Aarya & Mat - Archives Cachées 02

Informations sur Récit
Matthew et Aarya écrivent leur histoire à l'oral.
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Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 03/08/2023
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*** Aarya & Mat - Archives Cachées - Partie 2 ***

Aarya s'étira en baillant dans son peignoir blanc à moitié défait.

Elle se tenait debout au milieu de la pièce et regardait, satisfaite, l'effet produit par ses archives secrètes sur son amant. Logé dans le creux de son ventre, enfoncé en elle jusqu'au bout, un œuf vibrant lui excitait les parois vaginales par tremblements de faible intensité.

Depuis qu'elle avait été en âge de procréer, Aarya avait eu une inavouable attirance pour l'exhibitionnisme. Elle n'aimait pas le terme, trop vulgaire et surtout, il ne s'agissait pas de se mettre à poil devant n'importe qui. Pour elle il s'agissait plutôt d'une forme d'expression.

Faire de son corps un objet de désir, c'était compléter sa personne. Partager ses cachettes avec des partenaires sélectionnés avec soin, c'était l'ultime manifestation de son amour.

Dans cette quête ou dans ses expériences, pourtant, elle avait souvent fait face à d'amères déceptions. Était-ce trop demander à ses conjoints? Pouvait-on comprendre que pour l'aimer véritablement, il fallait aimer ce qu'elle aimait?

Dès ses premières relations, Aarya avait voulu filmer ses ébats. Depuis, elle avait pris un soin méthodique à enregistrer ses relations sexuelles avec chacun de ses hommes et s'était constitué une base d'archives digne d'un site pornographique. Ses exploits accumulés au fil du temps comptabilisaient cent quatre-vingt-neuf vidéos rangées dans un coffre-fort numérique. Vingt-deux conjoints successifs y étaient représentés, coups d'un soir ou relations longues inclues.

Toutes sortes de positions, d'angles de vue ou de pratiques sexuelles y figuraient, du missionnaire le plus classique à sa seconde pénétration anale.

Seules ses premières fois n'étaient jamais filmées. C'était une question de principe, et en plus, la caméra avait tendance à rendre ses amants parfois un peu trop enthousiastes.

Si les clips étaient généralement tournés à deux, une certaine proportion la représentait elle seule, explorant son anatomie dans ses détails les plus érogènes. Elle préférait même parfois la compagnie de l'objectif aux garçons trop souvent défaillants.

Cela faisait des mois qu'elle attendait le moment de partager cette passion délicieusement vilaine avec Matthew. Approuvait-il son penchant? Devait-elle lui offrir les clés du coffre? Certainement pas encore, se dit-elle. Elle venait tout juste de lui partager l'existence de ce trésor de guerre, il avait encore du chemin à faire pour lui prouver qu'il était parfaitement en phase avec elle. Il fallait que ça lui plaise, que ça l'excite, qu'il la suive et qu'à deux, ils explorent leurs fantasmes les plus intimes.

Il n'y aurait pas de relation sérieuse sans ça.

Aarya s'avança vers le pas de la porte de la chambre.

Elle tourna la tête vers Matthew qui était toujours assis sur sa chaise et lui lança un regard invitant du coin des yeux.

- T'attends quoi? fit-elle.

Puis elle décrocha son peignoir de ses épaules et le laissa tomber à terre, dévoilant son dos nu et son généreux fessier couleur chocolat.

Matthew s'extirpa sans plus réfléchir du reste de ses habits et la rejoint dans la chambre.

Aarya était couchée sur le lit, jambes entre-ouvertes, jouant avec le fil de son vibromasseur qui dépassait toujours de sa fente humide.

Ses deux seins lourds et coulants arboraient leur tétons sombres et raidis par la fraîcheur de l'air. Aarya releva les sourcils, intimant l'ordre à son mâle de venir la cueillir.

- Alors pour de vrai, t'en penses quoi? dit-elle.

Elle sondait son visage. malgré le plaisir manifeste qu'il avait eu à la regarder se faire empaler par un ex, Matthew avait l'air préoccupé par quelque chose.

- Est-ce que ces vidéos te posent un problème?

- Non, répondit-il, bien sûr que non.

Un air soucieux ombrageait cependant son visage. Il revisionnait dans son esprit l'enregistrement qu'Aarya lui avait montré sur son ordinateur portable.

