Aimer ou Tromper

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Comment pourrais-je y croire ?
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Rainett
Rainett
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Je sors avec cette fille, Bérengère, depuis presque un an. Une grande et mince brune aux yeux verts de 22 ans, étudiante à la fac de lettres. Une intello, un peu hippie, mais propre. Je fais gaffe à ça maintenant, j'ai déjà eu des problèmes. C'est ma copine. Rien d'officiel, mais je suis heureux avec elle. Au lit, elle est plutôt passive, pleine de bonne volonté, mais elle attend que je prenne l'initiative.

Je suis seul chez elle, elle est à la fac. Je m'occupe sur l'ordi. Je cherche une salope pour me pomper, et comme j'ai quelques touches, je cherche un support propre pour copier les données. En fouillant, dans un tiroir, j'ai trouvé un DVD-R. Il y a juste une date, écrite au marqueur noir. Ça date d'il y a 2 ans. Je ne la connaissais pas à l'époque, alors ça m'intéresse. J'ai mis le disque dans le lecteur pour le visionner. Je n'ai pas été déçu.

C'est un film familial, tourné avec un caméscope numérique, il montre la vue tremblante d'un salon, je ne connais pas l'endroit. Il y a 2 mecs assis sur un canapé, des noirs, et j'entends de la musique. Le mec qui filme est un vrai manche, il en bave pour faire la mise au point. Le mec filme le décor, revient sur les 2 blacks, et continue son travelling sur la gauche. Bérengère est assise là, dans un fauteuil.

J'ai du mal à la reconnaître. Elle n'est pas habillée comme d'habitude, jeans ample et pull moche. Là, on dirait une petite pute. Minijupe en tartan et chemisier pigeonnant. Où a-t-elle bien pu dégotter ces fringues? De plus, elle a l'air stone. Le mec la cadre en zoomant, et son regard est étrange, comme absent. Alcool? Drogue? Le gars qui tient la caméra lui parle. Au son de sa voix, je sais que c'est un black, lui aussi.

« Très bien, fillette, tu es sûre que tu veux vraiment le faire? »

Elle a eu comme un sursaut, comme s'il venait de la tirer d'un rêve :

« Putain, ouais, je te l'ai dit ! »

Elle se lève. La caméra la suit tandis qu'elle se dirige vers les gars assis sur le canapé. L'un d'eux a déclaré :

« Elle ne va pas le faire, mec, elle a la trouille »

Les 3 mecs ont rigolé. C'est des jeunes, 25/30 ans, des petites frappes de banlieue. Mais ils peuvent être méchants quand ils sont nombreux. L'un est grand et maigre, l'autre est plus trapu, même un peu gras. Elle s'est agenouillée devant le canapé et leur a dit :

« Allez, sors-là, ou c'est toi qui a peur maintenant? »

Celui de gauche, le maigre, a dit :

« Merde, je n'ai pas peur »

Il a déboutonné son futal, Bérengère l'a aidé à quitter son pantalon. Je ne peux pas croire ce que je vois. Il n'a pas de sous-vêtement, sa bite est à moitié molle, elle pend entre ses jambes, mais il est déjà assez gros. Elle a attrapé sa bite et l'a caressée. Les trois mecs se sont marrés en la voyant faire. Ils poussent des cris de loups. Un million de questions me traversent la tête, mais je reste scotché à l'écran.

« Allez, vas-y, fais-le, puisque tu l'as voulu ! »

Elle se penche et lèche le bout de la bite du gars, puis elle lui suce juste le bout du gland. Elle commence à faire coulisser sa main sur la bite du mec qu'elle suce. Les gars retiennent leur souffle et la regardant œuvrer. Le gros, assis à droite, a les yeux qui lui sortent de la tête. Il a l'air de ne pas y croire, et se frotte l'entrejambe.

Puis elle repousse ses cheveux qui traînent devant son visage, elle les coince derrière son oreille, et elle plonge d'un coup sa bouche sur la bite du gars en lui gobant plus de la moitié d'un coup. Le gars qu'elle suce gémit, et il pose la main sur sa tête comme l'encourager à descendre plus profond. Le caméraman arrive à faire un gros plan, et je peux voir sa langue s'enrouler autour du gland lorsqu'elle ressort.

