L'enseignante Pt. 03

Informations sur Récit
Jeune enseignante sous influence.
5.2k mots
4.49
105k
2

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 10/24/2022
Créé 07/11/2007
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La jeune institutrice arriva plus d'une heure en avance, se garant, elle resta assise sur le siége, les mains crispées sur le volant, fixant l'entrée de l'école. Catherine De Monfort savait que si elle y allait, elle ne pourrait plus reculer, qu'ils la tiendraient en leurs pouvoirs, assouvissant leurs fantasmes les plus pervers et lubriques sur elle.

La jeune femme inspira un grand coup et sortit. Le plaisir nouveau pour le jeune rousse l'empêchait d'être lucide, mais si

Traversant les couloirs déserts, passant devant les classes encore vides, le silence pesant uniquement troublé par le bruit de ses talons claquant

- « Euh….. Bonjour Madame De Montfort .... Vous avez une tenue bien légère aujourd'hui... Cela vous va bien! …. En avance aujourd’hui…. étonnant!…. »

- «Bonjour monsieur le Directeur, je... euh…. oui.... j'avais laisse des copies a corriger ici..... je dois y aller bonne journée.... »

La jeune femme le dépassa, sans le regarder et continua son chemin. Le directeur qui s'était arrêté, se retourna et la regarda s'éloigner, fixant avec concupiscence les fesses plantureuses moulées dans la jupe courte.

Il repensa avec excitation à la peau laiteuse de sa poitrine généreuse, largement découverte par son décolleté. Puis, un peu amer et intrigué par la présence de la jeune femme de si bonne heure, il se promit de la surveiller afin de profiter de ses charmes si l’occasion se présentait, et de prendre sa revanche sur cette altière jeune rousse qu'il considérait comme une bourgeoise bien trop fière.

Catherine sentait son regard dans son dos, essayant d'évaluer ses formes, la jeune rousse en frissonna de dégoût. Elle arriva devant la classe dont la porte était fermée. D'une main tremblante, Catherine l'ouvrit et entra en fermant les yeux.

Les ouvrant la jeune femme découvrit que la salle était vide, elle poussa un soupir de soulagement tout en éprouvant un sentiment de frustration. C'est à ce moment qu’elle s'aperçut d’un message grossièrement écrit sur le tableau.

- « .....Pieds nus, juste la jupe et le chemisier......salle 114.....S».

Elle sentit son ventre se nouer et son cœur s’affoler. Elle se déchaussa, jambes flageolantes et posa sa veste sur le bureau. Puis elle effaça le message, paniquée à l’idée que le directeur avait peut être lu le message...

La jeune rousse resta là, immobile, ne sachant que faire, nerveuse et agitée. Puis comme envoûtée, elle sortit et se dirigea vers la salle 114, sentant le carrelage froid sous ses pieds. Elle avançait dans les couloirs déserts et pour la première fois la jeune femme se rendait compte qu'ils étaient mal éclairés et parfois assez sombres.

La salle 114 se situait à l'autre bout de l’établissement, dans une aile où peu de cours se déroulaient. Le sol était beaucoup plus froid et Catherine se mit à frissonner en avançant dans les couloirs. A chaque tournant, la jeune femme se penchait pour regarder si elle ne risquait pas de croiser quelqu'un.

De plus en plus inquiète Catherine accélérait le rythme mais après

- «Approche…!» ordonna-t il sans faire un geste.

Là, la jeune femme commença à paniquer et elle ne parvint à couvrir les derniers mètres la séparant de l’ignoble sourire qu’affichait le jeune qu’au prix d’un violent effort

- « Eh…. bien….. ma jolie…. Il t'en a fallu du temps... enfin tu sais pourquoi t'es là

- « Euh... je.. .. oui…… enfin », bafouilla-t-elle affolée, les joues empourprées.

Avec assurance Il posa une main sur la hanche de la jeune rousse et de l'autre, il saisit

- « Alors...vas-y ma belle.... branle moi.... et ouvre ton chemisier... montre les, tes gros nibards….. on sait tous que tu tortilles du cul comme une femelle en chaleur dès qu'on les touche. »

La respiration oppressée, le sang affluant aux tempes, la jeune professeur défit un à un les boutons de son chemisier, qui s'ouvrit largement livrant ses trésors au regard de son élève. Catherine n’avait pas mis de soutien-gorge, elle ne put qu’étouffer un frisson de honte en voyant son chemisier bâiller, dévoilant ses appâts mammaires.

