A la merci d'un sexagénaire (suite)

Informations sur Récit
Histoire d'un homme qui se laisse faire par des hommes.
5.4k mots
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00
Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 07/13/2006
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Chapitre 6

Traqué et abusé

Quelques semaines après que j'ai été la vedette d'un film sadomasochiste et que j'aie pu me remettre des sévices subis lors du tournage de ce film, le téléphone sonne à mon bureau :

« Oui, allo! »

« C'est Charles? »

« Oui, c'est bien moi! »

« Bonjour Charles; c'est René! »

« Bonjour René : comment vas-tu? »

« Je vais très bien; et toi? »

« Je suis complètement remis de ma dernière rencontre avec ton ami Marc. »

« Tout à fait remis? »

« Tout à fait remis mais pas au point de recommencer tout de suite. »

« Tu accepterais de recommencer une même sorte d'expérience? »

« Oui, j'accepterais! »

« Charles, je m'ennuie de toi : accepterais-tu de venir chez moi? »

« Pour faire quoi? »

« J'aimerais que tu viennes chez moi pour prendre un verre : tu pourrais me raconter tes expériences sexuelles de jeunesse. »

« Tu t'occuperais de moi pendant que je te raconterais mes expériences sexuelles? »

« Charles, je m'ennuie de ton corps : je t'en prie, viens chez moi et je te promets de te faire relaxer comme probablement personne ne ta jamais fait relaxer de la sorte pendant que tu me raconteras ta jeunesse. »

« Je veux bien aller chez toi, René, mais si tu veux que je me confie à toi, tu dois absolument être seul et notre conversation ne doit pas être enregistrée. »

« Je te le jure, Charles : nous allons être seul tous les deux et il n'y aura aucun enregistrement de ce que tu vas me confier. »

« Quand veux-tu que je sois chez vous? »

« Dès que tu peux! »

« Donnes-moi ton adresse : j'allais quitter le bureau. Je me rends immédiatement chez toi. »

Une vingtaine de minutes plus tard, je sonne à la porte de l'immeuble à condos où René habite.

Je sonne à la porte.

« Charles, c'est toi? »

« Oui, René! »

« Entres! »

Je pénètre dans l'immeuble et en suivant les indications que René m'a fournis, je me rends à la porte de son condo. Elle est déjà ouverte et René m'attend sur le seuil de la porte. Il porte une robe de chambre de satin noir.

« Bonjour Charles : entres dans mon repaire. »

Je suis René dans ce qui me semble être un boudoir. Je remarque que l'appartement n'a pas de fenêtre. Un éclairage diffus illumine la pièce. Comme mobilier, il y a quelques fauteuils en cuir et un divan lit qui est ouvert.

Il est recouvert d'un drap en satin noir de même que les deux oreillers.

« Charles, comme tu peux le constater, je t'attendais. »

« Le divan lit semble confortable? »

« Très confortable, tu vas t'en rendre compte par toi-même. Mais avant de passer aux choses sérieuses, je vais aller nous chercher quelque chose à boire de ma spécialité. Déshabilles-toi puis enfiles le caleçon en satin noir qui est disposée sur le bureau. »

« Tu ne préfèrerais pas que je prenne une douche avant de revêtir ce magnifique caleçon qui sera sûrement la seule pièce de vêtement que je serai autorisé à porter? »

« Je veux te m'occuper de toi dans l'état de propreté dans lequel tu es maintenant. »

« M'être douté que j'aurais une telle invitation, je me serais pomponné en conséquence d'autant plus que je connais ton attirance extrême pour mes pieds. »

« Lors de notre première rencontre dans une cabine de Peep show, je t'ai caressé les pieds : j'ai trouvé qu'ils étaient très propres et qu'ils sentaient bon. C'est l'odeur de ton corps qui m'enivre et non l'odeur du savon. »

« Comme tu veux : je me déshabille en t'attendant et je ne vais revêtir que le caleçon que tu me proposes. »

« À mon retour, je veux que tu sois étendu sur le dos sur le drap du divan lit, les jambes écartées, les bras relevés avec les mains placées derrières ta tête qui repose sur l'oreiller. »

René quitte la pièce.

J'obtempère à ses souhaits : je me déshabille entièrement : je revêts le caleçon de satin noir qui est disposé sur le bureau et je me couche sur le divan lit dans la position demandé par René. Je ferme les yeux en attendant qu'il revienne.

