Abusée Ch. 07

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Retour à la maison après la fête.
2.2k mots
4.39
26.1k
3

Partie 7 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/27/2018
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Traduction d'une histoire de Jessiebnh.

Ce récit est une FICTION contenant chantage, contraintes et humiliations. Ne continuez pas à lire si vous n'aimez pas.

***********

Pendant que je me remettais d'un des orgasmes le plus puissant de ma vie, je pensai à la situation dans laquelle je me trouvais. Je venais d'être baisée par une salle pleine de jeune gars d'une fraternité qui jouaient au base-ball et étaient entraînés par mon mari Mike. Et en ce moment il était derrière moi, sa bite dans ma chatte, encouragé et félicité par toute l'équipe qui riait et buvait. Il venait de baiser une pute sans visage, sans se soucier de savoir que c'était sa femme.

Glen retira sa queue de ma bouche et la tint devant mon visage afin que je nettoie ses boules. La bite de mon mari débandait dans ma chatte qui me faisait un peu mal. Je léchai les quelques gouttes de sperme que je n'avais pas avalé comme une bonne salope. Le jeune garçon se retourna, écarta ses fesses avec ses mains et me présenta son cul. Je compris ce qu'il voulait alors je me mis à lécher son cul poilu. Je ne l'avais jamais fait auparavant. Et mon mari était encore planté en moi. J'étais vraiment une vraie salope.

Aussi rapidement qu'il était entré dans le petit cagibi, Glen en sortit. Je commençai alors à paniquer. Pour la première fois depuis que l'orgie sexuelle avait commencé, je m'aperçus que j'étais très bien attachée à la table et que je ne pouvais pas bouger. Je voulus crier, mais mon salaud de mari était encore debout derrière moi, sa queue molle dans ma chatte. Je sentais le sperme qui coulait le long de mes jambes. Finalement Mike se retira. Je regardai sur l'écran de l'ordinateur portable les jeunes taper dans le dos de mon mari alors qu'il remontait son pantalon et attachait sa ceinture.

La voix de Glen sortit du haut-parleur de l'ordinateur :

- Ok! C'est tout pour ce soir. Laissons cette salope se reposer.

Je vis sur l'écran que Paul et un autre garçon tiraient le rideau de velours de dessus mon dos pour recouvrir mon cul, ma chatte et mes jambes. Maintenant je ne voyais plus qu'un rideau de velours devant une porte, plus cette salope de Jessie. Ce fut drôle mais pendant une seconde je fus agacée. J'aurais presque voulu que toutes les personnes présentes dans la grande salle applaudissent et scandent mon nom.

C'est alors que je compris que Glen avait bien réussi son coup. Personne dans la maison (sauf trois de ses amis) ne savait que c'était moi. Pas même mon mari qui venait de me baiser. J'entendis la porte s'ouvrir et mon cœur bondit dans ma poitrine. Pendant une seconde, j'imaginai que Glen amenait Mike dans la pièce pour lui montrer qui il venait de baiser. Je commençai à me débattre et à tirer sur mes liens. Puis je me rendis compte que ce n'était que Glen et Paul.

- Dépêchons-nous de la faire sortir d'ici! Mike veut partir et elle doit être chez elle avant qu'il n'y arrive.

Glen commença à démonter les fils de l'ordinateur portable pendant que Paul était sous la table pour desserrer les liens qui m'immobilisaient. J'essayai de bouger mais Glen me tint en posant une main sur mon dos.

- Attends salope! Laisse-nous tirer la table!

Les deux garçons saisirent le bord de la table. Leurs entrejambes étaient à la hauteur de mes yeux. Merde! Même après avoir été baisée une trentaine de fois, j'étais encore excitée en voyant les bosses de leurs sexes sous leurs pantalons. Qu'allais-je devenir? J'étais affreuse. Mon cul et mes jambes étaient couverts de sperme collant. J'avais l'impression que ma chatte était gonflée, rouge et douloureuse ainsi que mon clitoris qui avait frotté contre la serviette rugueuse qui recouvrait la table. Cette serviette était maintenant complètement imbibée du sperme d'une équipe de jeune gars.

Ils tirèrent lentement la porte avec moi dessus dans la pièce. Cela fait, ils m'aidèrent à me relever. Mes jambes et mes bras étaient raides d'avoir été immobilisés aussi longtemps. Je pouvais à peine tenir debout. Même si la petite pièce était chaude et sentait le préservatif usagé, mes jambes et ma chatte humide sentirent la fraîcheur de l'air. Paul ramassa précautionneusement la serviette sale sur la table et il me la tendit :

- Nettoie-toi! Nous y allons!

