Annie Apprend à la Dure

Annie profitait de son samedi pour finir d'installer son sapin de Noël, la musique la faisait voyager dans son enfance. Depuis toujours elle adorait le temps des fêtes, décorer la maison, cuisiner des petits plats et courir les magasins pour les cadeaux. Contrairement à elle Robert était plutôt terre à terre alors il avait fuit la maison et pendant que sa femme décorait la maison lui était à perdre une partie de sa dernière paye au casino.

Annie était déçue du manque d'intérêt de Robert pour les fêtes mais à quoi pouvait-elle s'attendre d'un homme qui six ans après leur mariage se contentait d'une seul relation sexuelle par mois. Encore à 28 ans, voir le sapin de Noël allumé rendait Annie émotive et elle espérait que pour un soir, que Robert rentre tôt à la maison. Si au moins ils avaient eu des enfants mais la encore Robert n'avait pas été gratifié par la nature, son système de reproduction était défectueux.

La semaine n'avait pas été facile au travail pour Annie, elle travaillait pour une fabrique de produits chimiques. La compagnie avait été rachetée par une multinationale américaine il y a un an et Bill Dickson avait été nommé pour prendre les guides de la compagnie. Jeune noir arrogant il faisait la vie dure à Annie représentante syndicale.

Faut dire que le harcèlement sexuel était flagrant. En moins de 9 mois la majorité des jeunes filles avaient été convoquées et avaient reçu des menaces de perdre leur emploie et le lendemain la jeune fille ayant été touchée par l'avertissement rentrait au travail portant une queue de cheval nouée avec un beau ruban noir. Certaines ne revenaient plus au travail et de nouvelles brebis étaient engagées.

Ainsi parée, l'élue se voyait appeler au micro par la secrétaire du patron mentionnant que sa présence était requise dans le bureau du boss. Tous savaient qu'elle en aurait pour toute l'après midi et quelque fois pour la soirée aussi. Bill Dickson ne lésinait pas sur la formation. Les capacités sexuelles du jeune patron semblaient faire l'unanimité malgré qu'aucunes des filles se montraient intéressé à faire des aveux.

Annie éprouvait toujours un malaise quand elle devait rencontrer son patron. Le lundi suivant elle fut convoquée par Bill et à regret se présenta à l'entrevue. Quand elle entra dans le bureau, une odeur de sexe lui monta aux narines. Son patron l'invita à prendre siège en face de lui. Quand elle s'assit, elle bascula profondément dans le fauteuil moelleux si bien qu'elle écarta les jambes et au même moment sa jupe remonta exposant ses cuisses blanches et sa culotte au grand plaisir de Bill.

Annie remarqua le sourire du patron et une colère s'empara d'elle, elle s'en voulait de sa maladresse et de lui avoir donné une vue de ses dessous. Annie se redressa et bien que l'avant du bureau de son patron soit fermé, elle constata que des petites orteils dépassaient sous le bureau, elle découvrit du même coup qu'une employée gratifiait son patron d'une fellation pendant qu'ils discutaient.

Elle commença à rougir devant un tel geste. Bill exploita ce moment pour lui parler des raisons qu'il l'avait convoqué. Bill : Il y a maintenant un an que je suis en poste et le but que je m'étais donné de faire de cette compagnie une grande famille est freiné par vos actions à l'égard de mes procédés. Annie le vit prendre un dossier et avant de se lever elle le vit serrer la main et agripper des cheveux blonds. L'instant d'après un bruit de fermeture éclair qu'on remonte se fit entendre.

Quand Bill se leva et s'approcha d'elle, Annie pu voir l'impressionnante déformation que subissait son pantalon. Elle avait beau ne pas vouloir regarder, mais c'était plus fort qu'elle à la grande satisfaction de son patron. Bill se pencha et lui montra son dossier, il contenait une photo d'elle ainsi que plusieurs écrits à la main. Bill : Ce dossier contient toutes les erreurs que vous avez fait ces dernières années ainsi que les toutes les prises de bec que vous avez eu avec mes prédécesseurs et moi-même. Annie fut humiliée quand elle regarda sa photo dans le dossier et constata des traces d'une substance qui ne laissaient aucun doute, le salaud s'était masturbé sur sa photo et avait volontairement laissé les traces pour l'offenser.

