Abusée Ch. 08

Informations sur Récit
Rendez-vous dans un bar.
2k mots
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27k
2

Partie 8 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/27/2018
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Traduction d'une histoire de Jessiebnh.

Ce récit est une FICTION contenant chantage, contraintes et humiliations. Ne continuez pas à lire si vous n'aimez pas.

***********

Je n'eus pas de nouvelles de Glen ou ses amis pendant plus d'une semaine après la fête dans la maison de la fraternité. Après cette nuit torride, ma relation avec mon mari repris un rythme lent et tranquille. J'avais été bien courbaturée après cette fête et je n'aurais pas pu subir d'autres amusements. Donc j'étais heureuse de ne pas avoir de nouvelles de Glen.

Le mercredi de cette semaine, je réalisai que mon temps de contrat avec le jeune garçon était passé pour plus de la moitié. D'une certaine façon, j'étais un peu triste que ma vie revienne à la normale bientôt. C'était un peu le même sentiment quand la moitié des vacances était terminé et que s'approchait la fin.

Bien que notre vie sexuelle soit revenue normale, il y avait une certaine tension entre Mike et moi. Je ne savais pas si ça venait d'un sentiment de culpabilité de sa part pour avoir baisé une inconnue (moi en vérité) ou d'un sentiment de culpabilité de ma part de m'être laissée prendre par une horde de garçons. Peut-être était-ce une culpabilité mutuelle et un embarras commun sur la façon dont j'avais dominé Mike ce soir-là. Mon mari a toujours été du genre à tourner autour du pot et à ne jamais affronter les questions. J'avoue que ça m'arrangeait souvent. S'il était trop gêné ou trop coupable de discuter de certaines choses avec moi, alors tant pis. Je n'étais pas impatiente de m'embrouiller avec lui.

Le mercredi après-midi, Glen m'appela sur mon téléphone portable alors que j'étais dans ma voiture.

- Jess? Salut c'est moi! Rendez-vous chez Rick? Dit-il comme si je n'avais pas le choix.

Je raccrochai en colère et je regardai ma montre. Mike avait des réunions toute la semaine et nous dînions toujours très tard. J'avais beaucoup de temps et pas grand-chose à faire.

Je n'avais jamais été au bar de Rick. Il était en dehors de la ville sur la route principale fréquentée par des motards et des ploucs. Je suppose que la moitié de la population de notre petite ville passait au moins une fois par jour dans le bar de Rick. Je redémarrai la voiture et je réalisai que je me dirigeais en dehors de la ville jusqu'au bar. Ironiquement, je ris de moi en me rendant compte que j'obéissais à Glen sans réfléchir.

Comme je ne voulus pas que ma voiture connue d'enseignante soit vue à l'extérieur du bar, je me garai derrière. Pourtant je savais bien que si quelqu'un regardait attentivement, il verrait ma voiture.

J'entrai dans le bar de façon sexy. Je portais une robe de coton imprimé, sans bas avec une paire de sandales mignonnes. Je vis Glen assis dans une alcôve et aussitôt ma chatte commença à picoter. Ça ne m'était jamais arrivée auparavant. Je me glissai en face du jeune garçon en regardant autour de moi pour m'assurer que personne ne m'avait reconnu.

- Tu es si excitante! Dit Glen assez fort.

- Tu m'as appelée. Dis-je avec une voix monocorde en espérant qu'il ne se rende pas compte de mon excitation.

- Ma putain m'a manqué, il fallait que je te voie. Dit-il dans un murmure rauque.

Je regardai les yeux de chiots de Glen. Bon sang, c'était un jeune salaud! Je me détestai d'être tellement attirée par lui.

- Que veux-tu que ça me fasse? Demandai-je en haussant les épaules et en montrant de l'audace.

Je savais très bien où cela allait nous mener. Au sexe, sans tendresse, comme deux chiens qui s'accouplent brutalement.

Glen écrasa sa cigarette et se leva brusquement. Ses yeux me détaillèrent. On aurait dit qu'il voulait brûler mes vêtements du regard et me laisser ici assise, nue et vulnérable. Il attrapa mon bras :

- Lève-toi! dit-il d'un ton sec, comme si j'étais son chien.

