Aarya & Mat - Archives Cachées 01

BÊTA PUBLIQUE

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Au garçon, elle dévoilait sa poitrine. Au spectateur, elle dévoilait son dos nu et ses épaules sur lesquelles retombaient ses cheveux lâches.

Déjà à cette époque, Aarya avait ce très léger embonpoint qui lui sculptait de voluptueuses courbes couleur café au lait de son cou jusqu'à ses hanches.

Elle se pencha en avant pour une nouvelle séance d'embrassade goulues. Les mains du jeune homme retrouvèrent le chemin des seins de l'indienne et les malaxèrent de manière toujours aussi gauche.

Puis elle se releva à nouveau. Se détachant de son amant, elle recula à pas mal équilibrés vers l'arrière. Le garçon se redressa lui aussi. Il était torse nu, il retira son short en dévoilant son sexe en érection manifeste.

Toujours dos à l'objectif, agenouillée sur le lit, l'adolescente saisit le phallus entre ses doigts. Elle le massa lentement, fixant le visage de son propriétaire. Au bout d'une minute, elle accélérait le rythme.

Matthew fixait l'écran toujours aussi intensément, il n'avait évidemment jamais vu Aarya - ni aucune de ses précédentes relations - toucher un autre homme que lui. Le spectacle était saisissant. Il ne pouvait s'empêcher d'essayer de reconnaitre toute gestuelle commune avec ce que lui faisait son Aarya d'aujourd'hui. Mais l'adolescente était sans doute encore trop jeune et inexpérimentée pour retrouver dans ses techniques quoi que soit de comparable avec la femme qu'elle deviendrait.

La fille masturbait son garçon depuis quelques minutes. Il prononça un mot qui fut absorbé par le bruit de fond du microphone de mauvaise facture. Elle s'arrêta et lâcha le pénis tendu dans le vide.

Le garçon se pencha au bord du lit et saisi un carré de plastique à peine reconnaissable dans le grain pixellisé de la vidéo. Il en sortit un préservatif et le donna à son amante. La jeune Aarya saisi la base du sexe d'une main et entrepris avec difficultés d'enfiler la poche de silicone sur le pénis. Elle s'y reprit à plusieurs fois, ne parvenant pas à trouver le sens de la capote, avant de réussir enfin à en recouvrir le membre en érection.

Tout à coup la caméra qui reposait en équilibre précaire bascula toute seule sur le côté, filmant à présent le plafond. La vidéo s'arrêta quelques instants plus tard.

Matthew se retourna vers Aarya avec une expression un peu déçue.

- Alors? fit-elle.

- Alors tu es toujours aussi belle.

Elle rit.

- T'as pas vu grand-chose.

- Tu as la suite?

- Oui, seulement si tu veux la voir, fit-elle d'un ton taquin.

Il hocha de la tête.

- Alors sort ta queue.

- Euh.. quoi? fit-il.

- J'ai toujours eu envie de voir l'effet que ça ferait à un mec de me voir faire l'amour avec un autre.

Matthew hésita, tenta de protester, mais la main d'Aarya fila sous la table et d'un geste expert, défit le bouton de son jean.

Sans plus de protestation, Matthew défit sa braguette et senti les doigts froids de la Bengali plonger sans dans son caleçon.

Elle fit une moue déçue lorsqu'elle y trouva le tube à moitié mou de Matthew. En réalité Aarya soufflait le chaud et le froid depuis tout à l'heure et le britannique avait plusieurs fois alterné entre puissante érection et soudaine débandade.

Aarya cliqua sur la prochaine vidéo. A nouveau, le visage de la jeune indienne se présentait en gros plan sur les premières images, sauf que cette fois-ci elle ne portait plus de t-shirt. Elle tentait visiblement de bloquer la caméra en position d'une main, l'autre bras étant employé à couvrir ses larges mamelles, héritage de ses origines Bengali.

Enfin l'appareil sut tenir en place. La jeune fille se recula à nouveau avec un air satisfait, dévoilant à l'objectif son ventre tendu percé de son profond nombril.

Matthew senti les doigts d'Aarya-femme s'enrouler autour de son membre chaud.

