Aarya & Mat - Archives Cachées 03

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Aarya avoue ses volontées secrètes.
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Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 03/08/2023
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***Partie 3***

Aarya et Matthew, enlacés tous les deux nus sur le lit défait, contemplaient un instant l'écran d'ordinateur. Ils avaient mis la vidéo sur pause, le temps de récupérer quelques forces après les fellations réciproques auxquelles ils venaient de s'adonner.

Les murs de la pièce, après s'être peints des flamboyants éclats du soleil printanier, étaient redevenus gris. Une averse soudaine embrumait les rues de son parfum humide et la chambre, dont on n'avait pas allumé le plafonnier, s'était tout à coup plongée dans une quasi-obscurité.

Aarya attarda un œil par la fenêtre. On ne sortirait probablement pas ce dimanche-là.

Matthew rompit le silence.

- Il tient quand même rudement bien le coup, Darien, fit-il d'un air détaché.

Aarya rabattu le pli de la couverture sur sa peau de café nue.

- C'est vrai, n'importe quel mec aurait eu le temps de jouir trois fois dans cette petite bouille.

Puis elle baissa un regard amusé vers le sexe encore à moitié dur de son amant.

- Mais faut pas que ça te blesse dans ton égo, petit Mat. Toi tu jouis plus vite, ok, mais t'as tes propres talents. D'ailleurs t'es le seul gars que je connaisse qui puisse jouir et continuer de bander aussi bien. Ça pour une fille c'est magique, mon gros poussin.

- Si tu m'accordes une pause de temps en temps, dit-il en ricanant.

- Et puisqu'on en parle, te déconcentres pas trop, ok? Il y a le reste de la vidéo à regarder.

Matthew acquiesça dans un soupir, incertain de pouvoir garder le rythme. La vidéo s'était arrêtée sur l'image floue du puissant membre dressé face à Alyssa dont il venait de déformer la délicate gorge de colombe.

- Il a tout de même un chibre énorme, l'ami Darien.

- Mouais, répondit Aarya, il est pas mal foutu.

- T'as vu la taille par rapport à sa bouche? fit-il en rigolant.

- Oui oui, il est bien monté.

Puis elle ajouta en marmonnant :

- J'ai vu mieux.

- Ah oui, s'exclama Matthew, évidemment.

- Bon fais déjà avec ce que t'as, Mat, dit-elle d'un ton légèrement agacé.

Puis elle saisi la demi-molle de son homme entre ses doigts, tâtant le tube de chair.

- Mais si tu te sens pas à la hauteur, ajouta-t-elle, t'as qu'a aller te doucher et je vais finir le job avec mon ami à piles.

Matthew se redressa en riant du nez.

- Certainement pas!

Ils relancèrent la vidéo.

***

On avait posé la caméra sur le bord du lit. Darien, qui avait rejoint Alyssa sur le matelas, apparaissait pour la première fois en entier sur l'image.

Il approcha son corps massif aux angles musculeux de la douce petite blonde ; celle-ci essuyait nonchalamment la salive qui avait coulée de sa bouche lors de leur précédente session de deepthroat.

Elle fixait son homme avec un sourire concupiscent, invitant du nez le mâle en érection à s'approcher de sa peau nue. Il s'exécuta, avançant sur ses genoux en labourant les draps comme un bulldozer écrasant la glaise de ses chenilles.

La jeune femme empoigna le caméscope et le porta à hauteur de son visage, soucieuse de fournir au spectateur une vue équivalente à la sienne face à son homme.

Darien se dressait tout près d'elle. Sous ses cheveux courts d'une coupe presque militaire, son visage rectangulaire s'embrasait d'impatience. Une barbe de trois jours habillait sa mâchoire de tigre et son cou de buffle. C'est pourtant bien un cerf que l'on retrouvait, tatoué en trois couleurs et avec une remarquable finesse sur son épaule gauche.

Alyssa joint les cuisses entre elles et son homme défit sa culotte de dentelle rouge qu'il lança négligemment à l'autre bout de la pièce. Puis elle saisit un volumineux oreiller qu'elle plaça derrière son dos et s'appuya dessus, écartant impudiquement ses longues jambes blanches devant son homme qui s'approchait de l'objectif.