- « Whaou..!! Quelle paire de loches... ben dis donc ma cochonne ... t’as vraiment le feu au cul pour te promener les nichons à l’air... hein?!.… ah!…..ah! …. Rougis pas comme ça, salope!… Allez.. Cambre toi bien… tends moi tes nichons. »

Les larmes aux yeux, la jeune rousse s’exécuta, se cambrant un peu, elle sentait le tissu de sa jupe se tendre sur ses fesses et remonter un peu devant sur les cuisses. Le chemisier ouvert sur ses charmes, elle attendait immobile, les tétons durcis par le froid et l’excitation. Le sexe de son élève se déployait contre sa main au travers de l’épais tissu de jean.

Il la regardait sans rien dire, le silence devenait oppressant. Un peu honteuse Catherine De Montfort leva les yeux et croisa son regard rivé sur ses mamelons érigés, et il se mit à ricaner. Cela lui fit l’effet d’une douche froide et sa tête lui tourna sous l’effet de l’humiliation.

• « Oui…. C’est bien comme ça…. Allez ouvre ta bouche et sors moi ta langue que je te roule une pelle... ».

• « Nonn... non…. pas ça… je ne veux pas…. Pas de baiser….. Faites ce que... ce que vous voulez mais pas ça….. C’est trop intime.. »

Il repoussa brutalement la jeune femme, la toisant des pieds à la tête.

- « Ben alors…. Y’a que les putes qui refusent d’embrasser..!! Serais-tu une pute?!!.. trop intime tu veux rire..!! Montrer son cul et ses gros nibards à tout la monde, c’est pas intime ça?!!…. ET se faire baiser comme une chienne dans les dortoirs!!… Tu rougis?!! …..Eh oui!!… Je suis au courant…. et si tu veux pas que d’autres le sachent t’aurais intérêt à te montrer plus docile!!….»

Au fur et à mesure qu’il parlait la jeune rousse se sentait de plus en plus mal à l’aise, honteuse, puis franchement inquiète devant la menace à peine voilée. Catherine aurait voulu ne jamais être venue et si elle avait accepté c’était sous l’empire des sentiments troubles qu’elle avait éprouvé la veille sous l’abominable chantage de Mahoui et Joussouf.

Mais cette fois Sidi lui faisait réelement peur en l’obligeant à réaliser ce qu’elle faisait, et ce n’était plus de fantasmes honteux qu’il s’agissait. Il continua à l’insulter. Serrant les poings la jeune femme sentait des larmes couler sur ses joues cuisantes de honte tandis qu’il la brocardait.

• « Qu’est ce que tu croyais pauvre conne!!…. Qu’on allait jouer à touche-touche?!!…. Tu rêves ma jolie!!…. Maintenant c’est moi qui commande!!…. Tu n’as pas d’autre choix que de m’obéir alors….. Demi-tour et en avant!!… tortilles ton cul en marchant, et arrête de chialer!!!…. »

Paniquée Catherine recula brusquement comme s’il venait de la gifler. La jeune institutrice porta ses mains à son visage, elle ne parvenait pas à croire ce qu’elle venait d’entendre. Sans douceur il la poussa et avec une écœurante docilité Catherine se tourna, le regardant par dessus son épaule, implorante.

• « Allez avance..! et te retourne plus... »

• « Mais…… pas dans cette tenue!.... si on croise quelqu’un... je ne peux pas….. non!!….. nonnnnnnnn!…. j’ai trop honte»

Il la poussa dans le dos et ajouta en ricanant :

- «C’est sûr que ça peut être gênant de marcher le chemisier ouvert.….. surtout que si on te voit te promener sans soutien-gorge, on pourrait se faire des idées…. De toute façon je sais que ça te plaît d’avoir honte et si tu continues à te plaindre ce sera cul nu.!! Alors t’avance…. oui.....c’est ça... tortille du cul!… c’est bon….»

Catherine refaisait le trajet en sens inverse mais le trajet s’avérait beaucoup plus pénible dans cet accoutrement, les courants d’air hérissaient sa peau dardaient ses mamelons. Sidi restait juste derrière elle, une main contre ses reins, la poussant lorsqu’elle ralentissait. Parfois la jeune femme sentait la main du jeune descendre le long de la jupe et se poser sur ses fesses qu’il pinçait ou giflait un petit claquement de langue, riant.