- Alors pourquoi tu fais cette tête?

Il laissa passer un silence.

- Écoutes, j'ai envie de voir tout le contenu de ce dossier et évidemment le fait que tu y sois avec d'autres gars ne me gêne absolument pas, mais... Juste une chose. Tu te rends compte que ce garçon pourrait retourner ces vidéos contre toi? On te voit entièrement nue, visage découvert, et en plus c'est clairement toi qui allumes la caméra. Tu n'as jamais eu peur, par exemple, que tes parents tombent dessus?

- C'est vrai.

- Tes ex pourraient les utiliser pour te faire chanter.

Aarya hocha la tête, il soulevait un point essentiel.

- En effet, c'est arrivé. Plusieurs fois, d'ailleurs.

- Mais c'est très grave! s'offusqua Matthew.

Elle pencha la tête sur le côté, un brin ennuyée par les remarques de Matthew. Ses excès de prudence la rendait parfois lasse. Enfin, pensa-t-elle, quoi de plus prévisible de la part d'un assureur?

Cependant Aarya sentait le vibromasseur perdu en elle qui lui chatouillait le cuir vaginal et dont les sécrétions coulaient par un mince filet sur les draps propres. Et en plus elle n'avait pas encore joui, se fit-elle remarquer, n'était-il donc pas possible de remettre cette conversation à plus tard? Elle se fit violence pour rassurer son courtier.

- C'est arrivé que quelques-uns tentent de m'emmerder, oui. Comme tu l'as dit après les avoir largué certains ont menacés à demi-mot de divulguer ces vidéos à mes proches. Mais tout d'abord avant de leur partager ces vidéos je m'assurais de flouter mon visage. Ça les rendait fous mais comme ça, ça limite largement les risques.

Aarya tourna la tête vers la fenêtre, poursuivant ses explications d'un air détaché.

- Ça n'a pas empêché l'un d'entre eux de diffuser certaines de nos œuvres sur des sites de porn, mais finalement comme seul son visage apparaissait en clair, ça s'est vite retourné contre lui. Et puis, j'avais fini par amasser une belle bibliothèque de ses propres exploits solo qu'il m'avait envoyé de lui-même, je lui ai fait comprendre qu'il serait préférable pour lui que ses parents et grands-parents posent pas les yeux dessus.

Les yeux de la femme revinrent à Matthew qui, debout, nu dans l'encadrement de la porte, écoutait l'anecdote avec concentration.

- T'est une vraie maligne, fit-il.

- Bon sinon je peux aussi mettre mes archives à la poubelle et comme ça tu seras rassuré, après tout je peux vivre sans...

- Non! Ce sera pas nécessaire, puisqu'il ne s'est rien passé de grave, je pense que les risques sont faibles à présent, s'empressa-t-il de dire.

- Voilà, j'aime mieux ça.

Aarya l'observa. Le sexe déjà rassasié de son mâle semblait avoir de la peine à se réveiller. La voir nue, toute prête à ce qu'il vienne la pourfendre ne semblait pas encore assez pour lui redonner vigueur à sa verge, se désola-t-elle. Qu'à cela ne tienne! Après tout, c'était son tour.

- Et maintenant enfin, fais-moi jouir, ordonna-t-elle.

Matthew s'approcha du coin du lit. Aarya le stoppa :

- Mais t'oublies un truc.

Il regarda sa copine allongée sur le lit sans savoir ce qu'elle voulait dire.

- Sur l'étagère, poursuivit-elle, derrière mes pulls, il y a une boîte. Tu la sors et tu l'ouvres.

L'homme s'exécuta, dérangeant les vêtements pliés dans leur placard. A sa surprise, un étui grand comme la moitié d'une boîte à chaussures se cachait là. Il sorti l'objet inconnu et le posa sur la table de chevet sous les yeux sombres et brillants de l'indienne.

Il l'ouvrit et y trouva, soigneusement calé, un caméscope pas plus gros que la paume de sa main. L'indienne avança le bras droit et saisi l'objet.

- C'est avec ça que tu te filmes?

- Oui, fit-elle en allumant l'appareil.

- Tu veux pas utiliser ton portable parce que tu as peur de te faire pirater?

Aarya sourit en pointant l'objectif sur Matthew.

