Alicia Chapitre 01

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Comment j'ai rencontré mon épouse, la maîtresse de ma vie.
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Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 11/25/2015
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Je venais d'avoir 35 ans...et j'étais toujours célibataire.

La principale raison de cette absence de liaison durable était mon problème sexuel : Je suis éjaculateur précoce.

Je suis plutôt pas mal physiquement et on me reconnaît un certain charme. Mes yeux bleus profonds m'attirent les faveurs féminines et je ne manque pas d'amies...mais sitôt que je veux aller plus loin, mon handicap devient rédhibitoire.

J'ai tout essayé pour me guérir, depuis les pommades anesthésiantes jusqu'aux psychothérapies en passant par les exercices de « self contrôle » sous la surveillance de sexologues confirmés, rien n'y a fait.

Je jouis en une minute sitôt que je pénètre une femme...il m'arrive même de jouir avant la pénétration quand je suis très excité.

Le fait que je puisse me retenir autant que je le veux quand je me masturbe éliminait, paraît-il, les troubles physiques mais je me retrouvais à 35 ans devant le même problème que durant mon adolescence.

Pour satisfaire, autant que faire se peut, mes partenaires, j'ai développé une certaine habileté avec mes doigts et surtout avec ma langue. Avec le temps, je me suis aperçu que certaines femmes appréciaient particulièrement cette pratique et ne semblaient pas trop souffrir de l'absence de pénétration.

Ces femmes avaient, pour la plupart, le même profil : autoritaire, jusqu'à la domination, attirées par le fait que je me dévouais pour leur plaisir sans penser au mien. Et je m'aperçus moi même que ce don de ma personne provoquait chez moi une excitation intense. Hélas, ces relations ne duraient jamais très longtemps et les femmes se lassaient assez vite de cette vie avec une sorte d'eunuque.

Attiré par ces pratiques particulières, je me mis à fréquenter assidûment les sites internet parlant de la domination féminine. Entendons-nous, quand je parle de domination féminine, je ne parle pas de Maîtresse en cuir avec un fouet à la main, je parle plutôt de couples amoureux, dont le mode de vie intime est basé sur l'absolue dévotion du mari à sa femme.

Je trouvais sur internet de nombreux récits sur ce mode de vie. Certaines pratiques me semblèrent, à première vue, révoltantes, dégoûtantes. Mais je me rendis compte, au fil du temps, que c'était elles qui m'excitaient le plus.

En fait, c'est leur caractère dégradant qui participait de mon excitation. Si j'étais capable de faire ça pour une femme, c'est que je me donnais entièrement à elle et à son plaisir. Ce don de ma personne au mépris de mon propre intérêt et même au prix de mon confort m'attirait étrangement.

C'est alors que je rencontrai Alicia.

Alicia était une grande femme de 41 ans aux formes épanouies, elle avait un visage splendide, illuminé par deux grands yeux noirs et encadré d'une épaisse tignasse brune. Plus que tout, ce qui frappait chez elle, c'était cette impression de puissance animale qu'elle dégageait sans que l'on puisse savoir très bien d'où elle émanait.

Elle venait d'être embauchée par un de nos fournisseurs et faisait l'interface avec mon entreprise. Dès que je la rencontrai, je tombai sous son charme. Notre travail nous amenait à avoir de fréquents contacts et très vite, ces contacts se firent plus intimes.

Nous avions beaucoup de points communs, avions les mêmes pôles d'intérêt, riions des mêmes choses. Au bout de quelques semaines, nous étions devenu très amis. Alicia avait vécu deux divorces. Son caractère directif, voire parfois autoritaire, n'y était peut-être pas pour rien mais, compte tenu de mes tendances à la soumission, ce caractère que certains auraient pu trouver difficile, n'était pas pour me déplaire.

Je fantasmais sur cette belle femme et, à son insu, sa pensée accompagna beaucoup de mes masturbations solitaires. Je sentais que je ne lui étais pas indifférent mais il était hors de question pour moi d'essayer d'aller plus loin au risque, pensais-je, de la perdre définitivement.