L'attente n'est pas très longue : j'ouvre les yeux.

René dépose sur le bureau un cabaret contenant deux verres. Il détache le cordon de sa robe de chambre, la retire de sur ses épaules et la dépose sur un fauteuil.

« Tasses un peu ton pied droit que je puisse m'asseoir à coté. »

René s'assied sur le bord du divan lit à coté de mon pied droit. Il le prend dans ses mains et, tout en baissant la tête, il le porte à la hauteur de son visage. Il prend de profondes respirations pour bien en humer l'odeur.

« Il sent bon. Je vais l'embrasser et passer ma langue sur le dessus et le dessous. »

Je m'abandonne aux caresses que René veut me prodiguer.

Je sens sa langue contre le dessus puis contre de dessous de mon pied.

Il lèche le bout de chacune de mes orteils avant de les mordre légèrement et d'introduire le devant de mon pied dans sa bouche et de le sucer avec force.

« René, tu me rends bien! »

Il dépose mon pied sur le divan lit puis en se penchant, il fait passer sa langue sur le devant de ma jambe, sur mon genou, sur le bas de ma cuisse, sur le haut de ma cuisse et finalement sur le dessus de mon caleçon.

« Charles, j'aime caresser ton corps : j'aime te faire jouir, mais j'aime surtout te faire souffrir. »

« Je sais que tu aimes me faire souffrir et je l'accepte

René baisse légèrement le haut de mon caleçon de sorte que le gland de ma verge sorte de la pièce de linge.

Il passe sa langue tout autour du gland puis dans l'ouverture du méat

« Aaaaaaa René! »

René introduit le gland de ma verge dans sa bouche : il l'humidifie de sa langue puis il appuie ses lèvres contre ma verge.

Sans le moindre avertissement, René mord violemment mon gland.

« Aaaaiiiiiieeeeeeeeee! »

Tous les muscles de mon corps se contractent : mon corps sursaute de quelques pouces sur le divan lit.

René se couche sur moi : sa bouche frôle mon oreille gauche :

« Ça faisant tellement longtemps que je voulais te mordre le gland. »

« Je me doutais que ça m'arriverait un jour : René, tu sais que mon corps t'appartient, faits-en ce que tu veux. »

« Tu voudrais coucher chez moi ce soir? »

« Oui, René, je veux coucher chez toi ce soir même si c'est pour que tu puisses assouvir sur mon corps tous tes fantasmes. »

« Charles, je vais te faire souffrir. »

« Je ne te refuserai absolument rien! »

René se lève de sur moi et se dirige vers le bureau pour rapporter les deux verres qui sont dans le plateau.

Il me tend un verre.

« Bois, ça va te faire du bien et te détendre pour être en forme pour commencer à me raconter tes expériences de jeunesse. »

Je prends une gorgé de la boisson que René me sert : le goût est bon et un effet d'apaisement se fait rapidement sentir.

René prend également une gorgée puis dépose son verre sur le bureau.

« Tasses-toi sur le coté du divan que je puisse m'y coucher aussi. »

Je me tasse.

René monte à nouveau sur le divan lit, il se couche en boule de sorte que sa tête soit placée sur mon ventre très près du gland de ma verge qui est toujours sorti de mon caleçon et qui porte encore des marques de dents.

Il pose une main sur ma verge et donne quelques lapées sur l'orifice du méat.

« Je vais introduire ta verge dans ma bouche et passer une main dans ton caleçon pour te serrer les testicules. Je te jure que je ne te ferai pas mal et que nous allons demeurer dans cette position le temps que tu me raconte tes expériences sexuelles de jeunesse. »

Je me laisse faire. Je sens le gland de ma verge bien au chaud et mes testicules serrés entre les doigts d'une main de René.

« Tu veux que je commence? »

« Ooouuuaaaa! »

«Bien! »

Ça se passe en 1957.

Je fréquente alors, comme pensionnaire, le séminaire d'une ville du centre du Québec.

Je me trouve alors en Syntaxe, soit en 2e année du cours classique.

Je mesure cinq pieds et je pèse environ 100 livres.

Je ne suis pas sportif; par contre j'aime bien marcher le long d'une promenade bordée d'arbres qui fait le tour de l'immense cour de récréation du séminaire.

Comme passe temps favori, je collectionne les timbres.

À tous les deux mercredis, les pensionnaires, avec le consentement de leurs parents, ont droit à une sortie en ville d'une durée de trois heures.