Et chaque fois elle sursautait, se mordant les lèvres pour ne pas gémir et continuait à avancer le ventre noué. Le premier virage approchait, Catherine avait l’impression que cela durait depuis une éternité. La jeune femme ralentit, croyant déceler un bruit de pas qui approchait, mais ce n’était que le fruit de son imagination.

Le cœur battant à tout rompre, elle prit le virage, fermant les yeux, s’attendant à croiser quelqu’un mais il était bien trop tôt et le collège était encore désert. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, le couloir était vide, la jeune femme poussa un petit soupir de soulagement. Toutefois c’était le couloir principal et n’importe qui pouvait surgir au détour d’un couloir adjacent voire même sortir d’une salle de classe. Sidi perçut son soupir et l’arrêtant il commenta :

- « Et bien tu vois... il n’y a personne.. C’est bien dommage… je suis sûr que tu aurais aimée qu’on te voit dans cet équipage! ….»

Alors que la jeune institutrice repartait, pressée de quitter ce couloir, l’élève la retint par le bras et, passant devant elle, poursuivit :

- « Mhmm... j’ai une idée…. » dit-il avec un sourire narquois... «je suis sûr que tu marcherais mieux sans cette jupe un peu trop serrée, non?... Enlève la..!! »

Défaite, la jeune femme le regardait sans oser y croire :

- « Mais je...non…. écoute je ne peux pas.... je t’en prie... »

- « Suffit les conneries!... Plus vite tu feras ce que je te dis, plus vite on quittera cet endroit….. si tu continues à gémir, je te fous complètement à poil au milieu de la cour... et dernière chose.... je t’interdis de me tutoyer petite pute….. Allez magne toi l’cul….. »

Eperdue, les larmes aux yeux, croyant avoir touché le fond, Catherine commença à défaire les boutons de sa jupe, les mains tremblantes. Elle tomba dans un bruissement d’étoffe à ses chevilles. Humiliée la jeune femme baissa la tête. Sidi qui s’était un peu écarté poussa un sifflement d’admiration et tourna autour d’elle en détaillant ses charmes.

Il faut dire que c’était la première fois que la jeune rousse mettait cette « culotte », que des amies lui avaient acheté pour plaisanter quelques mois auparavant. Très échancrée, elle remontait très haut sur ses hanches. En dentelle quasi transparente, elle se resserrait pour ne cacher qu’une mince partie de son épaisse toison. Les poils roux débordaient de chaque coté et le tissu transparent moulait sa vulve. Par derrière on aurait dit un string, et le « V » plongeait entre ses fesses où la fine bande restait cachée. Elle semblait ouvrir les fesses de la jeune institutrice, les séparer, et rendait sa croupe encore plus provocante et excitante par le contraste entre le tissu noir et les fesses très blanches et satinées.

Jamais personne n’aurait pu croire que sous des airs hautains et assez réservés, Catherine portait de tels dessous.

• « Eh bien dis donc!!.. je comprends maintenant pourquoi tu ne voulais pas enlever ta jupe….. t’as pas honte de te promener avec ces dessous de salope? » lui demanda-t il en s’accroupissant devant son ventre dénudé.

Il se releva, visiblement très excité, passant derrière la jeune rousse, il remonta le chemisier dans son dos. Puis, d’une main il lui caressa les reins et descendit doucement vers ses fesses qu’il effleura légèrement, s’attardant sur l’arrondi d’une fesse. Inconsciemment alors qu’elle sentait la main ramper sur sa croupe, la jeune femme se cambra un peu, jambes tendues pour faciliter ses caresses.

Le contact de la main chaude sur sa peau la troublait au delà de toute expression, et elle sentait sa chagatte s’humidifier. En la découvrant en petite culotte, Sidi avait perdu son air autoritaire et pisse-froid, il était redevenu un jeune homme intimidé par la très belle épouse qu’il avait devant les yeux.

Elle se prit à espérer qu’en raison de son inexpérience, sa pose le rendrait nerveux et qu’elle pourrait reprendre un ascendant sur lui. Mais Catherine se trompait, Sidi n’était pas aussi inexpérimenté qu’elle le croyait.

