Te bourrer le con

Je m’en vais te remplir le con
Que ça déborde et que ça coule
Que de grosses gouttes de sperme roulent
Et qu’elles t’ inondent la toison.
Que mon vis éventre ta fente
Et envahisse ton vagin,
Tu sentes bien que mon engin
En quelque sorte te violente.
Que tu sois enfin pleine de moi
Comme tu le fus aux temps jadis
Et qu’en déchirant ton pubis
Je sois ton soudard et ton roi.
Mon membre jamais ne sera plus fort
Ne forcera mieux un vagin
Aucun autre sexe féminin
Que lorsqu’il te force le corps.
Je suis en toi tout entier
Sens tu ma queue comme elle est tendre ?
Et sens tu comme elle va fendre
Tes hémisphères écartelés ?
Encore une fois pleine de moi
Comme au temps où sans le vouloir
Tu fus engrossée par hasard
Sans plaisir, presque sans émoi.
Je veux te donner ce plaisir
Qui te fut alors refusé
Te voir te tordre et onduler
Quand je suis là à te saillir.
A chaque coup de mes reins
Je veux t’entendre crier et geindre
Je veux même t’entendre te plaindre
Et enfin sentir frémir tes seins.
Ceux là même que j’ai tété
Il y a trop de temps déjà
Et dont les tétons camélia
Agacent ma poitrine effrontée.
Je veux enfin qu’à ma demande
Tu t’ouvres encore si tu le peux
Que tu reçoives bien ma queue
Que tu sentes combien je bande.
Lorsque je vais te demander
Si tu es prêtes au sacrifice
Si au fond de ton orifice
Tu veux sentir mon sperme gicler.
Je veux que ce soit une supplique
Que tu m’en pries et me le cries
Que tu offres ta chatte flétrie
Aux vomissures de ma trique.
Encore une fois pleine de moi
Mais de foutre fluide et chaud
Qui emplisse bien ton fourreau
Qui t’engrosse une dernière fois.
O voir ce ventre encore fécond
Sous ta robe doucement saillir
Ta taille peu à peu s’épaissir
Pour te former un beau ballon.
A te voir grosse de mes œuvres
Porter le fruit de nos amours
Ta peau tendue comme un tambour
Serait une sorte de chef-d’œuvre.
Grosse à nouveau d’un fils
Comme tu le fus en ton temps
Serait le point d’orgue assurément
De mon délire, de mon délice.