Je m'exécutai en m'assurant de bien écarter les jambes pour qu'il puisse voir ma culotte quand je glissai hors de l'alcôve. Les yeux du jeune garçon étaient vitreux. Je sentis que j'avais un peu de contrôle sur lui pour la première fois dans notre relation.

Il me poussa vers l'arrière du bar où il y avait un couloir qui menait aux toilettes.

Il ouvrit la porte marquée « Homme » et me poussa. Je ne pense pas avoir déjà été dans des WC pour hommes. Il y avait trois urinoirs. L'endroit puait la bière et l'urine. Je me demandai combien de fois les hommes avaient manqué l'urinoir et pissé sur le sol.

Le plancher était recouvert d'un vinyle rouge des années 1960 et il était inégal. Ces toilettes étaient sales. Je pouvais entendre les gouttes du robinet et il y avait des tâches de rouille sur le vieux lavabo en porcelaine.

Glen mit ses mains sur mes épaules et me regarda dans les yeux :

- Baisse-toi et suce-moi!

Bien que je sois une enseignante et une femme respectée, que je sois dans les toilettes pour hommes où quelqu'un pouvait entrer et me reconnaître, peut-être même le père d'un de mes élèves, j'obéis.

Je m'accroupis, jambes écartées, ma robe d'été retroussée et mes pieds tournés vers l'extérieur. Je décompressai le pantalon de Glen et je me battis pour extraire sa bite maintenant bien dure de son jean serré et de son caleçon.

Ainsi je n'avais que la vision de son entrejambe et de sa queue. J'étais fascinée. Je commençai à caresser amoureusement le membre avec mes mains, puis je me mis à lécher et sucer son gros gland. Je le faisais comme si c'était la chose la plus naturelle pour moi. J'eus l'impression que je n'existais que pour me faire sauter par des jeunes gars dans des toilettes immondes pour hommes.

Ma culotte devint tellement humide que je pus sentir la fraîcheur sur ma chatte. J'aurais pu jurer que l'on pouvait sentit mon excitation au milieu des odeurs nauséabondes de la pièce. Je pouvais entendre les « slurp » que faisait ma bouche sur la bite de Glen. Je m'appliquai dans ma fellation. En même temps, avec ma main libre, celle qui porte mon alliance, je frottai ma chatte humide à travers le fin tissu de ma culotte.

J'entendis Glen gémir. Je savais que ce serait bientôt la fin. Je fermai les yeux et je me concentrai pour prendre le plus possible de sa queue dans ma gorge. Les mains du garçon saisirent les deux côtés de ma tête. Je dus reposer mes deux mains sur mes cuisses pour éviter de tomber en arrière sur le sol éclaboussé de pisse masculine.

Alors que Glen commença à baiser mon visage, j'entendis le loquet de la porte qui s'ouvrit. Quelqu'un entra et referma derrière lui. Oh merde! Mon cœur se mit à battre la chamade. Et mon clito commença à bourgeonner. Ma chatte me faisait mal tellement j'avais envie qu'on la touche, mais je n'osai pas bouger mes mains de peur de tomber.

L'homme qui venait d'entrer dans les toilettes pris mes seins par-derrière. Il s'était accroupi derrière moi. Je sentis son souffle chaud parfumé à la bière sur ma joue. Il tripota durement mes seins pendant que Glen baisait ma bouche en rythme. Il me sembla que sa queue grossissait. Sa bite était déjà assez énorme lorsqu'elle était en érection, Mais là, j'eus l'impression qu'elle devenait gigantesque. J'essayai de ne pas étouffer quand il enfonça de plus en plus profondément sa queue dans ma gorge. Je n'étais qu'une figure à baiser. J'étais une salope suceuse de bites dans des toilettes. OH MON DIEU, j'étais bien, je voulais du sperme. Je pouvais sentir mon clito me picoter, chauffer et presque éclater.

L'homme qui malmenait mes seins mit ses mains entre mes jambes. Ma chatte était en feu et ma culotte complètement mouillée. Ce fut ironique, sur le moment je fus gênée qu'il trouve ma culotte humide. Il repoussa le fin tissu et ses mains calleuses cherchèrent mon clitoris. Je sentis que Glen allait bientôt jouir. Je me préparai à recevoir une bonne quantité de foutre.

- ARGHHHHH!! Gémit-il alors que le premier jet de sperme chaud et collant arrosait le fond de ma gorge.