Je bénéficie de ce privilège.

Une journée, alors que je marche entre les arbres qui bordent la promenade, un élève qui me semble un peu plus âgé s'approche de moi et m'interpelle :

« Tu ne serais pas Charles Sirois? »

« Oui! Et toi quel est ton nom? »

« Marc Blouin. »

« Que me veux-tu? »

« Tu ne collectionnerais pas les timbres par hasard? »

« Oui; qui t'a dit cela? »

« Un autre élève de Syntaxe. Moi aussi, je collectionne les timbres; Ça t'intéresserait de venir chez moi voir ma collection? »

« Bien sur! »

« Mercredi, tu as une sortie? »

« Oui! »

« Viens chez moi! »

« Où demeures-tu? »

« À dix minutes à pied du séminaire. »

Marc me donne les coordonnés pour me rendre chez lui.

« Je t'attends demain à 14h00. »

« J'y serai. »

Le mercredi à 14h00, je me présente chez Marc.

Je suis vêtu de mon uniforme du séminaire : veston bleu marine, chemise blanche, cravate rouge, pantalon et bas gris, souliers noirs.

Marc m'accueille.

« Entre, Charles! »

J'entre.

« Tu n'as pas eu de problème à trouver où je demeure? »

« Pas du tout! »

« Suis-moi, nous allons monter dans ma chambre! »

Nous prenons un escalier et atteignons le second étage.

« Par ici. »

Je le suis.

Il ouvre une porte.

Je pénètre dans une chambre; Marc me suit.

Il referme la porte derrière lui.

« C'est ma chambre! »

La chambre est meublée d'un lit trois-quarts, d'un bureau avec chaise, d'une bibliothèque et d'une commode.

« Assieds-toi sur le bord de mon lit. »

Mon regard croise celui de Marc.

De devoir m'asseoir sur le bord du lit d'un inconnu me cause un léger pincement au cœur.

J'acquiesce cependant à son invitation.

Tout en continuant à me fixer du regard, Marc s'approche : il est maintenant debout à coté de moi.

« Tu serais plus à l'aise si tu retirais ton veston. »

Je déboutonne mon veston, je le retire de mes épaules et je lui tends.

Marc le dépose sur le dossier d'une chaise.

« Défaits le nœud de ta cravate. »

Je dénoue le nœud de ma cravate, mais je laisse ma cravate sous mon collet de chemise.

« Déboutonne le col de ta chemise. »

Je m'exécute.

Marc s'assied alors sur le bord du lit; il se place à ma droite.

De sentir Marc si près de moi commence à m'inquiéter.

« Nous sommes seuls dans la maison? »

« Oui! Mon père travaille et ma mère est partie magasiner. »

« Ta mère doit revenir bientôt? »

« Non! Nous sommes seuls pour tout l'après midi. »

Mon inquiétude s'accentue.

Je suis seul avec un garçon de quelques années plus âgées que moi et dont la seule connaissance que j'aie de lui est qu'il est supposé collectionner les timbres et qu'il fréquente, comme externe, le même séminaire que moi.

« Avant que je te montre mes timbres, j'aimerais, si tu le veux bien, en savoir un peu plus sur toi. »

« Je veux bien. Que veux-tu savoir de moi? »

Tout en me regardant dans les yeux, Marc pose sa main gauche sur mon genou droit.

Son geste me trouble; les battements de mon cœur s'accélèrent.

Je baisse les yeux mais je n'esquisse aucun mouvement pour me dégager.

« Quel âge as-tu? »

« C'est important pour toi? »

« Pas vraiment. »

« Toi, quel âge as-tu? »

« J'ai vingt ans. »

« Tu es en quelle année? »

« En Rhétorique. »

Marc s'approche de moi. Sa jambe gauche se presse contre ma jambe droite.

Je ne fais toujours aucun mouvement pour la repousser.

« Tu as des amis qui sont pensionnaires avec toi? »

« Quelques-uns! »

« Il y en a-t-il un avec qui tu as une amitié spéciale? »

« Que veux-tu dire par avoir une amitié spéciale? »

Sans dire un mot, Marc fait glisser sa main gauche le long de ma cuisse. Elle atteint le haut de ma cuisse droite.

