Aquitania 01

BÊTA PUBLIQUE

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Emilienne fit relever la jeune fille et l'accueillit contre son sein avec le baiser profond des Adeptes.

« Et je t'y accueillerai volontiers, douce Adèle »

Ebles contempla les deux jeunes femmes , l'une blonde comme son père Viking, l'autre aussi brune que pouvaient l'être les Aquitaines et regretta un bref moment son rôle de tuteur. Il se serait volontiers chargé lui aussi d'initier Adèle!

Quelques mois plus tard, il repensait à cette nuit et aux merveilleuses journées qui l'avait suivie en revenant vers Poitiers avec les débris de son armée. Une fois de plus, il avait été défait sur le champ de bataille et une fois de plus, c'était de sa faute.

« Nous avons été trop lents » expliqua t'il à Erik de Maupertuis, le jeune demi-frère de son épouse. « Si nous avions rejoint l'armée de Neustrie en temps utile, nous aurions pu accentuer le succès des Francs du Nord. Au lieu de cela, nous avons offert aux Danois l'occasion de sauver leur honneur aux dépens du nôtre. »

Erik se retourna sur son cheval et contempla la triste cohorte derrière eux.

« Nous avons reproduit les erreurs des Sarrasins lors de la Grande Invasion, Messire ; comme nous, ils étaient encombrés de leurs familles et de bagages inutiles. Et comme eux, nous sommes trop légèrement armés. Quand vous m'avez envoyé à Chartes prendre les ordres du Roi Charles, j'ai vu l'équipement des guerriers Francs. Il faudrait les éléphants d'Hannibal pour traverser leur ligne de bataille ».

« Pas 'nous' Erik, MOI, Ebles le Bâtard! Je suis décidément plus doué pour l'Amour et les intrigues que pour l'Art de la Guerre! Si je dois encore mener l'armée du Poitou, je jure d'écouter tes conseils avisés avant la bataille plutôt qu'après le désastre! Tu feras un excellent Capitan plus tard , mon jeune ami!»

« Si seulement j'avais autant de connaissances dans l'Art de séduire les Donzelles »

« Un peu de patience, Erik, l'an prochain tu seras initié aux Mystères par notre Bergère elle-même. Après cela, tu n'auras que l'embarras des couches à partager! »

« A quoi bon si Isabella continue à m'ignorer » soupira l'écuyer qui soudainement accusait son jeune âge malgré sa haute stature. »

« As-tu au moins essayé de lui conter fleurette? Ou t'es-tu contenté d'exhiber tes gros muscles de Ragnarsen? Cette gente damoiselle est la fille d'un des plus grands érudits d'Aquitaine, Jaufré de Ventadour. Ce n'est pas pour rien que je l'ai nommé Chancelier des Comtés! »

« Hélas Messire, je ne m'y entends point en vers délicats et rimes galantes! A moins qu'elle ne soit séduite par la Chanson de Roncevaux? »

Ebles éclata de rire « Trop de bruit et de fureur jeune Ragnarsen ; tu devrais plutôt demander à Isabella de t'enseigner ses vers préférés. Je suis certain que cette jeune fille y prendra grand plaisir! »

Ils arrivèrent à Poitiers deux jours plus tard, après la tombée de la nuit. Ebles abandonna sa troupe aux bons soins de ses capitans et se précipita vers le Castel où l'attendait sa très chère épouse. Il approcha de la chambre seigneuriale à pas de loup et tendit l'oreille ; des gémissements lui parvinrent et il poussa la porte doucement.

Emilienne était allongée sur le lit, entièrement nue, le bassin surélevé par un coussin et les cuisses écartées. Adèle, tout aussi dévêtue, était allongée entre ses jambes et lui prodiguait des caresses buccales tandis que la jeune Comtesse titillait ses mamelles déjà enflées par sa grossesse.

« Mmmh , tu es douée ... ma bonne Adèle ... mais n'oublie pas tes doigts! Aah .. oui ... c'est presqu'aussi bon que le ...aah .. vit de mon seigneur et maître ... n'aie pas peur ma douce ... j'ai l'habitude d'être oooh emmanchée bellement! »

Ebles oublia la fatigue de la chevauchée et il vint silencieusement s'assoir sur le lit conjugal pour assister de plus près à cette copulation qui réveillait le feu de sa passion.

Les mains d'Emilienne tordirent ses seins et elle poussa une longue plainte en offrant sa Jouissance au Dieu d'Amour.

