Amis Pour La Vie 03

Informations sur Récit
Suite du récit.
4.5k mots
4.55
3.5k
1

Partie 3 de la série de 10 pièces

Actualisé 06/17/2024
Créé 05/10/2024
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Chap. III — Retour chez Jean

Je croyais que Pierre serait choqué en voyant les marques sur mes seins, mais cela l'a seulement fait rire.

- Je vois que François est passé à la vitesse supérieure, tu devrais faire attention, il va faire de toi une pute, une vraie avec des clients et tout le reste.

- Tu trouves ça normal? Je te signale que je suis ta femme.

- Je le sais que tu es ma femme, mais je ne t'oblige pas à suivre les délires de François.

- C'est pourquoi j'ai décidé de ne plus aller chez lui.

- Tant mieux!Et nous n'en avons plus parlé.

Mes bonnes résolutions n'auront pas tenu longtemps, à peine un mois, le temps d'être à nouveau le premier mercredi du mois.

C'est plus fort que moi et je me prépare pour rendre une nouvelle visite à Jean.

Je n'ose pas téléphoner à François pour le prévenir que je vais rechuter et aller payer une de ses quittances de loyer.

Le problème c'est que je me lance à l'aveuglette puisque j'ai refusé de revoir François depuis le début du mois passer, je vais me jeter dans les mains de Jean

sans même savoir si François voudra bien me revoir après.

Il est bien venu deux fois à la maison avec ses potes, mais il n'a fait aucune allusion à mes visites manquées chez lui. Il s'est contenté de se faire sucer et de ma jouir sur le visage pour le plus grand plaisir de ses amis, y compris Pierre puis, il s'est joint à ses amis pour venir me pisser dessus au milieu de la

terrasse. C'est lui qui a eu l'idée de prendre le tuyau d'arrosage et de me laver dehors à l'eau froide en insistant avec le jet sur mes seins et mon ventre.

Je suis devant la porte du proprio de François et mon cœur bat la chamade. Mon sac est ouvert sur le sol et j'attends qu'il soit exactement treize heures pour enlever ma robe et sonner. J'écoute anxieusement les divers bruits de l'immeuble, personne ne monte vers l'étage où je me trouve. Je pousse sur le bouton de la sonnette et j'enlève prestement la robe que je roule en boule dans mon sac. Je sens la transpiration couler sur mon front, mon ventre se liquéfier, mes seins se gonfler et les mamelons se durcirent. Le bruit de la poignée qui tourne provoque un soupir de soulagement et je m'apprête à faire un pas dans l'appartement, mais Jean me regarde goguenard.

- Tu as oublié la laisse et le collier, tu as dix minutes pour aller chercher tes accessoires, me dit-il en refermant la porte.

Merde! La laisse, je l'ai oubliée à la maison. Vite, je remets la robe et je cours dans les escaliers pour rejoindre ma voiture et rentrer chez moi. C'est la course folle pour arriver à temps, je sens que si je ne suis pas à l'heure, il va me le faire payer d'une façon ou d'une autre. À la maison, je dois fouiller partout avant de mettre la main sur le collier et la laisse que j'ai cachée dans le fond de la garderobe.

Avec la circulation, j'arrive devant la porte de Jean juste douze minutes après en être repartie. Je sonne, me déshabille et je mets le collier et la laisse. Je suis en nage et essoufflée quand l'homme ouvre la porte. Il me barre la route, car comme moi, il a entendu le bruit d'un pas dans les escaliers, cette fois, je ne vais

pas y échapper et je vais être exhibée à poil et tenue en laisse comme une chienne à un voisin de Jean. C'est le même homme que la dernière fois, je ferme les yeux tandis que Jean salue son voisin.

- Bonjour, monsieur Raccel, comment allez-vous?

Je suppose que l'homme est ébahi de voir une femme nue devant la porte de son voisin et prend son temps pour répondre.

- Bien! Je vais très bien, mais pas aussi bien que vous, répondil.

Morte de honte je continue à fermer les yeux et à prier pour que Jean me fasse entrer dans son appartement.

- Bah! C'est une pute, si ça vous dit, vous pouvez passer dans une heure. Cette fois j'ouvre la bouche pour protester, mais Jean tire un coup sec sur la laisse pour me faire comprendre que je dois me taire.