Puis elle replonge, et je vois bien qu'elle essaye d'aller le plus possible au fond de sa gorge. Le mec l'aide en appuyant avec ses mains sur sa tête. Je bande déjà, et j'ai besoin d'arranger ma bite dans mon slip parce que ça devient douloureux. Je ne sais pas ce qui m'excite le plus dans le fait de voir ma copine dans cette situation. Est-ce parce qu'elle est vêtue comme une pute pas chère, qu'elle se comporte en salope, ou parce qu'elle est seule face à ces 3 machos? Le cameraman demande :

« Elle est bonne? »

« Oh, putain ouais, cette salope sait sucer la bite ! »

Le gros quitte son jeans et réclame :

« Je la veux aussi ! »

Sa bite est plus courte, mais c'est la bite la plus épaisse que j'ai jamais vue, le gland est énorme, entre la balle de golf et celle de tennis. Elle s'approche de lui en rampant sur ses genoux, elle attrape sa bite et pose sa bouche dessus, puis elle écarte ses mâchoires au maximum, pour le sucer en forçant dessus. Il se penche en arrière avec un profond soupir de satisfaction. Le grand se penche et soulève sa jupette pour lui caresser les fesses.

Le caméraman se lève d'un bond pour venir filmer ça de près. L'image danse dans tous les sens et il me file la gerbe. Finalement, il s'accroupit, cadre les fesses de ma copine, et on voit la main du grand maigre qui palpe le cul joufflu. Je pense qu'elle va repousser cette main effrontée mais bien au contraire, elle se cambre pour lui faciliter l'accès. Je ne reconnais pas ma Bérengère et je me demande si elle n'aurait pas une sœur jumelle.

Je ne peux pas croire ce que je vois, et je ne parviens pas à réaliser pourquoi je suis aussi excité. Ils hululent tous les 3 à la manière du loup de Tex Avery, et ils se moquent ouvertement d'elle, pendant qu'elle leur suce héroïquement la bite. Le grand maigre qui lui caresse les fesses, appuie fortement dans la raie pour que sa culotte s'incruste et lui moule les formes. Une tache d'humidité apparaît, ce qui met en joie le caméraman.

Le gros qui se fait sucer la bite lui dégrafe son chemisier, et elle le retire sans faire d'histoire. Elle ne porte pas de soutien-gorge et le gros se met à lui tripoter les nichons. Le grand maigre se penche sur elle pour lui murmurer quelque chose à l'oreille, mais je ne peux pas piger ce qu'il lui demande. Le gros a dit :

« Ah, ouais, putain ouais, fais-le, salope ! »

Elle reste penchée pour continuer à sucer le gros, le grand maigre a sa main sous elle pour jouer avec sa chatte. Le caméraman se déplace pour changer son angle de vue, et la caméra gigote dans tous les sens. Mais je peux la voir dégrafer sa jupette, et la quitter. Elle n'a plus que sa culotte et ses talons sur elle, et le grand maigre a tellement poussée sa culotte dans sa féminité qu'elle ne cache plus grand-chose.

Elle reste accroupie, occupée à s'écarter la mâchoire pour sucer la bite du petit gros. Le grand maigre s'agenouille derrière elle, et lui écarte la culotte pour mettre ses doigts dans sa chatte. Elle va y passer, c'est sûr. Mais comment ont-ils pu obtenir cela d'une fille aussi prude? C'est son comportement de fille sage qui m'a séduit chez elle. L'ont-ils droguée, ou un pari, voire un chantage?

Le caméraman s'est mis à plat ventre derrière eux. Je peux voir le grand maigre se frotter la bite en lui écartant la chatte. Elle se cambre un peu plus pour lui faciliter la tâche. Il commence à la doigter et elle gémit.

« Merde, cette pute est mouillée comme la pluie ! Ouais, elle est prête »

Et il se positionne derrière elle. Il n'a pas mis de préservatif, il a une main sur ses fesses, et il tient sa bite avec l'autre. Il lui gifle les fesses, salement, puis il glisse sa bite dans la fente et lentement, il avance ses hanches. Elle crie lorsqu'il pousse sa bite en elle, un cri de bête blessée, malgré la grosse bite du petit gros qui la bâillonne. La caméra a reculé pour élargir le plan, et sa tête bouge toujours sur la bite de l'autre.

Elle se fait prendre par-derrière, mais elle continue de sucer l'autre, ardente et forte. Elle mérite des bravos. Le grand maigre qui la baise met ses deux mains sur ses fesses et les écarte. Le caméraman se rapproche et positionne la caméra entre les pattes du gars. J'ai une vue en gros plan de sa bite noire qui se glisse en elle, et qui la baise durement.