Bill était maintenant appuyé sur son coté. Annie pouvait sentir la chaleur de son énorme queue sur son bras pendant que ses testicules en faisait autant sur son coude, elle senti sa chatte se mouiller devant cette promiscuité que son patron lui imposait. Bill : Je t'offre la possibilité de faire amande honorable et de te joindre à moi pour que nous puissions installer une ambiance plus chaleureuse dans ce bureau.

Annie comprit très vite l'allusion et malgré l'excitation dans laquelle elle se trouvait, elle se leva et se dirigea vers la porte en lui disant qu'elle était mariée et n'était pas ce genre de femme. Bill : Je tiens à t'aviser que si tu franchis cette porte, tu es licenciée et je veillerai à détruire ta réputation si jamais tu parles de cette rencontre à d'autres personnes. Annie : Au plaisir de ne plus vous revoir monsieur et elle claqua la porte.

En route vers la maison Annie ne cessait de pleurer de rage. Pour qui se prenait-il celui-là, il ne savait pas à qui il avait à faire ce salaud. Elle rongea son frein toute la soirée car Robert ne rentra que très tard, il avait prit quelques verres de trop résultat d'une perte d'argent au jeu. Annie décida d'attendre au lendemain matin pour lui annoncer la nouvelle et monta se coucher mais le sommeil ne vint que tard dans la nuit si bien qu'à son réveil Robert avait déjà quitté pour le travail.

Annie passa la journée sous le choc des évènements de la veille. Comment allait-elle aborder la chose avec Robert? Comprendrait-il ses raisons? Enfin Robert pour un soir rentra de bonne heure, il avait lui aussi une mauvaise nouvelle pour Annie. Annie : Je suis contente que tu rentres tôt Robert car j'ai besoin que l'on se parle. Robert : J'ai besoin de te parler moi aussi.

Annie : À toi mon chéri, dis moi ce que tu veux me dire pendant que je prépare le repas. Robert : Annie je suis désolé d'avoir à te le dire mais hier j'ai été très malchanceux. J'avais une main imbattable au poker hier soir du moins je le croyais mais un joueur a eu la chance de frapper une straight flush royal et j'avais misé plus de $12,000.00 et j'ai tout perdu. Sa femme était abasourdit, il avait perdu toutes leurs économies en un soir.

Annie pleurait comme une madeleine. Robert essayait de la consoler mais il ne connaissait pas encore toute la portée de son aveu. Robert : Chérie qui a-t-il? Je ne t'ai jamais vu aussi atterrée, ce n'est pas la première fois que je perds de l'argent mais nous allons remonter la pente. Annie : Je...eeeee viens de... eeeee perdre mon...onnnn emmmm... emploie. Robert : Comment ça? Annie : Mon patron m'a fait des avances et il m'a avertit que si je refusais je perdrais mon emploie et je l'ai envoyé promener.

Robert : Je ne le connais pas cet imbécile mais tu as bien fait ma chérie, on va prendre des procédures contre lui, c'est du harcèlement sexuel. Annie : Impossible, il est très puissant et il détruirait ma carrière. Robert : Je crois que tu dois essayer d'oublier toute cette histoire pour ce soir, tient prend un bon verre de vin cela va te faire du bien. Ce soir là Annie s'endormit dans le bras de son mari, chose qu'elle n'avait pas fait depuis un bon bout temps.

Le lendemain Annie la guerrière était déjà prête à passer à l'action et vérifia tous les journaux locaux pour se trouver du travail. À la fin du mois les résultats de ses efforts se faisait attendre et quand les comptes entrèrent et qu'ils manquèrent d'argent pour tout payer Annie perdit sa détermination et s'installa dans une routine de résignée.