Le membre, impressionnant, s'étirait face à la plaine de son ventre blanc. Ses deux seins nus et sautillants, aux tétons roses dressés au sommet de leur motte de graisse narguaient la tige tendue et avide.

Il était difficile d'imaginer que les reins de cette petite anglaise puissent avaler la volumineuse poutre qui allait bientôt forcer son chemin en elle. Mais Darien, le torse solidement posé sur ses puissantes cuisses ouvertes en triangle la fixait avec une détermination d'acier.

Les pectoraux carrés décorés d'une pilosité noire et peu fournie, les abdominaux bandés comme des pneus de camion, son expression s'éclairait d'une impatience orageuse.

Il attrapa les deux jambes que lui ouvrait Alyssa et tira son bassin vers lui. Puis il prit la caméra des mains de la petite blonde et retourna l'objectif vers elle, qui le fixait avec une anticipation réjouie.

Il descendit le camescope entre les jambes de la jeune femme, dévoilant la tonte triangulaire de son pubis constituée de fins poils d'or coupés court. Le sommet du triangle pointant vers le bas rejoignait la naissance de sa fente.

Le sillon était rose, son clitoris opulent sous un épais capuchon luisant et bordé de deux généreuses lèvres qui se déployaient face à l'objectif. La tranchée du sexe d'Alyssa était large et profonde, sans doute un peu plus courte que la moyenne, et ressemblait à un fruit ouvert qui avait en place de noyau son orifice de chair. Ses petites lèvres, courtes et charnues, s'étaient déjà enduites d'un glaçage clair de cyprine.

Les deux cuissots s'ouvrant pour le mâle, ses ailes se décollèrent lentement l'une de l'autre en révélant la voie de son antre maternel. Les fils de glue aqueuse se rompant dans cet écartement paraissait inviter le mâle téméraire à y enfiler sa queue.

Son amant s'avança justement, les nerfs et les sens aiguisés par l'appel insolent de l'entaille béante d'Alyssa qui paraissait minuscule en contraste avec le membre de Darien.

L'homme approcha son sexe, appliquant la longueur de sa tige contre la courte chatte qui disparut entièrement sous l'ombre du phallus. Il avança les hanches, glissant son tube dur et chaud contre les lèvres d'Alyssa jusqu'à ce que le son gland lissé par l'érection vienne caresser le triangle de poils blonds du mont de vénus de sa belle. Puis il descendit dans l'autre sens, léchant de toute la hauteur de sa lourde barre le petit sillon mouillé.

Il poursuivi par des allers-venus similaires, coulissant sa trique avec force contre le délicat entre-jambe comme pour scier cette jeune femme en deux.

L'action du viril et pesant membre de Darien érodant sa fente et labourant son clitoris gonflé fini par faire effet en elle et Alyssa, dont le bassin se contractait de lui-même, changea ses soupirs en gémissements.

Bientôt ses glissades répétées produisirent un son mouillé. Ses coulées de cyprine chaudes recouvrirent l'appareil de Darien et lui-même se mit à souffler comme une bête en plein effort, et le triangle d'or du pubis d'Alyssa s'englua d'un precum collant déposé par son homme au gré de ses allers-venus.

Ses faibles gémissements gagnèrent en intensité. Son cou d'oiseau libérait sa voix que le plaisir brut faisait trembler.

Darien continua à scier la fente de sa femme avec une puissance de machine jusqu'à ce que ses propres grommellements rejoignent ceux de la blonde.

Alyssa, seins nus à la caméra, se laissait docilement malaxer par cette gigantesque poutre. Peu à peu, son visage ovale devint tendu et sa voix chevrotante, symptômes de l'orgasme encore vert qui croissait rapidement en elle.

Mais enfin, Darien arrêta le mouvement de son sexe. Les yeux surpris d'Alyssa montèrent aux siens, l'implorant déjà de poursuivre son délicieux ouvrage.

- Tu va jouir? lança-t-il.

- Oui... souffla-t-elle, tu me fous en feu avec ta grosse bite!

Ses grands yeux bleus lui jetèrent un regard de suppliciée.

- Continue s'te plaît...

Mais Darien souleva son membre rigide, décollant sa viande visqueuse de l'abricot en fusion de la jeune anglaise.

- Oui vas-y mon ourse, défonce-moi la chatte! dit-elle dans un soupir d'impatience.

