37,2 Matin et Soir

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Un déménagement qui se termine en gang bang.
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Lorsque j'ai rencontré Sonia pour la première fois, je suis immédiatement tombé sous son charme. Petite métisse de 22 ans aux cheveux noirs de jais et aux yeux noisettes, le tout agrémenté d'une jolie paire de nichons avec un petit cul charmant. On était tous les deux à la fac et beaucoup de mecs tournaient autour. Elle avait l'air très sérieuse à l'époque, d'après ce que je savais, elle sortait avec un intello coincé aussi marrant qu'une déclaration fiscale. Je la voulais absolument, elle me plaisait vraiment trop. Elle m'avait demandé de l'aider à déménager quelques affaires de son ancien appartement, son copain ne pouvant l'aider à cause d'un travail à terminer. Je lui avais évidemment répondu que ce serait un plaisir de l'aider.

J'arrivais donc début d'après midi chez elle, l'été débutait et la chaleur était déjà au rendez-vous. Elle m'accueillit vêtue d'un petit short en jean's moulant et d'un maillot une pièce turquoise laissant transparaître ses tétons. En montant l'escalier pour arriver à son appartement, je pouvais profiter de la vue de son petit cul moulé dans ce jean's qui laissait entrevoir le bas de ses fesses. Ce spectacle mettait déjà le feu dans mon pantalon. Sous les combles, son petit appartement était une véritable fournaise et après avoir embarqué tous ses bouquins dans des caisses, nous étions tous les deux en sueur, ce qui faisait ressortir d'autant plus ses tétons. Au hasard du déménagement, je découvris aussi un sac avec ses sous-vêtements qui était composé quasi uniquement de strings plus petits les uns que les autres. À la fin de l'après-midi, nous avions finalement fini de préparer toutes les caisses. Nous étions tous les deux en sueur malgré les 3 bouteilles d'eau que nous venions de vider. Je m'asseyais quelque instant sur une chaise pendant qu'elle finissait de fermer une dernière caisse, matant à l'occasion ses jambes fines et musclées.

Elle vint alors vers moi en me remerciant de l'avoir aidé et que seule, elle n'y serait jamais arrivée. Au moment où je me levais pour aller vers elle, elle s'assit face à moi sur mes genoux. Interloqué, ma bouche s'ouvrit mais aucun mot ne sortait. Elle rapprocha son buste du mien et ses nichons frôlaient ma poitrine. Elle approcha sa bouche de la mienne, la colla et y plongea la langue. Ce baiser était si attendu et si étonnant que j'en avais presque le souffle coupé. Mes mains glissèrent le long de son dos, jusqu'en bas de ses reins. Elle décolla alors sa bouche de la mienne et me regarda avec son regard sombre.

Mes mains commencèrent à parcourir son corps alors que nos langues se mélangeaient de nouveau puis je baissais les bretelles de son maillot. Elle se leva et alla fermer la porte qui était restée ouverte. La voir se balader comme ça devant moi les nichons à l'air fit gonfler ma queue encore plus. Elle revint s'asseoir sur mes genoux et cette fois je saisis ses nichons à pleine main, les malaxant, jouant avec les tétons, les étirant, les mordillant... Elle poussait de petits couinements qui m'encourageaient à continuer à maltraiter ses tétons un peu plus. Ses seins étaient si doux, fermes et lourds, je me lassais pas de les faire passer de ma bouche à mes mains.

Elle se mit ensuite debout me demanda de me déshabiller, ce qui je fis en deux temps trois mouvements. Je me retrouvais nu face à celle qui me faisait bander depuis des mois, ses superbes nichons pointant leur aréole sombre vers moi. Elle me fit signe de me rasseoir et vint s'agenouiller devant moi. Elle saisit ma queue et commença à me sucer tout en me caressant les couilles. C'était trop bon. Elle alternait les baisers, les coups de langue puis avalait de nouveau complètement ma queue au fond de sa gorge. Manifestement cette petite salope avait déjà du sucer pas mal de bites pour être aussi douée. Alors que j'étais sur le point de venir dans sa bouche, elle se retira et se leva pour enlever son short et son maillot qui était roulé à sa ceinture. Elle était superbe avec sa peau bronzée, ses superbes nichons et une petite chatte bien épilée.