La relation de couple se détériora. Elle passait la plus grande partie de sa journée sur l'internet pour se désennuyer aussi ce qui devait arriver arriva. Dans sa frustration sexuelle elle commença à trouver son plaisir en regardant des sites pornos. Un jour elle tomba sur un site dédié aux mâles alphas. Elle n'avait jamais imaginée des sexes aussi gros et aussi performants, les noirs semblaient avoir la propriété de baiser pendant des heures et avoir des éjaculations à se noyer dedans.

Bientôt ses nuits furent remplies de baise torride avec des noirs, jusqu'au jour le souvenir de la bite de son ancien patron commença à la hanter. Pour ajouter à ses tourments Robert semblait être de plus en plus distant. Devant les factures qui s'accumulaient, il était important qu'elle trouve du boulot sinon ils ne sont sortiraient pas. Robert eu l'audace de lui parler de retourner voir son ancien employeur. Annie était déterminé et le prévint qu'il avait intérêt à trouver une autre solution, il était seul responsable du manque d'argent et ne se gênait pas pour le lui rappeler. Tannée de ses pressions elle l'avisa qu'elle ne vivrait pas ça très longtemps et songeait au divorce.

Annie devint de plus en plus autoritaire. Pendant ce temps là Robert développa un sentiment de culpabilité et s'écrasa devant le regard méprisant de sa femme. Un soir Annie reçu la visite de sa sœur Marie, elle venait de terminer un Baccalauréat en chimie tout comme Annie l'avait fait avant elle. Marie : Annie j'ai une bonne nouvelle à t'apprendre, je crois que nous allons peut-être travailler ensemble, j'ai envoyé mon C.V. et j'ai un rendez-vous avec ton patron.

Annie : Je serais très étonné car je ne travail plus pour lui. Marie : Je sais il m'en a parlé lors de notre rencontre hier et il m'a aussi dit qu'avant longtemps toi aussi tu reviendrais et qu'il veillerait personnellement à ce que tu reçoives toute la formation que tu mérites. Annie savait très bien de qu'elle genre de formation il s'agissait, elle était furieuse de voir que ce porc se servait de sa jeune sœur l'atteindre. Annie : Marie je t'en pris oublie cet emploie, ce gars là c'est un salaud, il abuse des filles qui travaillent pour lui. Marie demeura chez sa sœur le temps de se trouver du travail et un logis. Un jour Marie revint à la maison accompagnée, Annie fut estomaquée car Marie avait invité Bill Dickson s'en lui en parler et devant le fait accomplit elle ne put que le laisser entrer.

Robert eu droit à une douche froide quand on lui présenta Bill Dickson, il se trouvait en présence du gars qui lui avait soutiré $12,000.00 au poker et en plus il apprit que c'était l'ex patron de sa femme. Pendant qu'Annie et Marie préparaient le repas, Bill en profita pour causer avec Robert. Bill : Je suis désolé que vous viviez une période difficile, je sais que ta perte au poker n'aide pas alors j'ai une offre à te faire. J'aimerais que tu persuades ta femme à revenir travailler pour moi, si tu réussis je te rembourse la moitié de ta perte.

Robert réalisa qu'avec cette offre il aurait la possibilité de payer toutes leurs dettes et sauver son union. Robert : Je suis d'accord Monsieur, je vais tout faire pour qu'elle retourne au travail. Bill : Bonne décision car j'ai trouvé qu'Annie avait l'air morose. Dis-moi franchement Robert, trouves-tu ta femme heureuse? Robert : Non Bill : Elle a les traits d'une femme fatiguée et semble insatisfaite. Si tu acceptes de faire ce que je te dis, elle retrouvera le sourire er dans un mois elle sera une toute autre femme.

Robert était humilié qu'on lui dise que sa femme était insatisfaite mais il devait se rendre à l'évidence, la nature ne l'avait pas gratifié physiquement et Annie avait une très forte libido. Elle avait souvent démontré sa frustration assez souvent ces derniers temps. Robert : Que dois-je faire? Bill : Dans les prochaines semaines ta femme va prendre les choses en main. Robert : C'est déjà commencé. Bill : Tu dois te plier à ses exigences sans la contrarier. Tu verras tout rentrera dans l'ordre. Moi de mon coté avec ta permission je vais faire tout le nécessaire au bureau pour la satisfaire. Robert, naïvement répondit: Merci monsieur.

