Actrice Malgré Elle (Partie 04)

9Depuis qu'elle était arrivée au manoir pour tourner dans le film, Amandine avait toujours obéi au réalisateur. Même si parfois elle l'avait fait à contrecœur, elle avait toujours fini par céder.

Mais là, c'était différent et elle était complètement perdue. Ce n'était pas la sodomie qu'elle devait faire avec Philippe mais bien la fellation avec Fabien qui la terrorisait.

Pourquoi ce garçon qu'elle ne trouvait pas beau et même parfois bizarre hantait la plupart de ses pensées. Ce jeune homme qu'elle avait petit à petit découvert et qu'elle avait finalement apprécié.

Même si tout le monde au manoir connaissait les sentiments du garçon pour elle, elle avait toujours tout fait pour ne pas l'encourager.

Du moins jusqu'au baiser près de la piscine où elle avait ressenti quelque chose de nouveau.

En fait, elle était paniquée à l'idée de le sucer devant les caméras car elle venait de se rendre compte qu'il était loin de la laisser indifférente. Elle avait beau essayer de chasser les sentiments qu'elle éprouvait pour lui, elle venait de réaliser qu'elle l'aimait réellement.

- tu vas bien?

- hein!

Éléonore, qui venait de lui annoncer la nouvelle, la regardait inquiète. Amandine lui sourit, essayant de ne rien montrer.

- Oui, ça va. C'est la sodomie avec Philippe qui m'inquiète, mentit-elle

- Je te comprends, moi je l'ai toujours refusée à Sylvain.

Ne voulant pas s'étendre de peur de se trahir, Amandine abandonna la femme à sa lecture. Elle se sentait bizarre en pensant que le lendemain elle aurait dans sa bouche le sexe du garçon.

Jamais avant d'arriver sur le tournage, elle n'aurait pu imaginer tomber amoureuse de quelqu'un comme lui.

Comme tous les autres étaient en train de tourner dans la salle de sports, elle décida d'aller faire un tour pour se changer les idées. Finalement elle prit la direction du petit plan d'eau, sachant qu'à cette heure-là le couple de vieux devait y être.

Elle ne portait que la petite robe d'été qu'elle avait enfilée avant de descendre, n'ayant mis aucun sous-vêtement dessous.

Même si son sexe et son anus ne s'étaient pas tout à fait remis de la nuit avec les jumeaux, elle avait envie d'offrir de nouveau son corps. Après tout il n'y avait aucun mal à faire plaisir au couple même si ces derniers avaient une fausse idée d'elle.

Ils la prenaient pour une actrice porno faisant l'amour telle une prostituée et à aucun moment, elle ne les avait contredit. Cela l'excitait qu'ils la prennent pour une jolie salope et voulait leur faire croire qu'ils ne se trompaient pas.

D'un seul coup elle réalisa de ce qu'elle était en train de faire. Comment pouvait elle aller s'offrir alors qu'elle n'était qu'une étudiante. Contrairement à ce que pouvaient penser les vieux elle n'était pas une pute et ne pouvait pas se rendre là-bas juste pour se changer les idées.

Pourtant, elle continuait à marcher, ne changeant pas de direction.

Il fallait qu'elle fasse demi-tour, qu'elle trouve un autre moyen pour oublier Fabien. Elle n'avait pas le droit d'offrir sa chatte juste pour se sentir mieux.

C'est là qu'elle réalisa horrifiée qu'elle était devenue accro au sexe et qu'elle aimait donner son corps. Elle se rappela les frissons qu'elle avait ressentis en frappant nue à la porte des deux frères.

Elle se dit qu'elle n'avait pas le droit d'agir de cette façon si elle aimait le garçon. Elle devait s'arrêter, faire demi-tour, voire même cesser le tournage de ce film.

Elle n'était pas une pute et pourtant ses jambes refusaient de stopper et elle avançait inexorablement.

Elle ne se rendit même pas compte qu'elle marchait depuis une vingtaine de minutes, plongée dans ses pensées. Elle le réalisa lorsque les arbres qui bordaient le plan d'eau se dressèrent devant elle.

Assis sur une couverture le couple était bien là, mais il n'était pas seul. Un homme d'une quarantaine d'années, ressemblant étrangement au vieux était à coté d'eux.

