Apres La Danse

Informations sur Récit
Une histoire fils/mere.
3.1k mots
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3
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 3 pièces

Actualisé 10/24/2022
Créé 01/20/2011
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paradoxe
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1 Romance

2 Luxure

3 Débauche

Romance

J'ai 45 et ma femme m'a quitté il y a un mois pour un plus jeune, depuis je suis seul dans mon appartement et je m'en trouve assez bien.

Il y a une semaine, ma mère m'a téléphoné en me demandant si je pouvais l'héberger pour deux ou trois jours car elle devait venir en ville pour des rendez-vous. Bien sûr, je dis oui.

Ma mère est une femme de 65 ans, plutôt mince et assez bien conservée, toujours habillée classique et sans laisser aller.

A son arrivée, je l'ai installée dans la chambre d'amis et elle est partie vaquer à ses affaires. De retour vers 16 heures, nous avons un café avant que je ne parte voir des clients. Nous avons papoté pendant une dizaine de minutes avant qu'elle ne se mette à critiquer le travail de la femme de ménage en me montrant de la poussière sur les étagères de la bibliothèque. Sur ce je suis parti me changer.

Quand je suis revenu dans la pièce, elle était juchée sur un tabouret et commençait à épousseter les rayonnages. En me penchant pour prendre une dernière gorgée de café, j'ai eu une vue imprenable sous sa jupe qui découvrait ses jambes, encore fines et le début de ses cuisses. Emoustillé, je me suis assis et je matais sans vergogne. Je voyais de plus en plus haut, jusqu'a apercevoir une culotte blanche sous le collant chair. Je suis resté à regarder pendant 5 minutes puis je suis parti à mon rendez-vous. C'était la première fois que je voyais ma mère sous un nouveau jour.

De retour 3 heures plus tard, nous nous sommes installés pour prendre l'apéritif avant de dîner et la conversation allait bon train quand elle me dit ; « J'ai vu que tu avais des DVD pornos dans ton salon, tu n'as pas honte? Non, répondis-je pourquoi? «Pour rien, mais ce n'est plus de ton âge, tu devrais penser à prendre une maitresse. »

Nous sommes passés à table, la conversation en restant là. Pendant le dîner, je repensais à ses jambes, à ses cuisses et à la petite culotte entrevue, je la regardais d'un œil neuf, Malgré son âge elle était encore attirante, sur son visage de fines rides d'expérience plus que de vieillesse, le peu de poitrine que laissait deviner son corsage semblait encore ferme et j'imaginais ses seins un peu tombants mais sûrement sexy. Alors qu'elle se levait pour prendre quelque chose, je la suivait du regard et trouvais que son cul était lui aussi attirant. Et à ce moment, je me suis rendu compte que je la voulais, je voulais lui faire l'amour. Non en fait je voulais la baiser, la baiser et en faire ce que je voulais.

« Tu vas bien, tu a l'air bizarre? » me dit-elle. « Non, non, rien de spécial.

Après le diner, nous avons regardé la TV dans le salon. Elle était sur le canapé et moi dans un fauteuil d'où je pouvais la voir dans la pénombre. En fait, je voulais voir ses jambes et plus haut si elle se découvrait par inadvertance. Mais rien. Quelques minutes plus tard, je remarquais que sa respiration avait changé, elle s'était endormie. Ma mère a toujours eu le sommeil lourd, je le savais. Alors, pourquoi ne pas en profiter un peu? Je me suis approché du canapé et sans la réveiller, je m'y suis assis à côté d'elle. Par l'échancrure de son corsage, je ne voyais rien sauf un petit bout de son soutien gorge blanc. En revanche, quand elle a bougé dans son sommeil sa jupe est remontée de quelques centimètres et je voyais ses cuisses de plus en plus haut. Enhardi, j'ai pris le bas de cette jupe et très doucement, je l'ai remontée encore jusqu'à voir sa petite culotte blanche sous on collant. A ce moment alors que j'hésitais à mettre ma main sur ces cuisses dévoilées, elle a bougé et s'est réveillée. « Je me suis endormie, il vaut mieux que j'aille me coucher. » Elle m'embrassa et partit dans sa chambre sans ne se douter de rien.

