Vampires

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Une femmes tombe sous le charme de deux étranges créatures.
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romane
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D'après la bande dessinée "Rapaces"

Je rentrais seule, à pied, humiliée comme à chaque fois que l’on se voyait.

Comme à chaque fois, je m’étais habillée pour la circonstance. Je portais le tailleur noir qu’il aimait tant, celui qui se ferme par un zip sur le devant et un autre montant de haut en bas sur ma mini-jupe au niveau de mes fesses permettant ainsi une étreinte fugace. J’avais mis mes plus beau bas, mon string et mes bottes en cuir.

Comme à chaque fois, il me rejoignis dans les toilettes dames entre le plat et le dessert, remonta la fermeture éclair et me prit par derrière sans aucune cérémonie, sur la lunette des toilettes.

Comme à chaque fois, il jouit avant moi et nettoya son foutre sur mes bas noirs.

J’avais froid aux jambes. Les bas avait fini, comme d’habitude, dans la poubelle des chiottes.

Heureusement, il payait quand même le dîné et partait rejoindre sa femme. Je me contentais de ces étreintes rapides et de mon doigt agile une fois arrivée chez moi afin de finir se qu’il avait commencé.

Ce soir là, je n’étais pas pressée de rentrer. Je me posais des questions sur mon avenir avec lui.

J’entrais alors dans un bar, m’asseyais sur un tabouret au comptoir et commandais une vodka. C’est à la troisième que je me sentis détendue. Je sentais un regard sur moi. Je tournais la tête et découvris une splendide femme d’origine hispanique, enveloppé dans un long manteau de cuir noir, avec de long cheveux noir et des lunettes de soleil.

-Je vous offre un verre? » me dit-elle.

-Merci, je suis déjà servie. »

-Tant pis pour vous! »

Elle retira ses lunettes de soleil. Elle avait des yeux d’un bleu étrange, pénétrant. Je frissonnais. Elle le remarqua. Elle se tourna sur son tabouret pour me faire face. Son manteau s’ouvrit, dévoilant deux superbes jambes bottées de cuissardes. Elle avait un tour de cou en cuir clouté. Sa poitrine était maintenu dans un bustier ou un body en cuir noir lui aussi. La belle aimait le cuir.

-Vous semblez triste? » me dit-elle.

-Un peu. C’est pour ce la que je bois un verre. »

-Trois d’après ce que j’ai vu! »

Je rougis. Elle me regarda de la tête au pied s’arrêtant sur mon entre cuisse.

-Qui peut faire souffrir une femme aussi ravissante que vous? » dit elle sans quitter son regard de mes cuisses.

Le port du pantalon donne de mauvaise habitude. Je remarquais que j’étais assise face à elle les jambes écartées, lui offrant ainsi une superbe vue sur mon intimité. Instinctivement, je refermais les cuisses. Elle sourit, avala son verre d’un trait et reprit une autre verre.

-Toujours pas? »

-Ok! Une autre vodka! »

-Une vodka pour la dame! »

Elle me regarda à nouveau.

-Alors? »

-Alors quoi? »

-Vous ne m’avez pas dit qui pouvait faire souffrir une femme aussi ravissante? »

-Un homme. »

-Je m’en serais doutée. »

Un superbe homme arriva, l’air hispanique également, vêtu d’un long manteau noir comme la fille. Sa barbe était finement taillé et il arborait une superbe queue de cheval.

Il déposa une main sur la cuisse de ma voisine au dessus de la cuissarde, remonta sous le manteau vers les fesses qui caressa doucement. La belle ne portait qu’un body en cuir sous son manteau. Il me toisa. Je me sentis nue sous son regard. Sa bouche alla ensuite se poser sur celle de la femme. Ils échangèrent un baiser très sensuel et mouillé.

-Je pars faire un tour. »

-Bien! Fais attention à toi! »

-Ne t’en fait pas! »

-Bonsoir madame! »

-Bonsoir monsieur! » lui dis-je.

Il embrassa à nouveau la femme et nous laissa. Il émanait de lui une virilité sauvage. J’étais jalouse de la fille.

