Anecdoctes 01

BÊTA PUBLIQUE

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La bouche experte de sœur Marie longe méthodiquement la colonne de chair qui commence à palpiter. Ses mains accompagnent son mouvement et ses doigts serrent le gland.

- Regarde Lucie! dit-elle en se redressant un peu. Il va donner son offrande. Une offrande de vie.

La jeune novice s'approche et regarde sœur Marie complètement nue, accélérant sa masturbation sur le membre en érection. Soudain, un long jet de liquide blanc et gluant jaillit du bout du sexe, puis un deuxième. Lucie est fascinée. Son propre corps est envahit de plaisirs qu'elle ne connait pas. Un troisième jet éclate sous la masturbation continue de la religieuse.

La pièce résonne des murmures envoûtants des prières et des incantations des nonnes. Les encens mystiques emplissent l'air, créant un voile odorant qui renforce le caractère sacré du rituel. Au centre de cette scène étrange, Yanis, attaché sur le lit, ressent la pression de l'inconnu. Les chaînes qui le retiennent vibrent presque en harmonie avec les mystérieuses forces que les nonnes cherchent à canaliser. Yanis, pris au cœur de ce rituel énigmatique, ressent le poids de forces qui dépassent sa compréhension. Les frontières entre le réel et le surnaturel s'estompent, laissant dans leur sillage une incertitude grandissante.

Alors que les nonnes ont conclu le rituel pour Yanis, Sœur Marie, aux yeux bleus empreints de souci, fixe le second pèlerin, avec une inquiétude grandissante. Dans la cellule de Kenzo, imprégnée d'une atmosphère sombre et mystérieuse, les murs dénudés semblent exhaler une froideur qui contraste avec la chaleur des bougies vacillantes. Des symboles énigmatiques tracés sur les parois ajoutent une touche d'inquiétude, tandis que la lumière tremblante des bougies projette des ombres dansantes, créant des formes fugaces qui semblent prendre vie.

Enchainé lui aussi, l'homme observe les trois femmes au-dessus de lui. La nudité des nonnes le dérange et l'angoisse. Les gestes de Sœur Marie deviennent presque mécaniques alors qu'elle se prépare à entamer le même rituel sur Kenzo. Ses mains, autrefois empreintes de douceur, révèlent maintenant une fermeté déterminée, témoignant de la complexité des sentiments qui l'habitent. Elle entoure la base du sexe au repos d'un anneau métallique et le serre.

- Déshabille-toi petite, murmure Soeur Agnès. Ton épreuve va commencer.

Comme Lucie ne réagit pas, l'aînée dégrafe la robe qui tombe sur le sol en pierre. Hormis la culotte de coton blanc et le voile qui masque sa chevelure, la jeune novice est nue. La peau laiteuse contraste dans l'obscurité de la cellule. Malgré lui, Kenzo admire le corps magnifique de la jeune femme. La tension dans la cellule s'intensifie. La lueur vacillante des bougies accentue le mystère qui plane dans l'air, créant une atmosphère électrique où l'inquiétude et la peur s'entremêlent. Les gestes des nonnes deviennent plus complexes, leurs prières plus envoûtantes. Kenzo, désormais le centre de cette expérience déroutante, ressent une montée de peur et de dégoût qui s'insinue dans ses veines. Les chaînes qui le retiennent deviennent des entraves symboliques, un lien avec des forces qu'il ne peut comprendre.

Son regard, empreint d'inquiétude, croise celui de Lucie, dont les yeux bleus semblent refléter la même appréhension. Cependant, elle poursuit le rituel avec une détermination qui dissimule mal son propre malaise. Sa culotte est ôtée. Les deux autres sœurs lui intiment la procédure.

- Prends son membre et caresse le!

Lucie s'approche du lit où le prisonnier est enchaîné. Elle se penche et le voile sur ses cheveux masque son visage. La main tendue attrape la verge qui est encore un peu molle. Kenzo apprécie mais en même temps voudrait s'y soustraire. Une force puissante entrave sa volonté.