Elle détendit ses muscles, apprêtant son corps à avaler la poutre de Darien.

- T'es bien chaude, ma p'tite salope.

- Oui, j'suis trop chaude pour toi.

- Alors t'est toute prête à jouir?

- Ouais!

Les battements sourds du cœur de la jeune femme s'entendaient dans le timbre de sa voix.

Darien souleva sa grande main au-dessus de la fente ouverte et délicate de la blonde, et tout à coup, l'abattit contre le sensible sillon d'Alyssa dans un bruit de fessée.

La claque vive et soudaine lui envoya une décharge dans tout le corps. Elle étrangla un cri et ses cuisses se serrèrent tout à coup. Mais le large corps de Darien qui se tenait entre elles bloqua la fermeture de ses jambes.

- C'est ça que t'aimes bien ma salope?

Elle étouffa un gémissement. Darien attendit qu'elle détende ses jambes et que la surprise se dissipe dans le corps de sa femme.

Puis il la claqua à nouveau dans un bruit mat et mouillé, et à nouveau les petites jambes se serrèrent contre lui.

- Ahhhh ouais... fit-elle entre deux gifles. Ça te fait bander mon gros bâtard, hein? ça t'excite de me faire gémir?

Il claqua encore, puis encore les sensibles lèvres de son entre-jambe, et peu à peu les gémissements de surprise se transformèrent en complaintes indolentes.

Puis il posa la main sur la petite fente endolorie et la massa affectueusement de sa large poigne.

- C'est toi qu'aimes ça, ma fouine.

Il caressa les délicats plis de chair de ses doigts rudes, constatant le fleuve de jus translucides qui coulait de son orifice dont il parcourait l'embouchure tendre de son indexe.

- Ouais, ça te fait baver comme une affamée, poursuivi-t-il.

Darien continua de malaxer l'entre-jambe d'Alyssa jusqu'à ce qu'elle finisse par gémir de plaisir à nouveau.

Enfin, il lâcha la chatte et avança son sexe, posant le champignon de son gland contre la petite fente de poupée. Darien était énorme, et s'apprêtait à emboutir un trou qui paraissait trop étroit pour l'accueillir.

Alyssa et ses grands yeux bleus, ses beaux seins blancs et nus offerts à son mari se tenait grande ouverte pour lui. Son regard brillait par mille feux d'envie de chair et de luxure.

Il tendit enfin ses muscles puissants et poussa son gland vers elle, écrasant les lèvres de la petite chatte autour de lui.

Il forçait sa grosse bite entre les cuisses blanches et peu à peu, le délicat tissu labial lui fit place, s'étirant comme un caoutchouc autour du large gland de Darien.

Très lentement, les grandes lèvres englobèrent le champignon, découvrant le prépuce jusqu'à révéler la couronne du sexe qui la perforait au ralenti.

Le petit corps était tendu autour de lui : son gland allait disparaître entre ses lèvres déformées.

Alyssa semblait retenir sa respiration. Son visage était crispé, ses yeux plissés et sa bouche grimaçante. Darien était manifestement trop gros pour elle, mais de toute évidence la petite britannique adorait se faire écarteler le tube vaginal.

Dans une ultime défaite, ses lèvres étirées cédèrent autour de la circonférence de la couronne de Darien. Plus rien à cet instant ne permettrait à cette petite chatte violentée de retenir la poutre qui forçait l'entrée de sa délicate grotte.

Darien commença à glisser en elle, et l'étroite blonde lâcha un long gémissement. La sensation de son palais nuptial peu à peu dévasté par l'énorme queue, de ce gland distendant ses chairs dans son inexorable avancée, chaque millimètre engrossé en elle se lisait sur l'expression de son visage.

Le cœur de sportif de Darien pompait ses litres de sang bouillant par coups de poing brutaux et régulier dans le coffre de sa large poitrine. Alyssa en ressentait chaque vague s'écrasant férocement sur les parois de son vagin.

Elle avalait la poutre, dépliant, tendant, tannant chaque pli de cuir de sa cavité autour du mâle qui poussait en elle et qui ne s'arrêtait pas.

La petite anglaise sentit le gland se caler bien au fond d'elle et poursuivre tout de même sa route, étirant encore son tube dans toutes les directions. Il la farcissait à la limite de la rompre, mais la délicieuse tension la rendait folle d'extase.

