A la cité

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Une petite salope se perd dans une cité.
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Je ne suis pas l'auteur de ce texte, il vient d'un site d'histoires érotiques fermé depuis longtemps. Je reposte ces textes pour qu'ils en tombent pas dans l'oubli.

A la cité

J'ai toujours aimé le sexe et j'ai toujours tout fait pour assouvir cette soif. Mais je dois bien avouer qu'un jour j'ai peut-être été un peu loin. Ce jour là, j'avais une envie folle de sentir un corps sur moi et un sexe me défoncer bien fort, alors j'ai décidé de me rendre dans un quartier chaud prés de chez moi et d'allumer un type qui voudrait de moi.

Avec mon physique, je pensais déjà qu'il n'y aurait pas grand problème (J'avais 18 ans, je mesure 1m60 et je suis blonde avec de beaux yeux bleus, une forte poitrine et un beau cul), mais pour assurer le coup, je décidais de m'habiller très sexy.

J'enfilais donc un petit string, des bas et une jupe moulante, pour le haut, un tee shirt noir bien moulant et c'était partie pour la chasse. J'arrivais donc dans le quartier, et je pouvais déjà voir des regards plein de désir se poser sur moi, quelques sifflets et des appels. Je me diriger vers un garçon devant une cage d'escalier qui me semblait à mon goût. C'était un jeune maghrébin d'une vingtaine d'année, assez grand. Avant même que j'arrive, il me proposait de venir avec lui pour tirer un coup si cela me disait. Vu que j'étais venue pour ça, je n'allais pas refuser. J'acceptais donc et je commençais à le suivre dans la cave où il y avait une sorte de chambre aménagée. Il me demanda de me déshabiller et je m'exécutais ne gardant que mes bas. Il s'approcha de moi et m'embrassa tout en me caressant les seins et les fesses. Moi qui avais attendue longtemps ces caresses depuis le matin, je n'en perdais pas une miette, et je commençais à me frotter à lui. Il se déshabilla aussi, m'allongea sur le matelas et il se mit sur moi. Je pouvais sentir son sexe dur sur mon ventre. Il se souleva un peu et mit son membre à l'entrée de ma chatte. Je pouvais sentir son gland imposant plaquer contre mes lèvres. Puis le gland commença à écarter mes lèvres et à se faire un chemin dans mon vagin. Il était gros et long. Il s'enfonça entièrement, puis il commença, aussi lentement à le faire ressortir, puis me repénétra.

Il commença à bien me pistonner et moi j'étais folle de joie, je voulais un gros sexe en moi et je l'avais. Je passais mes jambes autours de ses hanches pour bien emprisonner mon amant en moi et le sentir me prendre comme un bête. Après une bonne vingtaine de minute, il se laissa aller en moi et je sentis son sperme envahir mon sexe. Il remit ses vêtements et me dit de l'attendre ici 5 minutes comme ça, puis il partit. Un peu moins de 5 minutes plus tard, il revint mais accompagné de 5 types (2 maghrébins et 3 noirs). Il me dit alors qu'il était un peu juste en finance et qu'il avait trouvé un truc, j'allais lui servir de pute! Pour 100 euros par type, ils pourraient me sauter.

Je lui dis mon refus, mais il me ricana au nez. J'étais venue pour me faire un type, pas pour servir de pute à tous les mâles du château blanc! Les 5 types entrèrent dans la cave et m'attrapèrent au moment où j'essayais de les quitter brusquement.

L'un d'eux me cloua au sol en me tenant les bras au-dessus de la tête et un autre s'allongea sur moi et me pénétra violemment sous le regard de ses copains. Je leur disais de me laisser, que je ne dirais rien. Mais ils se moquèrent complètement de mes supplications et ils continuèrent de me baiser sauvagement. Peut-on parler d'un viol dans ses conditions? J'étais venue chercher du sexe, j'avais suivie un homme dans une cave, mais je ne voulais pas que les autres se vautrent sur moi et profitent de mon corps pour se distraire et se vider les couilles. Alors oui, pour moi, j'étais en train de me faire violer. Ils se succédèrent ainsi les uns après les autres en moi et ils me mirent tous leurs spermes au fond de la matrice. Alors que je pensais que mon supplice était fini, d'autres types arrivaient. A première vue, la nouvelle s'était répandue à vitesse grand V. Je me retrouvais à califourchon sur un black avec son énorme sexe planté dans la chatte et un autre type me léchait le trou du cul. Un arabe se présenta devant moi et me mit son sexe dans la bouche, je ne pus rien faire pour l'en empêcher car au même moment mon petit trou était forcé par un énorme gland qui m'arracha un cri. Il y avait des mains partout sur mon corps et on me pilonnait sévèrement les entrailles, je pensais devenir folle à sentir ses queues me déchirer de partout, et à première vue, d'autres types arrivaient avec les couilles pleines. Je ne sais pas combien de types me sont passés dessus, je sais en revanche que j'ai fini dans un sale état, je ne sentais plus mes jambes et j'avais très mal à la chatte, au cul, aux seins et à la mâchoire.

Le type que j'avais suivit dans la cave me donna une glace pour que je puisse me voir. Je fus effrayé du reflet dans la glace, j'étais couverte sperme, j'en avais plein la figure et les cheveux. Mais avec le goût que j'avais dans la bouche, cela ne m'étonna pas plus que ça, ce qui me fit peur, c'était l'état de ma chatte et de mon cul qui étaient béants et dégoulinant de sperme. J'avais l'impression de rejeter du sperme par les orifices. Mes bas étaient également pleins de sperme tellement il avait coulé. Il faut dire que j'avais reçu la quantité. Le type m'annonça fièrement qu'il s'était fait 5300 euros . J'ai pu rapidement faire le calcul. 54 types m'étaient passés dessus dans la journée et lui m'annonçait qu'il s'était fait 5300 euros sur mon dos, ou je devrais dire sur mon cul. Une fois debout, j'avais les jambes tremblantes et je pouvais encore sentir le sperme couler de mon cul et de ma chatte sur mes cuisses. Le type me jeta mes affaires au visage et me dit de foutre le camp d'ici. Je peux vous garantir que je n'ai pas fait de vélo pendant 15 jours et le lendemain, je me suis rendue chez mon gynécologue qui était horrifié par l'état de mes orifices.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 heure

J'aime beaucoup ce récit même s'il mériterait d'être développé. 54 mecs, arabes et noirs, c'est un sacré bon score pour une vraie salope, le tout sans préservatif ! Il faut vivre dangereusement mais bon...

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