Ils ne l'avaient pas vu et elle avait encore la possibilité de rebrousser chemin et pourtant elle continua.

Lorsqu'elle ne fut plus qu'à quelques mètres, la vieille femme l'aperçut et elle ne put s'empêcher de crier de joie

- L'actrice porno est revenue. Elle revient pour mon René.

- Putain maman tu avais raison, elle est canon

Les trois se levèrent de la couverture pour encadrer la jeune femme qui se sentait bizarre. Elle eut une montée d'adrénaline en se rendant compte qu'elle avait pris sa décision et qu'elle allait leurs donner son corps.

- Alors petite, tu m'as écouté, tu es revenue nous dire bonjour, demanda la vieille

- Bonjour... oui c'est ça.

- Je te présente Michel, notre fils qui est célibataire. Il cherche une femme à épouser.

- Hé, maman, ça ne va pas. Je ne vais pas épouser une pute.

- Dommage car ton père l'aurait toujours eu sous la main.

D'un seul coup Amandine se demanda si elle avait bien fait de venir. Elle avait envie de sexe mais se sentait mal à l'aise en les écoutant.

- Tu as envie de sucer mon René comme la dernière fois.

Amandine hésita quelques secondes et fut la première étonnée en entendant les mots qui sortirent de sa bouche.

- Non.... Je préfère qu'il me baise.

Sans même qu'on ne lui demande, elle commença à se dévêtir devant le trio qui ouvrit de grands yeux lorsqu'elle fit glisser sa robe au sol.

- Putain, la salope, elle est à poil dessous, s'exclama René

- Elle est magnifique, je comprends pourquoi c'est une star du porno, commenta le fils qui ne pensait pas qu'une fille comme ça pouvait exister.

Lorsque ses parents lui avaient raconté leur rencontre avec elle, il avait pensé qu'ils avaient exagéré, mais maintenant il les croyait.

Sans un mot, comme possédée par un être démoniaque et lubrique, elle s'allongea sur la couverture, se positionnant sur le dos. Elle était de plus en plus excitée de se comporter de la sorte, surtout en voyant la façon dont ils la regardaient.

Lentement, elle écarta les cuisses, dévoilant sa petite chatte imberbe qui luisait déjà d'une mouille abondante.

- Elle ne plaisantait pas, elle veut vraiment qu'on la baise, dit Michel qui avait du mal à réaliser ce qui se passait

Ce n'était pas le cas du père qui était en train de retirer son short, laissant apparaître un sexe déjà en érection. La vieille, comme la première fois, fut surprise de voir le membre de son mari bien raide alors qu'avec elle il ne bandait plus depuis longtemps.

- Tu vas la baiser sans capote, demanda-t-elle à son mari

- Je n'en ai pas et de toute façon ce genre de femme doit sûrement être suivie pour les maladies.

De toute façon il était tellement excité par ce corps que sa femme, pour rien au monde, ne l'aurait fait changer d'avis. Il allait la baiser et prendre le plus grand plaisir de sa vie.

Lorsqu'il se coucha sur Amandine sous le regard de sa femme et de son fils, il se sentit beaucoup plus jeune. Ce fut incroyable lorsqu'il sentit sa queue glisser dans la chatte bien trempée, redécouvrant un plaisir oublié depuis longtemps.

Même si ce qu'elle faisait avec eux pouvait être humiliant, Elle gémit de bonheur en sentant le membre en elle. Elle adorait de plus en plus le sexe et cela l'effraya.

Pourtant, elle sentit tout son corps irradié de bonheur presque immédiatement lorsqu'il se mit à bouger dans sa vulve.

Le sexe n'était pas très volumineux mais la fille s'en moquait. Il lui faisait du bien et c'était pour elle le principal.

Le coït fut de courte durée, le vieux étant trop excité pour résister longtemps. Lorsqu'elle sentit le sperme inonder l'intérieur de son ventre, elle poussa un gémissement de contentement. Elle s'était découvert un autre penchant étrange qui l'effrayait un peu.

Depuis qu'elle s'était donnée aux jumeaux, elle adorait se faire remplir. Durant près de dix heures ils n'avaient pas cessé d'éjaculer en elle, la rendant presque accro.

Elle aimait sentir dans sa chatte les jets chauds l'inonder, de n'être plus qu'une réserve à sperme pour le plaisir des hommes.