L'étudiante se retourna sur elle-même, puis une jambe après l'autre retira son bas de pyjama, dévoilant sa jeune paire de fesses charnues à l'objectif. A chacun de ses mouvements, la peau tirée de ses deux belles cuisses de bronze s'agitait délicieusement en l'air sous le regard avide de Matthew.

Il reconnut là la forme de son corps en sablier, aux hanches généreuses et la présomptueuse poitrine reliée par une taille juste un tout petit peu plus étroite.

L'adolescente entièrement nue rejoint son amant sur le lit qui patientait là, le sexe recouvert de son préservatif érigé vers le plafond.

Ils s'embrassèrent langoureusement à nouveau. Puis le couple pivota sur lui-même. Le garçon se retrouva dos à la caméra, faisant face à la Bengali qui cachait encore chastement sa poitrine dans ses mains.

Elle avait ramené son épaisse chevelure par devant ses épaules, sans doute dans le vain espoir de mieux cacher son intimité derrière sa dense crinière noire, pensa Matthew, alors que la vue de son ventre était obstruée par le corps de l'étudiant qui se tenait devant elle.

L'actuelle Aarya le fixait intensément, avec l'air de guetter en lui le moindre indice d'un jugement, d'une réprobation ou d'une jalousie. Il lui adressa un regard interrogatif qui voulait dire « trouves tu ce que tu cherches? ».

Mais Aarya ne répondit que par un hochement du nez en direction de l'écran, lui intiment l'ordre de poursuivre plus assidument son visionnage alors qu'elle lui tripotait le membre.

Cela lui semblait prendre des tournures d'enquête policière. Espérait-elle vraiment qu'il se remette à bander si l'enjeu était si grand?

Cependant, le jeune couple continuait sa séance.

Le garçon était à présent couché sur le lit et la jeune fille l'enfourchait, assise droite face au pénis érigé devant ses hanches. Elle semblait hésiter quelques instants, échangeant de toute apparence d'inaudibles paroles avec son partenaire.

Matthew senti Aarya qui commençait à parcourir lentement sa demi-molle de haut en bas en lui souriant silencieusement.

A cet instant, l'adolescente timide libéra ses larges seins face à la caméra, dévoilant dans un embarrassement tout innocent ses tétons semblables à deux noisettes plantées sur ses magnifiques mamelons.

L'expression hésitante qui se peignait sur le visage de l'adolescente offrant son corps en spectacle créait un étonnant contraste avec les deux ballons qui pendaient de son buste. Déjà épanouie et carrément prétentieuse, il en était presque surprenant que cette généreuse poitrine appartienne à cette fille au regard plein de modestie.

La vision de cette étudiante qui lui dévoilait ses charmes ne fit qu'un tour des yeux de Matthew jusqu'à son cœur, pompant d'un coup un volume de sang qu'Aarya senti pousser entre ses doigts. Elle poursuivi ses caresses, le visage redoublant de jubilation.

Les seins de la jeune Bengali semblaient à l'écran plus fermes que ceux qu'il connaissait, et l'air tout à coup gêné que prenait l'adolescente nue commençait à réveiller l'appétit de son animal intérieur.

- Elle est pas mal cette petite indienne, t'en penses quoi? fit Aarya dans l'oreille de Matthew.

La tige se tendait entre ses doigts, l'excitation montait dans le corps de son homme.

A l'écran, la fille saisi la base du sexe du garçon et souleva ses hanches. Elle positionna le pénis entre ses deux cuisses et resta immobile pendant un instant, dans une pose de statut antique. Les efforts monumentaux qu'elle faisait pour garder une composition neutre sur son visage étaient parfaitement flagrants, renforçant encore le caractère touchant de la scène que cette petite offrait sans le savoir à son futur conjoint.

Dans la douceur moite de la main d'Aarya qui glissait de bas en haut, Matthew était à présent droit et raide comme du bois.

- C'était... c'était ta première fois?

Aarya le regarda en se mordillant les lèvres.

- Non, Mat. Faut pas déconner, j'ai tout de même pas filmé ma première fois.

Elle redoubla l'intensité de ses vas-et-viens et poursuivi d'une voix savourant le plaisir de son homme :

- T'aimerais bien voir ça, mon gros cochon? Ouais, ça te fait bander ça?

