Aquitania 01

BÊTA PUBLIQUE

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Au printemps 903, il réunit une assemblée de fidèles à l'abbaye pour la première élection d'un Berger et d'une Bergère ; les premiers depuis qu'Aymar avait décidé des persécutions contre leur Culte. Il s'adressa à la foule des Vrais-Croyants

« Mes biens Chers Frères, mes biens Chères Sœurs, en tant que votre Suzerain, il me revient d'ouvrir cette assemblée élective avant d'en céder la direction spirituelle à celui et celle que vous aurez choisi pour mener nos coïts! Mais avant toute chose, une de nos Sœurs pourrait-elle me rejoindre à l'autel pour accueillir le Goupillon du Dieu d'Amour? »

Les adeptes présents avaient dû s'entendre avant le début de la célébration car une jeune femme dans la trentaine se leva aussitôt , laissant glisser une longue houppelande pour apparaître entièrement nue aux yeux de tous. Son large bassin et ses seins lourds dénotaient d'une naissance récente. C'était une splendide représentation de l'Ode à la Fécondité et Ebles sentit immédiatement son Priape s'éveiller.

La Vit Cara s'agenouilla à ses pieds et déboucla son ceinturon pour laisser tomber ses braies puis fit glisser ses calçotets, libérant sa verge maintenant dans toute l'expression de la gloire du Dieu d'Amour. Elle l'emboucha précautionneusement tandis qu'Ebles entonnait la Prière avec l'Assemblée.

O Dieu d'Amour qui êtes aux Cieux

Que Votre Verge soit sanctifiée,

Que Votre Erection vienne,

Que Votre Ejaculation soit parfaite.

Jailli des Hommes et dans les Femmes,

Donne-nous notre Orgasme Quotidien,

Pardonne-nous nos masturbations

Comme nous pardonnons aux abstinents

Soumets-nous à la Tentation

Et excite nos Femelles et nos Mâles

Car c'est à eux qu'appartient la Jouissance

Pour les siècles et les siècles!

La Vit Cara était experte dans l'Art de Fellation, soutenant ses bourses d'une main douce mais ferme tandis que son autre main pompait sa semence en direction de son gland gorgé de désir aspiré dans la bouche hospitalière.

A la fin de la Prière, il se répandit dans la gorge de le Servante du Dieu d'Amour avec un grand « AAAHH » que l'Assemblée compléta par un « Mène » tonitruant!

Deux couples ainsi que deux hommes et trois femmes célibataires se déshabillèrent pour se présenter à l'Election. Parmi eux, Ebles reconnut Clotilde en compagnie de son mari ; un homme avenant au visage buriné par les travaux des champs. Les enfantements avaient également laissé des traces sur son corps mais ses nouvelles rondeurs ajoutaient à son charme. Le Comte espéra qu'elle allait obtenir la charge de Bergère afin qu'il puisse l'honorer juste après le nouveau Berger.

Elle ne remporta cependant pas l'élection ; les Vrais-Croyants choisissant une femme plus jeune qui s'était présentée comme vierge, attirant des exclamations étonnées. Le Berger par contre avait à peu près l'âge d'Ebles, c'était un homme puissamment bâti, tailleur de pierres de son état et dont l'imposante verge, même au repos, avait attisé les passions féminines.

Le Berger et la Bergère se dirigèrent vers l'Autel garni d'une paillasse recouverte de velours et l'homme aida sa compagne à s'y coucher avant de venir s'agenouiller entre ses cuisses écartées. La Vit Cara revint vers l'Autel et le suça avec presqu'autant de ferveur qu'elle l'avait fait pour Ebles. Les Vrais-Croyant psalmodiaient le Chant du Berger et se regroupaient par couple voire en trio ou en quatuor autour des litières récupérées dans une pile contre le mur.

La Vit-Cara libéra le Priape du Berger et attendit que l'homme se couche sur le Bergère pour introduire le membre turgescent dans l'antre de félicité encore inusité. Elle vérifia l'onctuosité du clitoris et de la vulve de la jeune femme avant de donner trois tapes sur les fesses du mâle qui empala d'un seul coup sa partenaire dans un silence soudain.

La foule applaudit, heureuse d'une défloration réussie et aussi aisée. Les participants reprirent le Chant de plus belle tandis qu'hommes et femmes commençaient à se caresser mutuellement.