- Avec plaisir, mais pourrais-je voir l'endroit? Les fesses sont magnifiques et je suppose que ses seins doivent être splendides, mais j'aimerais en être sûr.

- Naturellement, je vous comprends, approuve Jean.

Il me pince le bout d'un sein.

- Tourne toi que monsieur puisse voir tes gros nichons.

Rouge pivoine de honte et les larmes aux yeux, je me tourne lentement pour que l'homme puisse voir mes seins et mon pubis velu.

Puis, Jean tire sur la laisse pour me faire entrer dans son appartement. Je fais un pas, mais Jean fait claquer ses

doigts et me montre le sol.

Je ne comprends pas ce qu'il veut ou plutôt, je ne veux pas comprendre. Jean tire sur la laisse pour m'obliger à me pencher. Je finis par me retrouver à quatre pattes et je le suis ainsi au salon. Il se laisse tomber dans un fauteuil et sort son sexe. Je n'ai pas besoin de directives pour comprendre et j'ouvre la bouche pour prendre la queue que je commence à lécher et à sucer. Après dix petites minutes, il me repousse et me prend par le bout des seins.

- Alors, petite pute, tu as mérité une punition pour être en retard et surtout pour avoir oublié tes accessoires.

- Je vous en prie, cela ne se reproduira plus, je vous le promets.

- Je suis sûr que tu n'oublieras plus, mais je dois te punir malgré tout.

- Ne me faites pas mal, je vous en supplie. Vous ne croyez pas que faire venir votre voisin est déjà une punition?

- Non! Pas du tout, il était prévu de le faire venir aujourd'hui.

- Je vous en prie, je ne suis pas une putain, faites de moi ce que vous voulez, vous, mais pas votre voisin.

Jean se lève et prend la laisse pour m'entraîner vers la petite pièce où il m'a torturée le mois dernier.

Cette fois, il me couche sur le ventre pour que je lui présente bien les fesses. Il m'attache les poignets et les chevilles aux montants de la table. Il me caresse les fesses et passe une main sur ma chatte qui est dégoulinante.

- T'es vraiment une salope, me dit-il en passant la main sur mon visage.

Je n'attends pas son ordre et je sors la langue pour lécher ma liqueur intime. Il a raison, je suis une salope et j'attends avec impatience ce qu'il va me faire subir.

Il se recule et avant que j'aie compris ce qui se passe, un bruit sec suivi par une violente douleur aux fesses me font me cabrer dans mes liens. Je n'ai pas le temps de crier qu'un deuxième claquement et une autre douleur tout aussi violente que la première me coupent le souffle.

- Arrhhgg! Je... Vous... En... AArrhhgg! Supplie... Arrêtez.

Mais rien ne semble pouvoir arrêter les coups qui continuent à pleuvoir sur mes fesses. Je n'ai pas compté, mais j'ai l'impression que mes fesses sont en charpie et que je ne pourrai plus m'asseoir avant longtemps.

- Ça, c'est pour avoir été en retard, me dit Jean.

Je suis en larme et je sens mon visage barbouillé de larmes et de sécrétions nasales.

- Tu as encore droit à une punition, ajoute Jean en me détachant.

Il sort une petite chaîne d'une vingtaine de centimètres de long terminée à chaque extrémité par un petit clip comme sur les boucles d'oreille.

- Le mois prochain tu n'oublieras plus ta laisse, car je veux que tu la mettes chez toi. Tu prendras une capote que tu mettras sur la poignée et tu te l'enfonceras dans la moule. Avant de mettre ta robe, tu placeras les clips sur tes tétons. Tu as bien compris, petite pute?

- Oui Jean!

Une gifle magistrale me projette sur le sol aux pieds de Jean.

- Monsieur Jean, me crie-t-il aux oreilles. Pour toi je suis monsieur Jean.

- Bien monsieur Jean! Excusez-moi.

Il veut attraper la laisse, mais juste à ce moment-là, la sonnette de la porte retentit.

- Je crois que c'est notre ami Adrien qui arrive.

Je reste à genoux en attendant le retour de Jean et de son voisin. Il me fait avancer vers son visiteur et me tord le bout d'un sein.

- Allez grosse pute, présente-toi à mon ami Adrien, il est impatient de faire connaissance avec ton corps, et de se faire vider les couilles.