Pendant ce temps là, les femmes vaquaient au repas Annie : Marie depuis quand tu te fais une queue de cheval? Marie : C'est nouveau, hier quand j'ai eu l'entretien avec Mr. Dickson et il a dit qu'il aimerait me voir avec une queue de cheval et il m'a remit un beau ruban noir pour aller avec. C'est plus pratique comme il dit et il y a moins de risques de contamination avec les produits. Comme je devais le revoir pour compléter mon dossier aujourd'hui, j'ai essayé de mettre les chances de mon bord. Plus tard, il m'a offert de me ramener à la maison c'est pourquoi il est là.

Annie retourna au salon voulant savoir comment Robert se débrouillait avec son ex patron. Elle fut très étonnée de les voir en grande conversation comme deux amis. Robert : Chérie Mr. Dickson vient de me proposer de fabriquer nos produits à un meilleur coût. Annie se méfiait des bonnes intentions de Bill Dickson et lui jeta un regard qui le fit sourire.

Ce soir là Annie et Robert eurent une grande conversation. Robert : Annie j'ai parlé avec Mr. Dickson et vraiment il m'a paru être correct et il aimerait que tu reviennes sous sa direction. Annie : Robert tout ce qu'il veut c'est me baiser, tu t'imagines, me faire sauter par un noir comme une pute. Robert ne répondit pas mais les paroles de Bill lui revinrent en tête. Robert se retrouva en érection et se colla sur Annie. Elle trouva surprenant son état mais ne voulu pas en parler maintenant et profita plutôt du moment.

Il y avait si longtemps qu'ils n'avaient pas fait l'amour. Annie sentait qu'un orgasme montait dans son ventre, elle aimait être pénétrée, Robert se mit à gémir : hooooooooo. Annie : Nonnnnnnnnnnn attend encore un peuuuuuu mais il était trop tard Robert se vida en elle. Piteusement il se retira d'Annie qui frustrée se masturba à coté de lui. Quand son orgasme s'apaisa elle lui tourna le dos mais le désir continua à circuler encore dans son corps.

La nuit fut mouvementée aussi bien pour Robert qui rabaissé sentait les risques de voir sa femme se faire baiser par Bill. Annie elle de son coté obtenait un troisième orgasme grâce à une énorme queue. Le lendemain elle appela Mr. Dickson et lui fit part de son mécontentement et lui demanda de laisser sa sœur tranquille. Bill : Désolé Annie mais tu as quitté notre compagnie et je dois trouver quelqu'un pour te remplacer et je dois t'avouer que ta sœur a tout ce que je recherche en plus elle a la jeunesse.

Annie encaissa difficilement le coup, les armes lui vinrent aux yeux. Bill profita de sa détresse et lui donna le coup de grâce. Bill : Désolé je t'ai proposé beaucoup plus que ton mari peux t'offrir et tu as refusé maintenant c'est ta sœur qui va en profiter. Maintenant il ne te reste plus qu'à te finir à la main quand ta mauviette de mari se sera masturbée dans toi. Choquée par ce qu'il venait de dire Annie raccrocha et s'écrasa en pleur.

Jamais personne ne l'avait traité comme ça avant mais pour une raison qu'elle ne comprenait pas ce salaud la troublait. Elle avait toujours été une femme dominante et ce renversement de rôle l'excitait. Marie passa l'après midi à la maison si bien qu'Annie ne pu trouver de satisfaction avec sa passion préférée (le porno). On dit que la nuit porte conseil aussi Annie mit le dicton en pratique et quand Marie sortit de la maison elle en profita pour appeler Bill. Il prit plaisir à la faire attendre.