Elle se traita de folle, se rendant compte que c'était du grand n'importe quoi. Elle ne pouvait pas se comporter de cette manière alors qu'elle avait découvert qu'elle était amoureuse de Fabien. Elle n'avait pas le droit d'aimer se faire remplir comme une vulgaire salope.

Le vieux se retira, le visage radieux, appréciant le moment. Son fils avait déjà enlevé son short et il se masturbait pour le rendre plus dur.

Amandine eut envie de changer de position et se mit à quatre pattes comme la petite chienne qu'elle était devenue pour eux.

La vieille était comme pour la première fois, un peu jalouse surtout en voyant comme elle avait rendu heureuse son René.

- Michel, regardes comme cette pute a envie que tu la baises.

- Je n'ai jamais vu une fille aussi belle et j'adore son cul.

- Tu n'as qu'à le lui défoncer.

Amandine frémit en les entendant parler. Elle savait que son anus était bien préparé même s'il était encore un peu douloureux.

Alors que son fils se positionnait derrière la jeune femme, la vieille s'accroupit à coté d'elle.

Avec une voix cruelle, elle lui dit.

- Tu n'es qu'une bête et tu mérites d'être traitée comme telle.

Tout en lui disant ça elle saisit un de ses seins qu'elle serra méchamment. Elle avait envie de faire mal à la jeune femme pour la punir d'être si belle. Amandine gémit légèrement mais resta sans bouger pour bien montrer à la mégère qu'elle ne lui faisait pas peur.

Elle poussa un autre gémissement lorsque le gland du fils appuya sur son anus meurtri. Il n'eut pas trop à forcer pour s'enfoncer en elle jusqu'aux couilles.

- Merde, ça rentre comme dans du beurre, elle doit se faire défoncer le cul souvent

- C'est normal, c'est une pute répondit méchamment la vieille qui aurait bien voulu que cela fasse beaucoup plus mal à la jeune femme.

L'homme se mit alors à la prendre lentement, appréciant les allers et retours dans ce cul magnifique. La vieille voulant la faire hurler, relâcha le sein pour pincer le téton entre ses ongles, le faisant presque saigner.

- René, ne reste pas sans rien faire, occupe-toi de l'autre sein.

L'homme qui avait un peu peur de sa femme, s'agenouilla de l'autre côté de la fille qui restait sans bouger alors qu'elle se faisait sodomiser. Ne sachant trop quoi faire, il décida de gifler l'adorable globe de chair, y allant de plus en plus fort pour le plus grand plaisir de sa femme.

Amandine adorait d'être ainsi malmenée. Tout en se faisant enculer, elle aimer sentir sa poitrine maltraitée même si c'était la vieille qui lui faisait le plus de mal avec ses ongles.

Elle se mit à gémir sans vraiment s'en rendre compte alors que le quarantenaire y allait de plus en plus fort.

Le plaisir augmenta d'un cran lorsqu'elle imagina qu'elle se faisait enculer par Fabien.

Elle en était maintenant sûre, elle aimait le garçon et n'avait qu'une envie, être au lendemain pour goûter à sa queue.

Elle poussa un long feulement lorsqu'elle sentit le membre se vider dans son cul. Elle était devenue la pute de ces gens et elle les laissa s'amuser avec elle encore un peu après que le fils se soit retiré.

****

L'après-midi était bien avancé lorsqu'elle arriva au manoir. Ils avaient fini le tournage et étaient tous à la piscine. Elle fit un petit signe au groupe avant de monter se changer.

Elle prit rapidement une douche pour nettoyer le sperme qui pouvait être en elle puis une fois séchée, elle enfila son joli petit bikini.

Même lorsqu'elle ne se baignait pas, elle aimait être ainsi, se sentant bien si peu vêtue. Elle avait pris conscience que son corps était désirable, et elle ne voyait pas l'utilité de le cacher.

En retournant rejoindre les autres, elle remarqua Fabien assis près du perron. Lorsqu'il vit qu'elle le regardait, il détourna tout de suite la tête. Pourquoi agissait-il ainsi alors qu'elle ne lui avait rien fait. Cela lui fit de la peine en le voyant aussi distant et elle se décida à aller le voir pour discuter.

Maintenant qu'elle avait accepté le fait qu'elle l'aimait, elle avait envie de le lui dire.