Clotilde fut une des premières à entraîner son époux sur une des litières les plus proches de l'Autel et Ebles se réjouit de ce qu'elle n'ait rien perdu de son enthousiasme pour les choses de l'Amour. Elle n'avait aucun frein à faire partager son plaisir à ses voisins pendant que son fermier de mari la besognait bellement.

« Vas-y Ogier! Aaah ... Prends-moi avec ton gros soc! Laboure ta femelle ... oooh! Tu es tellement ... fort .. mon Homme! Uuuh .. mon Taureau ..! Ne t'arrête pas ... retiens ta .. semence ... je vais ... aaahh! OGIER! ... VIENS! ... JE T'AAAAHH TENDS! .. »

Ogier se cabra et s'enfonça au plus profond de la grotte d'Amour, libérant sa semence dans sa femme tétanisée par le plaisir alors qu'autour d'eux, les autres Vrais-Croyants , excités par la superbe représentation, se dépêchaient de les imiter.

Le Berger se releva un peu déconfit. Sans doute trop enamouré par la splendide créature qui s'était offerte à lui ou par les soins sensuels de la Vit-Cara, il n'avait pu résister et avait joui dans la Bergère avant même que celle-ci n'ait pu atteindre le point culminant de son plaisir.

Ebles s'avança ; la verge bandée au point d'en être douloureuse. Il s'installa à la place du Berger mais prit le temps de caresser la Bergère qui haletait encore après l'assaut un peu trop forcené de son premier amant. Lorsqu'il la sentit frémir sous l'afflux du désir, il pénétra avec aisance sa grotte d'Amour parfaitement lubrifiée. Il la chevaucha doucement mais fermement, prenant plaisir à la voir tressaillir sous les coups de sa férule.

« Aah Messire, votre bâton .. d'Amour ... ooh .. me fait pâmer ... uuh ... mes sens défaillent.. .aaah... mieux qu'avec ... oooh ... mes sœurs! »

« L'amour entre femmes ...han ... n'est point un ... han .. péché, belle bergère...humpf... mais une vraie ... humpf.. femelle est faite ... han ... pour être fouillée ... par la verge ... des ... HAN .. MÂÂÂLES! »

« OOOH! .. OUI ... SEIGNEUR ... AAAHH ... MON VENTRE ... AAAHH ... EN FEU!... OOOH... DIEU .. D'AAA...MOUR! »

Avec soulagement, Ebles se vida avec délectation dans l'antre de félicité de sa belle compagne ; heureux de la tradition de la 'Bergère Comblée' qui permettait à tous les mâles présents à la cérémonie de pouvoir décharger leur semence dans la Nouvelle Bergère. Si elle se retrouvait grosse, la communauté des Vrais-Croyants prendrait son enfant en charge en tant que Don du Dieu d'Amour.

Il revint régulièrement rendre hommage à la Bergère qui devint rapidement une amante remarquable. Même durant sa grossesse, elle assuma son rôle en lui permettant de s'assouvir soit dans sa bouche accueillante, soit dans sa croupe callipyge.

Veuf, Ebles n'était pas pressé de reprendre épouse. Aucun parti intéressant ne se profilait à l'horizon matrimonial tandis que les Adeptes du Culte et leur Bergère lui permettaient de soulager sa virilité aussi souvent qu'il en avait le désir.

En 904, il reçut une ambassade singulière de Guillaume le Pieux. Son encombrant protecteur, fort occupé dans le sud du Duché à guerroyer contre les Vascons tout en surveillant le Comte de Toulouse, se retrouvait confronté à l'insoumission de l'Evêque de Limoges qui fomentait une révolte avec les vassaux Limousins. Guillaume faisait donc appel à son ancien protégé pour reprendre le fief et devenir Comte du Limousin avec serment de Vassalité envers le Duché. Ebles requit le conseil de Géraud. Le vieux guerrier, devenu aveugle, avait libéré ses serfs avant de transformer son puissant fief en domaine abbatial dirigé par le Père Abbé d'Aurillac. Son exemple avait inspiré Guillaume qui avait fondé une abbaye à Cluny sur le modèle de celle d'Aurillac.