Ma queue était dure comme de la pierre, presque douloureuse. Elle s'approcha de moi en écartant les jambes, plaça sa chatte juste au-dessus de ma queue puis se laissa glisser le long de mon vit. Elle était trempée et n'eut aucun mal à mettre ma queue bien au fond de son con. Elle remua d'abord par remuer un peu de gauche à droite puis commencer à aller venir sur ma bite, d'abord lentement puis de plus en plus vite. Elle se laissait tomber à chaque fois, mon gland venant buter contre sa matrice à chaque fois. Elle était déchaînée, ses nichons venaient claquer sur son thorax à chaque aller retour. Elle gémissait comme une folle. J'écartais ses fesses pour essayer d'aller encore plus profond en elle.

Je la pilonnais alors encore plus fort, essayent le lécher ses tétons au passage.

Elle semblait sur le point de jouir quand elle s'arrêta et vint se placer à quatre pattes devant mois.

— Vas y prends-moi par derrière, prends-moi comme une chienne.

Je ne me fis pas prier et m'installai en genoux derrière elle. Je caressai un peu son cul et sa chatte, profitant de l'agréable vue qui m'était offerte sur sa chatte béante et son bon petit cul.

Je plongeai ensuite me queue bien au fond de sa chatte sans aucun ménagement et commençai des mouvements brutaux de va-et-vient.

Saisissant ses hanches, je cognais encore plus fort au fond de sa chatte humide, ce qui la faisait crier encore plus. Après l'avoir tringlée comme une chienne de longues minutes, on a fini par jouir quasiment en même temps. On s'est alors allongé quelques instants parmi les caisses qu'on avait empilées toute l'après-midi.

Je roulais sur le dos pour la laisser se relever. J'arrivais à peine à réaliser qu'elle était là, à poils, devant moi avec mon sperme qui lui dégoulinait le long des cuisses. Elle était plus belle et plus excitante que je l'avais jamais imaginé.

Tous ce exercices nous avaient ouvert l'appétit et nous décidions de sortir manger un bout.

Lorsque je sortis, elle avait enfilé un petit string blanc et un top qui arrivait à peine sous ses seins, il finissait d'enfiler une minijupe noire dévoilant largement ses cuisses. Elle qui était toujours habillée très classiquement aux cours, était maintenant quasi sapée comme une pute, ce qui m'excitait beaucoup et me faisait sentir de nouveau à l'étroit dans mon pantalon. Je m'approchai d'elle et l'embrassai goulûment en laissant mes mains s'égarer sur ses fesses.

— Je dois juste appeler mon mec avant d'y aller, ok?

— Euh oui, répondis-je un peu gêné par la situation. Tu veux que je t'attende dehors?

— Non tu peux rester.

Je m'assis donc à côté d'elle pendant qu'elle composait le numéro, je commençais à caresser ses cuisses pendant qu'elle attendait qu'il décroche. Je croyais qu'elle allait me demander d'arrêter mais pas du tout. Il finit par décrocher alors que ma main courait sous sa jupe. Elle me caressait les cheveux tout en lui parlant de futilités pendant que je glissais un doigt sous son string. Elle me souriait tout en continuant la conversation, la situation avait l'air de beaucoup lui plaire. Vu sa réaction, je fis glisser son string le long de ses cuisses et remontai sa jupe pour mieux profiter de la vue. Elle écarta un peu les jambes ce qui me permit de glisser un doigt dans sa chatte, elle était de nouveau bien humide. Pendant ce temps, elle continuait à répondre au téléphone, on aurait même dit qu'elle faisait durer la conversation. J'avais un doigt au fond de sa chatte et un autre qui jouait avec son clito quand elle raccrocha.

— Ça t'excite, dis-moi, de te faire caresser en lui parlant?

— Oui, pas toi?

— Si mais...

— Mais quoi?

— Il ne se doute de rien?

— Si mais il sait que j'ai besoin de baiser et comme il n'est jamais là donc soit il se casse soit il accepte de continuer comme ça. Bon on va manger? Je meure de faim, pas toi?

