Yvonne Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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romane
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- J'ai soif et un peu faim."

Morane dévora les tartelettes et le jus de fruit que la dame, lui présenta. Elle était assise sur le bord du lit et regardait Morane avec douceur. Elle avait la quarantaine resplendissante, très épanouie, les yeux bleus transparents, sa blondeur était naturelle.

" - Vous avez souffert, n'est-ce pas," dit la dame

- Ils m'ont violée, je suis bouleversée, que va-t-il se passer avec mon mari?" dit Morane.

- Il faut que vous sachiez que votre mari a assisté à la séance" reprit la dame

- J'ai encore des échauffements gênants" dit Morane

- Je vais tacher de vous aider". Et la dame sortit, puis revint avec un petit tube et du coton, et lui dit :

- Voilà je vais vous passer un gel gynécologique apaisant. Vous avez fait pipi pendant votre petit coma, çà a du aviver l'inflammation. Ne soyez pas stressée, les hommes sont partis, ils ne rentreront pas de sitôt"

La dame mit une noisette de baume sur son index, se mit en devoir de masser doucement le repli entre les cuisses et les grandes lèvres du sexe. La fraîcheur du gel était un plaisir, qui la soulagea immédiatement.

" - Ah c'est frais, çà me fait beaucoup de bien" dit Morane

"- Bien, je vais traiter toute la muqueuse " répondit la dame

Et le massage se prolongea, plus précis. Après les grandes lèvres, la dame passa le gel sur les replis plus intimes, lentement, avec application. Morane ressentait un étrange bien-être, fermait les yeux, poussait des petits cris étouffés, s'abandonnait. Puis le doigt enduit de gel se posa sur le capuchon du clitoris, et insista. Morane eut un fort frémissement, lâcha un OOOOOOHHHH!

"- Je vous fais mal?" demanda la dame

" - Non, continuez, continueeeeez, j'adoooore...!" Morane criait maintenant. La dame posa alors un baiser le ventre de Morane, lui caressa une fesse, et puis les bisous descendirent vers les cuisses. Avec son index, elle masturbait maintenant le clitoris, Morane gémissait de plus en plus fort, s'humidifiait à toute vitesse. La dame posa le tube, elle s'accroupit et suça le clitoris, puis lécha, avala la cyprine qui coulait. Morane eut des contractions, puis atteint l'orgasme à grandes secousses.

Alors la dame enleva son petit slip blanc tout trempé, monta sur le lit. A cheval sur Morane, elle lui présenta son sexe. Sa toison blonde était presque invisible, ses lèvres intimes ressortaient largement, sa vulve était entrouverte. Elle approcha jusqu'à toucher la bouche de Morane qui but à cette fontaine de désir. La dame fit frotter son clitoris contre le nez de Morane, puis elle se laissa sucer, sucer jusqu'aux soubresauts d'un orgasme merveilleux.

La dame se glissa contre le corps de Morane, elles s'embrassèrent à pleine bouche, longuement, prolongeant le plaisir d'être étonnées, de s'être données soudainement l'une à l'autre.

" - Morane, ma chérie, je vais te libérer, promets moi que l'on fera encore l'amour" dit la dame

" - Mon amour, j'aurai toujours envie de toi, si belle, si douce" répondit Morane

Avec un grand couteau de cuisine, la dame coupa tous les liens. Morane et la dame massèrent les poignets et chevilles ankylosés. La dame dit alors:

" Morane, voilà ton slip, il me plaît beaucoup, veux-tu échanger avec le mien?"

" - Avec grand plaisir, le tien est très mignon " et Morane enfila la culotte encore trempée.

« - Mon petit nom est Ronnie, je suis d'origine américaine » dit la dame.

« - Tu est un amour » répondit Morane qui sentait son désir poindre sournoisement, car Ronnie lui caressait le ventre.

« - Allons dans ma chambre » et Ronnie l'entraîna au fond du couloir. La chambre était élégante, les murs, le couvre lit étaient à dominante rose très pâle, les meubles aux lignes très épurées allégeaient le décor. Aux murs, tous les tableaux représentaient des bouquets de fleurs, peints par le même artiste. Pendant que Morane s'étirait sur le lit, Ronnie prit un objet dans le tiroir de la commode.

« - Morane, tu m'as excitée comme une folle, je voudrais jouir tout de suite. Pénètre moi avec ce vibro » et elle lui glissa dans la main un appareil couleur chair, de taille moyenne.

Morane mis l'appareil en marche, il n'était pas très bruyant, sa vibration était douce dans la main, elle commença à promener le gros tube sur la base du sein. Ronnie amena fermement sa main vers sa vulve.

« - Vas-y appuie, oui... là... c'est bon... aaah... ma chérie... aaah...! » gémissait Ronnie

La pointe du vibro titillait le bas de la vulve, la partie cylindrique, branlait le clitoris. Ronnie se trémoussait de plus en plus fort, Morane, excitée à son tour embrassait les seins, aspirait les mamelons.