« Mais ses démonstrations de dévotion ne l' empêchent pas de rester retors » dit le vieil homme à Ebles « Si tu acceptes de devenir Comte de Limousin et donc vassal du Duc d'Aquitaine, tu deviens son homme-lige et tu lui offres donc le Poitou dans le même sac. D'un autre côté, les fils de Guillaume sont de faible constitution ; s'ils mourraient sans héritier, tu serais en bien meilleure position pour revendiquer l'Aquitaine »

« Et autre chose mon jeune ami » ajouta Géraud. « J'ai beau être un fidèle de notre Sainte Mère l'Eglise de Rome, tu sais que j'ai toujours eu de l'affection pour ton Culte de l'Amour. J'ai prévu un codicille dans la Charte de la Règle de mon Abbaye pour qu'elle accorde sa protection à vos adeptes sur ses terres. »

« Je vous dois énormément Messire Géraud. Est-ce que je puis faire quelque chose pour vous remercier de vos bontés? »

« Comme vous m'y faites pensez, j'ai bien une jeune pupille, Adèle, qui a 8 ans . Je l'ai dotée mais je crains que si je devais rencontrer mon Créateur avant l'heure de son mariage, elle ne tombe entre les mains d'un homme peu recommandable. Je vous saurais donc gré de veiller sur elle. »

La campagne du Limousin fut rondement menée par Ebles et Ragnar tandis que Savary gardait leurs arrières en Poitou. Frappants tels la foudre, ils défirent une suite de hobereaux locaux avant de pénétrer dans Limoges qui préféra livrer l'évêque félon plutôt que de soutenir un siège.

Ebles rétablit Hildegaire Ier en tant que vicomte de Limoges ; les épousailles de ce dernier avec la fille de Géraud lui assurant un solide allié dans la place. Le Père Abbé d'Aurillac fut mandé pour convaincre ses frères de l'Abbaye de Saint-Martial d'adopter secrètement le codicille assurant la protection des Adeptes du Dieu d'Amour.

Une fois le Limousin solidement arrimé au Poitou, Ebles se rendit à Bordeaux pour rencontrer Guillaume le Pieux et lui jurer fidélité en tant que Comte de Limoges. Il se lia avec ses neveux , Guillaume-le-Jeune et surtout Acfred qui étaient devenus ses héritiers à la mort des fils de Guillaume-le-Pieux. Les deux frères partageaient avec leurs feus cousins une constitution plutôt chétive qui contrastait avec la robuste constitution d'Ebles.

Son amitié avec le cadet l'amena à lui parler du Dieu d'Amour et, au cours d'une cérémonie discrète, Acfred se convertit au Culte dans les bras de la Bergère de Bordeaux . Les Vrais-Croyants de la ville étaient ravis de cette conversion qui leur apportait un soutien de poids même si discret. Dès lors, le brave Acfred, malgré ses piètres prestations amoureuses fut toujours bien reçu dans les demeures et les chambres des Adeptes.

Ebles s'en retourna alors vers Poitiers en faisant un détour par Maupertuis pour saluer le fidèle Ragnar. Aliana et lui étaient maintenant à la tête d'un clan de huit enfants dont l'aînée, Emilienne, de fait la fille naturelle d'Emiliane , commençait à afficher une féminité qui présageait la beauté exceptionnelle de la femme qu'elle s'apprêtait à devenir.

Sous le charme, Ebles s'ouvrit à son vieil ami

« Ragnar, il est plus que temps que je songe à me remarier pour avoir un héritier légitime. Est-ce que tu serais prêt à m'accorder la main d'Emilienne quand elle sera en âge de procréer? Cette union unirait définitivement nos deux Maisons et j'accueillerai tes fils à Poitiers pour qu'ils deviennent mes Ecuyers! »

« Ebles, nous sommes frères depuis plus de vingt ans et je consens avec joie à cette promesse d'union. Je me porte garant de l'adhésion d'Aliana en tant que mère adoptive mais elle va certainement insister pour que tu respectes les préceptes de notre Culte et que tu attendes qu'elle l'ait l'âge requit en 911! »

« L'affaire est dite mon bon Ragnar ou dois-je déjà t'appeler Beau-Père?»