Le lendemain matin, je la croisais au petit déjeuner avant de partir au bureau et je lui dis que le soir nous irions diner au restaurant.

En rentrant vers 19 heures, je la trouvais prête à sortir pour le diner : soigneusement maquillée et coiffée, elle portait un corsage blanc, une jupe portefeuille noire descendant juste au dessous du genou et au bout de ses jambes gainées de noir des escarpins à talon mi-hauts.

Nous sommes partis pour le restaurant, en montant dans la voiture pendant que je lui tenais la porte elle a pris grand soin de ne pas laisser sa jupe s'entrouvrir. Le diner fut plaisant, nous discutions tout en appréciant le repas et les vins, ses yeux devenaient de plus en plus brillants et je la voulais de plus en plus. A la fin du diner quelques clients se sont mis à danser sur la petite piste du restaurant. Ma mère, qui adore danser me demanda de l'inviter. Sans aucune hésitation je la pris dans mes bras et nous avons dansé quelques valses avant que ne viennent les slows. Je me suis rapproché d'elle et je l'ai serrée dans mes bras, aucune résistance elle se laissait complètement aller. Je sentais ses seins contre ma poitrine et son haleine chaude dans mon cou. Alors que ma main était bien à plat sur son dos elle se serra encore plus, son bassin était maintenant collé au mien et elle ne pouvait pas ignorer que je bandais. Nous somme restés au moins un quart d'heure enlacés sans presque bouger, en se frottant l'un à l'autre. Je la sentais contre moi complètement abandonnée, je laissais mes mains descendre en bas de ses reins quand elle me dit. « J'ai un peu bu, rentrons »

Nous sommes sortis du restaurant et en montant en voiture elle ne fit aucun geste pour empêcher sa jupe de s'ouvrir largement dévoilant sa jambe jusqu'en haut de la cuisse. Tout en conduisant, je me disais, c'est bon c'est ce soir. Arrivés à la maison, elle me demanda un verre d'eau. Puis debout dans le salon elle me dit « merci pour cette excellente soirée « elle vint vers moi et me regardant droit dans les yeux elle me tendit ses lèvres, je me suis penchais pour la prendre dans mes bras quand elle recula et me dit. « Bonne nuit à demain ».

Dépité, je suis allé me soulager tout seul dans mon lit.

Le matin en arrivant dans la cuisine, j'ai trouvé un petit mot : je dois rentrer plus tôt que prévu, a bientôt. Elle était partie avant même que je ne me réveille.

Trois mois plus tard, elle m'a appelle pour me dire quelle doit revenir pour de nouveaux rendez-vous mais quelle prévoie de rester au moins 15 jours et elle me demande si elle peut venir chez moi plutôt que de descendre à l'hôtel. J'ai bien sûr dit oui tout de suite.

Les deux premiers jours de son séjour ont été sans grand intérêt, diner, TV et quelque papotage. Le troisième jour nous étions en train de prendre le petit déjeuner avant que je ne parte travailler quand elle me dit « J'aimerais ben retourne diner dans le restaurant de l'autre fois, je t'invite ce soir »

