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Cliquez icisouvent ils me donnent ces petits noms
d'animaux lancés avec émotion,
tous ces murmures ou cris qui me rappellent
que moins que femme, je reste femelle...
appelée chatte, je me sens féline,
mais à leurs yeux je suis plutôt canine,
et ils me dressent en me traitant de chienne,
prise en levrette, en laisse et à la chaîne...
ils pompent ma poitrine en me trayant
avec leurs mains et leurs bouches, et pourtant,
si ces taureaux me nomment vache à lait,
entre mes seins moi aussi je les trais...
tellement fiers de leur virilité,
ils m'en nourrissent jusqu'à m'étouffer,
gavée comme une blanche petite oie
forcée d'avaler un anaconda...
trop souvent souillée, que dieu me pardonne,
ils rient de moi en m'appelant cochonne,
ou pire, ces porcs me traitent de truie,
en me soumettant à la sodomie...
mais pénétrée de façon cavalière,
mes cheveux défaits tels une crinière,
je me sens plutôt comme une jument
montée par de beaux étalons fringants...
enivrée par leurs odeurs animales
et soumise à leurs perversions bestiales,
mes cris et gémissements le révèlent :
bien plus que femme, je reste femelle...