Elle s'approcha alors de la porte en redescendant sa jupe puis me regarda et laissa son string sur le lit.

Il y avait un monde fou dehors, les examens étaient terminés et les vacances commençaient. Beaucoup de mecs la mâtaient dans la rue, pas étonnant vu sa tenue.

Après avoir mangé une énorme pizza, elle me demanda :

— Je te plais?

— Oh oui beaucoup. Lui répondis-je.

— Tu aimes les salopes qui se baladent sans culotte, la chatte à l'air?

Un langage aussi cru dans sa bouche m'étonnait un peu mais surtout m'excitait terriblement.

— Qu'est ce qu'il y a? Je te choque? J'ai mis ta bite dans ma bouche maintenant on peu se parler franchement non?

— Oui, tout à fait.

— Alors, tu aimes les salopes? Tous mecs aiment ça non?

— Oui, j'adore les salopes qui se baladent le cul à l'air.

— Tant mieux parce que tu me plais aussi mais tu dois savoir que j'ai besoin de beaucoup baiser et que souvent un seul mec ne me suffit pas.

— Tu m'excites tellement, je te baiserai autant que tu le veux.

— Ok mais on va voir si tu es prêt ....

— Tu vas voir. On y va?

On a donc quitté le resto avec toujours autant de mecs qui la mâtaient et moi une furieuse envie de la sauter mais au lieu de rentrer chez elle, on se dirigea vers les bâtiments de la cité universitaire. Je ne comprenais pas bien pourquoi elle m'emmenait là, il ne devait plus y avoir grand monde là bas. En montant les escaliers, je pus de nouveau profiter son spectacle de son cul à peine dissimulé par sa jupe. On arriva finalement à une des chambres, elle frappa à la porte et un grand black que j'avais déjà croisé vient nous ouvrir. Il s'appelait Eddy. On entra, il l'embrassa goulûment. J'étais un peu jaloux mais aussi assez excité...Après avoir un peu parlé des examens et d'autres banalités, elle lui demanda si ses copains étaient toujours à la cité aussi. Il sourit en répondant qu'il n'en restait que trois ou quatre mais qu'il devait justement passer le chercher. Sonia avait l'air déçue alors qu'Eddy paraissait plutôt content, il me jeta un coup d'œil rieur en voyant mon air surpris de me retrouver là, ne comprenant pas ce qui se passe.

Quelques minutes plus tard, on frappa à la porte et les quatre amis black d ' Eddy entrèrent. Ils semblaient tous bien connaître Sonia et contents de la voir, l'embrassèrent tous. La chambre n'était pas très grande et il y faisait très chaud. Elle paraissait être tout à fait à l'aise entourée de ces 6 mecs. En s'adressant à moi, elle dit :

— Tu vois, quand je veux bien m'amuser, je viens les voir. En général, on danse puis on baise.

Les gars souriaient tous en me regardant du coin de l'œil. Je commençais à comprendre la situation mais je ne savais pas bien comment réagir.

— Ce soir, j'ai très envie de m'amuser mais je crois qu'on ne va pas aller danser.

En disant cela, elle se leva et alla embrasser Eddy goulûment, celui ci en profitant pour glisser une main sous sa jupe, révélant ses fesses nues, ce qui ne parût pas étonner les autres gars présents. Elle passa ensuite au suivant qui lui enleva son top, puis au troisième qui fit glisser sa jupe. Elle vint se frotter et embrasser les deux autres avant d'arriver à moi. Elle était nue au milieu des ces types et manifestement ça l'excitait beaucoup. Elle vint se frotter à moi à m'embrasser également puis elle me dit :

— Tu fais ce que tu veux, tu te casses, tu mates ou tu participes, à toi de choisir.

— Je reste.

— Parfait, dit-elle.

