A merci du patron... Pt. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Linda s'efforçait de respirer profondément alors que la tête de Ron avait disparu sous sa jupe et qu'il avait entrepris de lui lécher lubriquement la chatte.

Elle refoulait de grosses larmes, et cependant écartait ses cuisses en grand s'arc-boutant pour offrir un accès plus aisé à sa langue dont les caresses l'enivraient.

Elle entendait toujours des gens parler dans le couloir, ce qui l'empêchait de protester.

Ron refit surface et se leva, il déboucla sa ceinture, descendit la ferme-ture éclair de sa braguette et laissa tomber son pantalon et son caleçon sur ses chevilles.

Linda ne put s'empêcher de jeter un coup d'œil curieux sur son pénis, c'était la plus grosse bite qu'elle ait jamais vue, bien plus grosse que celle de Glenn.

Ron lui prit la main droite et la plaça sur son glaive la guidant de bas en haut sur sa hampe.

Comme elle le caressait par saccades, elle sentit la gosse mentule se déployer dans sa main.

Aussitôt il releva à nouveau sa jupe, pointa sa bite sur sa chatoune, la pénétra vivement et se mit à la ramoner tout de go.

Linda se mordit les lèvres alors qu'il glissait en elle, il s'engouffra tout d'abord lentement puis plus vivement dans son utérus accueillant.

Linda se pressa contre la porte, cuisses grandes ouvertes, cherchant surtout à éviter de faire du bruit. Il donna un puisant coup de rein, elle releva sa jambe la posant sur un évier pour lui offrir un angle plus pro-pice.

On n'entendait que le frou-frou soyeux des vêtements et les clapotis de la grosse verge dans sa chatte détrempée.

Des gens discutaient toujours de l'autre coté de la porte, à quelques cen-timètres d'eux à ce qu'il lui semblait.

En dépit de sa peur, de son angoisse Linda sentait un intense orgasme monter dans ses reins, elle respirait irrégulièrement, cherchant surtout à ne pas crier.

Ron était au septième ciel, cela faisait si longtemps qu'il rêvait de baiser cette charmante femme.

Il baissa son regard ses nibards dénudés, toujours sortis de leurs bon-nets de soutien-gorge, ils se balançaient et secouaient au rythme de ses coups de boutoir.

Il adorait la voir afficher un sourire navré, démontrant la faiblesse de sa chair, empoignant ses hanches il la ramona sauvagement.

Soudain Linda reconnut la voix de Glenn dans le couloir, il discutait bou-tique avec des clients, juste de l'autre coté de la porte de la petite salle où elle se faisait sauter par son patron.

Elle cessa littéralement de respirer le temps que sa voix s'éloigne dans le couloir.

Elle perdit soudain tout contrôle de ses sens et le second orgasme de la soirée la terrassa toute, elle se mordait les lèvres pour s'empêcher d'ex-primer sa jouissance.

Ron donna encore plusieurs puissants coups de boutoir puis éjacula au cœur de son utérus, le remplissant de son foutre brûlant.

Ils haletaient tous deux peinant à reprendre leur souffle, enfin requinqué, il remonta caleçon et pantalon.

Il la regarda remettre ses nichons dans leurs bonnets, remettre en place les bretelles de son soutien-gorge et repositionner le corsage de sa robe.

Il la fit tourner et remonta sa fermeture éclair dorsale.

Puis elle remonta petite culotte et collants sur ses fesses.

Ron sortit le premier, et une fois sur que personne ne venait, il fit signe à Linda de sortir à son tour du petit local.

4° LE COUP de CANIF DANS LE CONTRAT :

Lorsque que Linda revint des toilettes après s'être nettoyée et avoir re-pris une attitude naturelle, Ron lui glissa quelques mots :

- "Je veux que tu fasses encore une chose pour me faire plaisir ce soir! ...."

- "Je ne veux pas que me fassiez de nouveau l'amour! ..."

- Ron sourit hilare.

- "Ce n'est pas ce que je veux ce soir! ... Je veux que tu baises avec ton mari! ..."

Linda le regardait abasourdie.

- "Je veux que tu entraînes Glenn dans votre chambre et vous bai-siez avec passion! ...."

- "Et pourquoi? ..." murmura Linda effarée.

- "Il y a un trou dans les rideaux des baies donnant sur les balcons, et comme je suis dans la chambre à coté! ....."

- Linda comprit enfin :

- "Vous voulez nous mater? ..."