- « Ouui... ma cochonne.... tu aimes montrer ton cul... hein?... tu as raison... j’ai jamais encore jamais baisé un cul pareil.... mais ça ne va plus tarder... Ah…. ah…. ah!! …»

A ces mots Catherine se redressa soudain, honteuse, serrant les poings d’avoir eu un fol espoir et surtout de s’être montrée ainsi à ce gamin. Elle était folle de rage et de honte, la jeune femme aurait voulu le griffer, crier mais elle n’en avait plus le courage, ni la force.

- «Allez on avance..... dis donc... tu tortilles drôlement bien ton popotin salope... tu veux en prendre plein la chatte, t’inquiète pas je bande comme un âne... oh, mais j’y pense c’est peut être ailleurs que tu veux que je te colle ma grosse queue... hein?…. » ajouta-il en la gratifiant d’une claque bruyante sur la croupe qu’elle balançait devant lui.

Catherine continuait à marcher, le long du couloir, elle voyait trouble, à cause des larmes qui lui emplissaient les yeux. Pendant ce temps il continuait à commenter. La jeune rousse n’osait rien dire et elle priait pour que ce cauchemar se termine.

- « On m’a dit.... mais cela demande vérification, que t’es très poilue... et que les poils roux qui tapissent ta raie sont très excitants.... peut-être même obscène, non?.… allez courage petite pute, on arrive bientôt, c’est la 3eme salle sur ta droite.... remonte ton chemisier dans ton dos.... comme ça..... oui c’est bien..... putain ce cul qu’tu t’payes!!!! ... allez, on est arrivé!…..»

Elle entra dans la salle de classe déserte, un peu inquiète mais soulagée de ne plus se trouver dans ce couloir. Sidi ferma la porte derrière elle puis il se dirigea vers un sac que la jeune femme n’avait pas remarqué en entrant.

- « Monte sur le bureau.... à quatre pattes, jambes écartées, cul tendu face à la porte….. allez… Plus vite! ….»

Les jambes flageolantes elle s’exécuta, rouge de honte en se cambrant. La jeune professeur sentit ses fesses s’écarter et la raie de son cul couverte par la ficelle qui formait le fond de sa culotte se dévoiler. Les coudes appuyés sur le bois de la table, le cul relevé, plus haut que la tête, Catherine De Montfort attendait dans une posture vraiment obscène, elle pouvait difficilement avoir plus honte, du moins le pensait- elle. La jeune femme essayait de découvrir ce que Sidi faisait dans son dos.

Il revint avec le sac et le posant à ses chevilles, il ordonna à la jeune femme de regarder droit devant elle. Il fit le tour, écarta les pans de son chemisier pour laisser nus ses seins, puis remonta le chemisier haut sur son dos, pour bien découvrir son cul, commenta-il égrillard.

Puis lui ordonna de ne plus bouger il prit dans chaque main l’élastique de sa culotte et commença à la baisser. Catherine voulut protester mais il la fit taire d’une claque retentissante qui l’humilia fortement.

La jeune femme serrait les poings sentant sa culotte descendre très doucement pour s’arrêter à mi-cuisses. Elle sentait l’air frais rafraîchir son ventre moite, et poussa un hoquet de honte en sentant Sidi écarter ses fesses et du bout de l’ongle frôler la bague fripée de son anus palpitant. Il se posta devant la jeune rousse, et posa une feuille dactylographiée entre ses bras. Il caressa au passage ses seins qu’il soupesa, pinçant les pointes dures. Puis, elle le vit ouvrit sa braguette et sortir un sexe déjà en demi érection.

Il posa ses poings sur ses hanches et avançant le ventre il se plaça devant elle. Le pubis à une vingtaine de cm de son visage.

- «Tu vois cette feuille petite salope….. il s’agit d’un questionnaire!... écoute bien les consignes... tu vas bien lire les questions à voix haute. Tu sais comme tu sais si bien le faire en cours... Et si tu mens... tu auras un gage.... Si tu dis vrai tu auras le droit d’ouvrir grand la bouche pour une friandise... Allez... vas-y…. première question madame De Montfort!!! »

Au seul énoncé de son nom de famille, l’enseignante tressaillit. Il l’avait fait exprès pour bien la rappeler à la réalité. Dans la même position la jeune femme baissa la tête et commença à parcourir silencieusement le document puis elle bafouilla.

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