La situation resta ainsi durant trois mois puis ce qui devait arriver arriva. Un soir, en rentrant d'une soirée restaurant/cinéma, elle prit le taureau par les cornes et me demanda si elle pouvait monter boire un dernier verre chez moi. Je frémis à l'idée de ce que cela impliquait mais je ne pouvais pas refuser.

Quelques minutes plus tard, nous étions en train de nous embrasser sur la banquette de mon salon. Les mains tremblantes, je caressais ses seins à travers son chemisier pendant qu'elle passait ses mains dans ma chemise , puis je pris l'initiative de déboutonner son corsage, découvrant une poitrine généreuse et ferme.

De plus en plus excité, je renversais Alicia sur la banquette sans qu'elle oppose la moindre résistance. Sortant ses seins de son soutien gorge, je m'enfouis dans cette chair chaude, léchant avec adoration ses tétons dressés. respirant l'odeur chaude de sa peau.

Elle ne restait pas inactive et, ouvrant ma braguette, sortit à l'aveuglette mon membre en pleine érection. Sa main fit quelque va et vient le long de ma verge et je sentis immédiatement le plaisir monter, laissant à regret sa poitrine, je voulus me dégager... mais il était trop tard et j'explosais entre ses doigts.

Elle se redressa, contemplant avec surprise sa main pleine de sperme qui tenait encore mon sexe.

Rouge à la fois du plaisir que je venais d'avoir, et de la honte que je ressentais, je ne disais rien.

Elle ne dit rien non plus. Elle sortit un paquet de kleenex de la poche de son manteau qu'elle avait jeté par terre dans notre hâte à nous caresser et s'essuya la main. Je restai là, à genoux à côté d'elle, ne sachant quoi faire où quoi dire.

Je tenais énormément à Alicia et la perspective de la perdre m'était insupportable. Reposant calmement son mouchoir souillé, elle me regarda avec un sourire ambigu, puis, se levant de la banquette et me fixant dans les yeux, elle commença à ôter sa jupe et à descendre sa culotte. Elle se rassit sur la banquette, écartant les cuisses, dévoilant les lèvres écarlate de sa chatte noyées dans une fourrure brune. Elle posa une main sur ma tête et m'attira vers elle.

Viens, suce moi!

Je me penchais sur ce sexe offert, m'immergeant dans son odeur fauve, et je commençais à lécher doucement ses petites lèvres déjà gonflées, passant ma langue lentement de bas en haut.

Elle ne bougeait plus, maintenant sa main dans mes cheveux. Moi même, je perdais la notion du temps, m'immergeant dans ce monde d'odeurs et de sensations, entièrement captivé par ma tâche.

Petit à petit, je m'insinuais davantage entre les lèvres de son sexe. Elle écarta davantage les cuisses, entrouvrant son vagin dans lequel je plongeais la langue.

Je perçus tout de suite la saveur fade et légèrement salée de sa mouille.

Son sexe était imprégné de ses sécrétions et leur odeur musquée se fit plus prégnante, envahissant mes sens. Je restai un instant ainsi, à la pénétrer de ma langue, comme l'aurait fait une queue minuscule.

Puis je léchai doucement le bouton rigide de son clitoris. Elle eut un sursaut à ce contact pourtant délicat et je sentis sa main augmenter la pression sur l'arrière de mon crâne. à partir de ce moment, je me concentrai sur ce point sensible, passant ma langue en cercles concentriques, l'appuyant de plus en plus au fur et à mesure que je sentais monter son excitation.

Son bassin était maintenant agité d'ondulations spasmodiques, sa main m'appuyait de plus en plus fort contre sa chatte.

Écrasé dans cette vulve onctueuse, je commençais à avoir des difficultés pour respirer mais je me concentrais toujours sur le travail de ma langue, lien entre moi et son plaisir.

J'aspirai doucement son clitoris entre mes lèvres et passait fermement ma langue sur son bout sensible. Cela fut le détonateur de son orgasme.