Je me traîne vers Adrien et je baisse la tête pour ne pas croiser le regard qui doit être méprisant même s'il a envie de me baiser. C'est un homme qui doit bien avoir dans les soixante ans, il est gris blanc et légèrement bedonnant.

- Je m'appelle Charlotte et je... Je ne sais pas quoi dire, j'ai peur de ne pas dire ce qu'il faut et de fâcher Jean qui a repris son bambou et vient me tapoter les fesses qui sont encore en feu de la punition.

- Dis-lui que tu es une pute, et que tu est là pour ouvrir tes cuisses ....

- Je...

Une petite tape sur les fesses m'encourage à débiter le petit laïus que vient de me souffler Jean.

- Je suis une salope et une pute et je vais vous ouvrir mes cuisses pour vous vidé les couilles, j'ai la moule qui me démange.

Adrien avance une main vers ma tête et m'agrippe les cheveux. Il a ouvert son pantalon et pousse son sexe raide vers ma bouche. Je ferme les yeux et laisse la queue entrer entre mes lèvres. L'habitude reprend ses droits et je commence à sucer et à lécher la tige de chair qui ne tarde pas à trémousser sous les coups de langue. Adrien veut autre chose, ma chatte, et il se retire de ma bouche et me pousse vers la table où je me

couche sur le dos. Pendant que Jean m'attrape les bras pour les attacher aux bracelets, Adrien présente sa queue à ma fente, mais au moment où il va introduire son membre en moi Jean le repousse.

- Holà! Mon joli, on peut troncher madame autant qu'on en a envie, mais on sort couvert. La capote!

- Mais je n'ai pas le sida!

- Ça, c'est toi qui le dis, tu veux la baiser, tu mets un préservatif, il y en a dans le tiroir de la table. Je suis soulagée que même dans ce genre de situation, il y en a qui pense aux protections d'usages. Adrien va vers le côté droit de la table et ouvre un petit tiroir d'où il sort un préservatif qu'il enfile prestement sur son pénis, puis il vient se planter devant moi

-Aller, écarte les cuisses!

Il s'enfonce d'un coup sec dans ma chatte baveuse de désir et commence à se démener comme un forcené en me tripotant les seins. Il jouit très vite et Jean commence à s'occuper de ma petite personne. Il a repris ses fameux élastiques et quand je le vois approcher de ma poitrine en les ouvrant au maximum, je ne peux me retenir de geindre et de le supplier.

- Non! Je vous en prie, monsieur Jean, ne faites pas ça, en plus de faire mal, ça laisse des marques qui ne partent pas en moins d'une semaine.

- Ma beauté, je m'en fous royalement, tu es là pour satisfaire mes envies et j'ai bien l'intention de profiter de ce qu'on me donne en compensation de mon loyer.

Je me rends compte qu'il est inutile de discuter, de toute façon je n'ai pas vraiment le choix puisque je suis attachée à la table.

Pendant que jean s'affaire sur mon sein droit qu'il essaye de faire entrer au centre de l'élastique, Adrien à retirer son préservatif et vient le vider sur mon ventre. Je frissonne de dégoût, mais je n'ai pas le temps de m'appesantir sur la

question, Jean commence à me faire très mal avec son élastique.Comme le mois passé, mes seins deviennent deux boules bien rondes sur mon torse. Adrien est fasciné par ce spectacle et s'amuse à faire danser mes nichons, ce qui augmente encore la douleur. Je ne crie pas, je me contente de gémir. Puis, ce sont les petits tubes qui entrent en action et je me retrouve avec des mamelons étendus et la même chose pour le clitoris.

Les deux hommes se font encore sucer une fois avant de me conduire chez François. Cette fois, c'est Adrien qui tient la laisse pour me faire traverser le pallier. C'est étrange comme on s'adapte très vite aux circonstances, cette fois, je n'ai pas peur d'être vue par une tierce personne puisque c'est le voisin de

François qui sonne à la porte de son appartement en me tenant en laisse. Comme le mois passé, j'ai la quittance enfoncée dans la chatte, et les tubes sont encore en place sur mes seins et mon ventre. François nous fait attendre longuement avant de venir ouvrir la porte, il paraît un peu surpris de me voir en cet accoutrement, manifestement il ne croyait pas que je reviendrais aussi vite.