- « C'est ça! ... C'est pourquoi je veux que tu baises avec ton mari... je vais te dire ce que tu dois faire! ... Quelle que soit la façon de t'y prendre, tu dois insister pour que Glenn te saute... Quelque soit son degré de fatigue, tu feras tout ce que tu peux pour le séduire! .... »

Linda le regardait affichant une expression vivement choquée, mais ne dit rien.

- "Quelques détails encore que tu devras te rappeler : tu devras te déshabiller face aux rideaux, lumière allumée et lorsque tu seras nue tu ne devras rien cacher de tes charmes! ...."

- "Mais... C'est ma vie privée... Je... "

Ron la coupa secouant la tête.

- "Je veux que tu nous offres un formidable spectacle! ..."

- Alors qu'il la quittait la laissant de plus en plus choquée, elle lui jeta un regard égaré, cherchant visiblement à assimiler ses derniers mots, elle s'indigna dans son fort intérieur :

- "Nous... Qui sera dehors à me regarder me foutre à poil et baiser avec mon mari? ...."

La pensée de se donner en spectacle à des pervers, l'humiliait profon-dément.

Elle avait l'intention de fermer les volets et de se mettre au lit dès arrivée dans sa chambre.

Mais, en sentant le foutre de Ron s'écouler de sa petite chatte engorgée, elle comprit qu'elle avait franchi le point de non retour, qu'elle devrait maintenant endurer toutes les humiliations que lui infligerait Ron pour sauver Ron et son couple du déshonneur.

Elle retrouva Glenn buvant et discutant avec ses collègues James et Lar-ry.

Elle ne remarqua pas leurs regards rampant sur ses charmes, la dévo-rant littéralement des yeux.

Elle parvint à persuader Glenn qu'il était temps de remonter dans leur chambre.

A peine entrée dans leur chambre, Linda sut qu'elle devrait travailler son mari au corps pour le séduire tant il paraissait fatigué et éméché.

- "Ne te couche pas tout de suite chéri! ..." lui susurra-t-elle.

- "Je voudrai batifoler un peu! ..."

- "Je suis trop fatigué! ..." répliqua Glenn en baillant.

- "J'en ai follement envie! ..." le supplia Linda.

Elle lui roula un patin enfiévré, de la même façon que le patron de son mari l'avait embrassée quelques heures plus tôt.

Elle jetait des coups d'œil sur le rideau par dessus son épaule et effecti-vement elle vit une déchirure dans le coin.

Elle distinguait des mouvements lents dans l'obscurité parfois même la lumière réfléchie par le verre d'un de ses admirateurs.

Elle savait qu'ils étaient plusieurs à la mater, mais elle devait repousser ces pensées au fin fond de son esprit pour se consacrer uniquement à séduire son mari avant qu'il ne s'écroule sur le lit épuisé de fatigue.

Elle tendit la main et agrippa son entrejambe, sa bite était molle.

- "Je suis vraiment crevé...." avança Glenn.

Il se détacha d'elle et se laissa tomber à la renverse sur le lit, qui se trouvait contre le mur opposé au balcon.

Linda s'agenouilla sur le lit et dégrafa sa braguette. , elle sortit sa bite molle de son caleçon et se mit à la branler avec conviction.

- "Contente-toi de rester étendu sur le dos, je ferai le reste..." an-nonça Linda les doigts serrés sur la hampe de sa bite elle amplifia le rythme de sa branlette, il durcit enfin entre ses mains.

Sur le balcon, Ron vidait un godet avec Karl le grand patron, ce dernier avait 60 ans, des cheveux gris et portait des lunettes.

Lorsque Ron avait bâti son plan pour faire chanter Linda il avait tout de suite décidé de consolider sa place au sein de la société en se servant d'elle.

Ron savait que Karl était un grand amateur de chair fraîche et qu'il convoitait Linda, lors d'une réunion postérieure ils avaient eu une grande conversation portant sur ses charmes.

Aussi lorsque Ron informa Karl qu'il avait sauté Linda dans le local du concierge, qu'elle se trouvait dans la chambre adjacente à la sienne, qu'il y avait une déchirure dans les rideaux qui permettraient de la mâter évo-luant en petite culotte et soutien-gorge, il n'eut pas grand mal à retenir Karl pour venir vider un dernier godet en sa compagnie.

Ils étaient assis tous deux sur le balcon, et regardaient silencieusement Linda branler son mari. A leurs cotés se trouvaient James et Larry, deux proches collaborateurs de Ron.

Lorsqu'elle vit qu'elle ne parvenait pas à faire bander correctement son mari, Linda sut que faire. Elle se pencha en avant, emboucha la bite en semi-érection et entreprit de la sucer avec habileté.