-Vous avez un superbe compagnon. Je vous envies. »

-Ce n’est pas mon compagnon. »

-Ha bon! Et c’est qui »

-C’est mon frère. »

-Votre frère et vous vous embrassez ainsi? »

-Nous sommes très proche et avons aucune inhibitions. »

-Je l’ai remarqué. »

On continua à discuter et à boire. Chose étrange, je sentais mon corps de plus en plus attiré par cette femme. Un moment, je me rendis au toilette et retirais mon string. Je fus soulagée de la voir toujours à sa place.

Sans réfléchir, j’écartais à nouveau les cuisses afin de lui offrir à nouveau la vue de mon intimité, nue cette fois ci.

Elle vida son verre, se leva et me susurra à l’oreille :

-Votre mec est un vrai con d’abandonner un fleur aussi ravissante que vous. »

Une main furtive caressa ma cuisse nue et elle glissa sa langue dans mon oreille.

-Je peux vous montrer de belles choses, si vous voulez. Il suffit d’oser me suivre. C’est tout… »

Elle se retourna, remit ses lunettes de soleil et sortit. Ce fut plus mon corps qui me commanda. Je payais mes verres, enfilais mon manteau et sortais à mon tour.

Je la vis tourner au coin de la rue. Je la suivais alors à bonne distance. Elle marchait sans se presser. Le manteau était ouvert à l’arrière et le vent me dévoilait sa superbe croupe.

Elle pénétra alors dans une maison à l’abandon. Une lumière brûlait au dernier étage. J’entrais à sa suite et grimpais lentement les marches vermoulus. La porte était entrouverte.

-Entre! » dit elle.

J’entrais dans une pièce unique décorée de superbes bibelots anciens. La fille se tenait devant un guéridon, vêtu d’un superbe déshabillé transparent. Comment avait elle pu, en si peut de temps, retirer toutes ses affaires, même si elle en portait peu, et passer ce superbe déshabillé.

-Tiens! Prend ce verre cela te détendra. »

J’étais fasciné par son corps pulpeux.

-Je suis contente que tu m’ai suivi. »

-Je ne sais pas pourquoi je l’ai fait. »

-Tu as peur? »

-Un peu. C’est bien la première fois que je suis une femme. »

Elle tournait autour de moi, comme une lionne reniflant sa proie. Son corps me touchait de temps en temps me procurant des frissons très agréables.

-Tu n’as jamais aimé une femme? » me demanda t’elle.

-Pas depuis mes six ans! »

Son corps se colla au mien dans mon dos. Je subissais une douce torture de sa part. Sa main me caressa le visage. Je sentais son souffle contre ma joue. Ses lèvres se mirent à m’embrasser dans le cou.

-On va rattraper le temps perdu. » dit-elle.

Elle me pris la joue et sa bouche se posa sur mes lèvres. Je lâchais le verre de surprise. Une mains agile me caressait les fesses. Sa langue pénétra dans ma bouche et nous échangeâmes un baiser fougueux. Elle descendit la fermeture éclaire de mon tailleur et dégagea ma poitrine. Toute la soirée, j’avais attendu que mon amant me fasse ce plaisir, et c’est une femme qui me le procurais maintenant. Ses mains étaient douces et agréable sur mes seins. Nos langues se mêlaient sauvagement. La vodka aidait beaucoup. Je restais pourtant un peu raide.

-Laisse-toi aller… C’est si difficile? » dit-elle.

-Je… oui. »

Ma jupe glissa le long de mes jambes. La fille glissa une cuisse entre les miennes et je frottais mon intimité humide sur elle.

-Voilà. Ca viens! » dit-elle.

Je trouvais l’agrafe de son déshabillé et celui-ci s’évapora par magie. Nous étions nue toutes deux nos corps se chauffant mutuellement. Elle m’allongea sur le grand lit, retira mes bottes et m’attaqua le corps à l’aide de sa bouche.

Elle me dévora de baiser, de coup de langues, la moindre parcelle de mon corps. Elle alla de la bouche, en passant par les oreilles, les seins, sauvagement astiqués, le nombril et enfin ma chatte. Je ne me souviens pas avoir autant hurlé de bonheur. Cette fille était un démon de vice. Elle me brouta comme une folle me procurant jouissance sur jouissance. Elle remontait régulièrement afin de m’offrir le goût de ma chair.