« Si tu veux un coup de hache sur le crâne en guise de dot, tu peux essayer ... »

« Par le Dieu d'Amour, je jure de m'abstenir » s'exclama Ebles en riant « Est-ce qu'Aliana se chargera de l'éducation d'Emilienne aux Mystères de l'Amour ou est-ce que tu préfères que je te dépêche notre Bergère? »

« Hum, mon épouse et moi n'avons jamais beaucoup progressé sur les Chemins de la Divine Jouissance ; nous sommes heureux avec les pratiques les plus simples mais je sais plus que tout autre que tu es un Adepte de haut rang . Il serait dès lors opportun qu'elle reçoive les enseignements d'une Bergère. Peut-être déjà l'année prochaine? »

En fin politique qu'il était devenu, Ebles organisa pour son remariage une grande cérémonie publique dans l'église abbatiale Saint-Cyprien en présence de Guillaume-le-Pieux, du Comte de Toulouse, du légat de Charles III et du ban et de l'arrière-ban de ses vassaux. A la fin de la cérémonie, une grande fête unit nobles et manants qui festoyèrent, du moins les premiers, durant trois jours pleins. Mais dès la première soirée, il annonça que sa jeune épouse et lui allaient se retirer deux jours dans le monastère pour y effectuer une retraite spirituelle avant de rejoindre leurs invités pour la clôture des festivités.

En fait, il y avait réuni les Adeptes pour qu'ils puissent assister à leur nuit de noce dans le grand réfectoire de l'abbaye dont le centre avait été converti en chambre à coucher improvisée.

Pour lutter contre le froid vif de ce mois de janvier, un feu ardent avait été allumé dans l'âtre de la salle et des braseros disposés à chaque coin du lit . Malgré tout, la simplicité de cette deuxième cérémonie contrastait singulièrement avec les ors et les fastes de la première. Les Adeptes présents, au nombre desquels figuraient Ragnar et Aliana, entonnèrent le Chant d'Hyménée tandis que le Berger accompagnait Ebles au pied du lit où ils attendirent l'arrivée de la jeune mariée escortée par la Bergère.

Emilienne était stupéfiante de beauté dans sa blanche robe de tulle fermée par une ceinture de velours rouge de Cordoue qui descendait de ses hanches vers son bas-ventre devant lequel elle était nouée pour témoigner de la virginité de la mariée.

Ebles était heureux d'avoir son âge et son expérience de Vrai-Croyant. Seulement dix ans auparavant il aurait joui dans ses calçotets à la seule vue de cette ravissante jeune fille blonde qui allait être sienne dans un instant. Le Chant prit de l'ampleur au moment où les mains des nouveaux époux se rejoignirent. Ebles baisa les doigts d'Emilienne avec une douceur surprenante vu le brasier qui lui dévorait les entrailles et attendit le signal du Berger

« Que le Marié découvre la mariée! »

Il empoigna la légère robe et tira vers la gauche et la droite. Les attaches symboliques cédèrent immédiatement, dévoilant les petits seins pointus et le Mont-de-Vénus recouvert d'une fine toison blonde . L'assistance applaudit et des murmures approbateurs se propagèrent tandis que Ragnar se rengorgeait de fierté.

La Bergère prit la relève

« Que la Mariée découvre le Marié. »

L'opération se révéla plus longue puisque la plupart des vêtements d'Ebles étaient en cuir indéchirable et qu'il fallut les ôter un à un. Il ne fallut néanmoins que quelques instants à Emilienne pour que son époux se retrouve en calçotets distendus par sa verge gonflée de désir. La Bergère avait bien fait son travail car la jeune fille se mit tout de suite à genoux pour le libérer de ce dernier carcan et lui administrer une magistrale choucassabe qui le fit gémir de désir inassouvi.

Le Berger vint à son secours

« Que le Marié plaise à la Mariée! »

Ebles se releva, soulevant au passage son épouse et la déposa sur le lit, prenant bien soin d'écarter les pans de la robe de tulle puis souleva le Nœud de la Virginité. Il s'étendit à côté de celle qui partageait pour la première fois sa couche. Ses mains commencèrent à explorer les trésors de la jeune femme ; s'étonnant de la rondeur et la fermeté des jeunes mamelles avant de descendre très lentement vers l'intérieur des cuisses, évitant soigneusement le Bouton d'Amour.

Emilienne noua ses mains autour du cou de son amant-mari en geignant. Il était temps qu'il la délivre de sa virginité! Mais auparavant, il devait l'amener à l'apex du désir pour qu'elle oublie la douleur du Passage! Il embrassa ses petits seins dont la fermeté l'émouvait malgré sa préférence pour les fortes mamelles des femmes plus mûres. Il suça alternativement les tétons durs comme des pointes de flèches tandis que ses doigts entamaient leur gigue sur le Bouton et les lèvres de Vénus jusqu'à ce que le corps d'Emilienne se torde sous les premiers assauts de sa dernière jouissance de Vierge.