« Enfonce! ...Enfonce! « Ordonna Ronnie

Le gode glissa sans effort dans la vulve inondée, Ronnie gémissait de plus en plus fort, Morane prit la bouche de Ronnie, leurs langues se donnèrent furieusement, leurs ventres se plaquèrent. Morane avait perdu le contrôle du gode totalement enfoncé, seule l'extrémité renflée restait dehors. Ronnie serrait les cuisses, manoeuvrait le gode, trouvait son plaisir. Et l'orgasme arriva, de longs soubresauts agitaient son ventre. Pendant de longs instants elle prolongeait cette jouissance qui lui vrillait les entrailles. Elle serrait Morane contre son corps, emprisonnait sa bouche, croisait les cuisses, relâchait, jusqu'à l'apaisement. Elle finit par lâcher un énorme soupir comblé de bonheur, tira lentement le godemiché de sa vulve.

« - Ma chérie, tu m'as fait jouir comme jamais » dit-elle à Morane

Morane sentit un fort désir de caresser ce corps parfait, elle s'approcha, enlaça sa voisine, lui caressa les joues, les cheveux, les seins. Elles restèrent ainsi peau contre peau, seins contre seins, cuisse contre sexe, échangeant des mots tendres, savourant cette douceur partagée.

" - Morane, j'entends le moteur de la voiture, les hommes reviennent, sauve toi" dit la dame.

Morane se rhabilla en catastrophe, et s'enfuit par la porte arrière de la maison.""

Complètement traumatisée après cette séqustration, sentimentalement bouleversée entre ce sentiment de viol, vaguement culpabilisée pour avoir cédé a son plaisir, plaisir si profond et si violent pendant l'amour avec sa voisine, Morane se réfugia dans sa chambre et s'abandonna à pleurer à gros sanglots, puis elle s'endormit.

Au milieu de la nuit, des cris réveillent Morane en sursaut, « Morane! Vite! Vite Sors! Sors! La maison brûle! la maison brûle » c'est son mari, Une fumée toxique la fait tousser, elle saute du lit enfile sa robe de chambre et fonce dans le jardin. Très vite les pompiers arrivent, déversent des monstrueux jets d'eau sur la maison. Ils entrent, cassent les croisées des fenêtres qui brûlent encore à coups de hache, maîtrisent l'incendie. C'est alors que Morane hurle, une soudaine crise de nerfs la saisit, elle restera prostrée pendant une journée. Le médecin lui prescrit des calmants, et recommande le repos.

Le lendemain du séjour au centre de vacances, Victoria et Morane s'étaient donné rendez-vous, dans un restaurant de spécialités végétariennes. A la fin du repas, Victoria proposa d'aller finir la soirée chez une amie, locataire d'un chalet.

" -Tu verras, elle est très amusante et pleine d'entrain. Ce soir, si tu est d'accord, nous avons convenu de faire un petit jeu. L'une d'entre nous rentre avec les yeux bandés, elle doit après une séance de palpation, donner les mesures (hauteur, poitrine, taille, hanches), le poids et l'âge de l'inconnue. On s'amuse beaucoup, surtout au moment des résultats.

" Ah, oui, c'est comme quand une femme bandée doit reconnaître quel est son mari parmi une vingtaine d'hommes, " répondit Morane

" Oui, c'est cela en plus intime. Morane, voudrais-tu que porter le bandeau ce soir,"

" Ma chérie, pourquoi pas?", et Victoria banda les yeux de Morane.

Le trajet jusqu'au chalet dura seulement quelques minutes.

Dès l'entrée, l'hôtesse prend Morane par la main, et sans dire un mot, la conduit vers un canapé.

" - Pourquoi ne dites vous rien," demanda Morane

" - Le son de sa voix te donnerait trop d'indices" dit Victoria

L'hôtesse est debout, face à Morane, qui commence à appuyer sa tête contre l'hôtesse, apprécie la différence de hauteur. L'hôtesse est plus grande. Morane se baisse, estima la hauteur du talon haut. "Tiens, elle porte un collant" remarqua-elle en touchant sa cheville. Elle réfléchit, et calcule que l'hôtesse doit mesurer 3 à 4 centimètres de plus qu'elle. Elle annonce 1 mètre 67.

Maintenant l'âge. Très rapidement, Morane a senti que l'hôtesse est une personne mûre, autour de la quarantaine peut-être. Elle effleure les traits du visage, oui des ridules aux coins des yeux, oui les joues un peu moins fermes qu'une fille de 18 ans, oui la peau du menton, du cou un peu relâchée. Pendant cette exploration, l'hôtesse caresse les cheveux de Moranne, sa tête s'approche, Morane sent son souffle tiède, son parfum très raffiné, sûrement Poison de Dior, pense Morane.