« AAAAHH dèle ... Merci! Ooh .. mon Seigneur me manque ... tellement ... heureusement que tu es là, ma bonne Adèle! »

« Et qui va prendre soin de moi alors? » intervint Ebles

« Mon Seigneur! » « Messire Comte!»

Si Adèle était rouge de confusion, Emilienne souriait de contentement

« Je t'ai donc manqué, fille de Lesbos? »

« MESSIRE! j'aime Adèle comme une sœur mais ses caresses ne peuvent point assouvir le feu de Vénus qui me brûle le ventre depuis que je suis grosse de vos œuvres! »

« C'est vrai Messire! Ma pauvre Dame a résisté tant et bien mais votre absence lui devenait insoutenable. Je n'ai fait que pauvrement pallier à ce grand vide dans son pauvre conin! »

« Soit jouvencelles! Adèle, aide-moi à me dévêtir pour que je puisse prendre un bain avant d'honorer ma tendre épouse! »

« L'eau est encore presque chaude, Messire ; nous nous y sommes baignées avant de nous étendre. Je vais y ajouter le contenu de la cuve de l'âtre et vous aider à vous débarrasser des miasmes du voyage »

L'eau chaude ramollit quelque peu le désir d'Ebles aussi Adèle se sentit obligée de sucer sa verge avant de l'aider à se sécher et l'envoyer rejoindre sa Dame.

Celle-ci l'attendait à quatre pattes sur le lit, le ventre et les seins pendouillant mais la croupe bien haut levée. Adèle aida à l'introduction du vit dans la grotte brûlante et Ebles prit tout de suite le mors au dent. L'excitation du combat et de la fuite lui avaient gonflé ses testes au-delà du supportable et il oublia quelque peu sa bonne éducation de Vrai-Croyant en précipitant la recherche de son propre assouvissement. Heureusement, Emilienne était pareillement échaudée et se mit aussitôt au diapason de son désir.

Attiré par les mamelles rebondies de sa femme, Ebles les pétrit avidement, déclenchant une cascade de cris de plaisir à laquelle Adèle participa en caressant le bouton d'Amour de sa Dame et la précipitant dans une Jouissance bienfaisante que le Comte salua d'une puissante éjaculation au fond de la grotte d'Amour enfin comblée!

Emilienne s'était effondrée sur le flanc gauche et Ebles s'installa en cuillère derrière elle, son vit regonflant rapidement dans le douillet écrin de ses fesses. Adèle s'était installée , elle, face à Emilienne et lui caressait le visage qu'elle baisa ensuite avec dévotion.

La Comtesse de Poitou rouvrit les yeux.

« Messire, mon postère vous sera toujours acquis mais ne pourriez-vous remercier Adèle de ses bons soins en la prenant avec votre fougue habituelle? Elle a aussi été privée de vos assauts durant ces longues semaines de votre absence! »

Adèle étant devenue Dame de Compagnie, elle avait dès lors perdu son statut de pupille protégée d'Ebles et pouvait donc partager la couche et l'époux de sa Dame. Son dépucelage des œuvres du Comte , bien secondé par son épouse, avait eu lieu peu après le mariage lors d'une nuit mémorable! Les jeunes femmes avaient été particulièrement émoustillées par cette embrassade à trois et avaient profité de chaque temps de repos réclamé par Ebles pour se donner mutuellement de plaisir, raccourcissant par la même occasion la durée des défaillances de leur seigneur et maître!

Pour l'heure, le Comte avait à peine débandé malgré sa jouissance dans le puits d'Amour de son épouse. Il présenta à nouveau son vit encore érigé à Adèle qui lui offrit sa bouche avec ardeur avant de se coucher aux côtés de sa maitresse.

« Messire, je suis vôtre! Faites connaître à votre servante les joies de la Communion d'Amour »

Ebles ne manqua pas d'embrasser son épouse avant de pénétrer sa Dame de Compagnie. Cette fois, il fit preuve de toute sa science d'Adepte et emmena rapidement Adèle vers le Septième Ciel

« AAAH Messire! ... J'avais bien besoin de cette chevauchée ... Oooh ... ma Dame ... Notre seigneur me pourfend bellement ... moi auooh ...ssi... ma Dame ... je défaille ... par le Dieu d'Amour, ... embrassez-moi ... je vais ... mmmh ... MMMMH! »

Adèle jouit sous le pal du Comte tandis que la Comtesse recueillait sur ses lèvres l'expression de sa Jouissance. Lorsqu'Ebles se releva, son Priape réclamait toujours l'assouvissement et il se tourna vers son épouse

« Ne m'aviez-vous pas proposé votre postère, ma Mie? »

« Oui mon Seigneur ; j'ai d'ailleurs de l'onguent dans mon cabinet ; prenez-le et préparez-moi! »

Elle lui présenta à nouveau ses belles fesses tandis qu'il s'emparait du pot d'onguent gras. Il enduisit copieusement son vit avant de glisser ses doigts dans l'anus d'Emilienne.