Elle était tentée de tourner le dos vers le balcon, cachant ainsi ce qu'elle faisait, mais elle préféra permettre aux spectateurs assis sur le balcon de la voir aller et venir sur la hampe de son mari, elle était bien consciente que pour la première fois de sa vie, celle taillait une pipe à son homme, en public! ....

Non seulement son mari se mit à bander dur, mais il tendit la main et se saisit de ses tétons au travers de sa robe.

Ron et Karl voyaient clairement la tête de Linda s'élever et s'abaisser sur la bite dressée de Glenn.

- "Allez chérie, fous-toi à poil... " soupira Karl impatient d'assister à son effeuillage.

- "Montre-nous tes nichons! ..."

Comme si elle les avait entendus, Linda se releva et face à son mari et au balcon dégrafa la fermeture dorsale de sa robe. Elle rabattit le cor-sage sur sa taille, dévoilant son affriolant soutien-gorge.

Elle réalisa alors qu'un étrange cocktail d'émotions l'agitait : elle était ex-trêmement humiliée de devoir se foutre à poil devant Ron et ses com-parses qui se trouvaient sur le balcon, mais elle se sentait étrangement excitée de devoir se déshabiller pour plusieurs hommes, ce qui ne lui était jamais arrivé bien sûr.

Elle se dépouilla de sa robe et se redressa, se tenant en petite culotte, collants et soutien-gorge elle faisait des efforts démesurés pour ne pas tourner les yeux vers le balcon.

Elle glissa ses pouces sous la ceinture de ses collants et de son slip et les descendit doucement, comme elle se penchait, Ron Karl et leurs aco-lytes virent ses nichons, bien qu'emprisonnés dans leurs bonnets soyeux, leur jaillir au visage, Larry en gémit de concupiscence.

Linda se cambra, et tendit une main dans son dos, elle put ainsi dégrafer la fermeture de son soutien-nénés, elle rabaissa les bretelles sur ses coudes et ôta le soutien gorge.

Elle se redressa tout de suite, ses gros nibards bien fermes pointant vers les spectateurs enchantés du spectacle.

Ils admiraient tous quatre ses superbes nichons, bien ronds, aussi blancs que pouvaient l'être des nibards de femme, avec la surprenante taille de ses aréoles brunes.

Karl susurra à Ron :

- "Vous au moins, vous savez choisir vos employés! ... Ce sont les plus beaux nichons que j'ai vus depuis bien longtemps... "

Ron se réjouissait tout autant du spectacle, il était fier d'avoir impres-sionné son patron.

Linda agrippa sa petite culotte de chaque coté de sa ceinture et la tira lentement vers le bas

Comme elle se penchait pour l'enlever, ses gros nichons se balançaient mollement..

Lorsqu'elle se redressa entièrement nue, Ron se réjouit de revoir sa toi-son broussailleuse, mais à son grand désappointement son boss n'ap-préciait pas.

- "Chérie, j'aimerai que tu disciplines ta fourrure! .... " chuchota Karl.

Ron soupira :

- « Moi j'aime son buisson fourni! ... »

- "Et moi non! ..." répliqua sèchement son patron.

- "Elle ferait mieux de le tailler ou mieux encore le raser entièrement, j'adore les monts chauves! ...."

Avant même que Linda ne grimpe dans le lit, Glenn intervint :

- "Fais-moi cette chose que tu fais avec tes nibards! ..."

- "Oh chéri, pas ce soir! .... " elle savait parfaitement ce qu'il voulait.

Elle lui avait accordé cette faveur en de rares occasions, mais en fait, elle trouvait cela dégradant! ....

- « Allez chérie, juste une minute! ..... »

Linda saisit son nichon gauche à deux mains, baissa la tête, allongea le cou et posa la langue sur son téton.

Les spectateurs sur le balcon se prirent d'un intérêt soutenu pour cette scène incongrue, pas un d'entre eux n'avait vu, jusqu'ici de femme lécher ses propres tétons.

Ils observaient cette femme si conservatrice enrouler sa langue autour de son mamelon dressé et le sucer lascivement, puis l'autre, puis de nouveau le premier, puis...

Elle grimpa alors dans le lit tout contre Glenn et s'appuya sur un coude, toujours faisant face au balcon. Elle caressa de nouveau la bite de son mari. Elle s'était toujours satisfaite de la taille de la bite de son mari, mais après avoir goûté à celle de Ron ce soir même, elle était navrée de voir qu'elle était bien plus petite.