« Ah, putain, elle est serrée cette salope ! »

Je peux voir sa grosse bite l'étirer, pousser en avant jusqu'à ce qu'il soit bien au fond, puis se retirer presque entièrement, et sa chatte semble s'accrocher à cette bite qui la taraude. Ses lourdes couilles noires viennent claquer sur sa petite chatte lorsqu'il heurte le fond de sa vulve. Le petit gros sur le canapé dit :

« A moi, maintenant, laisse-moi baiser cette pute ! »

Le caméraman s'est levé pour faire un plan large. Le petit gros la chope par la tignasse et lui tire la tête en arrière, la bite est sortie de sa bouche avec un pop. Le grand maigre se retire, se lève et revient s'asseoir sur le canapé à côté du petit gros. Sans un mot, sans qu'on lui demande, elle vient s'installer entre les pattes écartées du grand maigre, chope sa bite et la suce. Le petit gros s'installe derrière elle en souriant, et fait signe au caméraman de s'approcher. Il lui écarte les fesses en disant :

« Putain, regarde cette jolie petite chatte blanche, je vais me faire plaisir en la détruisant. Je vais lui ruiner son petit berlingot, elle ne pourra plus baiser avec les petits blancs, ce sera une pute à blacks ! »

Le grand maigre sur le canapé renchérit :

« Allez, gros, vas-y, défonce-la ! »

La caméra est maintenant pointée sur le cul de Bérengère, le petit gros pousse sa bite en elle, il est pleinement érigé, il est énorme, beaucoup plus gros que l'autre. Je suis inquiet pour ma copine. Penché en arrière pour voir où il va, il pousse lentement sa bite en elle, le gland n'est pas encore entièrement entré qu'elle gémit déjà bruyamment.

« Putain, t'as raison, elle est vachement serrée cette pute ! »

Ma bite est si dure que j'ai l'impression que je vais éclater ma fermeture éclair. La caméra se retire, et je vois le grand maigre choper Bérengère par la tignasse pour pousser sa bite au fond de sa gorge. Elle s'étouffe et elle a un haut-le-cœur qui les fait rire.

« Ah, merde, étouffe pas la fille, on n'a pas encore fini avec elle ! »

Et ça fait rire le trio. Le petit gros l'attrape par les hanches, il la tient fermement, je vois ses doigts qui s'incrustent dans la chair délicate, il la ramène contre lui, et la pénètre d'une seule poussée. Elle arrête de sucer le grand maigre, et se met à hurler. Le petit gros lui claque violemment les fesses, à plusieurs reprises, et elle se tait. Elle recommence à sucer l'autre en pleurant à chaudes larmes.

Pendant ce temps, le petit gros commence à la baiser énergiquement, et s'exclame :

« Ah, ouais ! Putain, ce qu'elle est bonne ! »

Le caméraman a dit :

« Ah, ouais, t'aime ça, hein, petite pute? »

« Oui, oui, j'aime ça ! Vas-y, défonce-moi ! »

C'est Bérengère qui s'exprime ainsi, et j'en suis tout désorienté. Le petit gros se déchaîne, il la baise violemment, et elle ferme les yeux en gémissant sourdement.

« Putain, ouais, elle aime ! » A confirmé le caméraman.

« Tu aimes la grosse bite noire? » C'est le grand maigre qui l'interroge.

Elle halète, lève les yeux vers lui, et confirme :

« Ah, oui, c'est bon ! Il me baise bien ! »

Le petit gros qui la baise se met à grogner :

« Putain, ouais, elle me fait jouir, cette salope ! »

Il ralentit et le grand maigre sur le canapé demande :

« Laisse-la-moi, le temps de récupérer »

Le petit gros derrière elle se retire, et un flot de sperme s'échappe de sa chatte martyrisée. Le caméraman fait un gros plan de la chatte de Bérengère, c'est à présent un trou béant qui se vide de ses jus mélangés. Les deux gars échangent leurs places, le petit gros s'assoit sur le canapé, et Bérengère se précipite pour lui lécher la bite et les couilles pleines de sperme. Le caméraman se marre :

« Elle a faim, cette salope ! »

Le grand maigre ôte sa chemise et s'installe derrière elle. Il la pénètre et déclare :

« Il me faut des cales pour la baiser maintenant, elle est vachement large ! »

Cette réflexion me trouble. C'est vrai, quand je fais l'amour à Bérengère, elle garde toujours les cuisses serrées. J'ai pris ça pour de la pudeur, mais maintenant, je réalise que ce mec l'a redimensionnée avec sa grosse bite. Puis, je réalise que cette vidéo a deux ans, si j'en crois la date inscrite dessus. Depuis tout ce temps, sa chatte a eut le temps de rétrécir, et de redevenir normale. Est-ce que ces effusions perdurent encore?