Je jouissais même lorsqu’elle m’embrassait. Il y a longtemps que je n’avais eu de tels orgasmes. J’avais oublié comme cela était bon. Je finis par sombrer dans l’inconscience.

Je fus tiré de ma torpeur par un superbe pénis qui me pénétrait.

-Oui mon frère. Prends la! Je l’ai bien préparé tu vas voir. »

Je me vis dans une glace devant moi. Dans mon dos, se tenait le frère de la belle. Il était nu lui aussi. Ma maîtresse lui tenait le pénis, le masturbant afin de lui donner de la vigueur. Une fois celui-ci prêt, elle l’aida à me pénétrer. Le travaille de la belle sur mon intimité fut pratique pour le passage de ce splendide engin.

Le frère me fit jouir à son tour et je connus à nouveau un splendide orgasme. Le sperme en m’inondant les chairs, me sembla brûlant.

-Pitiés! Arrêtez, je vais mourir! Je n’en peux plus! »

Il se dégagea de moi, le sexe toujours turgescent. Sa sœur le lava d’un coup de langue et vint me prendre dans ses bras. Je me blottis tout contre elle et un drap se posa sur mes chairs endoloris.

Je me réveillais avant eux. Je la regardais dormir tout contre moi. Elle m’avait fait découvrir de nouveaux horizons, de nouveaux plaisir. Je regardais cette bouche qui m’avait tant procurer de jouissance dans la nuit. Je l’embrassais doucement afin de ne pas la réveiller.

Son frère dormait dans le canapé.

Je voulais faire le tour de cette maison étrange. Je sortis du lit et frissonnais. Je passais mon manteau sur ma peau nue et sortit de la pièce.

Je ne reconnaissais plus les lieus. Il n’y avait qu’une porte d’entrée qui donnait sur un perron et des escaliers. Maintenant, je me trouvais dans un immense couloire éclairé de candélabre. Je pénétrais dans un petit salon où crépitait un feu de cheminée. Il y avait une immense bibliothèque. Les livres semblaient anciens. J’en pris un et découvrit sa date de parution : 1718. Comment un livre aussi ancien était-il parvenu en si bon état jusqu’à nous? Ce n’était pas le seul.

Je trouvais un album photo et ce que j’y trouvais me stupéfia. Il y avait d’abord des photos de tableau puis des photos plus récentes. Je découvris la sœur et le frère à travers les siècles. Je reconnus un peu la patte de Velázquez. Il est fou comme leur descendant se ressemblaient. J’avais fait l’amour avec des copies conformes de personnages ayant vécu en Espagne il y a très longtemps. Je retrouvais même le petit tatouage qu’elle avait sur le cou. C’était très étrange.

Un long râle me tira de l’album. Je retournais dans le couloir. Les bougie brûlaient toujours sans qu’elles ne diminuent. Il y eu de long gémissements venant de la chambre. Je m’y rendis doucement et pénétrais à l’intérieur. Je trouvais alors le frère besognant avec délicatesse sa sœur. Visiblement, l’inceste n’avait pas sa place ici. Je pris place dans le canapé et les regardais faire l’amour. Je fus à nouveau tiraillée par le désir. J’ouvris mon manteau et me caressais intimement. J’étais fascinée par le superbe pénis du frère. J’y avais goûté moi aussi.

Ils jouirent à l’unisson elle le retenant des ses cuisses afin qu’il la remplisse de son sperme.

Il quitta les bras de sa sœur et s’habilla. Il me regarda nue dans le canapé.

-Je dois partir. Je pense que l’on se reverra. »

Il sortit de la pièce.

La belle dormait profondément. Je décidais de partir, les sens repus. Je passais mes affaires. J’embrassais la belle Camilla et quittais la pièce. Le couloir avait disparu, laissant la place au perron et à l’escalier. Je rentrais chez moi la tête pleine de questions.

Trois jour plus tard, j’éprouvais le désir de la revoir et de m’abandonner dans ses bras. Je revins à la maison, mais à mon grand désarroi, elle avait été détruite. J’appris par les gens du quartier, que la maison était détruite depuis plus de deux ans. J’étais de plus en plus abasourdie.