Les incantations prennent une tonalité plus sombre, les symboles tracés prennent vie dans une danse mystique. Kenzo, confronté à des forces qui défient sa compréhension, ressent une nausée grandissante, une réaction instinctive à l'inconnu qui le submerge. La cellule devient le théâtre d'une confrontation entre le réel et l'occulte, plongeant Kenzo dans un tourbillon d'émotions où la peur et le dégoût s'entremêlent, formant un cocktail d'angoisse qui semble transcender la frontière entre le tangible et l'impalpable.

La main de la jeune branle la colonne de chair qui se dresse rapidement. Autour du lit, les religieuses entourent la novice et le prisonnier entravé. Elles contrôlent les gestes de la jeune femme et se caressent.

- Maintenant, mets-le dans ta bouche et suce!

Émergeant des incantations psalmodiées, l'ordre est exécuté derechef. La petite Lucie se penche et pénètre la queue dans sa bouche. Ses lèvres fines serrent le membre et sa langue agile joue avec le gland. Kenzo ferme les yeux sous la violence de son plaisir. Soeur Marie se penche et tend sa main entre les cuisses de la novice qui se laisse faire. Les doigts experts ouvrent doucement la corolle des replis et s'immiscent doucement dans l'intimité vierge de la novice.

- Maintenant, chevauche-le et circlue-le!

Lucie se redresse et regarde un instant le corps masculin dans toute sa puissance avant de monter sur le lit. Derrière la novice, Soeur Marie maintient la verge verticale. La jeune écarte ses cuisses et s'agenouille. Kenzo sent son gland toucher la vulve de la jeune femme. Il est prêt à éclater et, quand elle s'enfonce, la résistance de l'hymen imprime une pression supplémentaire. L'homme ne résiste pas et éjacule dans la matrice vierge de la jeune novice.

Lucie sent le fond de son utérus éclaboussé par un puissant jet et un orgasme immense l'étrangle. Elle penche sa tête en arrière et gueule dans la cellule sombre. Soeur Agnès et Soeur Marie qui se masturbaient, éclate aussi et unissent leurs orgasmes à celui de Lucie. Les murs en pierre humide résonnent des cris de plaisir.

***

Le lendemain matin, Yanis et Kenzo ouvrent les yeux, engourdis et désorientés, pour découvrir qu'ils se trouvent dans la paille d'une étable, à proximité du couvent. La confusion les enveloppe alors qu'ils tentent de rassembler les fragments de la nuit précédente dans leur esprit embrumé.

La réalité et le rêve semblent s'entremêler dans leur mémoire, créant une brume floue qui entoure les événements mystérieux de la cellule du couvent. Les chaînes qui les retenaient sont maintenant absentes, mais l'écho du rituel persiste dans leur esprit, laissant planer le doute sur la nature de cette expérience. Yanis et Kenzo échangent des regards perplexes, se demandant s'ils ont réellement vécu cette étrange séquence d'événements ou si elle n'était qu'une illusion nocturne. L'étable, témoin silencieux de leur réveil confus, ne livre aucun indice tangible sur la nature de leur voyage entre la réalité et le mystique. Le mystère persiste, laissant les pèlerins dans l'incertitude quant à ce qui s'est réellement déroulé dans l'obscurité de la nuit précédente.

Les pèlerins repartent de l'étable, laissant derrière eux le couvent et les énigmes non résolues qui persistent dans leur sillage. Les chaînes invisibles du rituel semblent s'être relâchées, mais le poids des questions sans réponse pèse sur leurs épaules fatiguées.

Anecdote 3 : Les Masques de l'Intimité

Lucas, 19 ans, désabusé par l'école et ses cours monotones, prend la décision radicale de sécher la journée. Ignorant les salles de classe oppressantes, il s'évade dans la forêt avoisinante, cherchant refuge sous la canopée des arbres. C'est l'été ; il fait chaud. Ses cheveux ébouriffés et son attitude décontractée témoignent de son désir de s'affranchir momentanément des contraintes académiques. Les murmures du vent parmi les feuilles deviennent son écho de liberté, et chaque pas le rapproche d'une escapade qui promet d'être aussi déroutante que libératrice.