Je réalise aussi que le grand n'est pas maigre, c'est la comparaison avec le gros qui m'a trompé, l'autre est râblé, un vrai colosse. Le grand pousse sa bite fortement en elle, il la baise sauvagement, et elle gémit en poussant de petits cris bien féminins qui témoignent de son plaisir.

Le colosse empoigne sa bite, la relève contre son ventre, et se soulève du canapé. Bérengère ne se fait pas prier, elle suce ses couilles, et descend plus bas lui lécher le scrotum.

« Hé, regarde cette salope ! Elle aime la merde ! »

Elle passe sa bouche sous les couilles du gros, elle le lèche en lui caressant la bite. Elle commence à fredonner. Je sais, par expérience, qu'elle est sur le point de jouir, elle enfouit sa tête contre les couilles du gros, et se met à brailler :

« Putain, ouais ! C'est bon ! Ouais, vas-y, oui, oui ! »

Le caméraman et le gros assis sur le canapé se marrent, le grand qui la baise dit :

« Ouais, prends-ça, salope, prends tout ! »

Et il éjacule en elle, sans se retirer, sans préservatif, comme l'autre salaud, ils l'ont souillée. Puis il ralentit, et la laisse haletante et détruite. Le grand se retire, le gros se relève et installe Bérengère sur le canapé. Elle se laisse faire, elle est épuisée et docile. Elle n'a pas la force de lutter. Le gros la chope par les chevilles et lui tire les fesses jusqu'au bord du coussin. Il lui ouvre les jambes, s'installe entre ses cuisses écartées, et lui gifle la chatte avec sa grosse bite. Noir sur blanc, le contraste est saisissant.

Elle le regarde faire avec ses yeux grands ouverts. Déjà, elle commence à respirer profondément. Il est indéniable qu'elle apprécie le traitement qu'il lui inflige. Le caméraman se déplace à côté du gros tandis qu'il commence à s'introduire. Elle gémit et son visage se crispe. Elle est couverte de sueur. Il met ses mains sous ses genoux, repousse ses jambes en l'air et la pénètre lentement. Le grand, qui est assis à côté d'elle sur le canapé, met une main sur sa bite pour se caresser, et il tripote ses seins en la regardant se faire baiser. Le caméraman commente :

« Putain, cette belle petite chatte de fille est vraiment gourmande ! »

Le gros qui la baise commence à accélérer. Elle s'agrippe à ses biceps, enroule ses jambes autour de lui, et commence à gémir en poussant de petits cris qui rythment les pénétrations. Le gros se penche sur elle pour la baiser plus vite, elle halète et lui tend ses lèvres comme une femme heureuse. Tout ce que je peux voir, c'est qu'il est couché sur elle, ses fesses bougent à toute allure, et il l'embrasse. J'entends ses couilles claquer contre sa chatte, il a commence à grincer des dents, il s'abat sur elle en disant :

« Putain, elle est tellement bonne, je ne vais pas tenir longtemps ! »

Il la baise précipitamment, son tempo se perturbe, il lutte visiblement pour continuer à la baiser dans sa chatte accueillante, puis il cède, il se soulève, et retire sa bite. Il se caresse la bite tout en éjaculant de longs jets de sperme sur son ventre. Il arrose son ventre, ses seins, même son visage en grognant :

« Putain ouais ! Prends ça, salope ! »

Il lui gifle sa bite sur sa cuisse, puis il se lève, en sueur. Avec son doigt, elle récupère un peu de sperme qu'elle suce d'un air gourmand. Je suis bouche bée, je ne reconnais plus ma copine si raisonnable et si prude. Elle quitte sa culotte pour essuyer le trop-plein de sperme. Le grand assis sur le canapé lui dit :

« Allez, monte sur ma bite, salope, viens me baiser ! »

Elle ne se fait pas prier, l'enfourche et le chevauche, attrape sa bite et s'empale dessus. Elle pose ses mains sur le dossier du canapé, il lui attrape les fesses et elle commence à le baiser. Il a le visage enfoui dans sa poitrine qu'il suce, lèche et mordille. Puis le caméraman se baisse entre les jambes du grand, et je peux voir sa chatte traiter sa bite. Le caméraman a dit :

« Elle a un joli cul, cette pétasse ! »

Le grand qui la baise lui écarte les fesses avec ses mains crispées et la force à augmenter son rythme. Le caméraman se relève et élargit le champ, elle l'embrasse à pleine bouche et lui suce la langue pendant qu'elle le baise. Elle ne m'a jamais fait ça. Le caméraman se marre et commente :

« Elle est amoureuse ! »

Le gros rit aussi, et le grand qui la baise lui demande :

« C'est vrai? »

Elle hoche la tête.