Le soir quand je suis rentré, elle était prête, même corsage, même jupe, même escarpins et même collant. Le diner fut de nouveau fort agréable, mais à ma grande déconvenue, il n'y avait plus de piste de danse et je ne voyais pas comment j'allais pouvoir de nouveau la prendre dans mes bras. Vers 10heures 30, nous sommes rentrés. Arrivée dans le salon ma mère me dit « C'est dommage qu'il n'y ai pas eu de musique, j'avais envie de danser » Sans hésiter, j'ai mis un CD, des slows, et je l'ai prise par la taille pur la faire danser. « C'est différent, ici, il y a trop de lumière, et je voudrais boire quelque chose » A ces mot je m'empresse de baisser la lumière et de servir deux cognac. Je la reprends par la taille et nous nous remettons à danser de plus en plus proche l'un de l'autre, de nouveau son corps contre le mien, son haleine chaude sur mon cou. Cette fois je laisse mes mains courir sur son corps, des épaules au bas de ses reins, ses seins sont tout contre ma poitrine et je bande contre son ventre. Mes mains atteignent ses fesses et je commence à les caresser à travers sa jupe. Tout à coupe elle relève sa tête qui était sur mon épaule, me regarde droit dans les yeux et je l'embrasse, d'abord doucement sur les lèvres, je sens sa bouche chaude s'ouvrir et sa langue entre doucement entre mes lèvres. Nous restons debout au milieu du salon à nous embrasser à pleine bouches pendant de délicieuse minute. Ma main trouve la fente de sa jupe et je remonte le long de ses cuisses gainées de nylon, fâcheusement elle porte un collant qui m'empêche de sentir sa peau. Elle se détache de moi et dit « rejoint moi dans ta chambre dans 5 minutes » et elle disparaît.

5 minutes plus tard, je rentre dans la chambre, tout est noir. »N'allume pas et viens dans le lit » Je me déshabille, j'entre dans le lit et là je la sens nue à côté de moi. Je l'embrasse tout en caressant ses seins, je ne les vois pas mais il son encore doux et fermes, je descends vers son ventre, elle est immobile elle gémit doucement, Je sens ses poils sou ma main, je descends encore et je sens son sexe, trempé, j'y plonge mes doigts et je la caresse. Je sents sa main sur mon ventre, elle me prend la queue et la masse doucement, je bande comme un fou. Toujours dans le noir elle m'attire sur elle, me guide vers elle, elle est tellement mouillée que ma queue entre dans sa chatte d'un seul coup bien à fond et je commence à la baiser comme un sauvage à grands coups, je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme. Elle commence à jouir, à gémir de plus en plus fort, j'explose et je l'inonde de mon sperme. Nous nous calmons, nous restons collé l'un à l'autre et elle me dit « Ca fait 15 ans que je n'avais pas fait l'amour » Deux secondes après elle dort.

Je lendemain matin quand je me sui réveillé elle n'était plus dans le lit. J'ai pris conscience que j'avais baisé ma mère et que je n'avais même pas vu son corps. Bizarrement frustré, je me suis levé et je me suis préparer pour partir travailler. J'allais sortir quand elle est arrivée dans la cuisine, habillé, prête elle aussi à partir et elle me dit simplement : « Bonjour, bonne journée et à ce soir. »

Luxure :

Le soir quand je suis rentré, je me posais plein de questions ; allaient-on recommencer, allait-elle être fâchée.....Je l'ai trouvée dans le salon, habillée d'une simple robe marron qui lui descendait aux pieds et quasiment pas maquillée, ce qui est rare chez elle. Elle m'a proposé de prendre l'apéritif et m'a dit qu'il fallait que l'on parle.

« - Est-tu content de ce que nous avons fait la nuit dernière?

- J'en avais envie depuis longtemps

- j'ai vu mais maintenant?

- pour être très franc, je regrette un peu

- tu as fait l'amour à une vieille femme, à ta mère, je comprends que tu regrettes, c'est sûrement mieux avec une jeune,

- non ce n'est pas ce que je veux dire, hier on a fait l'amour comme des amants quasiment comme un couple marié, j'avais envie d'autre chose, d'une maitresse, soumise, un peu exigeante, un peu ....salope.

- tu voudrais que ta mère se comporte comme une salope pour te faire plaisir, une pute à qui ont peut tout faire et qui fait tout,

- oui »

Elle était songeuse un peu interloquée assise bien droite dans sa robe de puritaine.

« - qu'est-ce que tu voudrais me faire?

- te voir nue, te voir sexy, bien sur te baiser, mais aussi que tu me suce, voir ton cul et t'enculer, et puis je ne sais pas, comme ça à froid c'est difficile.