« Ah! Ebles! Mon cul frétille dans l'attente de votre verge! Hâtez-vous mon ami ; il me tarde d'être perforée comme un bougre! »

Adèle rampa sous sa Dame et commença à lécher son clitoris pendant qu'Ebles procédait à la lente introduction de son vit gorgé de désir dans la porte étroite. Elle entonna un chant d'amour improvisé

« AAAHHH mon maître ... Vous m'écartelez ...le cul ... avec... votre gourdin! Adèle ... aide-moi ... à supporter ... cet assaut ... Oooh ... vos testes sur ... mes fesses ... Messire... Je suis toute ... embrochée ... oooh ... Adèle ... c'est bon! ... Mon Seigneur ... comme vous... aah.. me ferraillez ... le cul ... Aaah ... pas si fort ... non, plus fort! Mon Dieu ... d'Amour ... langue divine ... je ... je ... AAAAHHH! »

« Tiens ma ..han ..belle catin... d'Amour... han ...je vais me .. han ... répandre dans ton .. han .. cul malicieux ... han ... AAAH .. Je ... viens ... aussi! PRENDS TOUT ... dans ... tes ... tréfonds ...

Quatre mois plus tard, Ebles fit à nouveau preuve de son habileté en priant Guillaume-le-Jeune d'accepter d'être le parrain de son premier-né , Guillaume, devant l'Eglise Papiste tandis qu'il s'acoquinait un peu plus avec Acfred qui allait devenir le Substitut Père devant l'Assemblée des Adeptes.

« Mais il est hors de question qu'Acfred s'approche de mon héritier s'il devait m'arriver quelque chose! » dit-il aussitôt à Ragnar et à Savary qui étaient venus lui présenter leurs congratulations. Dussiez-vous enlever mon fils, je compte sur vous deux pour lui donner l'éducation d'un Comte et surtout le garder hors des mains débiles de de rabougri! »

Les relevailles d'Emilienne furent plus pénibles que la normale. Inquiet, Ebles fit même venir en grand secret un médecin d'Al Andalus, ayant hérité de sa mère une méfiance instinctive pour les apothicaires et guérisseurs de tous poils qui sévissaient en Aquitaine et en Francie. Très navrée de ne pouvoir jouer son rôle d'épouse, Emilienne l'encouragea à soulager sa virilité avec Adèle qui fort heureusement ne mit point au monde de bâtard malgré les moments d'égarement de plus en plus nombreux où Ebles jouissait en elle au lieu de se retirer.

Enfin, la santé d'Emilienne se rétablit grâce aux remèdes du Sarrazin et ils purent fêter dignement son retour au sein de la Communauté des Adeptes du Dieu d'Amour. Hélas, quelques semaines plus tard, elle était à nouveau grosse et dut s'aliter à nouveau. Ebles manda à nouveau Rachid Ibn Suab, le médecin d'Al Andalus. Celui-ci secoua tristement la tête.

« C'est trop tôt Sire Comte ; vous auriez encore dû attendre avant de la faire concevoir à nouveau. J'ai les plus grandes craintes pour la mère et l'enfant. »

Le Sarrazin ne se trompait pas. Emilienne mourut en couche après avoir donné naissance à un autre fils. Dans un dernier souffle, elle demanda à son mari de l'appeler Ebles-le-Jeune . Eperdu de douleur, le Comte promit mais sitôt Emilienne rendue à la Terre Mère, il envoya le nourrisson aux Pères de Saint-Martial avec pour mission de lui donner une stricte éducation de moine.

« Je ne veux en aucun cas le revoir parmi les Vrais-Croyants » expliqua t'il à Ragnar. « Il me rappellerait trop la mort de sa mère »

Il respecta le veuvage de six mois puis épousa Adèle mais seulement devant le Dieu d'Amour.