Un mois plus tard, je ressentis des crampes dans mon ventre. Je commençais à avoir des vertiges, à vomir, tous les symptômes d’une femme enceinte. Pourtant la gynécologue était formelle, pas de trace d’embryon. Je sentais que je me transformais. Mes seins prenaient de l’ampleur, mon acuité visuel se développa, de sorte que je voyais mieux la nuit, et mon ouïs également. Je devais émaner quelque chose, parce que les hommes et les femmes se retournaient sur mon passage. Je sentais leurs désirs.

La gynécologue me rappela pour un complément d’analyse. Je la connaissais depuis de nombreuses années et je l’avais sentis un peu perturbé la dernière fois.

J’arrivais donc à mon rendez-vous. On me donna une blouse et je me déshabillais ne gardant que mes sous-vêtements sous la blouse. Je m’installais sur la table en l’attendant. Elle arriva enfin. J’eus du mal à reconnaître la femme strict et froide les cheveux tirés à quatre épingle. Je découvrais une bombe sexuelle. La femme que j’avais toujours vue en pantalon et chemisier fermé jusqu’au cou, avait les cheveux défaits, la blouse entrouverte sur de superbes sous-vêtements blanc. Elle ferma la porte derrière elle à clé.

Elle s’approcha de la table. Elle avait un sourire coquin et les yeux brillants. Elle posa une main sur ma jambe et remonta le long de celle-ci au fur à mesure qu’elle s’approchait. Je frissonnais. Arrivée à ma hauteur, elle défit les derniers boutons de sa blouse et l’écarta tout en se léchant les lèvres.

Je me dressais alors et l’embrassais. Elle ouvrit facilement la bouche et notre baiser fut très ardent. Mes mains partirent à la découverte de son corps. Elle gémissait sous mes caresses. Elle semblait apprécier plus particulièrement celles sur ses fesses. Elle se tortillait de plaisir.

Je la débarrassais de sa blouse, ainsi que de la mienne. Je découvrais enfin ses formes pulpeuses. Elle retira mon soutient-gorge et je fis de même pour le sien. Elle ouvrit un autre pan de la table afin que celle-ci soit plus grande et elle grimpa. Elle semblait attiré par ma poitrine devenu opulente. Je la pris dans mes bras comme un bébé et lui donnais un seins à sucer. Elle me fit gémir de plaisir tellement elle s’y appliquait à merveille. Je caressais sa poitrine et sa chatte à travers son tanga.

Elle me tétait comme une furie. Elle me fit mal.

-C’est pas possible! » dit-elle. « C’est pas possible. Vous n’êtes pas enceinte. »

Je vis du lait sur ses lèvres. La belle avait réussi à me tirer du lait en me tétant. Cela nous excita encore plus et elle continua à me téter. Je glissais alors ma main sous sa culotte et enfouissais deux doigt dans sa grotte humide et chaude. Je la masturbais tendrement.

Elle finit par laisser mon sein et m’offrit mon lait dans sa bouche. On retira nos culottes et on se mit tête bêche. C’était nouveau pour moi. Je n’avais pas fait cela avec Camilla. Elle me l’avait fait mais pas moi. L’odeur de cyprin me monta à la tête et je dévorais la belle doctoresse comme elle me le faisait. Nous jouîmes plusieurs fois avant qu’un orgasme violent nous emporte.

Elle vint se blottir contre moi. On continua à se bécoter tendrement.

-Je ne comprends pas. Vous présentez tous les symptômes d’une femme enceinte, mais vous ne l’êtes pas. Votre poitrine à prit de l’ampleur, vous avez même du lait, mais vous n’êtes pas enceinte. Je ne comprends pas. »

-Vous voulez m’examiner à nouveau? » lui dis je avec un sourire coquin.

Elle sourit en retour.

-Non pas aujourd’hui! Mon dernier examen m’a mis sur les rotules et ce n’est pourtant pas l’envie qui m’en manque. Vous prendrez rendez-vous avec ma secrétaire en partant. »

Elle se leva, mit ces sous-vêtements et sa blouse. Je faisais de même. Je la sentis contre moi. Elle m’embrassa.

-Ce fut très agréable Vicky. Je vous désirais depuis longtemps et lors de votre dernière visite, j’ai craqué. Vous êtes la seule patiente avec qui j’ai osé faire cela. J’espère que cela se reproduira. »

-Bien sûr ma belle. »

Je flattais ses fesses et l’embrassais alors qu’elle minaudait.