- je vois »

Et sans un mot elle est partie dans sa chambre et pour la première fois j'ai entendu la clé tourner dans la serrure.

Le lendemain matin, je ne l'ai pas croisée. J'ai passé la journée à me dire que j'avais fait une connerie en lu parlant si franchement et que j'aurais du y aller plus progressivement. En rentrant je l'ai trouvée comme d'habitude, elle portait un de ses tailleurs classiques un corsage gris et des chaussures noires à petits talons. Le diner a été maussade, chacun ne parlant de chose et d'autre et n'osant s regarder en face.

Après, nous sommes passés au salon pour le café :

« Il y a quelque chose à la TV?

- non, rien d'intéressant

- tu mets un DVD?

- si tu veux

- tu veux mettre un de tes pornos?

- pardon?

- à moins que tu ne préfères le spectacle vivant? »

Là, je suis resté scotché, elle était devant moi souriante, une main sur la hanche avec un air un peu salace.

« Si tu veux, je me déshabille devant toi, je te montre mes seins, ma chatte, mon cul, je me branle avec le vibro que j'ai acheté cet après midi, il est très gros et après je te vide les couilles »

Entendre ça m'a laissé béat. Sans voix j'ai hoché la tête pour dire oui.

Alors ma mère se met debout en face de moi, elle déboutonne sons corsage lentement comme une strip teaseuse , je vois son soutient gorge gris pale, transparent, ses tétons qui pointent sous le tissus. A peine son corsage enlevé elle remonte sa jupe et je vois qu'a la place d'un collant elle porte des bas attachés par de fines jarretelles grises. Je vois sa peau blanche au dessus du bas. Elle laisse retomber sa jupe et se retourne, elle la dégrafe, la laisse tomber et je vois son cul, arrondi, un peut tombant mais terriblement attirant dans une petite culotte grise transparente. Elle se retourne, elle est devant moi, en soutien gorge, porte jaretelles et culotte.

« Ca te plais, une vieille de 65 ans?

- oui continue

- ne bouge pas pour l'instant »

Toujours en me regardant elle laisse tomber son soutient gorges et je vois ses seins, lourds eux aussi un peu tombant, avec des aréoles plus foncée et des tétons érigés qui semblent bander comme deux petites bittes. Elle passe la main dans sa culotte, et elle se caresse la chatte avec un air content, elle se retourne, enlève sa culotte se penche en avant et me montre son cul. Quel pied.

Simplement en bas et porte jarretelles elle s'approche de moi

« Tu voulais voir ma chatte, la voilà »

Je suis à 10 centimètres de son sexe, une touffe de poils au dessus et le reste fraichement épilé, des grandes lèvres brillantes de mouille et un clitoris discret mais en érection.

Je n'y tiens plus et j'enlève ma chemise et mon pantalon. Ma queue à peine sortie de mon slip, elle la prend et la branle. Je la regarde me branler et j'adore ça. Sa tête descend, elle va me sucer, elle me lèche la queue, le gland, met ses lèvres autour, recule me lèche les couilles revient et prend tout en bouche, je sens sa langue, je suis au fond de sa bouche. Elle me lâche, se recule, se lève et :

« Viens allons dans la chambre, ce soir tu ne ferras rien, tu ne me touche pas, tu ne me baises pas, tu regardes et tu me laisses faire, je fais ce que je veux et tu ne demandes rien, demain tu demanderas et tu ferras ce que tu voudras »

Arrivée dans la chambre elle se met sur le lit écarte les jambes toujours gainées de nylon et commence à jouer avec sa chatte. J'ai une vue imprenable ses doigts tournent sur son clitoris ; s'enfoncent dans son vagin. Manifestement elle y prend un grand plaisir. Quelle salope de 65 ans. Elle attrape son nouveau gode et progressivement se le met profond, elle se branle de plus en plus vite et jouit là devant moi. Je vois, je regarde mais comme elle le souhaite je ne touche pas, c'est dur mais c'est le jeu. Elle est là totalement impudique, sexe ouvert, chatte baveuse. Elle ne bouge plus, j'ai peur qu'elle s'arrête en si bon chemin mais :