Je lui lançai un regard méchant et je commençai à essuyer mes fesses, mes jambes et mon sexe. Je vis que mes bas étaient couverts de foutre du haut jusqu'à mes genoux. J'eus l'impression d'être une pute à deux sous. Je décidai d'enlever mes bas mais Glen m'arrêta en me disant :

- Nous n'avons pas le temps. Enveloppe-toi dans ça et allons-y.

Il me tendit une vieille couverture passée qui traînait dans un coin et je la drapai sur mes épaules. Paul m'attrapa un bras et Glen l'autre puis ils me conduisirent rapidement hors de la pièce, à travers la cuisine et hors de la maison jusqu'à la voiture de Glen garée derrière la maison. Ils me jetèrent sur le siège arrière, sautèrent sur les sièges avant et nous nous enfuîmes à toute vitesse.

Je sortis de ma torpeur et de cette évasion forcée. Tandis que la voiture de Glen filait vers ma maison, je fouillai le sac qui avait été jeté à côté de moi sur le siège et je sortis mon survêtement. J'avais l'impression d'être ivre quand j'essayais de le mettre. Je portais encore le soutien-gorge et le porte-jarretelle avec les bas, mais je n'eus pas le courage et l'énergie de les enlever. Je tirai sur le pantalon et j'enfilai le haut puis je me laissai tomber dans le siège.

Bientôt Glen annonça que nous arrivions à mon domicile. Les deux garçons roulèrent dans toute la rue pour voir si la voiture de Mike était là. Heureusement il n'était pas encore arrivé, nous étions les premiers. Les jeunes de la fraternité avaient sûrement réussi à lui offrir une bière supplémentaire.

Glen gara sa voiture le long du trottoir. Les deux garçons se tournèrent vers moi et me regardèrent avant de dire :

- Tu attends quoi? un bisou pour te dire bonne nuit?

Je les fusillai des yeux, pris mon sac et sortis de la voiture rapidement. Je me précipitai vers ma porte d'entrée sans regarder derrière. J'entendis la voiture de Glen redémarrer et s'éloigner.

Tandis que j'ouvrais la porte de ma maison, l'énormité de ce qui venait de se passer me tomba dessus comme un coup de massue. Je m'étais comportée comme une affamée de bites. Je n'arrivai pas à le croire! Moi! Professeur de lycée modèle et assez conservatrice! La fille qui s'était gardée pour son futur mari! Une salope oui, une pute, une garce à partager!

Je me dépouillai de mes vêtements en hâte dans ma chambre et je courus sous la douche. Je me doutais que Mike serait bientôt à la maison. Pendant que l'eau chaude et apaisante coulait sur mon corps, mon esprit commença à errer. Que devrais-je faire? Qu'est-ce que je vais pouvoir dire quand il sera au lit avec moi?

Puis je commençai à m'énerver. Cette espèce de connard! Il n'a pas hésité à baiser une sale pute inconnue et il va se blottir dans son lit contre sa femme. Salaud! Tout d'un coup je me sentis garce et la rancune monta en moi. Mon comportement de salope ne me parut plus aussi important. Je voulais me venger, j'étais envahi par la colère.

- Je vais lui montrer à ce connard qui m'a trompé! Dis-je à haute voix en rinçant le savon sur mon corps.

J'étais sur le point de laver ma chatte qui dégoulinait de sperme avec le pommeau de douche. Mais je m'immobilisai et commençai à sourire quand une idée diabolique traversa mon cerveau.

Je sortis de la douche et je m'essuyai en évitant délibérément de toucher ma chatte. Je mis une nuisette transparente avant de ramasser mes vêtements sales que je jetai au fond du panier à linge. Puis je me mis au lit.

Les yeux ouverts dans l'obscurité, je repensai à ma vengeance et je repassai tous les détails dans ma tête. Je réfléchis à ce que je dirais et à ce que je ferais quand mon mari me rejoindrait dans notre couche. Je n'eus pas longtemps à attendre. J'entendis la clé dans la porte et des pas lourds monter l'escalier. Je restai tranquillement dans le lit et dans l'obscurité et je commençai à caresser mon clitoris. Bon sang, de penser à cette vengeance m'avait excité et ma chatte était humide.

- Jess! Es-tu réveillée?

C'était la voix de Mike. Il parlait si doucement que je crois qu'il espérait que je sois endormie.

Je lui répondis d'une voix douce et sexy :

- Est-ce toi mon chéri? Je viens d'avoir un rêve super sexy.

Je continuai à me caresser le clito pendant que Mike se déshabillait dans le noir et laissait tomber ses vêtements sur le sol. Quand il s'approcha, je pus sentir l'odeur de la bière. Ça allait être facile.