Elle retourna vers Eddy, s'agenouilla devant lui, défit son pantalon et engouffra sa bite au fond de sa gorge. Les autres types vinrent autour d'elle lui présenter leurs queues. Elle passa de l'un à l'autre, 2 d'entre eux avaient vraiment des bites énormes, elle arrivait à peine à les mettre en bouche. Finalement je me joignis à eux et mon tour arrivé elle me suça aussi après m'avoir envoyé un petit sourire coquin. Les autres gars commençaient à la caresser, les seins, les fesses, la chatte. Maintenant toutes les bites étaient au garde à vous. Sonia était à genoux au milieu de toutes ces bites, c'était à la fois bizarre et très excitant. Elle se mit alors à quatre pattes au centre du cercle formé par 5 queues noires et une blanche. Eddy vint se placer derrière elle et après avoir caressé sa chatte, il la pénétra sans ménagement, ce qui lui arracha un petit cri puis il commença à la pilonner pendant qu'un autre gars avait remis sa bite au fond de sa gorge. De nouveau les mecs se relayèrent dans sa chatte et dans sa bouche.

A ce moment, un des blacks lui enfonça sa bite qui devait faire quasiment vingt centimètres de long et la pilonna violemment. Elle criait comme si on lui arrachait les tripes, ce qui devait à peu près être le cas vu les dimensions de l'engin qui l'empalait. Eddy s'approcha d'elle alors qu'elle venait de lâcher le vit d'un des autres blacks et lui dit :

— Alors sale pute, ça te plaît de te faire défoncer la chatte par une grosse bite de nègre?

— Oh oui gémit-elle.

— Dis le à ton mec alors!

— Je suis une sale pute.

— ENCORE!

— Je suis une sale pute qui veut se faire défoncer!

— Alors, me dit Eddy, elle te plaît cette salope?

— Oui.

— Alors vas-y, fous-lui dans le cul à cette chienne.

Un autre black se glissa en dessous d'elle et enfila sa bite au fond de sa chatte pendant qu'Eddy venait mettre la sienne dans sa bouche. Je m'agenouillai derrière elle, c'était étrange de voir ma bite approcher celle d'un autre gars. Je glissai à doigt dans son cul mais Eddy me dit que c'était ma bite qu'elle voulait. L'atmosphère était tellement chaude, j'étais tellement excité que je lui ai enfoncé ma queue dans l'anus d'une seule traite et j'ai commencé à la limer.

Le tableau était super excitant, Sonia avait une bite dans sa chatte et dans son cul et en même temps elle suçait et branlait les quatre autres gars. Je n'en revenais pas qu'elle fille qui avait l'air si sérieuse puisse se transformer en une telle furie, une véritable chienne en chaleur.

On s'est de nouveau relayé dans sa chatte et dans son cul, elle avait l'air de particulièrement apprécier de sucer une bite qui venait de sortir de son cul. Quant arriva le tour du plus membré des blacks de la sodomiser, elle eut quand même un mouvement de recul mais les autres la tenaient pendant qu'il enfonçait son pieu dans son cul, il commença doucement mais rapidement, il lui donna de violents coups de boutoirs. Quand il ressortit, son anus resta béant plusieurs minutes. L'orgasme qui venait de la secouer l'avait quasiment laissée inanimée. Elle se reposa quelques instants puis Eddy examina son anus et sa chatte et conclut :

— Tu risques d'avoir mal au cul pendant quelques jours mais maintenant que ta chatte est bien ouverte, on va en profiter.

— Oh oui, dit-elle en souriant.

Elle vint se positionner au-dessus d'un des copains d'Eddy , enfournant sa bite au fond de sa chatte ; Eddy se plaça derrière elle et me dit :

— Maintenant je vais te montrer ce qu'elle préfère.

Il avança lentement son gland vers la fente déjà bien remplie et y poussa son vit à son tour. Sonia grimaça un peu et finalement les deux bites se retrouvèrent au fond de sa chatte. Ils commencèrent alors un mouvement de va-et-vient. Elle criait comme un animal et manifestement c'était des cris de plaisirs. Elle eut un nouvel orgasme ainsi en même temps que les deux mecs qui la baisaient. Quand ils se retirèrent, sa chatte distendue laissait s'écouler un flot ce sperme visqueux. Les autres finirent sur ou dans sa bouche. À la fin elle était étendue parmi tous ces mecs, couverte de sperme, le cul et l'anus distendus. Elle me sourit et me dit: toi et moi , on va bien s'amuser ensemble...

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