Matthew ajusta sa position sur son siège. Les doigts de chocolat d'Aarya lui parcouraient la tige depuis le bout de son gland jusqu'à la base de son tronc, et chaque mouvement écrasait ses testicules entre le flanc de la main et la chaise sur laquelle il était assis. Qu'à cela ne tienne, son corps ignorait la douleur tant le spectacle était beau.

- T'as qu'à t'imaginer que c'est ta queue qui va me déflorer, qui va faire craquer ma petite chatte vierge avec ton gros gland...

A cet instant sur l'ordinateur, la jeune étudiante s'abaissa toute entière, les jambes grandes écartées au-dessus du garçon. Avec une lenteur infinie et une grimace qu'elle tentait d'effacer de son visage, ses deux cuisses ingéraient la tige du jeune homme.

Ses hanches descendaient, millimètre par millimètres. Jusqu'à arriver entièrement contre celles de son amant. Elle resta immobile, la bouche à demi ouverte et prenait de grandes inspirations, comme si l'effort était important.

Un léger ronronnement bruissa dans les oreilles de Matthew.

Il jeta un bref regard vers sa conjointe et s'aperçu qu'elle avait défait la ceinture de son peignoir. Ses deux seins, les mêmes que ceux qui se présentaient à lui en plus jeune sur l'écran d'ordinateur, pointaient en dehors du tissu feutré.

Sa deuxième main plongée entre ses cuisses tenait un vibromasseur noir avec lequel elle se massait langoureusement la fente.

Matthew n'eut pas le temps de se demander d'où son amante sortait son sex toy. Son phallus se raidissait d'aller en venu de la main d'Aarya sous la table, alors que la jeune fille à l'écran s'emplissait lentement les hanches du pénis de l'étudiant indien.

Après quelques tours d'échauffement, l'adolescente commença à chevaucher le garçon qui restait immobile.

Ses deux jeunes seins déjà éclos, lourds ballots de chair bien arrimés à son buste, se balançaient gaiment devant les yeux du jeune homme.

La chevauchée fut fougueuse. L'étudiante posa ses deux mains pour prendre appui sur le torse du garçon en se soulevant de bas en haut pour mieux gober l'intégralité du sexe, encore et encore.

Ses deux seins voletaient parmi les cheveux, ses deux cuisses bouffaient le jeune pénis en rythme soutenu.

Autour du sexe de Matthew, les doigts de son Aarya ne faiblissaient pas, roulant la peau de son membre érigé de bas en haut tandis que sa vulve se délectait du vibromasseur.

- T'aimerais bien être lui? fit-elle d'une voix déjà tremblante d'excitation. T'aimes bien voir cette petite s'enfiler la queue d'un étudiant?

L'adolescente s'empalait sur sa tige avec plus en plus d'enthousiasme.

Matthew observait sa jeune figure sur lequel le passage des émotions successives se lisaient comme un livre ouvert. La jeune Bengali qui avait commencé la vidéo avec un visage fermé et hésitant laissait tomber sa réserve au fur et à mesure que le membre lui écartait le tube virginal.

Sa petite bouche laissait ses lèvres sombres s'écarter, dévoilant une rangée de dents parfaitement blanches. Ses yeux se fermaient, son visage se laissait peu à peu envahir par le plaisir.

Mais l'inexpérience du garçon rattrapa le couple. L'étudiant, probablement au bord de l'explosion, lui fit signe d'arrêter. Elle continua encore plusieurs secondes mais l'amant protesta à nouveau. La petite Aarya stoppa le mouvement de son corps avec eut une moue déçue, restant un instant assise immobile, à califourchon sur son garçon, le pénis bien enfoncé entre ses beaux cuissots. Ils s'échangèrent des paroles inaudibles. Elle se releva, extirpant le phallus humide et palpitant d'entre ses cuisses.

Ce passage dévoila le ventre aux reflets de bronze de l'indienne, décoré d'une touffe pubienne prolifique.

Cependant la main de l'Aarya-femme avait ralenti le rythme autour de la poutre de Matthew. Elle lui fit signe de retirer son caleçon.

- Je t'avais dit que j'avais une forêt bien dense.

Le couple se redressait sur le lit. La fille se tenait à présent à genou face à la caméra, deux jambes écartées, avec derrière elle l'étudiant qui s'approchait dans son dos.