Sa complainte de peine et de plaisir sifflait hors de ses cordes vocales. Enfin elle sentit les lourdes bourses de son homme lui caresser l'anus. Ses abdominaux étaient gainés, ses hanches contorsionnées pour accepter sans se briser ce membre trop gros pour elle. Après une éternelle glissade au fond de son antre, elle avait ingéré la buche chaude et dure de Darien dans toute sa longueur.

Leurs pubis s'embrassèrent, les poils noirs et raides de l'homme vinrent chatouiller le fin triangle d'or d'Alyssa. Elle souleva ses jambes et les enroula autour des hanches du mâle jusqu'à ce que ses deux pieds se rejoignent et s'entremêlent à la manière d'un cadenas.

Il resta énorme, immobile en elle ; la petite blonde ferma les yeux pour profiter de la sensation. Ses fins doigts glissèrent vers ses mamelons érigés dont elle parcouru la périphérie. Les tétons roses et durs répondirent par d'immédiates décharges de plaisir chaud et rayonnant.

Le sexe de Darien pulsait contre ses parois comme une bête muselée. La puissante étreinte du vagin tendu autour de lui l'exaspérait et le brûlait d'envie de la remplir de puissantes et furieuses poussées.

Mais l'anglaise lui interdisait tout mouvement. Autour de sa taille musculeuse, les pieds d'Alyssa demeuraient bloqués ensembles.

Elle l'enchaînait ainsi contre elle, avec la volonté expresse de le faire patienter pendant qu'elle savourait les fruits de son effort.

Darien, forcé de ravaler les sourdes bourrasques instinctives qui naissaient depuis la pointe de sa queue, grommelait d'impatience. Il tenait toujours la caméra dans sa main gauche et filmait la belle blonde nue qui s'attouchait devant lui.

Ses frêles mains empoignaient ses seins laiteux, massant ses deux boules de graisse à pleine paume, tandis que ces longs doigts jouaient avec ses tétons roses et durcis. Elle soupirait, gémissait en le fixant de ses grands yeux bleus.

La jeune femme se plongeait lentement dans son abîme de plaisir.

Darien descendit l'objectif sous le nombril de sa femme, filmant le triangle d'or souillé de precum qui pointait comme une flèche vers sa fente écartelée.

Les lèvres grandes ouvertes par la colonne de chair dévoilaient à l'air libre son clitoris si étiré qu'il s'était entièrement défait de son capuchon. L'ultime bouton d'Alyssa, terminaison de toutes ses terminaisons nerveuses, était poussé en dehors d'elle par la pression de son sexe.

Alors que la blonde s'approchait doucement de l'orgasme, malaxant ses seins en se délectant de la queue qui l'emplissait profondément, Darien admirait cette vue. La salive montait dans sa bouche. Sa sournoise petite fouine, se dit-il, allait bientôt se faire jouir en le forçant à la regarder depuis le fond de sa cage de chair. Elle le condamnait sans scrupule à le laisser bouillir de frustration bien au fond d'elle.

La jeune femme expira. Il senti les nerfs de son bassin s'électriser, ses petites jambes resserrer leur étreinte autour de lui. Elle allait enfin toucher l'extase. Alors Darien, lentement consumé par la chaleur ardente d'Alyssa, tendit la bouche au-dessus du vide. Et comme pour éteindre l'incendie qui dévorait sa queue, laissa tomber de ses lèvres un lourd et épais volume de salive qui se précipita vers le bas.

Il s'écrasa d'un coup, juste sous la pointe du triangle d'or d'Alyssa, frappant pile le clitoris à vif de la jeune blonde.

Elle s'écria. La bouillonnante masse flasque frappant subitement la surface nue et fragile de sa boule de nerfs venait de provoquer une véritable explosion à travers le corps de la femme.

L'orgasme se cristallisait d'un coup. Ses jambes se délièrent d'elles-mêmes et ses pieds tombés sur les draps libérèrent le mâle en furie. Immédiatement, celui-ci extirpa son sexe brûlant des entrailles d'Alyssa.

Elle se senti comme sapée par le volume qu'il tirait en dehors d'elle, et l'extase brutal de la sensation libéra ses cris de plaisir.

