Rêve de sang

Informations sur Poème
1k mots
4.33
8.2k
00
Partagez cette Poème

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Valcour
Valcour
4 Admirateurs

croquer les fraises dures gonflées de tes seins ronds et fermes de pucelle malade du désir qui mouille tes cuisses fraîches d'un bon jus de fille sucré et coule entre tes fesses pointues serrées les écarter de force et percer l'oeillet brun plissé au goût musqué de gras d'andouillette velours incomparable pour la langue avec deux doigts le ramoner pour l'élargir

oui tu vas bientôt sentir ma bite en bois comme tu la fais si bien bander avec tes seins ronds et fermes de pucelle et tes cuisses et ton buisson ardent et tu es rousse de cheveux flamboyants au soleil matinal rousse d'aisselles touffues à l'odeur enivrante de sueur de fille sportive tous t'admiraient hier dorée au soleil sur le court tes cuisses et tes mollets tes bras musclés tes seins comme deux pigeons qui chahutaient tu es à moi ce matin prisonnière plonger ma figure dans ta motte juteuse chercher le clitounet dressé délicat et les pétales de chair translucide entre mes dents couper tout ça d'un coup sec et avaler cette fleur de chair pleine de sang

non pas ça c'est trop affreux déjà ça va saigner tout à l'heure du bord de ton ventre neuf de vierge étroite saigner du beau sang rouge mêlé de foutre pour faire de toi une putain tu vas bientôt les réclamer les mâles dans ton ventre et dans ton cul pour qu'ils giclent dans ta bouche et dans tes yeux des nuits entières à dix ils te prendront par tous les trous et toi les yeux brûlants de foutre au matin et les cheveux collés tu en voudras toujours d'autres dans ton ventre et dans ton cul des dures bites bandées prêtes à gicler du foutre fumant sous les yeux de ta mère effondrée à la vue de sa fille prise de la folie du sexe

oui mordre tes cuisses mes yeux dans la moiteur du buisson d'algues odorantes au soleil du matin ta perle entre mes dents pas mordre non fouiller seulement les muqueuses et goûter l'intérieur de ton ventre bander ma langue et lécher tes organes palpitant de désir faire exploser la jouissance dans tout ton corps l'éparpiller en mille morceaux

les avaler saignants imprégnés du nectar qui coule des pétales de chair translucide et du sang rouge de ton ventre neuf de pucelle affolée du désir d'être percée par les mâles que tu excites si bien dans la rue avec tes longues jambes nues et fines interminables en jupe plissée courte et bouffante au ras des fesses qu'on y mettrait la main dans l'autobus pour tâter si ça mouille et tes socquettes blanches de grande enfant pas si naïve et tes seins ronds et gonflés sous ton pull ajusté qui jouent comme des chatons et les regards des mâles s'accrochent à tes fesses rondes et dures qui font valser la jupe et lorgnent tes tétons qui pointent insolemment ils te voient nue dans la forêt pourchassée par vingt bites bandées pressées de se vider dans ton ventre étroit velouté comme un gant souple et chaud glissant de ton jus visqueux de femelle excitée par l'odeur des mâles en sueur et le fracas de leurs souffles ils te renverseront sur l'herbe et t'enfileront à tour de rôle et gicleront à toute vitesse pour laisser place aux autres et pétriront tes seins et tes cuisses rondes et grasses de grande enfant qu'ils voudraient dévorer mais l'instinct les retiendra et les poussera à t'enfiler quitte à mordre tes
seins tes bras tes cuisses ta chair enivrante et parfumée de jus de fille en chaleur innocente

oui ton visage balayé par mes couilles et ma langue s'enfonce dans ton cul de pucelle bien fraîche et bien salope déjà ta langue entre mes fesses et ta salive acide qui brûle mon cul

oui oui et tes dents de panthère acérées dans ma cuisse ma queue bandée raide plantée dans ton con étroit de pucelle impatiente va t'embrocher de part en part comme une grenouille cuisses écartées les bras en croix par mon pieu transpercée tu vas saigner ton beau sang rouge de vierge va couler goutte à goutte et nous unir le foutre va gicler jusqu'au fond de ta gorge j'en aurai le goût âcre au bout de ma langue réunie à la tienne pour fermer l'arc électrique où va passer la décharge de nos désirs furieux ton clitounet frétille entre mes dents menaçantes c'est le détonateur qui va faire exploser ta jouissance par tout ton corps c'est moi qui la contrôle cette explosion qui va te ravager toi la rouquine au soleil du matin

j'aime les deux touffes insolentes et parfumées sur la peau claire de tes bras piquée de taches de son comme au petit déjeuner le bol de céréales toi la fille de ferme à l'odeur animale et ta motte soyeuse et buissonneuse je l'aime aussi ton
buisson ardent je j'appelle qui s'éclaircit pour laisser poindre le frais bourgeon rose avide de caresses inconscient du danger fragile bouton délicat à peine protégé par les pétales de chair transparente et les derniers poils clairsemés si émouvants qui poussent obstinés pour montrer le chemin du trésor intime l'oeillet sacré mal gardé par tes fesses étourdies qui pour quelques caresses oublieront leur mission et le laisseront se faire violer

c'est merveilleux un corps de femme humide surtout chaude étroite pour y branler sa bite et s'enivrer de ses odeurs et grignoter sa langue fraîche comme une mangue et jouer sans fin avec sa chair la malaxer en tous sens et toujours elle
retrouve l'harmonie de sa forme c'est un tapis volant qui vous transporte hors de vous et les dieux malfaisants qui nous ont créés nous l'ont laissé par mégarde et si on en a pas sous la main on peut toujours la rêver chaude et jouissante animale dans ses bras la garder prisonnière car elle veut toujours fuir le dard de chair bandée qu'elle désire pourtant et rêver de faire sourdre le sang virginal mêlé de foutre et de son foutre à elle et du parfum musqué de son cul

oui oui ...


Note : Ce poème en prose qui évoque les pulsions cannibales associées à l'ivresse des corps dans l'étreinte amoureuse, pulsions maîtrisées par un instinct aussi puissant que l'instinct de survie, est inspiré du monologue de Molly Bloom qui constitue le dernier chapitre du roman "Ulysse" de James Joyce ainsi que de Grabinoulor de Pierre Albert-Birot.

Valcour
Valcour
4 Admirateurs
Veuillez évaluer cet poème
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Poème

poèmes SIMILAIRES

femme et femelle... ...femme, je reste femelle...