- T'es perspicace. Alors je peux?

Il hésita un instant, avant d'acquiescer.

Un bit signala le lancement de l'enregistrement. Puis elle ajouta d'un ton badin :

- Alors voyons voir ce que tu sais faire, beau britannique, sois pas timide.

Aarya se tut, laissant à son homme le soin de s'occuper d'elle.

Il se pencha en avant, approchant la tête entre les généreuses cuisses de l'indienne qu'elle ouvrait pour lui faire place tandis qu'elle le regardait s'avancer à travers l'écran.

Il embrassa ses abducteurs, provoquant les souffles de plaisir de son amante. Dans cette position, il pouvait entendre les séismes du vibromasseur qui était en elle. Son amante, de sa main libre, tenait la télécommande entre ses petits doigts et faisait varier la teneur des tremblements au fond de son tube vaginal.

La cordelette noire du sex toy qui lui emplissait le vagin dépassait de sa vulve en gigotant gaiement. Matthew approcha sa bouche de la fente. Le pubis d'Aarya était parfaitement imberbe, bien lisse et propre. Ses grandes lèvres écartées dévoilaient ses chairs humides un peu plus sombres que le reste de sa peau. Le bourgeon, luisant et épanouis sous son capuchon gonflé surplombait son urètre et les petites lèvres presque symétriques qui dépassaient des grandes comme les ailes d'un papillon couleur d'ébène.

Matthew étira sa langue et en caressa les sensibles contours, se rassasiant les narines de l'odeur des chaleurs d'Aarya.

A son contact la cordelette se souleva en lui caressant le menton, témoignant des contractions internes qu'il provoquait en elle.

Il engloba les fines feuilles de ses petites lèvres entre les siennes, suçant les délicates terminaisons de son amante pendant un long instant, puis il avança sa langue contre la fente de la femme.

La pointe chaude et curieuse de son appendice buccal s'élança entre les replis de chair de l'indienne, fouillant impudemment toutes les fragiles sinuosités de sa vulve.

Aarya soupira, les yeux clos, se laissant sucer par son homme. Le plat de sa langue ondulait, s'écrasait entre ses grandes lèvres entre-ouvertes, provoquant des éclairs de plaisirs dont elle se laissait traverser le corps.

Du bout de son bras chancelant de plaisir, elle braquait l'objectif sur la tête de Matthew, prenant soin de documenter ses pratiques dans les moindres détails.

Au fond d'elle, le vibromasseur répandait toujours ses puissantes ondes. Elle se détendit, augmentant l'intensité de son massage interne. L'appareil liquéfiait son vagin qui l'aspirait de lui-même dans son âtre génital.

Après quelques minutes, elle commençait à gémir doucement. Éclairée par la vive lueur du soleil dominical, la touffe châtain, mi-longue de Matthew remuait entre ses deux cuisses écartées tandis que son visage se perdait derrière son ventre et son pubis.

Elle laissait la délicieuse pression monter en elle, lui chatouiller les nerfs de la pointe de ses orteils jusqu'à son bassin.

Le repas de son amant l'emportait. Pas un millimètre carré de sa vulve ne serait épargné ; il la modelait avec l'habileté d'un artisan sculptant ses muqueuses de la pointe de sa langue.

D'un clic de la télécommande l'indienne changea à nouveau le rythme des vibrations. Les vagues douces et profondes résonnaient en elle en lui réchauffant le ventre.

Aarya expira, Matthew la pourléchait à grand bruit mouillés sous la lumière clignotante de la caméra.

Elle senti la langue s'aventurer en elle, descendre sa cavité, longer la cordelette tremblante du vibromasseur jusqu'à ce qu'il atteigne l'œuf qu'elle couvait en elle.

L'objet lui étirait déjà délicieusement les parois ; la langue complétait la pénétration du tube maternel de la Bengali.

A travers l'écran qui lui filmait le visage, elle vit ses yeux remonter à l'objectif.

Puis tout à coup, il élança sa langue plus profondément en elle. De son puissant muscle il repoussa l'œuf contre le fond de sa grotte en liquéfaction.

La nouvelle pression décupla les sensations d'extase. Elle gémit bruyamment.