« Est-ce qu'un garçon a déjà tenté de te toucher? »

« Touché? »

« Toucher à ton sexe? »

Je prends une profonde respiration et je marmonne :

« Oui! »

« Où était-ce? »

« Dans la salle des toilettes qui est proche de la salle de récréation. »

« C'était pendant la récréation? »

« Non, c'était pendant des cours. J'avais demandé la permission pour aller à la toilette. »

« Le garçon en question était dans la salle de toilettes? »

« Je crois qu'oui. »

« Comment ça, je crois qu'oui? »

« Parce ce que lorsque je suis venu pour quitter la salle de toilettes, il m'a attrapé par un bras et m'a tiré jusqu'au bout de la rangée d'urinoir. Il m'a plaqué contre le mur et il a posé une main sur ma bouche et l'autre sur la braguette de mon pantalon. »

« Tu lui as résisté? »

« J'ai été tellement pris par surprise que je n'ai même pas résisté. »

« Il a tenté d'ouvrir la braguette de ton pantalon? »

« Oui! »

« Tu l'as laissé faire? »

« Oui! »

« Il a touché à ton pénis? »

« Oui! »

« Il t'a masturbé? »

« Oui! »

« Tu t'es laissé faire? »

« Je me suis laissé faire jusqu'à ce qu'il tente d'extirper mon pénis de mon pantalon. »

« Tu as fais quoi? »

« Pris de panique, je me suis dégagé et j'ai quitté précipitamment la salle de toilettes. »

« Pourquoi n'as-tu pas voulu qu'il extirpe ton pénis de ton pantalon? »

« Parce que j'ai soudainement eu peur que quelqu'un puisse entrer dans la salle de toilettes et nous surprenne. »

« Il t'a fait éjaculer? »

« Non! »

« Si cela s'était produit à l'abri de toute possibilité d'intervention par qui que ce soit, est-ce que tu aurais accepté qu'il te masturbe avec le pénis sorti de ton pantalon? »

Je fixe le regard de Marc et je lui murmure :

« Oui! »

« Tu as eu d'autres rencontres avec ce garçon? »

« Non! »

« C'est un externe? »

« Je l'ignore! »

« Il est dans ta classe? »

« Non! »

« Il t'a dit son nom? »

« Il ne m'a dit que son prénom. »

« Il ne se prénommerait pas Dominique? »

« Oui. Tu le connais? »

« C'est lui qui m'a suggéré de t'inviter chez moi sous le prétexte de te montrer des timbres. Il m'a dit que tu serais une proie facile. »

« Ce Dominique, il vient chez toi? »

« À l'occasion! »

« Vous faites quoi ensemble? »

« Dominique à un fantasme bien particulier : il aime se faire sodomiser. »

« Il aime se faire quoi? »

« Laisse faire : je t'expliquerai plus tard. Revenons à toi : t'es-tu déjà masturbé? »

« Oui! »

« T'es-tu déjà fait éjaculer? »

« Non! »

« As-tu déjà éjaculé pendant que tu dormais? »

« Je ne crois pas. »

« Y a t-il quelqu'un d'autre qui t'a déjà fait éjaculer? »

« Non! »

« Tu es donc puceau? »

« Oui! »

« Comme tu as pu le constater, nous sommes seuls tous les deux. Tu te laisserais faire si je passais une main sur ton pénis par-dessus la braguette de ton pantalon? »

« Oui. »

« Ça te trouble que je te demande une telle chose? »

« Oui, énormément! »

« Pourquoi que ça te trouble tant que ça? »

« Parce que tu es plus vieux que moi, que nous sommes seuls dans une chambre et que je me doute bien que tu n'en resteras pas par-dessus la braguette de mon pantalon. »

Marc passe sa main gauche du haut de ma cuisse droite sur le coté de mon épaule gauche. Il se colle contre moi.

Son visage s'approche de mien.

Sa bouche frôle mon oreille droite.

Il me chuchote :

« Ferme tes yeux et laisses-toi faire! »

Je ferme les yeux,

« J'ai envie de toi! »

« Je sais! »

« Je voudrais te faire connaître ton premier orgasme»

Tout en passant le bout de sa langue à l'intérieur du lobe de mon oreille droite, Marc pose sa main droite sur la braguette de mon pantalon. Il la fait aller et venir très lentement.

Mon pénis réagit à ces mouvements de va et vient. Je bande.

Marc me murmure à l'oreille :

« Ça fait du bien? »

« Ouuiiii! »

Marc place son pouce et son index de chaque coté de mon pénis. Il le serre entre ses doigts.