Alors qu'il s'aventure plus profondément dans la forêt, Lucas entend des rires et une conversation. Avançant discrètement, il découvre un coin paisible, une sorte de petite clairière où un couple semble profiter d'un pique-nique improvisé. Une nappe rouge s'étale sur le tapis vert de l'herbe. Comme le garçon avance encore, il remarque que le couple est nu. Un sourire se dessine sur son visage. Cependant, son regard est soudainement captivé par la femme du couple, mystérieusement masquée d'un blanc immaculé. Une aura étrange entoure cette scène apparemment banale, et l'intrigue de Lucas est piquée. Sa curiosité le pousse à observer discrètement, cherchant à percer le mystère derrière le masque qui voile le visage de la femme. Ses cheveux bruns, caressant délicatement ses épaules et sa lourde poitrine, ajoutent une touche de féminité à sa silhouette élancée. La finesse de ses traits lui confère une beauté mystique qui contraste étrangement avec la simplicité du pique-nique. La peau nue est hallée et le sexe est imberbe. Les mouvements de la Vénus sont gracieux, et chaque geste semble orchestré avec une élégance naturelle. Le masque, énigmatique, ajoute une dimension inattendue à sa présence, créant un contraste entre l'intimité du couple et le mystère qui entoure la femme masquée.

Lucas, dissimulé dans l'ombre des arbres, observe discrètement le couple. La femme est assise sur son postérieur et mange du raisin en soulevant légèrement son masque en riant. L'homme boit du vin en se branlant tranquillement. Leurs échanges semblent empreints d'une complicité palpable, chaque regard échangé et chaque sourire partagé révèlent une intimité qui semble échapper aux contingences du quotidien. L'homme, manifestement épris, démontre une affection particulière envers la femme masquée, accentuant cette atmosphère mystérieuse.

Lucas calme sa respiration et épie la curieuse scène. Soudain, l'homme se lève, la verge bien raide devant lui. La femme pose le raisin et s'agenouille bien droite devant. La courbe de sa silhouette excite l'esthétique du jeune espion qui commence à sentir une érection gonfler dans son pantalon. Les fesses charnues s'écrasent sur les mollets et la taille mince souligne les jolies hanches. Les seins ronds et massifs combattant admirablement la gravité et Lucas remarque que les tétons, ces deux cylindres de chair, sont longs et en érection.

L'espion n'entend pas les murmures de l'homme mais comprend que ce dernier commande. La belle femme tend ses bras et saisit la verge. Un lent mouvement commence dans le silence de cette petite clairière perdue dans la forêt. Lucas s'imagine à la place de l'homme. Son sexe réclame une caresse.

L'homme s'écarte et la femme se lève. Les jambes écartées et les mains derrière la tête, elle suit son dominant vers un arbre. Le masque blanc qui dissumule le visage de la brune agace Lucas. La femme pose ses mains sur le tronc d'un vieux chêne et se penche en avant. Les fesses rondes et musclées de la soumise pointent en arrière et s'offrent aux caresses de l'homme.

Lucas a sorti sa verge et se branle doucement devant la scène érotique. Il admire la magnifique et excitante silhouette de la créature qui se donne maintenant aux assauts virils du mâle. Sans préambule, la queue a pénétré le vagin. Les secousses puissantes font gémir la femme qui se maintient toujours contre l'arbre et accuse les perforations masculines. C'est bien trop tentant pour Lucas.

La femme, de gémissements en cris, semble apprécier le traitement dominant. Ses seins ballottent sous son corps mince et excitent Lucas qui veut les lécher et y planter sa queue. La brune se raidit et, dans le silence de la forêt, elle hurle tellement fort et se balance tellement violemment que le masque glisse un peu. La taille mince maintenue par les mains puissantes de l'homme, tout vibre du corps de la femme.

L'homme s'écarte et la femme se redresse. Lucas admire la sveltesse du corps féminin qui s'offre dans le cadre idyllique de cette clairière. Elle s'agenouille à nouveau devant la verge raide et gluante des liquides. Les gestes du couple semblent rythmés par une danse invisible, évoquant une harmonie qui transcende les mots. Pour Lucas, cette scène devient une fenêtre ouverte sur un monde inconnu, où les liens du cœur s'expriment dans chaque mouvement et chaque regard échangé. Intrigué par cette complicité en apparence parfaite, Lucas se demande quelle est la nature du lien qui unit cet étrange couple. Le femme est allongée sur le dos et accueille entre ses cuisses écartées, l'homme.