- Merci, monsieur Rallec, j'espère que vous avez passé un agréable moment avec Charlotte?

- Ho! Oui, j'espère que vous m'en ferez encore profiter.

- Bien sûr, dès le mois prochain quand elle reviendra chez Jean, elle sera à votre disposition.

Il prend la laisse en main et me fait entrer dans son appartement. Dès que la porte est fermée, je n'attends pas son ordre et me laisse tomber à genoux en croisant les poignets dans le dos. Il continue à tirer sur la laisse et je me mets à

quatre pattes pour le suivre dans son salon.Une voix féminine me cloue sur place.

- Houla la, François, tu m'épates, la belle Charlotte, à poil et tenue en laisse comme une chienne.

Ce n'est pas possible, je connais cette voix. Je lève les yeux pour croiser ceux de Valérie la sœur de Jacques et ma meilleure amie.

- Si j'avais su, je serais venue plus tôt, ajoute la jeune femme. J'ai souvent rêvé de voir une femme traitée de cette manière, mais je n'aurais jamais osé espérer que ce soit la belle et vertueuse Charlotte, la femme parfaite.

Je voudrais trouver un trou de souris pour m'y réfugier. La honte me submerge et je sens de grosses larmes se presser à mes yeux. L'humiliation est encore pire que d'être offerte comme une putain à Jean ou Adrien. Je sais qu'il est trop tard, mais je voudrais faire un retour en arrière et avoir décidé de rester chez moi ce matin. Il me faut un certain temps pour enregistrer que Valérie est nue elle aussi. Elle est donc la maîtresse de François, elle ne m'a jamais dit qu'elle avait envie de coucher avec lui. Il faut dire que je ne lui ai jamais avoué que je couchais avec les trois mousquetaires depuis mon voyage de noces.

La jeune femme se lève et vient prendre la laisse des mains de François.

- Allez petite chienne, avance et vient montrer comme tu es belle ainsi à ta maîtresse.

Les larmes continuent de couler sur mon visage tandis que je suis mon amie vers le fauteuil où elle s'installe. Elle me fait mettre à genoux et joue un moment avec les tubes qui pendent toujours à mes seins et à mon clitoris.

- C'est fabuleux de voir tes tétons aussi longs, ça fait mal?

Je renifle avant de lui répondre.

- Sniff! Non, ce sont les élastiques qui font le plus mal.

Valérie me secoue les mamelles et constate que je serre les dents pour ne pas crier. François vient s'asseoir près de mon amie et s'amuse lui aussi à me faire souffrir avec mes seins.

- Elle est magnifique ainsi, non, demande-t-il à Valérie?

- Je ne dirais pas qu'elle est magnifique avec ses nibards en boule, mais je suis ébahie de la voir supporter ça comme si c'était normal. Tu peux m'expliquer comme on fait tenir les tubes?

- Rien de plus facile, il suffit de faire le vide avec une pompe dans les tubes, plus tu retires de l'air et plus cela aspire le téton ou le clitoris.

- Tu crois qu'on pourrait encore les allonger un peu?

François sourit à cette idée.

- Oui! C'est possible, mais malheureusement je n'ai pas de pompe ici, elle est chez mon propriétaire. C'est surtout lui qui aime ce genre de chose.

Valérie semble réfléchir quelques secondes puis elle se décide.

- Va chercher la pompe, m'ordonne-t-elle.

- Tu veux...

Une gifle et je me retrouve les quatre fers en l'air. Je me frotte la joue et regarde Valérie sans comprendre pourquoi elle m'a giflée.

- Non, mais, tu ne t'imagines pas que nous allons rester amie après ce que tu viens de me montrer de ta personne? Pour moi tu n'es plus qu'une chienne,et tu dois me vouvoyer et m'appeler « madame », compris?

- Bien madame!

C'est tout ce que je trouve à lui répondre. Ma vie vient encore de basculer, ma meilleure amie me traite comme une moins que rien. Le pire c'est que je suis certaine que je vais aimer ça.

- Alors, me dit-elle sèchement, j'attends.

- Mais je ne vais pas aller toute nue chez monsieur Jean?

François se met à rire.