Il approcha le bassin des larges hanches de l'indienne en faufilant son sexe entre les belles cuisses à la peau rebondi et tendue.

- Voilà mon passage favori, fit Aarya dans l'oreille de Matthew en poursuivant sa masturbation.

L'adolescente se cambra, pressant son cul contre le bas-ventre du garçon. Celui-ci attrapa les deux mains de l'étudiante et lui tira violemment les bras vers l'arrière. Le corps de la fille, en équilibre sur les genoux, recula contre l'homme. Son visage se serra. Le sexe venait d'écarter ses délicates lèvres et de la pénétrer en levrette.

Le garçon tira la fille à lui une nouvelle fois, entrant sauvagement en elle par secousses abruptes et successives. Cette position avait le second effet de redresser le buste de l'étudiante en lui bloquant les épaules vers l'arrière. Elle se tenait telle la figure de proue d'un illustre navire.

Sa jeune mais imposante poitrine ainsi déployée tout au dehors sautait sans contrôle à chaque choc qu'elle subissait. La vision hypnotique de ses deux tétons dressés dansant à la surface des ballons de lait de l'étudiante provoquait chez Matthew une érection impitoyable.

Aarya actuelle qui, immanquablement, sentait son homme s'approcher de l'orgasme, cessa ses vas-et-viens. Elle descendit les doigts vers ses bourses bouillantes, massant langoureusement les œufs bien remplis de Matthew.

- Qu'est-ce que t'en penses? T'aimes bien me regarder me faire écarter les cuisses par d'autres hommes?

Il aurait voulu ne pas répondre, mais son érection qui palpitait furieusement dans le vide lui interdisait de mentir. Il finit par lâcher simplement :

- Oui.

- Je sais, souffla-t-elle dans son oreille.

L'indienne fit rouler ses vaisseaux gonflés entre ses doigts, appréciant la texture des boyaux séminifères guettés par la congestion.

- T'es déjà prêt à jouir, constat-a-t-elle d'un ton amusé.

Leur propriétaire, qui fixait la vidéo, ne répondit pas.

- Tu vas quand même tenir un peu plus longtemps que ce puceau, non? Aller, un petit effort s'il te plaît.

Sa deuxième main appliquait le petit vibromasseur contre sa fente, décrivant de délicieux huit entre ses lèvres en contournant le capuchon de son clitoris. D'un clic elle en changeait le rythme des pulsations, préférant des saccades brusques et fortes pour accompagner sa vidéo.

Le couple à l'écran accélérait encore la cadence. Les gémissements de l'étudiante violentée dépassaient dorénavant le bruit de fond du microphone.

La petite ajusta ses cuisses entre deux sursauts, se cambrant au maximum malgré les bras du garçon qui la tirait vers l'arrière.

Le ronronnement du vibromasseur s'estompa. Matthew décrocha les yeux un instant de la vidéo. Des cuisses nues de sa Bengali assise à côté de lui ne dépassait plus qu'une cordelette de plastique noire. Aarya, dans un long soupir de délectation, venait de faire disparaitre le vibromasseur en elle.

L'adolescente engrossée par l'arrière tressaillait face à la caméra. Elle fixait l'objectif, donnant l'impression à Matthew qu'elle le regardait droit dans les yeux à travers l'écran.

Ses deux lourdes mamelles sautaient et rebondissaient dans le vide. Ses deux bras disparaissaient derrière son dos, tirés au rythme des violents à-coups de l'étudiant qui la pénétrait. Elle grimaçait, fermait, rouvrait les yeux, gémissait d'un chant désormais haut et claire face aux spectateurs.

Tout à coup les secousses devinrent plus fortes et plus espacées. L'étudiant leva la tête au plafond. Son bassin claquant contre les larges miches de la petite Bengali produisait un bruit sec répété, dont les ondes de choc faisaient décoller les seins de la fille.

Sous la table, la queue de Matthew s'étirait dans le vide. Aarya lui massait toujours les bourses, faisant circuler entre ses petits doigts les volumes de semence qui s'amoncelaient dans la poche de ses couilles et que ses deux lourdes amandes s'activaient à produire en grande quantité.

