Aarya & Mat - Minuit Bengali

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Aarya savoure un songe langoureux.
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La nuit au dehors était complète. Au travers de la fente entre les hauts rideaux de leur chambre ne perçait qu'un étroit filet de lumière jaune, fin comme le fil d'un rasoir.

Aarya était perdue dans les draps de leur large lit, Matthew somnolait.

Le ronronnement d'une mobilette noctambule passa lentement sous leur fenêtre. Le réveil indiquait trois heures et quart.

Matthew ouvrit à demi les yeux, voguant entre deux rêves étranges sans vraiment reprendre appui dans la réalité. Un bruissement presque imperceptible berçait la pièce.

Il s'agissait d'une sorte de froissement, indolent et régulier qui rythmait leurs respirations.

Matthew souleva un peu plus les paupières et pencha légèrement la tête. Son regard se posa sur le visage d'Aarya qui dormait à côté de lui. Le sommeil le tirait vers d'autres obscures aventures dans lesquelles ils se laissait happer avec une délicieuse paresse.

Le glissement d'un drap lui caressa les oreilles. La cuisse de Aarya, toujours assoupie, monta frôler la sienne. Il rouvrit à nouveau ses lourdes paupières.

Il devinait à travers l'obscurité les contours du visage de la jeune femme, tourné vers le plafond. Ses joues rondes, ses yeux clos, son nez court dont l'arrête dessinait un arc elliptique presque parfait depuis ses arcades sourcilières. Son menton doux se levait et s'abaissait paisiblement à chaque respiration.

Puis la commissure de ses délicates lèvres sombres s'ouvrit. La respiration d'Aarya devint plus ample, plus lente. Il l'observa quelques secondes ou quelques heures, où la chaleur d'un lit conjugal transforme le temps, admirant la tendre figure de la jeune femme.

Le froissement régulier se poursuivait cependant et la chaude cuisse de Aarya pressait doucement contre la sienne.

Que voyait-elle sous ces paupières? se demanda Matthiew. D'inaccessibles fantasmes.

Il senti son sexe croitre.

Aarya était une perle venue des indes. Son corps emmitouflé dans le confort des draps chauds satisfaisait ses besoins sans que son esprit en ait conscience. Sa petite main glissée entre ses cuisses massait langoureusement sa belle fente douce et satinée, alimentant de plaisir charnel ses songes exquis.

Sa bouche s'ouvrait d'elle-même, échangeant avec la pièce ses soupirs de plus en plus profonds.

Matthew l'observait, immobile, sans perturber l'acte qui se jouait près de lui. Son membre poussait cependant, et il se libéra sans geste brusque de son short.

Un pylône se dressait à présent, qui soulevait les draps. La jeune Bengali accélérait son rythme, ses sourcils se serraient légèrement, ses soupirs se déployaient.

Les froissements redoublaient, maintenant accompagné d'un bruit humide et charmant.

La jeune femme soulevait son buste par intervalles sous les draps. Elle se cambrait, ondulant son bassin de moins en moins discrètement. Elle gardait néanmoins les yeux clos, savourant quelques luxurieux fantasmes.

Matthew se glissa sous la couette, se faufilant dans les profondeurs des draps, parcourant le large lit en évitant tout contact qui tirerait sa belle indienne hors de ses songes. Il se dirigea entre les pieds écartés de la jeune femme et remonta lentement dans l'obscurité totale.

Sous la couverture Aarya ne portait pas de bas de pyjamas. Son sexe nu et imberbe, délicieusement excité par sa main de fée qui le caressait langoureusement, se trouvait à quelques centimètres du visage de l'homme.

Il prit une profonde inspiration. Un parfum fauve lui emplit les narines, irradiant son corps du besoin instinctif d'enserrer son organe tumescent dans la femelle en chaleur qui lui faisait face.

Mais d'abord il fallait réprimer cette pulsion. Son cœur, bien réveillé, donnait des coups de poing dans sa poitrine. Car un appétit d'un autre genre lui venait.

Il tendit grand la langue. Cependant il ne pouvait lécher cette fente sans que son visage ne se heurte à la main somnambule qui la caressait.

Alors il approcha lentement ses lèvres, sentit contre les bords de sa langue caresser les deux douces collines de son amante.

Il faufila la pointe entre elles jusqu'à ce qu'il rencontre la fragile rondelle de son anus.

Au contact de la langue qui épousait ses contours, il sentit le trou se contracter de plaisir. Les ridules se froissèrent d'abord contre lui. La main malaxait la fente juste en face de son visage avec une énergie langoureuse.

Il parcouru la sensible circonférence de l'anus. Aarya réhaussa son bassin, donnant à l'appendice buccal de son mari le plein accès à son fondement.

Puis il sentit la rondelle se desserrer contre sa langue. Aarya soupira de plaisir tout en continuant de se masturber. Elle relâchait sa garde, détendant ses muscles sous les délicieuses caresses chaudes de Matthew.