J'eus le choix : avaler ou étouffer. J'avalai. Un second jet remplit ma bouche en plus grande quantité. J'avais du foutre sur le bord des lèvres quand Glen poussa à nouveau sa bite dans ma gorge. Ce fut alors que l'inconnu derrière moi trouva mon clito et le pinça violemment.

Je jouis alors. J'eus un orgasme qui me fit tout oublier. C'est comme si quelqu'un avait éteint l'interrupteur de mon cerveau. Je pensai que ça n'allait jamais s'arrêter. Glen était encore dans ma bouche, mais je ne m'en rendis pas compte. J'étais tellement consumée par mon orgasme que je me foutais de ce qui pouvait se passer. Glen éjacula encore deux fois sur mon visage et me poussa en arrière sur l'inconnu. Mais il me rattrapa en me saisissant par les cheveux et me stabilisa sur ma position accroupie. J'étais si faible après cette jouissance que je serais tombée si Glen ne me tenait pas par les cheveux. Je sentis l'étranger me contourner pour se placer devant moi. Une bite, poilue, courte et épaisse fut poussée sur mon visage. Ma bouche s'ouvrit presque automatiquement. Encore une fois, je ne fus plus qu'un visage à baiser. Mais cette fois-ci par un inconnu dans les toilettes.

Sa queue était salée et sentait le renfermé. Mais j'aimai! Je commençai de nouveau à être excitée. Glen tint le dos de ma tête pour que l'étranger puisse utiliser ma bouche comme si c'était une chatte. Avec sa main libre, il ouvrit les boutons de ma robe d'été, sortit mes seins de mon soutien-gorge et commença à les frapper.

CLAC! CLAC! Sa main giflait ma poitrine. La queue inconnue s'enfonçait sans réfléchir dans ma bouche. Ma chatte me faisait mal. Je n'étais qu'une pute mariée au service de ces deux hommes. Je commençai à pleurer et mouiller en même temps. J'eus l'impression de ne plus pouvoir respirer, je perdais le contrôle de mon corps, la stimulation physique étant trop forte. La douleur, le plaisir de l'humiliation, la dégradation, ce fut trop et je commençai à uriner. Ma pisse éclaboussa mes pieds et mes sandales.

La queue dans ma bouche, bien épaisse, était loin d'être aussi longue que celle de Glen. Les couilles de l'homme frappèrent mon menton à chaque fois qu'il s'enfonçait dans ma bouche. Soudain je sentis un doigt, puis bientôt un deuxième s'introduire dans ma chatte. Glen me branla. J'étais proche de l'épuisement total, mais je sentis un nouvel orgasme monter en moi. Je priai que la queue dans ma bouche éjacule. Je mis mes bras autour du cul poilu de l'homme et je le tirai sans vergogne sur moi pour qu'il me baise la bouche.

Enfin, il gémit et laissa échapper un torrent de foutre dans ma bouche. Puis il se retira pour arroser mon visage et mes seins. C'était fini. Le sperme chaud me piqua les yeux. Je l'entendis remonter sa braguette et quitter les toilettes. Peu après, Glen me poussa sur le sol crasseux. J'entendis la porte claquer à nouveau.

J'étais seule sur le sol des toilettes hommes du bar de Rick. Ma robe était ouverte, mes seins vulgairement sortis du soutien-gorge. Le sperme recouvrait mon visage, mes cheveux et ma poitrine. Ma chatte touchait le sol crade. Je sentais l'urine.

J'arrêtai de sangloter et je laissai mon corps se détendre. Je réalisai à quel point j'avais été humiliée alors que j'étais toujours allongée sur le sol. Un inconnu m'avait baisé comme une pute. J'étais une vraie salope. Mon corps était disponible pour tout homme qui voulait. Je sentis mon clito me démanger à nouveau. Distraitement, je me mis à frotter ma chatte. Quelle salope étais-je devenue? Je me délectais de cette situation. J'espérai presque qu'un homme arrive alors que je me masturbai sur le sol souillé de ces toilettes.

A suivre...

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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans

Quelle scène ! Bravo

AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans

Voici une partie de l'histoire bien trash...

Mais elle semble magré tout y prendre du plaisir, c'est le principal.

Mister.Cocu

AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
Déchéance

C'est en fait une déchéance .... Mais elle aime ça et nous aussi !

Rudy

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