Darien, presqu'entièrement dégagé de sa femme, renfonça son érection en elle. Il lui fit bouffer toute sa longueur d'une traite, glissant sans résistance à travers le juteux conduit de la blonde.

Elle jouissait, hennissait sous son étalon qui n'en finissait plus de la remplir encore et encore de son énorme queue.

Le mâle enfin libre rugissait de plaisir. Il lui attrapa le frêle cou de la blonde d'une main, la tenant fermement pendant qu'il s'écrasait au fond d'elle, faisant danser sous ses yeux les deux mamelons blancs par les bourrades de ses hanches.

Le vif orgasme électrisait la peau de la jeune femme. Il la soulevait, aigu et incisif, la projetait à travers ciel. Mais cet orgasme dont l'emplissait son fougueux Darien était violent et orageux. Son mâle la perçait de son membre et la douce Anglaise se vidait par jets entiers. Une fois entièrement délestée, l'orgasme ingrat l'arracha à la voute céleste et la rejeta brutalement sur leur lit en sueurs.

Cependant Darien poursuivait, le membre toujours large et dur pilonnant les tendres chairs de la petite blonde qui rouvrait les yeux. Et comme il parvenait encore, par un miracle inouï, à retenir en lui le flux de ses lourdes couilles, Alyssa se redressa pour changer de position.

Elle se redressa, se hissant au niveau de son colosse en s'accrochant à ses larges épaules jusqu'à ce que son petit visage rencontre celui de Darien. Les deux êtres éperdus de débauche étaient à présent assis l'un en face de l'autre. La femme, reposant ses deux cuisses sur celles de l'homme et ses jambes écartées derrière lui, avait à présent le cul somme suspendu dans le vide.

Ce faisant, Alyssa avait repris la caméra en main. Tendant le bras au maximum, elle se filmait elle et son homme en vue de côté.

Darien qui avait à nouveau les mains libres lui empoigna les fesses et souleva la blonde comme si elle ne pesait rien. L'étroite chatte déballa la longue érection jusqu'à la pointe du gland, et comme il la redescendait, elle la ravalait toute entière d'une seule traite jusqu'à ce que leurs cuisses se rejoignent à nouveau.

L'homme grondait, bandait ses muscles pour élever la jeune blonde en l'air. Chaque soulèvement, semblable à un arbre qu'il déracinait à main nue, était suivi de la récompense d'enfoncer à nouveau son phallus entre les chaudes et étroites cuisses d'Alyssa.

Ils continuèrent ainsi plus d'une minute, car l'effort extrême que suscitait ce travail distrayait le mâle de l'orgasme que la petite blonde comptait lui offrir.

Lorsqu'il lui sembla que Darien était rompu, elle le poussa violement de sa main libre tout en continuant de se filmer. Darien, exténué, se laissa tomber dos à plat sur le lit.

Puis, sans jamais défaire leurs sexes de leur union une seule seconde, elle parvint à ramener ses deux pieds à elle. Alyssa était à présent à genoux, assise à califourchon sur son mâle en rut, les deux délicieuses boules de ses seins s'agitant joyeusement sous son buste.

Ce fut alors son tour de chevauchade. La femme s'enfilait le large et long pilier à en faire voler en l'air ses boucles dorées.

- Qu'est-ce que t'attends, mon ours? Lança-t-elle.

Il eut du mal à répondre entre deux grommellements.

- Bordel, t'est trop bonne...

- Ah ouais? Tu la sens bien ma p'tite chatte? T'es tellement gros, putain!

Elle gémit à nouveau, secoua la tête pour lancer ses cheveux derrière ses épaules.

- Tu veux pas me gicler dedans? Tu crois qu'tu peux encore tenir dans ma toute petite chatte bien chaude et bien serrée?

A ces mots, Alyssa s'immobilisa un instant. Elle se pencha en avant, puis, gardant le haut de son corps immobile, elle souleva ses fesses en l'air pour les abattre sur Darien. D'une chevauchée, elle passait soudain au galop.

Par la seule puissance de ses cuisses, la blonde s'empalait à un rythme effréné autour de son immense bite. Elle lança d'une voix sautante :

- Vas-y... Mon ours! Vide tes burnes... dans ta p'tite chatte préférée!

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