« Mais si tu as encore d'autres enfants, Ebles, ce seront des bâtards! »

« Comme leur mamzer de père, Ragnar! Mais au moins, ils ne pourront contester les droits de Guillaume! »

« Et si Guillaume meurt? »

« Ne parle pas de malheur! Et puis que pourrait-il lui arriver sous la garde de Gérard. Ton fils prend son rôle de garde personnel très au sérieux! »

« J'aurais préféré qu'il accompagne son frère maintenant que tu l'as nommé Connétable du Comté »

« Nul besoin d'envoyer tous mes Ragnarsen au secours de Guillaume-le-Vieux-Pieux. Erik a amplement démontré face aux Vascons et aux Toulousains sa valeur et son intelligence. Sans lui, le Pieux serait déjà assiégé dans Bordeaux! Tiens, à propos de siège, il tourne toujours aussi désespérément autour d'Isabella? »

« Oui et en vain ... La petiote le fait tourner bourrique mieux que Geneviève face à Attila »

« Il devrait peut-être essayer la technique d'Attila? »

« Il est trop béat devant cette fille. Il peut occire cent guerriers ennemis sans broncher mais dès qu'elle cligne les yeux, il perd toute volonté! »

C'est cependant au printemps suivant, au sortir d'un Conseil Comtal que l'avenir d'Erik commença à se décanter. Il venait de défendre avec fougue mais vainement ses demandes d'augmentation des dépenses militaires contre l'avis de Jaufré de Ventadour, le Chancelier et du Comte lui-même mais à la fin du Conseil, Jaufré le prit à part.

« Ne vous désespérez pas mon jeune ami, comme dit le proverbe, malheureux en affaires, heureux en amour! »

« Si seulement , c'était vrai! Plus que tout autre, Jaufré, vous devez savoir que votre fille me fait languir depuis des années. J'ai 26 ans, Isabella 22 ; nous aurions pu être mariés depuis des années mais elle ne veut point entendre parler de moi comme époux. »

« Peut-être ne t'y prends-tu pas de la bonne manière, Erik. Je t'ai justement apporté cette traduction de Titius Livius en Langue d'Oc. Tu la trouveras certainement très instructive ; en particulier le chapitre relatant l'Enlèvement des Sabines! »

Deux jours plus tard, une haute silhouette masculine s'introduisit avant l'aube dans la chambre d'Isabella au Castel Comtal. L'homme s'approcha du lit de la jeune femme et, profitant de son sommeil, lui fourra un bâillon dans la bouche avant de la rouler dans la couverture qui la protégeait de la fraîcheur matinale. Une fois complètement entortillée dans le lourd tissu de laine, il jeta ce saucisson géant sur son épaule et descendit les escaliers jusqu'à la cour d'honneur où l'attendait une carriole légère. Il déposa le 'paquet' à l'arrière et fouetta les deux chevaux qui démarrèrent en trombe sous les vivats silencieux des gardes du Château évidemment complices du forfait.

Erik prit la route de Maupertuis et commença à chanter des ballades galantes pour couvrir les grognements indignés qui lui parvenaient de dessous la couverture. En moins de deux heures, il parvint à Maupertuis, étrangement déserté.

Il reprit son colis à l'épaule et grimpa jusqu'à la chambre de ses parents où le grand lit avait été retendu de draps propres. Jetant le 'paquet' sur le lit, il ferma l'huis et le barricada avec une armoire certainement trop lourde pour que sa captive puisse la déplacer.

Dans un coin de la pièce, un bain fumant l'attendait à côté du pot de chambre dissimulé par une toile.

Il se tourna alors vers le 'paquet' et le déballa, révélant d'abord le visage rouge pivoine d'une Isabella à moitié étouffée et en tout cas indignée au-delà de toute expression. Il attacha les mains et les pieds de sa captive avant de s'attaquer à sa robe de nuit qu'il déchira de tout son long à la seule force de ses mains. Isabella lui apparut dans toute sa virginale nudité, stupéfiante de beauté malgré les imprécations qui s'échappaient du bâillon. Il ne put résister au plaisir de caresser ses seins généreux en forme de poire qui lui remplissaient parfaitement les mains.