-Tu connais déjà mon point faible. » dit-elle.

Elle sortit. Je pris un autre rendez-vous.

Un mois passa et les symptômes cessèrent.

Ce fut la nuit que je m’y attendais le moins qu’ils resurgirent dans une impasse. Ils étaient tous les deux habillés de latex rouge et elle toujours aussi sexy dans son body moulant. Il m’entourèrent tous les deux.

-Enfin, je vous retrouve. J’ai des questions, des tas de questions… »

Pour seul réponse, il me prit le visage et m’embrassa tendrement. Je fondais à nouveau. Je lui dévorais la bouche sous le regard de sa sœur. Je sentais un regard lourd de sa part. Il me repoussa.

-Ma sœur… Ne l’oublie pas… Elle est très jalouse. »

Je quittais ces bras et prit sa sœur dans les miens, lèvres contre lèvres.

-Tu te souviens?… C’est moi que tu as suivie d’abord. » dit-elle.

-Je n’ai rien oublié. »

Nos lèvres s’unirent. Je fermais les yeux et me sentis flotter. Je frottais mon sexe humide contre sa cuisse. Le baiser n’en finit pas.

Je sentis mes vêtements disparaître, mon corps se poser dans un lit moelleux et deux bouches vorace me courir sur le corps. Je leur offrais mon corps pour leur plaisir. Ils me broutèrent à tour de rôle. Il me prit longuement alors que je léchais l’intimité de sa sœur. Sa liqueur était douce et capiteuse. Lorsqu’ils me laissaient tranquilles, c’était pour continuer de leur côté. Quand je me sentais revigoré, je retournais dans la bataille. Elle me baisa à son tour munis d’un godemiché. Il commença à sermonner sa sœur craignant pour ma santé.

-Arrête!… Elle est exténuée! Tu vas la tuer si tu continues ainsi. » dit-il.

-Si nous continuons ainsi, mais je ne crois pas… Notre force passe en elle. »

Et elle continua à me prendre sauvagement. J’étais sur le fil de la jouissance, ne tombant jamais dans l’orgasme. Elle savait quand s’arrêter. On début se fut une torture, mais le plaisir était plus grand. Je l’aimais de plus en plus dans ses sous-vêtements en latex. Avant je n’aurais jamais pu tenir autant de temps. J’eus le énièmes orgasme de la soirée.

On resta enlacé toutes les deux dans le lit, le sexe de plastique humide contre ma cuisse.

-On t’a dit que tu es belle lorsque tu jouis. »

-Non et toi. »

-Plusieurs fois. »

Je la pinçais afin de lui montrer ma jalousie. Elle sourit et m’embrassa.

-Tu apprends vite. » dit-elle. « J’ai eu raison de t’aborder dans ce bar. J’ai sentis un potentiel en toi et je ne me suis pas trompée. Aimes tu ce que tu vis avec nous? »

-Beaucoup et plus particulièrement avec toi. Mais j’aimerais savoir d’où vous venez? J’étais perdu l’autre fois dans cette maison, ce long couloire, puis le escalier ensuite. Puis la maison qui était rasé depuis 2 mois. Je ne comprends rien. »

-Je t’avais hypnotisé. Tu as cru entrer dans ne vieille maison et en fin de compte tu entrais ici. Tu ne reconnais pas le lit? »

-Si effectivement. »

-Je sens que je peux te faire confiance. Je vais te parler de notre histoire. »

Elle se mit à me compter l’aventure de sa famille depuis l’époque espagnole et le terrible sort qui s’abattis sur eux. Je vis le portrait de sa mère. Elle lui ressemblait énormément. Depuis ce temps là, ils étaient devenu immortel. Leurs parents étaient mort des mains d’autres immortels. Ils avaient fini par fuir l’Espagne et partir en Afrique du nord. Malgré tous les amants qu’elle avait eu , elle ne pouvait procréer. Elle avait été la maîtresse d’un grand sultan mais comme à chaque fois, il mourut avant elle.

Son corps évolua peu à peu et elle finit par ne plus pouvoir accepter le sperme d’autres humains, à part celui de son frère. Voilà pourquoi elle ne faisait l’amour qu’avec son frère ou à des femmes.

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