH . .. Y'en avait encore ... oohh... J'enfante .. à l'envers...aaah ... Guillaume... laissez-moi ... ooh ... m'habituer ... caressez mon ... bouton d'aaahmour! «

Le jeune homme était un expert es caresses et bientôt il sentit le vagin de la Bergère s'adapter à ses dimensions imposantes tandis que sa partenaire se trémoussait de plaisir sur son ventre. Une fois assuré de son succès, il s'empara de ses lourdes mamelles et les pétrit avec délectation pendant qu'elle s'attachait à le chevaucher avec énergie.

« Humpf ...Bergère... tes mamelles ... aargh ... quel enchan.. tement... humpf ... j'en ai plein les mains ... han ... Je vais vider ... aargh .. tes sacs-à-lait .. humpf ... tétons enchanteurs... pissent le lait... »

« OUI... messire ... oooh ... trayez votre ... aah Bergère ... et .. pourfendez-moi ... ooh .. ouvrez-moi le ventre jusqu'aux .. ooh... mamelles ...aaah.. Sire Guillaume ... quel plaisir d'être fendue.. uuh ... par votre ...ooh ... glaive d'amour! »

Les grandes mains du Vicomte de Poitou, pressaient durement les seins et les mamelons de la Bergère, extrayant des gouttelettes de lait sous leur pression indéfectible. Il se redressa soudain à la seule force de ses abdominaux, envoyant la verge encore plus au fond du puit d'amour de la Bergère qui poussa un cri de surprise, de plaisir et de douleur mêlé face à cette intrusion encore plus prononcée qui vint se heurter à sa matrice.

« Messire ... ouhh .. point trop n'en faut ... oooh ... vous me faites ... aah défaillir! »

Guillaume ne répondit pas ; trop occupé à laper le lait de la Bergère. Quand il fut certain d'avoir extrait la dernière goutte de lait maternel, il retomba sur le dos et recommença à assaillir le ventre de sa compagne comme s'il s'agissait de la porte d'un castel à enfoncer avec son bélier d'Amour. Il trouva d'ailleurs l'image particulièrement plaisante.

« AARGH .. Bergère ... mon bélier...han.. d'Amour ... va bientôt ... Humpf ... vous emplir de .. han .. mon offrande ... AAARGH ... TIENS ... BERGE..RE.. OFFRAN..DE! »

« AAAHH .. SEIGNEUR ... JE PARS .. AUSSI ... MER.. CI! OOOHHH! »

Les Sœurs groupées autour du lit applaudirent et l'une d'entre elles, plus téméraire, s'enhardit même à venir palper les bourses du guerrier, précipitant de nouvelles gorgées de nectar mâle dans la grotte de la Bergère. Cette dernière s'abattit sur le torse puissant du Vicomte en s'agitant encore de bas en haut pour profiter à la fois de la verge toujours raide et de l'irritation des poils mâles sur ses seins lactés.

Couchés en cuillère sur le lit de la jeune fille, Erik et Arminia avaient assisté de loin à l'accouplement des deux Champions de leur Culte. La jeune fille ; encore timide, rosissant à la vue de la puissance de l'organe mâle qui empalait sa Bergère.

« J'espère que vous avez un Priape d'une taille plus adaptée à mon petit conin , Messire Erik. J'ai fort envie de vous complaire mais je ne pourrais jamais supporter pareil monstre. »

« Rassure-toi ma belle! Quoique je n'aie point à rougir de la taille de mon troisième bras, je ne puis certes pas rivaliser avec mon Suzerain mais j'ai satisfait aux désirs de plus d'une Sœur ici présente! »

Ce disant, il farfouillait à travers les ouvertures idéalement placées dans la robe de nuit traditionnelle de Sœur Arminia pour explorer ses trésors tout en faisant sentir à la jeune fille l'étendue de son désir en se collant contre son postère.

Sa main s'était déjà régalée d'un petit sein au mamelon érigé et descendait maintenant le long de son ventre. Las! L'ouverture qui donnait accès à sa mignonne poitrine ne lui permettait pas de descendre plus bas que son nombril. Il dut interrompre sa caresse et passer par une fente située plus près de son bassin. Il s'empara directement de son bouton de plaisir et elle entoura son cou de ses bras fins en gémissant

« Ooh .. Messire Erik .. vos doigts ... aaah ... si habiles! Oooh .. Vous allez me faire ... aah pâmer ... derechef ... »

« Viens ma belle , je veux cueillir ton plaisir sur tes lèvres! »

Il l'embrassa tout en continuant à faire valser ses doigts sur son clitoris et à l'orée de sa gaine enchantée toute neuve. Elle se cabra bientôt telle une pouliche rétive mais c'était pour la bonne cause et il sentit ses doigts s'humecter de son plaisir féminin.

« Mmmh, uuh » Les cris d'amour de la belle donzelle résonnaient dans sa propre bouche et il prit grand soin à ne point la quitter tant que ses convulsions de plaisir agitèrent sa conque sur sa main.

Elle se calma enfin et nicha son doux visage au creux de son épaule.