« Tu es magnifique Isabella! Et à dater d'aujourd'hui, tu seras mienne. Tu m'entends, femme, MIENNE! »

« Ghhnnon! Aaah mmmhh ais! »

« Mais je respecterai les coutumes de notre religion. Nous allons d'abord prendre un bain et tu pourras même te soulager avant que je ne prenne ce qui me revient de droit! »

Il porta sa captive jusqu'à la chaise percée et attendit derrière le rideau qu'elle en ait terminé. Il releva la toile pour la transporter jusqu'à la baignoire ... et eut juste le temps de baisser la tête pour éviter le pot de chambre qui alla s'écraser à côté de la porte.

« Aha , femme, tu as bien du caractère » lui dit-il en souriant tandis qu'il l'enlevait dans ses bras pour la déposer dans l'eau chaude. Il ôta ses habits noirs et la rejoignit dans le bain, se plaçant derrière elle pour avoir le meilleur accès à ses trésors.

Elle se débattit avec la vigueur et le rage d'une ourse des Pyrénées mais le Connétable était trop fort pour elle et, la maintenant d'un bras, il la 'lava' en s'attardant surtout aux endroits les plus stratégiques. Il veilla tout particulièrement à bien lui savonner la toison pubienne tandis qu'il lui faisait sentir contre son dos, toute la raide puissance de sa verge.

« Soumets-toi, belle Isa! Ton destin est de te pâmer sous mes assauts. Je vais enlever ton bâillon et tes liens mais si tu te rebelles, je serai peut-être obligé de te faire du mal pour obtenir mon dû! »

« Monstre! Brute! Je te croyais gentil homme mais tu n'es qu'un soudard de bas-étage! Jamais tu ne me prendras avec mon consentement . Tu devras me violer! »

« Mais c'est exactement ce que je compte faire ma Dame, je vais te déshonorer et le faire savoir! Aucun autre homme ne voudra de toi car ils sauront que tu es A MOI! »

Il se leva, sortit du bain et se sécha rapidement avant de vouloir aider Isabella à sortir du bain mais elle tenta de le griffer et il lui enfonça la tête sous l'eau, la maintenant juste assez longtemps pour qu'elle en ressorte en crachant comme une chatte en colère.

« Rustre! Je vais t'arracher les testes et te les faire bouffer »

« Tout doux ma belle » lui dit-il en l'emmaillotant dans un grand drap pour la sécher. « Sais-tu que tu es encore plus désirable quand tu es en colère? »

Il la porta jusqu'au grand lit et s'étendit à moitié sur elle pour l'immobiliser, coinçant ses deux bras avec l'une de ses mains tandis que l'autre tandis que l'autre explorait le corps de la jeune femme. Il se pencha pour embrasser ses mamelons tandis que sa main baladeuse venait se nicher dans l'entrejambe de la jeune femme que son genou empêchait de se refermer. A sa grande surprise, il découvrit que l'antre d'amour de sa conquête était parfaitement humecté et que son clitoris répondait à chacune des caresses qu'il lui portait. Mais cela ne l'empêchait pas de continuer à l'invectiver.

« Soudard! Brute! Infâme Violeur! Je te hais Barbare! Aaah!»

Erik comprit rapidement que les gémissements de sa captive ne reflétaient aucune douleur mais, au contraire, dissimulaient la montée de son plaisir. Encouragé, il redoubla d'effort et la vit bientôt se mordre les lèvres tandis qu'elle se cabrait, les tétons érigés comme des petits coutelas au centre de ses seins dressés. Elle poussa une longue plainte et Erik sentit distinctement son puits d'amour déborder d'une onctuosité moite.

« AAAH! INF..ÂÂÂ.. ME! JE.. TE.. HAIS! JE TE HAIS! »

Erik ne s'en laissa pas compter et plaça ses deux genoux entre les cuisses de sa captive, la forçant à ouvrir plus grand les cuisses.

« Assez joué » grogna t'il. « je t'aime et je te désire depuis trop longtemps Isabella. Je vais te prendre et faire de toi une femme malgré tes pleurs et tes cris. Libre à toi de me détester ensuite mais que tu le veuilles ou non, tu m'appartiendras jusqu'à ce que la Mort nous sépare! Maintenant, puisse le Dieu d'Amour me donner force et longévité car ME VOICI! »

Il pénétra le vagin ruisselant de la jeune fille, s'arrêta un bref moment quand son vit roide rencontra son hymen puis donna un grand coup de reins pour vaincre le dernier rempart de sa virginité.

« AAAAHHHH! » s'exclama le Connétable victorieux

« AAARGH! » hurla la donzelle vaincue