Bill : Oui bonjour. Annie : Mr. Dickson c'est Annie j'aimerais retourner au travail. Bill : Écoute Annie je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée, tu n'es pas en mesure de satisfaire mes besoins, je suis très dominant et quand je donne un ordre j'exige l'exécution immédiat. Ce serait trop difficile pour toi, tu es une rebelle Annie. Restons en bon terme car on aura sûrement l'occasion de se revoir si je prends ta sœur en charge. Annie : S.V.P. Mr. Dickson je serai une bonne employée, je ne m'occuperai plus du syndicat, Annie murmura : Je ferai tout ce que vous voulez. J'ai besoin de cet emploie. Bill : Je n'ai pas bien compris, peux-tu répéter. Annie rageait, elle savait ce qu'il voulait entendre mais elle ne pouvait plus reculer. Annie : Je ferai tout ce que vous voulez.

Bill : Bon je vais réfléchir à ta proposition et prendre une décision cette semaine je te rappellerai. Puis ce fut le silence, Annie raccrocha à son tour. Annie s'était mise à genoux mais elle se retrouvait toujours dans l'incertitude. Il l'avait rabaissé encore une fois mais elle n'y comprenait rien, elle se sentait dominée par cet individu et sa chatte mouillait en y pensant. Un désir d'abandon transperça Annie et elle chancela à l'idée d'obéir aux ordres de Mr. Dickson, elle glissa sa main dans sa culotte, jamais elle n'avait été aussi poisseuse et la pensée d'être écartelée et pénétrée par sa grosse bite noire augmenta l'intensité de son plaisir. La libération était imminente quand soudain Marie ouvrit la porte. Elle n'eut qu'un instant pour rabattre sa jupe laissant sa culotte rabaissée sur ses cuisses. Marie trouva étrange la façon de marcher de sa sœur quand elle la vit monter à sa chambre.

Le reste de la semaine lui parut long aussi quand elle vit que la journée du vendredi s'achevait et qu'elle n'avait toujours pas reçu d'appel de Bill, elle commença à faire les cents pas. Marie lui demanda qu'est-ce qui la tourmentait à ce point mais Annie préférait ne pas lui en parler. Annie sursauta quand elle entendit le téléphone sonné et se précipita pour répondre avant sa sœur. Annie : Oui bonjour. Bill : Bill Dickson a l'appareil, comment vas-tu? Annie : Bien monsieur. Bill : J'ai bien réfléchie à ta demande et je veux bien te laisser une chance de me prouver ton dévouement.

Lundi présentes toi au travail mais bien entendu il y a des conditions, tu dois t'en douter. Annie : Oui monsieur je m'en attendais, les quelles? Bill : Premièrement, je te veux en jupe courte et demande à ta sœur qu'elle te prête son ruban noir, tu seras très mignonne avec une queue de cheval. Quand je te ferai appeler, tu te rendras à la porte de mon bureau et avant de cogner tu enlèveras ta culotte et tu la mettras autour de ton cou. Ha oui j'oubliais, je déteste les poils alors ne me déçoit pas car il n'y aura pas de deuxième chance. Annie : Bien monsieur Bill : Avant de terminer dis moi que tu as hâte que je te baise salope. Annie : Je ne peux pas monsieur S.V.P. je ne suis pas seul. Bill : Pas d'importance salope, tu n'as plus aucun droit de refus. Hésitante Annie : J'ai hâte que vous me baisiez monsieur. Bill : Crois moi tu vas l'être, je vais faire de toi une bonne chienne. Annie entendit un clic et raccrocha aussi tôt.

Annie était secouée par la façon donc il l'avait traité. Sa chatte était en feu et elle croisa les jambes pour obtenir un soulagement, une excitation morbide la dévorait de l'intérieur mais revint à la réalité quand Marie lui demanda : As-tu prit un amant Annie? Rouge de honte Annie lui expliqua le peu d'intérêt de Robert pour le sexe et qu'elle n'avait jamais trompé son mari mais que des circonstances font quelle n'a plus le choix maintenant, elle lui fit comprendre qu'elle ne désirait pas en dire plus pour l'instant. À suivre.