Mon mari se glissa dans le lit à côté de moi, en essayant de ne pas trop m'approcher. Peut-être qu'il avait peur que s'il me touchait, son sale petit secret serait dévoilé. Tout en m'activant sur mon clito, je me suis dit que c'était bien d'être une femme. Les hommes sont de vraies mauviettes qui ne savent rien cacher. Je murmurai alors :

- Chéri, j'ai besoin de toi bébé. Je veux que tu me fasses l'amour.

Le silence fut assourdissant. Je pouvais presque sentir la peur qui sortait des pores de sa peau.

- Oh! Pas ce soir bébé, je suis trop fatigué. Gémit-il avec une voix suppliante.

Espèce de salaud! Glen ne refuserait pas lui! Je devins effrontée. Son corps était froid alors que le mien était tout chaud. Je me glissai contre son corps nu et ma main serpenta jusqu'au trou de son boxer. Sa petite bite était dure comme du roc. Salaud de pervers!

- Tu n'as pas l'air très fatigué chéri! Murmurai-je à son oreille.

Puis de ma voix la plus sexy, je lui sifflai au creux de l'oreille :

- Ce soir...Je veux que tu manges ma chatte... Comme dans mon rêve bébé. Je veux que tu lèches ma chatte, je veux que tu me fasses jouir avec ta bouche et ta langue.

Je sentis sa bite grossir pendant que je disais ces mots. Alors je passai ma jambe au-dessus de lui pour enfourcher sa poitrine. Et je commençai à l'embrasser. Son souffle puait la bière et ses cheveux sentait l'odeur de tabac froid.

- Mange-moi chéri! Mange la bourgeoise qui a attendu patiemment que tu rentres chez toi.

Après cela je me mis à califourchon sur son visage et je me mis à frotter ma chatte sur sa bouche. J'étais tellement excitée que ma chatte dégoulinait. Mon Dieu, que j'étais chaude! Je fermai les yeux et pensai à toutes les bites qui venaient de me baiser, à tout ce sperme qui avait été éjaculé dans mon ventre. Je me sentais sale et salope toute en frottant mon sexe sur le visage de mon mari.

Il commença à sucer mon clito à chaque fois qu'il pouvait l'attraper. Peu à peu, je pris un certain rythme. Tout d'abord, je glissai mon sexe jusqu'à son nez qui partageait mes petites lèvres et pénétrait ma chatte. Puis je glissai en arrière et laissai sa langue entrer dans mon vagin. Puis je remontai à nouveau. Je baisai son visage!

Je me mis à penser au gars costaud avec la grosse bite qui m'avait donné mon premier orgasme. J'imaginai Mike suçant mon clito pendant que la grosse queue poilue du garçon me défonçait. Je sentis que j'étais proche de jouir. Alors je pris la tête de mon mari entre mes mains et je continuai à frotter ma chatte sur sa figure en disant :

- Vas-y bébé, prends le jus de ma chatte! Baise-moi avec ta langue! Baise-moi chéri!

Je n'avais jamais parlé de la sorte à Mike tout au long de nos années de mariage. Mais je me fichais de ce qu'il pouvait penser. Je voulais juste qu'il me donne du plaisir avec sa bouche et sa langue.

Mike mettait sa langue dans ma grotte comme il le pouvait. Soudain, je sentis une merveilleuse sensation de chaleur qui émanait de mon bas-ventre. Ce n'était pas le plus violent orgasme que j'avais eu, mais il était si doux. Je jouis et mon jus inonda ma chatte. Je sentis mon vagin se contracter et une grosse quantité de mon jus fut poussé dehors, dans la bouche de Mike.

Quand ça commença, mon mari essaya de tourner la tête. Peut-être qu'il pensait que je lui pissais dessus. Je m'en fichai. Je serrai mes jambes autour de sa tête et descendis ma chatte sur sa bouche. J'étais déterminée à laisser couler mon jus et je n'allais pas laisser mon mari m'enlever ce choix. Je pus sentir ses joues humides contre mes cuisses. Il se débattit en haletant. Je ne bougeai pas, attendant que mon jus se tarisse.

Enfin, je laissai mon pauvre mari. Il était à bout de souffle mais n'osait dire quoi que ce soit. Je me retournai dos à lui en étant satisfaite et en pensant : « Alors? tu aimes ça enfoiré? »

Tandis que je commençai à dériver dans un sommeil profond, je sentis le lit bouger légèrement. Mike se masturbait tranquillement à côté de moi.

A suivre...

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans

Je rêve d'un femme comme ça :-)

AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans

la salope en elle se réveille et, hypocritement, elle reporte la situation sur son mari. J'adore. :)

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