« Dis-le alors ! »

Elle gémit.

« Dis-le ! »

« Je t'aime mon chéri ! »

Les 3 gars hurlent de joie. Je suis anéanti. Pendant ce temps, le grand lui a dit quelque chose que je n'ai pas compris. Aussitôt, elle se relève, lui empoigne la bite, pose sa bouche dessus, et elle le branle jusqu'à ce qu'il lui éjacule dans la bouche. Elle a tout pris, et elle lui a léché les couilles et la bite jusqu'à ce que tout soit propre. Le gros en profite pour lui gifler encore le cul en l'insultant.

Le caméraman a dit :

« Très bien, reste là. Ça ne me prendra qu'une minute ! »

Il pose sa caméra s'approche d'elle en sortant sa bite. Je peux voir le gars, c'est un vieux bedonnant avec les cheveux gris. C'est un noir, et il est aussi bien équipé que les deux jeunes. Il lui présente sa bite, et elle la suce sans faire de manières. Il la taquine en lui demandant si elle aime les grosses bites noires, et elle répond par des grognements parce qu'elle a la bouche pleine. Elle le suce énergiquement, une main sur la bite qu'elle branle, l'autre main lui tripote les couilles. Effectivement, le vieux commence à gémir, il est proche de conclure.

Il l'interrompt, et se retire en caressant sa bite. Il annonce qu'il va lui balancer la purée sur le visage. Elle ferme les yeux, garde la bouche ouverte, et attends. Un long râle, et de longs jets de sperme arrosent son visage, ses cheveux et sa poitrine. Dès qu'il a finit, elle se jette sur sa bite, bouche ouverte, pour avaler les dernières gouttes de sperme.

« Mouais, mange mon foutre, c'est plein de vitamines ! »

Elle se renfonce contre le dossier du canapé et elle éclate de rire. La vidéo s'arrête là-dessus. Je suis hébété. Je reste assis là, perdu dans mes pensées, des milliers de questions s'entrechoquent dans mon crâne. Comment en est-elle arrivée là? Comment ces gars ont pu détecter, sous son apparence de jeune fille sage, une salope en puissance? Quel plaisir a-t-elle avec ces gars qui la traitent comme une pute pas chère? Est-ce à cause de la taille de leurs bites, de leurs muscles, ou parce qu'ils sont noirs?

Je ne parviens pas non plus à comprendre pourquoi cela m'excite de la voir se faire brutaliser par ces noirs. Je visionne ce film une seconde fois, et je me branle. Pourtant, il y a longtemps que j'ai arrêté ces bêtises, mais je n'ai pas pu résister. Surtout le moment où le gros l'a défoncée.

Je remets tout en place, et j'aère la piaule qui sent le renard. Je dois savoir, et pour cela je vais la confronter dès son retour à la maison. Mais je ne tiens pas en place. Pour m'occuper, je vais l'attendre à la sortie de la fac. C'est assez aléatoire, parce qu'il y a plein de sorties possibles. Je remonte le boulevard d'un pas décidé.

Surprise, devant la fac, il y a les deux noirs de la vidéo qui attendent. Le grand maigre n'est pas maigre du tout. Il est grand, plus que moi, et il est vachement athlétique. Le petit gros n'est pas plus petit que moi, mais c'est un colosse. Enormément large d'épaules, des bras comme mes cuisses, et des cuisses énormes. Pas question de me frotter à eux, je n'ai aucune chance. Je m'éloigne, et je me planque dans une entrée d'immeuble.

Ils attendent qui? Bérengère? Alors, j'attends aussi. Finalement, elle sort. Elle cherche quelqu'un du regard. Dès qu'elle les voit, elle se précipite vers eux, sourire aux lèvres. Elle les embrasse amoureusement, en se serrant contre eux et en les galochant langoureusement. Ça fait bizarre de voir ma copine embrasser ces mecs dans la rue. Elle ne se cache pas, elle est éprise.

Rainett
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