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Jipai
Jipai
49 Admirateurs

A vouloir regarder de trop près ton corsage
De voir tes seins pousser contre le fin tissus
Entendre crisser leur chair dans leur soyeuse cage
Et leurs pointes s’ériger comme de charmants obus,
A suivre sans arrêt les courbes de tes hanches
Qui ondulent et se ploient au rythme de ton corps,
Quand tu portais sur toi ta robe du Dimanche
J’avais l’œil sournois et le geste retors.
J’étais encore plus fourbe quand dans la salle de bains
J’allais plonger mes doigts au sein de tes dentelles
Tu abandonnais là à mes tremblantes mains
L’élasticité souple d’une de tes jarretelles.
J’en ai passé des heures au panier de linge sale
Pieusement penché à chercher tes odeurs
Qui excitaient ma fougue prompte de jeune male
Lorsque je retrouvais tes persistantes senteurs.
Mes doigts tremblent encore juste à l’évocation
D’une de tes culotte que je portais à mon nez
Pour y cueillir l’odeur de femme et de mixions
Au plus intime endroit où tu l’avais portée.
Je me souviens encore des bonheurs solitaires
Ma bite dans une main dans l’autre ta culotte
Où j’enfouissais mon nez comme dans un repaire
Pour me branler sans fin à l’odeur de ta motte.
Et quand j’avais joui et craché tout mon foutre
Je m’essuyais alors dans ton doux vêtement
A l’endroit même ou hier ta chatte sans aucun doute
Avait laisser perler la mouille par accident.
Il fallait que je sois discret, ne point trop en mettre
Tu te serais aperçu de mes jeux si pervers
Juste une communion de fluides qui s’enchevêtrent
Mais à peine visible à un regard expert.
Quel jeu divin et fourbe ai-je joué jadis
A déposer mon sperme au fond des entrejambes
A mouiller le voile là, juste où ton pubis
Avait laisser l’empreinte pleine de ta fente.
Ah ! ce soyeux tissus où j’essuyais ma queue
J’en garde le souvenir ému comme un amant
Volant à sa belle un rien, juste un cheveu.
Ma mémoire est fidèle, je pense à toi maman.

Jipai
Jipai
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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 16 ans
Au Pays des Interdits

En lisant ce texte je sens monté le désir, devant ces descriptions d'une rare pervertion, à ce stade le mot fantasme prend tout son sens, car bien sûr il ne peut s'agir que de fantasme.

Mon sexe tendu est prêt à exploser en lisant ce texte et tout ceux de Jipai.

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