Elle allait le rejoindre lorsqu'elle fut interceptée par le réalisateur.

- Comment vas-tu bébé, je suis heureux de te voir en pleine forme.

- J'ai récupéré

Lui parlant d'un seul coup à voix basse il lui dit

- J'ai discuté avec les jumeaux, ils ont adoré ton corps

- Je m'en suis doutée, répondit en souriant la jeune femme.

- Comme tu as l'air en forme, je voulais te dire que demain, j'avais prévu pour toi deux petits tournages.

- Oui je sais, avec Philippe et Fabien.

- Ça te va?

- Oui

- Pour Fabien, comme il a le béguin pour toi j'ai pensé qu'une fellation ça pouvait lui plaire.

- C'est toi le réalisateur, je ferais ce que tu voudras.

L'homme fut surpris et heureux de voir que son actrice était devenue docile. Il y a quelques jours, lorsqu'elle était arrivée, il ne se serait jamais douté qu'elle serait en si peu de temps aussi obéissante. Il imagina tout ce qu'il pourrait faire avec elle lorsque le tournage serait terminé.

Amandine ne voulut pas lui dire que même si, en l'apprenant, elle avait été terrorisée, maintenant elle n'avait qu'une hâte, c'était de goûter au sexe du garçon qu'elle aimait.

Une fois que le réalisateur l'eut abandonnée, elle se dirigea de nouveau vers Fabien qui devint blanc en la voyant venir vers lui. Il regarda partout autour de lui, cherchant une solution pour éviter la jolie étudiante.

Il resta tout de même assis sur le perron, la laissant approcher.

- Coucou Fabien, Ça va?

- Heu... oui... enfin...

- Dis-moi ce qui te travaille

- Tu es au courant pour demain, tous les deux.

- Oui, Alexandre vient de m'en parler

- Et tu... tu vas le faire?

- Oui, c'est pour le film

- Tu vas vraiment le faire... avec moi?

- Tu n'en as pas envie?

- Si mais... je ne l'ai jamais fait.

La jeune femme sourit en voyant comment le garçon était paniqué. Pour le rassurer, elle lui dit.

- Tu me laisseras faire et ça se passera bien.

- Ça ne te dérange pas de me faire ...

- Non, au contraire...

Elle lui dire qu'elle l'aimait mais préféra se taire. Le garçon était suffisamment perturbé et elle ne voulait pas en rajouter.

- Viens, on va rejoindre les autres

Amandine lui tendit la main qu'il saisit avec un grand sourire. Il adorait être avec elle et c'est main dans la main qu'ils rejoignirent le reste du groupe, sous le regard attendri d'Éléonore qui aimait voir son fils heureux.

Durant le reste de l'après-midi, les deux jeunes restèrent ensemble comme des vrais amoureux sous le regard moqueur de certains convives. Comment imaginer qu'une jeune femme aussi belle puisse aimer un garçon boutonneux au physique peu avantageux.

Durant le repas, il vint même prendre la place de Corinne pour être au plus près de sa belle, ne voulant plus s'éloigner d'elle. Il était heureux et l'idée de se faire sucer par celle qu'il aimait ne lui faisait plus peur. Elle était restée en maillot car elle se sentait vraiment bien comme ça et il la regardait presque en continu.

Vers vingt deux heures, Amandine préféra prendre congé n'ayant pas tout à fait récupéré. Fabien telle une sangsue, l'accompagna jusqu'au pas de sa porte de chambre et elle dut gentiment insister pour qu'il n'y entre pas.

- Je peux t'embrasser pour te dire bonne nuit?

Amandine qui en avait envie elle aussi, s'approcha de lui et posa ses lèvres sur les siennes. Le baiser fut merveilleux et ils restèrent ainsi, durant de longues minutes, à s'embrasser avec beaucoup de fougue.

Lorsqu'il se décida à rejoindre les autres, elle resta seule regrettant presque de ne pas l'avoir fait rentrer. Elle avait envie de lui mais savait que ce n'était pas une bonne idée.

Comme chaque nuit, elle se mit nue pour mieux dormir, n'ayant qu'à retirer son petit bikini.

Vers minuit, elle ne dormait toujours pas, n'arrêtant pas de penser au garçon tout en se caressant. Elle sursauta lorsque la lumière éclaira sa chambre, se demandant ce qui se passait.