« Tu voulais voir mon cul, et bien regarde, je me mets à plats ventre avec un oreiller sous l'estomac pour relever mes fesses, je les écarte, tu vois ma raie, tu vois ma rosette, approche regarde, je le titille avec mon doigt, je descends mon doigt dans ma chatte, je le mouille, je remonte toute ma raie, je me mets le doigt dans le cul, tu vois ça rentre »

Quel spectacle, ma mère vautrée sur le lit avec un doigt dans le cul, la réalité est plus belle que le rêve.

Puis a sa demande je me suis allongé sur le dos, elle m'a repris dans la bouche en me disant qu'elle allait me vider les couilles. Après avoir léché sucé ma queue elle ma sucé les bourses, puis en descendant progressivement elle a commence à jouer avec mon cul. Elle a titillé mon anus avec son doigt, m'a léché toute la raie. Puis surprenant mais pas désagréable elle a commencé à l'enfoncer son doigt dans le cul. Quelle sensation. Son doigt retiré elle a commencé à le lécher de nouveau avec entrain, puis j'ai senti sa langue entrer à son tour, le visage collé à mes fesses elle me mettait sa langue dans le cul aussi loin qu'elle le pouvait. Quelle salope. Enfin, elle m'a repris dans sa bouche et m'a pompé avec ardeur, d'un coup j'ai jouis à longs traits, moitié sur sa bouche moitié sur son visage, elle a avalé et j'ai commencé à récupérer avec la langue mon sperme sur le visage de ma mère pour l'embrasser et lui remettre dans la bouche.

Après nous avons fumé une cigarette en nous regardant sans rien dire, j'ai encore regardé sa chatte et ses seins, puis je me suis endormi, la queue dans sa bouche.

A suivre

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3 Commentaires
JeanFrancoisJeanFrancoisil y a plus d’un an

Le récit de fantasme m'a beaucoup excité. Merci

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Que de souvenirs qui me reviennent, de branlettes quand ma mère faisait sa toilette dans la salle de bains voisine de de ma chambre, jusqu’au jour où, sortant de son bain, elle me surprit allongé sur mon lit nu ma bite à la main en pleine masturbation. J’eus la honte de ma vie, ne pu dire un mot, je ne savais plus que faire. Elle me souris, déposa un baiser sur mon front, me dit « chéri détends toi, tous les enfants de ton âge font la même chose, c’est un passage de la vie ou la sexualité d’un garçon s’éveille, tu n’as pas à avoir honte continue ne te retiens pas laisse-moi te regarder te caresser prends du plaisir » Elle s’assit sur le bord de mon lit déposa un nouveau baiser sur mon front « branles toi, vas au bout de ton plaisir » ces mots firent immédiatement effet sur ma bite qui doubla de volume et que j’entrepris de branler à nouveau, mon souffle devint saccadé je sentais ma jouissance arriver, quand soudain ma mère pris mon sexe dans sa main et le porta immédiatement dans sa bouche, Ma bite explosa littéralement libérant un torrent de sperme qu’elle engloutit jusqu’à la dernière goutte. Je ne savais pas ce qu’il m’arrivait, je n’eus pas le temps de comprendre, ma mère ouvrit son peignoir s’agenouilla jambes écartées sur mon visage et me dis « maintenant tu vas découvrir ce qu’est une femme, lèche ma fente suce la chatte de ta mère aspire la bien, fait moi jouir »

AnonymousAnonymeil y a environ 4 ans
Magie de l'amour mère fils

Ma mère n'est plus là mais j'ai toujours rêvé de faire l'amour avec elle... je me masturbais comme un fou en imaginant des scènes érotiques, coquines et parfois très chaudes. J'aurais adoré des instants comme ceux-là...

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