Elle se raidit brutalement, m'écrasant encore davantage contre son sexe en poussant une sorte de feulement grave. Je ne pouvais plus bouger et je maintenais seulement ma langue fermement appuyé sur son bouton. Il fallut plusieurs secondes avant que son cri ne s'éteigne et que son corps se détende, me libérant de ma prison de chair.

Elle ne bougeait plus, affalée dans la banquette comme une poupée de chiffon. Très doucement, je repris mes caresses sur ses lèvres, absorbant au passage sa mouille épaisse. Elle ne réagit pas, et me laissa faire.

Elle avait enlevé sa main de mon crâne et, levant un instant les yeux, je la vis étendue de tout son long sur le dossier du divan, le souffle court, les yeux fermés, le visage rosi par le plaisir, elle malaxait fébrilement la pointe de ses seins, écrasant ses tétons entre ses doigts. Elle ne m'avait jamais paru si belle qu'en cet instant.

M'enhardissant, je recommençai à effleurer son clitoris, le sachant hypersensible après son orgasme. Elle ne réagit pas tout de suite, puis elle commença à nouveau à onduler du bassin, prononçant des paroles hachées

oui, vas y, continue...ça vient..oh, continue comme ça...Oh là, c'est fort..

Son orgasme fut plus rapide à venir que le premier. Il me parut aussi plus fort. Elle poussa presque un cri de douleur en s'arc-boutant contre le dossier, me faisant retomber sur mes talons, spectateur impuissant de son plaisir.

Il lui fallut longtemps avant qu'elle se détende enfin et qu'elle retombe, alanguie, sur la banquette. Je la regardais silencieusement, elle essayait de reprendre son souffle, son délicieux visage rougi par le plaisir, ses cheveux collés sur le front par la sueur.

Je sentais sur mes joues l'humidité mêlée de sa mouille et de ma salive. J'avais la bouche englué de sa saveur et le nez imprégné de son odeur fauve.

Je me sentais heureux et fier de lui avoir donné du plaisir et la honte que j'éprouvais de mon incapacité sexuelle en était un peu atténuée.

Et puis, la réalité me rattrapa. Alicia ne se contenterait sûrement pas de mes talents buccaux, une femme comme elle avait besoin d'autre chose...méritait autre chose.

Probablement, cette première soirée d'intimité serai la dernière...mais je ne devais pas lui mentir. Ce qui s'était passé ce soir n'était pas un accident, c'était la triste normalité de mes rapports sexuels.

Elle rouvrit enfin les yeux et me regarda avec un léger sourire, elle avait ce regard particulier qu'ont les femmes après avoir eu du plaisir. Je ne discernais pas de colère ou de rancœur dans ses yeux et cela me rasséréna un peu.

Nous restâmes comme ça un moment, silencieux, elle vêtue seulement de ses bas, alanguie dans la banquette, moi, à genoux sur le tapis, encore habillé mais la braguette ouverte par où sortait mon membre qui avait repris un peu d'ardeur. Je me sentais ridicule dans cette position et cet accoutrement.

Ce fut elle qui prit la parole.

Est-ce que je peux rester dormir ici?

Je n'en revenais pas qu'elle me propose ça et je sentis mon cœur se mettre à battre la chamade.

Euh..oui..bien sûr

Alors, allons nous coucher, je suis épuisée

Elle me prit par la main et me conduisit jusqu'à la chambre. J'étais stupéfait par ce qui arrivait mais il fallait que je lui parle, que je lui dise, je me tournais vers elle pour m'expliquer...elle me regarda en souriant et posa un doigt sur mes lèvres.

Non, demain...nous parlerons demain...pour le moment viens

Nous nous couchâmes nus, l'un contre l'autre. Je m'étais mis en chien de fusil et elle s'enroula autour de moi, me prenant dans ses bras, plaquant sa poitrine contre mon dos, sa motte poilue contre mes fesses.

Bonne nuit Alain.

Bonne nuit Alicia.

J'étais encore imprégné de son odeur intime et je sentais sa mouille sécher sur mes joues. Elle me serrait contre elle et à cet instant, je me sentais le plus heureux des hommes.

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