- Ha! Ha! Ha! Tu es impayable, je te signale que nous sommes au troisième étage d'un immeuble qui en compte trois et que les trois hommes qui habitent cet étage, t'ont ouvert les cuisses et limée comme une grosse pute. Alors, arrête avec ta pudeur à deux balles.

Je dois convenir qu'il n'a pas tort. Je me lève et me dirige vers la porte de l'appartement. Malgré tout, j'ai un petit pincement au cœur quand je passe le seuil pour traverser le pallier et sonner chez Jean. Il ne me fait pas attendre trop longtemps et semble ravi de me voir.

- On en veut encore, me demande-t-il d'une voix enjouée?

- C'est madame Valérie qui demande pour avoir la pompe à vide, elle veut allonger encore plus mes tétons.

Jean me fait entrer dans son appartement et referme la porte derrière moi. Je le suis jusqu'à la petite salle de torture. Il prend la pompe et me la tend, je veux la prendre, mais il la reprend prestement.

- Ma beauté, il va falloir payer pour avoir la pompe.

- Mais je n'ai pas d'argent, que voulez-vous de moi?

- Fais-moi une bonne pipe et tu peux repartir avec la pompe.

Je sais qu'il est inutile de discuter et je me laisse tomber à genoux face à monsieur Jean qui a déjà sorti son sexe. J'ouvre la bouche et entreprends de le faire jouir. Comme toujours, je suis étonnée de voir la quantité de sperme que

cet homme peut sortir en une demi-journée. Je suis obligée d'avaler en trois fois ce qu'il me crache dans la bouche avant de nettoyer son sexe et prendre la pompe.

Il me suit vers la sortie et m'arrête juste au moment où je vais ouvrir la porte.

- J'oubliais, la prochaine fois que tu viens chez moi, je veux que tu sois lisse comme une petite fille entre les jambes, comme les grosses putain qui ouvrent les cuisses une vingtaine de fois par jour pour du fric, les grosses salope qui vendent leur chattes seize heures par jour. Il me tend une carte de visite.

- Tiens, tu peux te présenter de ma part, elles sauront quoi faire pour me satisfaire.

- Bien monsieur Jean, merci.

Je dois à nouveau traverser le pallier et sonner chez François. C'est Valérie qui vient m'ouvrir. Elle a passé une robe de chambre de François, elle prend la laisse et je me mets immédiatement à quatre pattes pour la suivre au salon.

François à dégager la petite table de salon et mon amie me fait coucher sur le dos, les mains tenant les pieds de la table pour bien offrir mes seins. Dès qu'elle branche la pompe sur un des tubes, l'air entre et le tube se détache de mon téton. François lui montre comment remettre le tube en place et la manière de

faire fonctionner la pompe. Elle étire mon téton pour qu'il soit au moins un centimètre plus long que l'autre puis elle répète l'opération pour le deuxième mamelon.

- C'est fantastique, dit-elle à François, il me faut la même pour quand cette salope viendra me rendre visite.

François lui donne toutes les instructions pour se procurer les tubes et la pompe.

Ils s'amusent encore une bonne heure avec mon corps avant de me permettre de me rhabiller pour rentrer chez moi. Je dois encore sucer François et avaler sa liqueur, mais Valérie n'ose pas me donner sa chatte à lécher. Par contre elle me demande de la reconduire chez elle. Nous sortons de chez François comme deux amies, bras dessus bras dessous. Elle attend que nous soyons dans la voiture pour me poser quelques questions

auxquels je tente de répondre honnêtement.

- Je peux te poser une ou deux questions?

- Je vous en prie.

- Tu peux me tutoyer, j'ai dit ça dans un moment d'excitation extrême.

Elle semblait s'excuser de m'avoir, dans un moment de tension, rabaissée.

- Je vous en supplie, ne vous excusez pas. Je ne sais comment vont évoluer nos relations à l'avenir, mais je suis sûre d'une chose c'est que nous ne pourrons plus avoir des relations amicales comme avant. Vous m'avez vue

en chienne et c'est ainsi que vous me verrez dorénavant, on n'y peut rien.

Valérie me regarde un long moment avant de se décider à me poser sa première question. J'aimerais qu'elle me dise que je me trompe sur elle, mais son silence me réconforte dans mon opinion quant à notre amitié.

12