" - Je dirais entre 35 et 45 ans pour l'âge, je préciserai plus tard" dit Morane, qui estime plutôt 45, mais mieux vaut rester prudente. L'hôtesse prend à deux mains la tête de Morane, lui donne un baiser sur les deux joues, un autre plus hardi sur les lèvres.

Morane caresse maintenant le ventre, explore cette douce peau. Pas de cicatrice, un petit ventre de femme mûre, l'âge se confirme, c'est plutôt 45 ans. L'hôtesse respire de plus en plus vite, ses seins caressent la figure de Morane, ses mains massent son dos avec douceur. Morane sait qu'elles vont faire l'amour, elle essaie de revenir au jeu, annonce 45 ans.

Elle replie lentement le slip autour des fesses, le fait glisser le long des cuisses, des jambes, le vêtement tombe à terre.

Morane caresse ces fesses, bisouille ce ventre si émouvant, l'hôtesse retient son halètement, des cris étouffés lui échappent, elle prend du plaisir. Morane croit avoir entendu ces sons, oui, ce n'est pas très ancien.

Sa main descend vers le pubis velu, descend le long des renflements entre les cuisses, l'autre main caresse la raie des fesses, un doigt à l'entrée du petit trou.

Morane se sent humide, elle a envie de ce corps, de ce sexe, sa bouche se plaque contre ce minou adorable son nez se noie dans la toison soyeuse, ses mains pétrissent les fesses, son désir monte, monte...

L'hôtesse sent cette ardeur, elle écarte ses cuisses, soulève une jambe, sa vulve mouillée surplombe la tête de Morane, qui avance ses lèvres vers le calice offert.

" - Alors Morane, tu nous fais languir, reviens au jeu, à ton avis, à ton avis, qui? " intervient brusquement Victoria.

" - Ronnie! Ronnie!...c'est toi, c'est toi! " lance Morane ébouriffée, rouge de désir.

" - Ma chérie, ma chérie!" reprend Ronnie. Elle arrache le bandeau, prend Morane dans ses bras. Elles se donnent un long baiser, fougueux, puis de plus en plus tendre. Leurs langues se complètent, elles mêlent leurs cheveux, leurs seins, caressent leurs fesses. Victoria promène ses lèvres le long du corps de Morane, sa langue lèche sa vulve, pendant que Ronnie effleure ses seins, les pétrit, suce ses mamelons durcis. Morane jouit, s'abandonne au plaisir qui monte, se répand dans tout son être. Elle a maintenant des tremblements, des spasmes, elle ressent ses seins gonflés, tendus, sa vulve qui chauffe, et tout à coup, enfin, ces mille étoiles, ce feu d'artifice, quand tout son être est électrocuté par l'orgasme violent, déchirant, et qui lentement finit par la laisser pantelante, épuisée, semi comateuse.

A bout de forces, allongée, elle aperçoit Victoria et Ronnie qui s'activent tête bêche, dans un soixante neuf merveilleux, qui les conduit à un puissant orgasme.

Après une pause de rêverie, elles viennent s'allonger commodément contre Morane, lui caressent suavement les seins, le ventre, les cuisses avec des mots gentils sur la douceur de sa peau, ses cheveux.

Morane est traversée d'une fulgurance, Ronnie masturbe son clitoris encore un peu sensible. Elle serre les cuisses, les écarte, Ronnie lui enfile trois doigts dans le vagin qui se contracte nerveusement, elle est foudroyée par un nouvel orgasme, presque douloureux.

La nuit fut longue, fatigante, les trois amies se faisant jouir à tour de rôle.

Dans un moment de sérénité, Ronnie parle à Morane:

" - Ta maison a été incendiée par mon mari et ses sbires"

" - Cà ne me surprend pas, mais pourquoi?" demanda Morane

" - Tu sais que mon mari était obsédé par la possession de votre terrain. Et puis ils étaient partis acheter des godemichés énormes, un martinet, pour corser leur jeu avec toi. Ils sont devenus furieux quand tu n'était plus là à leur retour"

" - Quand tu as coupé mes liens, tu savais?"

" - Non, mais je me doutais de quelque chose" répondit Ronnie

" - Mais comment sais-tu que j'étais ici?"

" - Ton mari. Je lui ai apporté un enregistrement de la webcam, qui filmait dans la chambre des viols. Elle accuse formellement ces messieurs. De mon côté, j'ai gardé l'original, qui me sera très utile pour mon divorce »

La semaine passa, paisible, Ronnie et Morane ne se quittaient plus, elles s'aimaient, retrouvaient Victoria tous les soirs pour un dîner fin, une sortie en ville, une nuit d'amour.

Et puis Ronnie et Morane partirent, reposées, radieuses.

Quelques jours plus tard, Victoria reçut une gentille carte.

"Nous avons fait un excellent voyage. Nous nous aimons. Mille bisous."

"Signé: Ronnie_Morane"

Votez pour elle S.V.P.

Je vous embrasse tous et surtout toi Yvonne.

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