« Merci Messire ; toute fille rêverait de pareil réveil et que dire d'une Sœur-Bergère! Puisse le Dieu d'Amour accueillir favorablement mon offrande! »

« Ce n'est que la première ma Douce mais il est temps que j'admire céans tes trésors! »

Elle leva les bras pour qu'il lui ôte sa robe de nuit et il ne put s'empêcher de siffler d'admiration. Arminia était beaucoup plus fine que la plupart des filles de son âge et donc maigre en comparaison des matrones comme la Bergère mais elle était parfaitement proportionnées. De ses hanches en amphore à ses seins presque trop gros sur son torse menu, elle était un appel vivant au coït.

Erik se débarrassa de ses derniers vêtements et se plaça au-dessus d'elle, se soutenant sur les genoux et les avant-bras pour ne pas l'écraser mais lui faisant sentir la vigueur de sa verge qui s'étalait sur le ventre de la donzelle.

Il prit dans sa bouche une aréole étonnamment large et la suça jusqu'à ce que seul le téton reste entre ses lèvres. Arminia gémit et posa ses mains sur sa tête pour l'encourager dans sa caresse.

« Uuuh .. c'est très bon... Messire Erik... uuh .. mais ne faites point...uuh... de jaloux! »

Il comprit le message et fit subir le même traitement au jumeau d'amour avant de remonter vers les lèvres vermeilles de sa compagne et de l'embrasser fougueusement. Elle pressait sa poitrine sur la sienne et poussait de petits gémissements de bonheur.

« Ventrebleu ma belle Arminia, tu me rends fou ... il faut que je te prenne. Mon vit réclame de faire la démonstration de ses qualités! »

« Oh oui ... Messire ... je vous attends .. uuh ... mais retirez-vous à temps ... je vous recevrez dans ma bouche pour l'assouvissement de vos sens! »

Erik s'appuya sur un seul bras le temps de présenter sa verge palpitante à l'entrée de la grotte d'Amour. Il s'introduisit précautionneusement d'abord mais Arminia donna de petits coups de ventre pour hâter l'intromission et il ne résista pas plus avant . D'un coup de reons, il l'empala jusqu'à la garde.

« AAAAHHH! ...ERIK! ... Je veux dire ...oooh.. Messire ... »

« Appelle-moi Erik, Arminia .. han ... pas de 'messire' .. han .. qui tienne ... han... entre Adeptes... et Amants ... han ... Je suis Erik .. ton servant ... d'Amour! »

« Oooh Erik ... ouiii ... et je suis .. oooh... ton Arminia ... Minia ... oooh »

« Noue tes .. han ... jambes dans mon dos.. han .. belle Minia ... je veux te .. han ... chevaucher .. han .. han .. rudement ...han! »

« AAAHHH .. ERIK! .. C'EST .. DI ..VIN .. OOOH ... N'ARRËTE PAS ... CA .. MON..TE... OOOHHH! »

Le petit-fils du Connétable était enchanté de l'enthousiasme de sa jeune partenaire et dut faire appel à toute sa maîtrise pour ne pas l'inonder séant de sa semence. Il ferma les yeux pour ne plus voir le ravissant visage transporté de plaisir et essaya de toutes ses forces de penser à l'Ancienne Bergère qu'il avait dû honorer lors de son Initiation.

« AAAHHH ... JE BRÛLE ... OOOH.. ERIK ... MON VEN...TRE... AAAHHH »

La verge du garçon évolua soudainement en milieu liquide et il s'immobilisa, laissant à sa monture le soin de dicter le rythme de son extase. Mais elle ne semblait pas y trouver de fin et il serra les dents pour ne pas se répandre en elle comme un puceau.

Enfin, elle rouvrit les yeux mais son bas-ventre était encore agité de trémoussements.

« Erik ... c'était ...uuh... merveilleux ... c'est toi qui ...uuh ... devrait être le Berger! »

« On ne peut manier deux glaives , Minia ...mais j'aurais bien voulu être ton premier amant! »

« Tu peux encore l'être, mon Seigneur, Erik ... ma bouche et mon ..cul sont encore vierges de toute présence virile! »

« Que dirais-tu de te laisser bâillonner par mon troisième bras? Mes bourses ont grand besoin d'être soulagées? »

« Je vais essayer de te rendre le plaisir dont tu m'as gratifié, mon bel amant .. n'hésite pas à m'expliquer ce que je ne fais pas bien! »

Le jeune homme bascula sur le dos et sa jeune partenaire se redressa pour s'emparer du vit glorieusement dressé. Elle l'emboucha et commença à faire aller et venir sa bouche le long de l'extrémité du mandrin tandis qu'elle caressait à deux mains la base du membre viril.

« Humpf ... tu es une naturelle ... Humpf... Minia ... Je ne vais pas résister ... humpf... longtemps... Quand tu sentiras... humpf ... ma semence se répandre .. .humpf... dans ta bouche ... caresse aussi mes TESSSS...TES! ...AARGH! ... AAARRRGGHHH! »

Au cours des semaines qui suivirent, Arminia fit preuve d'une imagination toute féminine pour éviter de remplir ses devoirs de Sœur-Bergère et se réserver au seul Erik jusqu'à ce qu'un soir il la trouve en larmes.

« Oh Erik .. sob ... la Bergère veut .. sob .. que j'officie avec ...sob .. d'autres sob.. sob .. hommes ... dès demain ..sob..à potron-minet «