« C'est la première fois que je bande de la sorte. »

Tout en maintenant fermement mon pénis entre ses doigts, Marc se lève du bord du lit et il vient s'agenouiller à mes pieds.

« Écarte tes jambes. »

J'écarte les jambes.

Marc délaisse mon pénis.

Il baisse sa main et vient cette fois placer son pouce et son index contre mes testicules.

Je ressens une forte pression.

« Je t'en prie, ne me fais pas mal! »

« Laisses-toi aller sur le dos. »

J'obtempère à sa demande.

Marc s'avance légèrement, il se place entre mes jambes.

« Lève tes jambes et pose les sur mes épaules l

Je m'exécute.

« Bien! »

Marc penche alors la tète et pose ses lèvres sur la braguette de mon pantalon. Je sens des bouffées de souffle chaud irradiées sur toute la longueur de mon pénis.

Je ne peux dissimuler le bien-être que ses gestes me procurent.

« Oui, oui, c'est bon; n'arrête pas! »

Marc relève légèrement la tête; Il me sourit.

« Tu sais ce qu'est une fellation? »

« Non! »

« Je vais faire entrer ton pénis dans ma bouche et je vais le masturber avec mes lèvres jusqu'à ce que tu éjacules dans ma bouche. Je vais avaler une partie de ton sperme mais je vais également t'en faire avaler une partie. »

« Je suis prêt à tout apprendre de toi! »

« Relèves-toi et couche-toi de tout ton long dans le bon sens du lit. »

J'écarte les jambes pour libérer les épaules de Marc et en posant mes pieds par terre, je m'en serre pour me pousser et me glisser sur le lit.

« Pose ta tête sur l'oreiller. »

Je pose ma tête sur l'oreiller.

Marc se lève. Il s'approche de moi et se penche au-dessus de mon ventre.

Il dénoue la boucle de ma ceinture de pantalon, il défait l'agrafe du haut de mon pantalon et il baisse le fermoir éclair.

Il écarte les pans de mon pantalon, il dénoue les deux boutons du bas de ma chemise, il en écarte les pans pour dégager mon caleçon et en baisser le devant.

Mon pénis se dresse.

« Tu as un beau membre : il est assez long, bien droit, d'une bonne grosseur et par-dessus tout, il est circoncit. »

« Tu l'aimes? Il est à toi! »

Marc se déplace légèrement vers le pied du lit. Il dénoue les cordons du soulier de mon pied droit et le retire de mon pied. Il porte le soulier à son nez et le hume avec satisfaction.

« Ton soulier sent bon. Tu te laves souvent les pieds? »

« Tous les soirs. »

« J'aime bien caresser les pieds propres et qui sentent bon. »

Marc laisse mon soulier droit choir par terre.

« Quand prends-tu un bain ou une douche? »

« Je prends ma douche à tous les deux jours. »

« Tu sens bon! Tu as prix ta douche hier soir? »

« J'ai pris ma douche et j'ai mis du linge propre juste avant de venir chez toi. »

« Comment ça? »

« J'avais comme une prémonition de ce qui allait m'arriver. J'ai demandé au surveillant d'aller prendre une douche en lui faisant croire que j'avais un rendez-vous chez un médecin et que je voulais être propre. »

« Tu te doutais que ce qui t'attendait? »

« Si on veut! »

« Tu n'auras pas fait ça pour rien, je te l'assure. »

Marc passe au soulier de mon pied gauche. Il en dénoue les cordons, le retire de mon pied gauche et le porte également à son nez pour le humer avec goût.

Il le laisse également choir par terre.

« Pour cette fois, je vais te laisser tes bas. Soulève tes fesses que je retire ton pantalon. »

Je m'exécute.

Marc saisit le haut de mon pantalon par les cotés. Il le fait glisser sous mes fesses.

J'appuie à nouveau mes fesses sur le lit puis je relève légèrement les jambes et les pieds.

Marc fait alors glisser le pantalon le long de mes jambes et sous mes pieds.

Il dépose mon pantalon un peu plus loin sur le lit.

Il saisit maintenant mon caleçon; il le fait glisser vers mes pieds et me le retire.

Marc le dépose sur mon pantalon.

« Maintenant, assieds-toi et enlèves ta chemise. »

J'obtempère : je m'assieds sur le lit, je déboutonne les boutons restant de ma chemise.

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