Alexandre rentra sans y être invité, refermant la porte derrière lui.

- C'est dur d'être seul avec toi avec le gamin qui te colle.

- Il est minuit, qu'est-ce que tu fais là?

Le réalisateur ne répondit pas et tout en regardant le corps nu sur le lit, il commença à se dévêtir.

La jeune femme étonnée, insista.

- Mais tu fais quoi là? tu n'as rien à faire dans ma chambre.

- Tu ne m'as pas dit tout à l'heure que je pouvais faire ce que je voulais.

- Si mais... pour le film.

- N'oublie pas que tu es mon bébé et à force de te voir à poil, j'ai envie de te baiser moi aussi

Amandine ne sut quoi répondre, et en voyant l'homme nu, le membre déjà tendu, elle écarta ses cuisses comme elle savait si bien le faire. Après tout, s'il avait envie de la baiser, autant qu'elle s'offre à lui aussi.

- Tu es ma petite pute, lui dit-il en s'allongeant sur elle.

Et avec un bonheur incroyable, il enfonça sa queue dans le ventre chaud de

son actrice.

- J'avais trop envie de baiser ton joli corps depuis que tu es arrivé.

Et tout en la prenant avec une certaine douceur, il l'embrassa à pleine bouche, fouillant sa langue avec la sienne.

La jeune femme était tellement devenue addict au sexe, qu'elle se laissa aller et se fit baiser une partie de la nuit. Elle eut plusieurs orgasmes violents pour le plus grand plaisir de l'homme.

Alexandre s'était mis d'accord avec son caméraman pour que ce dernier ne vienne le remplacer que vers quatre heures.

Amandine ne réagit même pas lorsque Paul prit la place du réalisateur entre ses cuisses. Elle aimait offrir son corps et se moquait de qui la prenait. Elle aimait sincèrement Fabien mais ne pouvait contrôler ses pulsions.

Le caméraman qui avait annoncé à Bertrand qu'il baiserait la jeune femme tint parole. Durant plus de deux heures il se fit plaisir, la prenant même par le cul qui était maintenant des plus accueillants.

L'étudiante adora sa nuit, ne voyant même pas ou pouvait être le mal. Elle avait un joli corps et pensa que ce serait égoïste de ne pas le prêter.

L'homme sortit de la chambre sur le coup de six heures, heureux d'avoir enfin baisé la pute du chef et d'avoir pris un pied phénoménal.

La jeune femme s'endormit enfin, ne se lavant même pas alors que tous ses trous débordaient de semences. Elle était heureuse et amoureuse et elle avait envie que cela continue.

Elle sursauta lorsque Sophie la secoua au niveau de l'épaule. N'ayant que peu dormi elle mit du temps pour émerger.

- Et bien ma salope, t'as plein de sperme collé sur le corps, prends vite une douche on t'attend pour la scène avec Fabien.

Amandine regarda le réveil qui indiquait 10h00. Elle sursauta et se leva d'un bond.

- Mais on ne m'avait pas dit que c'était ce matin! dit-elle paniquée.

- Dépêches-toi, Alex t'attend et il veut tourner la scène maintenant.

La jeune femme prit une douche rapide alors que l'assistante fouillait dans ses vêtements pour trouver une tenue. Elle prit le bas d'un petit bikini et le lui tendit lorsqu'elle fut séchée.

- Attends, je vais trouver le haut

- Non, tu ne mets que le bas du maillot. Tu vas tourner seins nus au bord de la piscine. Ce sera plus érotique.

L'étudiante se saisit du petit slip de bain, l'enfilant sans un mot. Si le réalisateur désirait qu'elle se montre presque nue, elle n'y voyait aucun inconvénient.

Elle avait adoré lorsqu'elle avait été emmenée nue à la ferme telle une esclave d'autrefois. Elle aimait le regard que l'on posait sur elle lorsqu'elle se montrait ainsi car depuis peu elle n'avait plus aucune pudeur.

Juste avant de descendre pour rejoindre le tournage, Sophie s'approcha d'elle pour caresser ses seins.

- Tu es magnifique lui dit-elle, tu vas crever l'écran

- Merci

En arrivant à la piscine, toute l'équipe était là. Fabien, juste en maillot, était vraiment très pale alors que ses parents l'encourageaient. La jeune femme, poitrine à l'air fit sensation car elle était vraiment superbe