Par mouvement réflexe, ses deux cuisses perforées en leur centre voulurent se resserrer contre les tempes du mâle. Mais sous l'œil de la caméra, le britannique lui attrapa fermement les genoux et les écarta avec une force contre laquelle la frêle indienne ne pouvait que ployer.

Elle filma sa lutte cependant, tentant vainement de refermer ses cuisses. Mais elle cédait contre la puissance masculine des bras qui l'ouvraient toute entière, étirant ses tendons comme une difficile position de yoga.

Se faisant, la pression de son vagin s'inversait. L'œuf qu'elle avait aspiré en elle s'en retrouvait repoussé par les muqueuses qui se contractaient. Elle le sentait couler vers la sortie, accompagné des furieuses vibrassions qui lui emportaient tout le bassin.

Aayra geignait. Sa respiration inégale soulevait ses seins et chantait hors de sa gorge. Ses deux jambes maintenues écartées à la limite de lui faire mal tressaillaient en l'air et entre elles, Matthew la bouffait goulûment.

Le plat de sa langue avait retrouvé le chemin de son clitoris, embrasant le délicat bourgeon dans des bruits de succion sonores.

La cordelette grandissait hors d'elle, poussant comme l'orgasme fleurissait dans l'antre de son bas-ventre.

Enfin, l'œuf que ses contractions poussaient hors d'elle atteignait l'embouchure dégoulinante de sa vulve. Il charriait avec lui un flot aqueux de cyprine chaude et gluante.

Les vibrations se propagèrent tout le long de la fente sombre de la Bengali, secouant violemment la surface de ses délicates petites lèvres.

L'homme sentit la furie bouillante de l'objet à travers sa bouche qu'il employait masser le clitoris d'Aarya. Toute ces sensations simultanées se démultipliaient et l'indienne dévorée gémissait comme une animale éperdue.

Le fil de l'orgasme se tendait à travers son corps. Aarya le sentait venir, immense, grandiose. Il avançait lentement sans que rien ne puisse plus l'arrêter, étourdissant ses membres et ses organes.

Puis soudain, alors que le vibromasseur était à demi sorti de sa chatte fondante, elle senti son amant redescendre la langue. Il embrassait l'objet huilé de son magma maternel à pleine bouche.

Sans qu'elle n'eût le temps de se demander ce qu'il fabriquait, elle le sentit repousser l'œuf vibrant vers sa grotte. Faisant fi de la pression interne de son organe génital, Matthew l'engrossait avec cet objet, glissant la quenelle de silicone entre ses cuisses jusqu'à la lui faire avaler à nouveau.

Une fois le vibromasseur forcé entre ses parois tendues, il lui lécha la fente de bas en haut en avalant bruyamment ses coulées de cyprines chaudes.

Elle sentait l'œuf lui pulvériser les muqueuses internes. Son corps à l'agonie le rejetait hors d'elle, et dès que son tube triomphait du vibromasseur, cette langue impitoyable le repoussait puissamment au fond de sa vulve.

Il la nourrissait de force de cette infernale pilule, encore et encore, écartant les deux cuisses plus fort pour l'en faire sortir et la repoussant en elle dès qu'elle lui donnait naissance.

Le vas-et-vient forcé embrasait son appétit félin. Aarya n'en pouvait plus. Ce jeu durait depuis quelques interminables minutes. Elle transpirait. Elle tremblait. Elle n'était presque plus capable de soutenir la caméra de sa main droite.

Puis tout à coup, un ultime caprice de la langue de son mâle lui décalotta le sensible clitoris. L'orgasme planta ses griffes en elle, le feu emportait sa vulve. Elle expulsa sa dernière respiration dans un chant clair et cristallin.

Plus rien n'arrêterait le triomphale épanchement de plaisir. La Bengali se laissait fondre sous la langue de Matthew.

Aarya se senti craquer. La pression était devenue trop forte. Enfin le flux de l'orgasme la traversait toute entière.

Son corps avait lutté pour se contenir, mais en vain : un irrépressible jet d'eau fusa tout à coup de son urètre. Sa brulante éjaculation aspergea le visage masculin qui la dévorait. Il ne s'arrêta pas. Il l'avalerait jusqu'à la dernière fibre d'extase, léchant tous les replis ruisselants de sa chatte jusqu'à la dernière étincelle qui animait ses nerfs.