"Est-ce que je les rejoins? J'aimerais tellement caresser et lécher ses seins." se dit le garçon.

Dans le calme de la forêt, le couple partage un moment d'intimité. La femme masquée semble se fondre dans l'étreinte de l'homme, créant un tableau d'amour et de proximité. L'atmosphère chargée d'émotions atteint son apogée lorsque la femme, éprise, décide de retirer son masque. Lucas, toujours dissimulé dans l'ombre, assiste à ce dévoilement inattendu. Le masque blanc tombe, révélant le visage de la femme qui le captive tant.

Un frisson parcourt l'échine de Lucas lorsqu'il découvre, avec stupéfaction, que cette femme masquée est sa propre mère. L'étonnement se lit sur son visage, mêlé d'une confusion profonde, alors que la réalité se mélange étrangement à la fiction dans cette scène émotionnelle qui défie toute logique. Le visage de sa mère s'extasie lorsque l'homme plonge sa bouche sur les seins généreux.

Sous le choc de cette révélation inattendue, Lucas recule silencieusement dans l'ombre des arbres, cherchant instinctivement un refuge pour dissimuler son émotion palpable. Son cœur bat la chamade, et son esprit tourbillonne, débordant de questions sans réponse. Machinalement, il tient toujours son sexe dans sa main. Se dissimulant derrière un rideau de feuilles, il observe sa mère et l'homme.

Lucas retient son souffle, redoutant d'être découvert, tiraillé entre l'envie de s'éloigner discrètement et le besoin irrépressible de comprendre ce qui se joue sous ses yeux. Sa mère a relevé ses cuisses pour entourer les hanches puissantes de l'homme qui pénètre de plus en plus puissamment. Elle sourit et gémit de l'adresse de son amant.

L'ombre offre une protection temporaire aux émotions tumultueuses de son fils, tandis qu'il se demande comment aborder cette découverte déconcertante et si, finalement, il devrait révéler sa présence à sa mère. Il a bandé pour sa génitrice. Il a désiré pénétrer l'orifice qui l'a vu naître. Il s'excitait de sucer les seins qui l'ont naguère nourrit. Déchiré entre l'impulsion de confronter sa mère et le désir de préserver le secret, Lucas reste tapi dans l'ombre alors que le couple continue de baiser comme des bêtes à l'abri de leur quiétude.

Alors qu'il fixe à nouveau la scène, il constate que l'homme s'est redressé sur ses bras et pénètre plus rapidement sa mère. Cette dernière encourage son amant avec tellement d'entrain et de joie que Lucas préfère partir. Discrètement, il retrouve le sentier. Les images de sa mère portant un masque dans une situation intime le hantent, laissant une empreinte indélébile sur sa conscience troublée. Au loin, il entend sa mère jouir à nouveau dans un cri qui résonne dans la forêt.

Retournant chez lui, l'esprit en proie à la confusion, Lucas est confronté à un dilemme moral. La tentation de révéler ce qu'il a vu, de demander des explications, le taraude, tout comme la crainte des conséquences que cela pourrait engendrer. Les images de sa mère et de l'homme complice se mêlent à ses pensées, créant un tableau complexe de sentiments contradictoires qui le poursuivent jusque dans le confort de son chez-soi. La soirée s'achève dans un tumulte émotionnel, laissant Lucas face à une décision cruciale qu'il devra prendre dans les jours à venir.

Mais, au fond de son lit, alors que sa mère s'est couchée avec son père dans la chambre parentale, Lucas se branle. Les courbes magnifiques du corps de sa mère envahissent son imaginaire et c'est en pensant aux seins lourds et ronds, que le garçon éjacule dans ses draps.

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2 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 5 mois

Ce format d'histoire est agréable. J'ai aimé la perversité de ces 3 nonnes...

luc1234_luc1234_il y a 5 mois

Le dernier récit est... particulièrement motivant ! C'est la seconde fois que j'imite Lucas en le relisant.

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