Glenn tendit la main et empoigna un de ses nichons. Il emboucha lan-goureusement un de ses tétons dardés, Linda avait peur que Glenn se rende compte qu'elle avait appartenu çà un autre homme cette nuit, mais il était bien trop éméché pour réaliser quoi que ce soit.

La main de Glenn rampa vers la chatoune de sa femme, Elle leva un ge-nou et écarta ses cuisses en grand pour lui faciliter l'accès à ses char-mes.

Elle craignait qu'il se rende compte que sa chatte était engorgée de fou-tre lorsqu'il introduisit son majeur dans sa fentine, mais une fois de plus Glenn ne fit aucune remarque.

Linda roula sur le flanc, sachant que des hommes l'observaient en train de branler son mari alors qu'il la doigtait lubriquement.

Elle voulait que cette épreuve se termine rapidement, mais en même temps cette situation scandaleuse l'excitait au plus haut point.

Glenn triturait son clito comme elle adorait qu'il le fasse.

- "Allez, bordel baise-la bien," susurra James..

Les quatre hommes assis silencieux, la bite érigée regardait la perfor-mance sexuelle de la gentille petite ménagère dodue.

Linda dépouilla Glenn de son pantalon et de son caleçon, et l'enfourcha.

Elle a s'accroupit la minette pointée sur sa bite dressée, et chaloupa des hanches pour se disposer dans l'axe.

Elle s'empala sur lui et entreprit immédiatement une sarabande endia-blée, s'abaissant et se relevant langoureusement sur sa bite.

Les spectateurs sur le balcon avaient les yeux braqués sur ses langues jambes étreignant les flancs de son mari. Lorsqu'elle se redressait ses gros nichons se balançaient paresseusement.

- "Regardez-moi ses gros nichons danser! ..." chuchota Karl ravi du spectacle.

Les mains de Glenn rampaient sur les flancs et les cuisses de son épouse, puis il étreignit ses fesses alors qu'il remuait voluptueusement des hanches.

Il tendit les mains et attrapa ses nibards qu'il malaxa amoureusement, étirant lubriquement ses mamelons.

Linda haletait. Elle baisait avec autant d'ardeur qu'elle le pouvait.

Elle était bien consciente de tous ses mouvements, mais elle voulait pas que ses spectateurs pensent d'elles qu'elle n'était qu'une minable amante.

Elle se pencha en avant s'appuyant sur les mains, ses gros nichons os-cillaient sur le visage de son mari au rythme de ses gestes.

Les spectateurs sur le balcon la regardaient chalouper des fesses alors que ses nichons bringuebalaient dans tous les sens.

Glenn redressa la tête comme il aimait le faire et chopa à pleines dents un des tétons qui dansait devant ses yeux. Sa langue allait d'un mamelon à l'autre alors qu'il pressait ses nibards l'un contre l'autre.

Il tendit la main entre les cuisses de sa femme dénicha son clito qui sur-plombait sa bite et le tritura lascivement.

Cela suffit à faire jouir Linda, elle se mit à girer des hanches serrant les cuisses sur le torse de Glenn secouer de frissons spasmodiques.

Ses yeux étaient fermés, son visage crispé, sa tête rejetée en arrière.

Il n'était nul besoin qu'on vienne dire à ses mateurs qu'elle jouissait, Lar-ry commenta :

- "Ca y'est, elle jouit! ...."

Linda sentit son époux cracher son foutre au fin fond fin de son fourreau d'amour, elle chaloupa encore plus des hanches et hurla son plaisir. Ses admirateurs entendirent ses cris au travers des vitres de la baie.

- "Hey bien! ..." s'esclaffa Glenn.

- "Jamais tu ne t'es montrée aussi bruyante auparavant! ..."

Toujours sous l'emprise de son orgasme, Linda pansa aux spectateurs sur le balcon, elle avait joui devant des tiers et était maintenant terriblement honteuse qu'ils aient pu l'admirer sa performance.

Elle descendit du lit, offrant à ses voyeurs une dernière vue enchante-resse de son corps dénudé et ferma la lumière.

Elle retourna dans le lit dans l'obscurité, et distingua trois ou quatre sil-houettes qui se relevaient de leur siège et quittaient le balcon.

23 juillet 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Georges VI (Literotica)

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1 Commentaires
maitrepapyjomaitrepapyjoil y a plus de 16 ans
a propos ???

ou sont les chapitres 2 et 3 , vous nous mettez l'eau a la bouche , et on a rien.

vivement la suite , mais c'est toujours aussi bon

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