Sa vulve désespérément engloutie par la langue de l'homme et broyée par les vibrations se vidait de ses eaux alors que ses poumons déversaient de leur air à travers ses cordes vocales.

Elle laissait son flux aqueux fuser sur son mâle, l'éclabousser sans retenue. Ses deux jambes forcées grandes ouvertes se tendaient et s'agitaient, son sexe se contractait, ses chants s'espaçaient.

Toute cette paillarde mélodie se jouait sous l'œil impassible du caméscope.

Elle évacuait ses derniers geysers d'argent immédiatement bus par son britannique, se félicitant déjà d'avoir choisi ce jour pour filmer leurs exploits.

Elle se décontracta, sentant lentement mourir le feu de l'orgasme dans le creux de ses reins. Même avec son Matthew ce n'était pas tous les jours qu'elle atteignait le niveau d'extase sublime qui la transformait en fontaine.

La langue s'immobilisa enfin, emmêlée toute entre les plis de ses sensibles tissus abattus par la violence de son plaisir.

Les vibrations s'éteignirent, la caméra tournait toujours.

Filmer ces fugaces instants de grâce, ce flottement à la limite de l'extase évanescant et de la ferme réalité, c'était l'indispensable épilogue de chacune de ses œuvres. Elle captura le visage de Matthew, repus, balafré de ses jus maternels, émergeant d'entre des deux cuisses chataîgnes qu'il relâchait enfin.

L'indienne senti ses deux jambes tendues comme des ressorts retrouver d'elles-mêmes un angle plus confortable.

Ils laissèrent un moment de silence se reposer sur la pièce, le soleil d'or reprendre sa course paresseuse sur les draps défaits et souillés de leur lit.

Matthew s'étira, Aarya baillait.

Se tenant à demi relevée, en appui sur ses coudes plantés dans le matelas, la position de la Bengali était presque similaire à celle d'un accouchement. Et pour cause : son vagin était toujours comblé par l'œuf, inerte, dont la cordelette noire ressortait toujours d'entre ses cuisses.

Matthew prit une inspiration flegmatique, considérant la vulve épuisée et offerte sous ses yeux. Il releva le torse et attrapa sans un mot le caméscope toujours allumé de la main de son Amante.

Il se tint à genoux face à la femme qui l'observait d'un air curieux. Puis il retourna l'objectif vers elle, saisissant ce corps sombre et magnifique, abandonné au milieu du lit et sur lequel l'astre solaire déversait ses rayons d'Avril. Il positionna soigneusement l'objectif, composant la scène tel un tableau de la renaissance, quoi que plus grivois.

Aarya ne bougeait pas, un sourire presqu'imperceptible traversait sa petite bouche à demi ouverte qui soufflait ses flux d'air exténués. C'était un sourire approbateur, presque surpris que Matthew s'approprie si bien la caméra.

Protagoniste principale de cette œuvre, l'indienne laissait patiemment son maître dépeindre chaque détail de son corps nu, obscène, dissolu comme un ange dépravé renvoyé des cieux.

Les yeux brillants fixant l'objectif avec un air à la fois las et aguicheur, elle porta sa main libre à sa bouche en se mordillant l'index de ses petites quenottes blanches.

Un long instant silencieux et indolent s'écoula, avant que le ciel ne se referme sur l'être céleste. Un nuage chassa les rayons étincelants et la pièce redevint grise.

Aarya pencha la tête sur le côté, le britannique sortait de sa contemplation.

Il se rapprocha d'entre ses deux jambes ouvertes, capturant sa vulve nue, ouverte, en gros plan. De son autre main, il passa deux doigts dans la boucle qui dépassait hors de ses petites lèvres, et lentement, il tira sur la cordelette.

Aarya senti l'œuf résister au fond de sa vulve. Son corps au repos le maintenait au chaud et ne semblait plus vouloir le rendre. La sensation un peu désagréable la fit grimacer et Matthew qui tirait doucement sur le fil enregistrait chacune des réactions qui traversait son visage.

Elle fit un effort pour expulser l'intrus hors de sa chaude tanière, pondre l'objet gros comme une pierre qui l'avait comblé de plaisir quelques minutes auparavant. Bientôt, sous l'objectif de Matthew naissait le bulbe noir entre ses lèvres satinées.