La Bergère, forte de ses multiples assistanats proclama

« Que les Mariés consomment leur Union! »

Ebles roula sur Emilienne, lui écarta encore un peu plus les jambes et la perfora d'un vigoureux coup de reins

« AAAHHH SEIGNEUR ... JE SUIS FEMME! ... MERCI MON DIEU D'AMOUR! »

(« Elle est vraiment remarquable » se dit-il, « elle a pensé aux paroles rituelles! Peu y arrivent! » )

Sa verge était maintenant parfaitement emmanchée dans le conin tout neuf qu'elle lui offrait avec un abandon digne des plus fidèles Filles du Dieu d'Amour.

« Aaah, ma Comtesse ... ton petit conin m'enchante ... mon Priape a enfin trouvé son Temple ... han ... Ne souffres-tu point ... han ... que je te témoigne de ma ... aaah ... passion ...? »

« Non, mon Seigneur Comte! oooh .. Que nenni ... fends-moi sans fin ... aah ...mon Epoux ... Le plaisir .. du Dieu ... d'Amour ... ooh .. protège ... ses filles .. de la ... oooh.. si légère douleur ...de ta ... aaah ... Victoire ..Sois Vaillant ... mon ... oooh .. Chevalier ... Martèle-moi ..oooh... tel le Forgeron de la Passion! »

Ne se sentant plus d'aise, Ebles empoigna les cuisses de son épouse et la fit aller et venir sur son glaive de chair, prenant bien soin à chaque assaut de caresser de son gland le Bouton d'Amour, siège du plaisir féminin.

Dans la salle, les Adeptes pourtant privés de paillasses pour cette cérémonie n'avaient pu se contenir devant cette défloration si réussie et de multiples couples s'étaient enlacés pour s'octroyer mutuellement le soulagement bien nécessaire en pareilles circonstances de sensualité débridée.

Le Berger et la Bergère avaient donné l'exemple et leurs mains disparaissaient sous la robe de leur partenaire quoique les amples mouvements qui agiraient les vêtements ne laissaient aucun doute sur la nature de leur activité.

Emporté par son désir, Ebles sentit bientôt sa sève qui bouillonnait hors de ses testes et remontait dans sa colonne virile. Il étreignit sa jeune épouse et l'embrassa avec une avidité qui la transporta et la fit frémir aux portes de la Divine Jouissance. Il se répandit enfin en elle, plantant son mandrin tout au fond sa grotte d'amour

« AAARGGH EMILIENNE! MON ... EPOUSE! AAAHHH! »

« OUII .. SEIGNEUR .. JE TE .. REJOINS! OOOOHH»

Le Comte de Poitou resta un moment vautré sur son épouse, le corps drainé par l'insoutenable plaisir qu'il venait de ressentir puis, se souvenant à temps de la dernière phase du rituel, il se retira de sa jeune femme encore pantelante et essuya soigneusement sa verge sur un pan de la robe avant de tamponner le vagin conjugal avec l'autre.

Il Aida ensuite Emilienne à enlever la robe blanche maintenant maculée de foutre et d'un peu de sang virginal et l'exhiba à la vue de l'assistance qui applaudit à tout rompre. Le Berger et la Bergère, dont les robes laissaient elles-aussi apparaître des taches suspectes, empoignèrent la ceinture de velours rouge et la tranchèrent à l'aide d'un coutelas sacrificiel.

« Ite Virgo Est » s'écria la Bergère, reprenant une des rares phrases en latin du cérémoniel des Vrais-Croyants.

Une jeune fille de l'âge d'Emilienne s'approcha de la jeune mariée avec une bassine et lui tamponna le front avec un linge humide avant de lui laver l'entrejambe puis l'aida à enfiler une robe richement colorée qui tranchait avec les robes claires des témoins.

« Emilienne » dit Ebles, « Je te présente Adèle , la pupille de feu mon ami Géraud et ma protégée. Elle sera ta Dame de Compagnie et elle compte sur toi pour l'initier à nos Mystères ... lorsque je devrai m'absenter! »

« Je suis certaine que nous nous entendrons à merveille, Messire Ebles, dit Adèle en s'agenouillant devant la Comtesse et en posant son front contre le Mont-de-Vénus qui venait de vivre ce formidable dépucelage. « Il me tarde de réchauffer la couche de ma Dame! »