Mes femmes

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Merci,
à toi,
la femme!
Toi,
qui sort de
l’adolescence,
ou, toi,
la femme mature.

Pucelle,
ou,
femme expérimentée
qui me souriez
à l’heure sublime
de mes demi-sommeils
au milieu
de mes rêves
les plus fous.

Toi, la femme!,
l’obsession
de chacune de mes nuits.
Toi, la femme
Quand
pour te jouer de moi,
tu te fais catin,
tu te fais putain.

Moi,
de tout
mon corps bandé
comme un adolescent
qui rêve devant toutes
ces femmes de papier
des revues spéalisées.
Moi, je ne rêve
qu’à me retrouver
à la chaleur
aphrodisiaque
de ton intimité.


Toi, la femme
Quand
pour te jouer de moi,
Tu te fais catin.
Tu te fais putain.

J’en perds mes moyens
rien qu’à te rêver
souriante,
invitante,
provocante
aguichante,
bandante.

Moi,
qui dans chacun
de mes rêves,
me donne le beau rôle
d’amant romatique.

J’en ai l’âme chavirée
et, le corps bandé
quand,
je te vois,
toi, la sauvageonne
à la croupe provocante
qui ne cesse
de me faire bander
avec tes déhanchements
les plus sexés.

Toi, la femme!,
à la chair pulpeuse,
tu me trouble
l’âme et le corps,
quand,
tu te joues de moi
de ton air angélique.
Ou, quand,
espiègles,
tes yeux
me jouent ton air canaille
avant de m’offrir
tes lèvres sensuelles.


Toi, la femme,
mon rêve
aphrodisiaque.
Quand,
de tes épaules
attirantes,
tu me présentes
les fruits mûrs
de ta poitrine.
Et, quand,
pour être
encore,
plus provocante,
tu te déhanches
de ta croupe
qui, toujours,
sait m’hypnotiser,
quand,
tu te laisses aller
tout le corps en une danse
des plus subgestive.

Toi, la femme!,
à la chair pulpeuse.
Toi, la femme!,
à la démarche
langoureuse.

Toi, la femme!,
quand,
de tout ton corps,
tu me parles
de sensualité.

Moi,
je rêve de faire
la fête en toi.
Toi, la femme!,
toi, mon beau rêve
aphrodisiaque.
toi, la femme
toi, quand
tu te fais catin,
toi, quand
tu te fais putain.

Toi, la femme!,
qui, dans mes rêves
tu sais faire vivre
bien en chair
toutes ces femmes de papier
des revues spéalisées
qui encore aujourd’hui
comme
un adolescent,
me laissaient paumés!

Tout mon corps
bandé
ne rêve
que de faire
la fête en toi.

Toi, la femme!,
à la chair aphrodisiaque,
toi, quand
tu te fais catin,
toi, quand
tu te fais putain.

Toi, la femme!,
qui envoûte
mon âme et mon corps
dans les rêves
les plus fous
de mes nuits sans fin.

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