Dormait-elle? Ne dormait-elle plus? Ou peut-être entre deux? La jeune innocente profitait consciemment ou non d'un plaisir secret et double fait de chairs chaudes et de songes.

Un filet de cyprine coulait à présent autour de ses lèvres qui embrassaient goulument le rectum de la jeune femme.

Il senti la deuxième main de Aarya passer dernière sa tête, le tirant vers elle.

La chatte, béante et dégoulinante face à ses yeux était prête à jouir. La main ralentie. Sa belle retardait son orgasme, profitant de ces moments d'extase avec tout l'égoïsme d'un corps de femme quand son esprit se perd dans les vapeurs nocturnes.

Matthew déployait sa langue bouillante contre l'anus qui se contractait et se relâchait fiévreusement. Chaque gémissement d'encouragement qui sortait de lui émettaient autant d'exquises vibrations qui parcourait la rondelle de chair érogène d'Aarya jusqu'à la base de son clitoris.

Tout à coup, les deux cuisses de l'indienne se tendirent autour des joues de l'homme. Une expiration forte et chantante sorti de la femme qui jouissait enfin.

Aarya ondula les hanches au rythme de sa main qui lui malaxait furieusement la fente, appréciant chaque passage de la langue de Matthew contre sa rondelle fondante de plaisir, l'esprit plongé dans un mélange de rêve licencieux et d'orgasme pur.

Sa main se relâcha, ses cuisses se détendirent. Matthew décolla la bouche d'entre les fesses ce la jeune femme qui respirait fort et lentement.

Ils étaient toujours plongés dans l'obscurité, Les yeux de Aarya toujours clos, la vulve en fusion après cet orgasme chimérique. Jouir à la fois d'un rêve et d'une langue est rare et magnifique comme un joyau précieux.

Matthieu remonta le visage hors de la couette, le membre gros comme une poutre pendu entre ses jambes.

Il la regardait se rendormir. Il l'avait fait jouir, il avait donné, elle avait pris. C'était à présent son tour de la prendre.

Il allait enfiler sa queue en rut, grosse et dure comme le granit entre les petite lèvres lisses et brillantes de cyprine. Il allait la remplir de semence lorsque son esprit complaisant s'en retournerait à ses rêves.

Alors il approcha son gland de la fente encore chaude et mouillée de la jeune Bengali et pénétra ses chairs bouillantes.

Il écartait ses plis érogènes, sentant ses tissus élastiques se tendre et céder pour lui faire place, élargissant la grotte humectée. Lentement, il s'introduit en elle jusqu'à y enterrer l'entièreté de son organe.

Aarya poussa un nouveau soupir, les yeux demeurants clos, cherchant à nouveau le rêve qu'elle avait quitté.

L'homme se retira, sa volumineuse tige glissant en dehors d'elle en dépliant chaque repli. Puis il l'écarta à nouveau, rouvrant la fente brûlante et répétant le mouvement.

La jeune femme à moitié réveillée défit son haut de Pyjama, libérant ses larges seins coulants que les yeux de son mari ne pouvaient qu'à peine distinguer dans la noirceur de la nuit.

Matthew gémissait, il ne tiendrait pas longtemps à l'intérieur du cuir de sa déesse Indoue. Les cuisses étaient grande ouvertes, la fente était chaude. La matrice absorbait sa bite comme si elle avait été moulée pour lui, déshabillant son gland en elle jusqu'à ce que la pointe lui caresse le col de l'utérus. Ses couilles allaient atteindre leur point de rupture. La bête continua.

Enfin, la prostate lâcha son flot de semence, épaisse et collante. Il jouit silencieusement, remplissant doucement le vagin Bengali bouillonnant et fertile de son volume séminal. Matthew empli Aarya par cordes entières à chaque pulsion de sa queue happée par ses chairs molles.

Aarya restait immobile, ses larges seins nus et dansants, offerte toute entière à son mâle qui se répendait en elle. Elle profitait du coït, sentant chaque vas-et-viens lentement rallumer le brasier entre ses cuisses. Le flot de sperme débordait à présent de sa grotte.

Il la prenait, il la salissait, il la consommait en soupirant de plaisir.

Matthew termina son orgasme. Il tira sa queue ramollie hors de la fente qui sembla la retenir jusqu'au bout.

Le gland glissa hors de ses lèvres, la chatte relâcha par à-coup son paquet de sperme visqueux qui coula négligemment sur les draps.

Matthew souffla et s'emmitoufla à nouveau dans la couette, son œuvre était faite. Aarya tourna la tête vers le réveil qui affichait trois heures quarante. Il n'était pas encore trop tard.

Sa main retrouva le chemin de sa chatte dégoulinante de semence. Elle se caressa à nouveau avec un son mouillé, chargé de bulles de son sexe tout juste labouré et fécondé. Elle s'accorda un deuxième orgasme indolent qui la raccompagna vers la profondeur des songes, la fente ouverte dégorgeante de sperme et de cyprine sur les draps du lit.

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