L'étudiant jouissait dans sa jeune Bengali, pulvérisant son grand cul et tirant ses bras vers lui presqu'au point de lui déboiter les épaules. Les gémissements de la petite indienne, plus forts et plus expressifs, résonnaient dans la chambre d'étudiant.

- Aller mon grand cochon, t'aimes me voir me faire remplir de foutre par un autre homme? fit Aarya.

Matthew sentit les doigts se resserrer sensiblement autour de ses délicat vaisseaux. Il eut du mal à articuler.

- Oui... j'adore...

- T'as envie de jouir, non?

Matthew soupira. Ses bourses enflées n'en pouvaient plus ; son sexe dressé dur comme une pierre devenait douloureux. Expulser sa production de sperme devenait une urgence que son corps avait de plus en plus de mal à gérer.

L'étudiante brutalement engrossée, la bouche ouverte, tremblante, les seins volant à l'air, fixait la caméra droit dans les yeux.

La main Aarya glissa enfin des testicules de Matthew à son tronc en érection, enserrant le tube brulant avec fermeté.

Sa main roula autour de son gland, s'humectant de l'abondant precum de l'homme. Puis elle glissa vers le bas, s'écrasant à sa base en décalottant le sexe.

L'étudiant se fatigua enfin et s'immobilisa. Puis il tira son sexe en dehors de la jeune indienne et quitta le lit, laissant son amante accroupie sur les draps. Celle-ci souffla quelques secondes, puis, face à la caméra, porta sa main gauche à ses seins et l'autre entre ses cuisses.

La petite allait finir le travail elle-même, ses doigts plongés contre sa fente ravagée, caressant sa large et douce poitrine pour son spectateur.

Aarya soupira à côté de Matthew, le vibromasseur dont elle s'étranglait la vulve poursuivait son inarrêtable ouvrage bien au fond d'elle.

A l'écran, la jeune Bengali dénudée, à genou sur le lit écarta ses deux grosses cuisses pour mieux satisfaire la soif d'orgasme de sa chatte. Par d'ample mouvements circulaires, elle se malaxait la fente chaude et mouillée à la caverne encore toute distendue du passage du mâle.

Sa deuxième main, couleur sombre et menue, paraissait minuscule parmi la largeur de ses deux mamelles, deux sacs rebondis bien remplis de graisse dont elle labourait la chair. Pinçant et roulant entre ses petits doigts, les tâches sombres de ses auréoles mammaires érigées ressortaient sur son corps de cuivre mat et jeune.

Aarya masturbait à présent Matthew avec la maîtrise d'une professionnelle et l'acharnement d'une forcenée. Ses vas-et-viens inondaient la pièce des bruits flasques et humides des glissements de la chair humectée du fluide pré-séminal de l'homme au bord de la rupture.

La jeune indienne soufflait silencieusement derrière l'écran, s'adonnant à ces plaisirs que l'homme armé de sa verge n'avait sus lui procurer. Son visage d'ange bascula en arrière, sa crinière noire glissa sur ses épaules, sa bouche s'ouvrit et ses paupières se serrèrent.

La petite, nue face à la caméra, laissait enfin l'orgasme emporter son corps.

La main d'Aarya se resserra encore autour du tronc en furie de Matthew. S'en était trop ; la jeune étudiante qui jouissait face à lui dévorait son esprit ; elle prenait possession de ses couilles que sa copine battait énergiquement en omelette.

Le mécanisme s'enclencha subitement. Le flot de sperme jaillit hors de lui, pompé par la main de la Bengali qui le masturbait éhontément.

Son corps se raidi, la chaise craqua. Ses râles de bête accompagnèrent les doux soupirs d'Aarya qui le massait, et ceux de l'étudiante qui se caressait à l'écran. L'explosion fut grandiose, son timing parfaitement calculé par son amante aux yeux marrons, à demi nue dans son peignoir.

Il expulsa par la force de ses muscles sa pluie chaude et gluante de gelée translucide, qui s'écrasa par bruits flasques sur le sol du salon sous le regard réjouit d'Aarya. Sa petite main à la peau sombre se couvrait du sperme de son homme au gré de ses joyeux aller-retours.

Matthew, haletant, rouvrit les yeux. La vidéo était arrivée à son terme, la petite indienne avait disparu de l'écran.