Une Famille Prise En Otage

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French businesswoman & her adult children are taken hostage.
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« Lève-toi! »

Eva se réveilla en sursaut, pour trouver la chambre éclairée, et le canon d'un revolver braqué sur sa tempe. Cette belle femme de quarante-cinq ans, divorcée et mère de deux grands enfants, qui gérait avec efficacité la bijouterie familiale, savait que son entreprise risquait d'attirer les voleurs. Mais elle ne s'attendait pas à ce qu'une nuit ils viennent la prendre en otage chez elle.

Elle se leva, essayant d'ignorer le regard du gangster sur sa chemise de nuit translucide, qui laissait deviner les pointes larges et brunes de ses seins et l'abondante toison de son bas-ventre. Juste à ce moment, deux hommes également armés entrèrent dans la chambre, poussant devant eux ses deux enfants : Jérémy, vingt ans, et Christelle, dix-huit ans, en vêtements de nuit, les mains attachées derrière le dos. Christelle jeta un regard terrifié à sa mère, qui la serra dans ses bras en essayant de la rassurer.

« Tout va aller bien, ma chérie. »

« Sûr, tout va aller bien, » affirma l'homme qui avait menacé Eva. « Voilà ce qu'on va faire : mes deux copains restent ici avec tes enfants, pendant ce temps toi et moi nous allons à ta bijouterie, je prends ce que j'ai à prendre, on revient ici, je reprends mes potes et je m'en vais. Durée prévue : une heure. Ca te convient? Bon, on y va. Habille-toi. »

Eva prit sa jupe et son chemisier sur une chaise, et se prépara à les enfiler.

« Non, » ricana le chef des bandits, « on n'est quand même pas pressés au point que tu mettes tes fringues par-dessus ta chemise de nuit! Allez, enlève-la. »

Eva obéit en baissant les yeux, humiliée par les regards des hommes et par ceux de ses enfants. La femme nue sentit les yeux des bandits collés à ses gros seins encore fermes, à son ventre toujours plat et à ses cuisses parfaites. La veille, elle avait mis des bas et un porte-jarretelles, qui étaient toujours posés sur une chaise. Elle hésita une seconde, puis les enfila, mit son slip, son soutien-gorge, son chemisier et sa jupe, puis chaussa ses escarpins à hauts talons. Les regards concupiscents des trois hommes lui donnèrent l'impression de leur offrir un strip-tease à l'envers.

« Allez, on y va. »

Avec un dernier regard d'encouragement à ses enfants, que les bandits avaient fait asseoir sur un divan dans le salon, elle sortit escortée du chef qui gardait son revolver dissimulé sous son blouson. Ils prirent sa voiture pour rouler, dans les rues désertes à cette heure de la nuit, jusqu'à la bijouterie. Eva ne fit aucune difficulté pour indiquer à l'homme le code de l'alarme, et la combinaison du coffre. La bijouterie était assurée ; ce qui importait était de protéger ses enfants et de préserver sa propre vie.

L'homme remplit une valise des bijoux les plus précieux, puis promena son regard autour de la pièce.

« Il me reste quelque chose à prendre » dit-il.

Au sourire féroce avec lequel il la regardait, le revolver pointé vers elle, Eva comprit ce qu'il voulait dire. La gorge nouée, elle le regarda marcher vers elle, en la fixant droit dans les yeux, jusqu'à ce que le canon de son arme effleure sa poitrine.

« Ouvre la bouche »

Elle obéit, tandis que l'homme approchait son visage du sien et lui prenait le menton.

« Tu as intérêt à répondre... Pour toi et tes enfants. »

Les lèvres du bandit se plaquèrent sur les siennes, sa langue commença à fouiller sa bouche. Obéissante, elle répondit avec la sienne, pendant que la main lâchait son menton et allait pétrir son sein droit, puis son sein gauche. L'agresseur s'écarta légèrement, un rictus satisfait aux lèvres.

« Déshabille-toi. »

Les larmes aux yeux, Eva défit son chemisier, puis sa jupe. Elle pria pour que l'homme fasse vite, sans la brutaliser, et pour que ses enfants n'en sachent rien. Les vêtements glissèrent à ses pieds.

« Enlève juste ton slip et ton soutien-gorge. Tu peux garder tes bas et ton porte-jarretelles. Garde tes chaussures aussi. »

Elle obéit. L'homme prit plaisir à la laisser un moment devant lui, debout et humiliée. Se rapprochant à nouveau, il effleura de la main les seins et le ventre nus, puis ordonna :

« Mets-toi à genoux. »

Il ne détournait pas son revolver, et Eva sentit le canon de l'arme lui effleurer les cheveux. Sur les indications de l'homme, elle défit sa braguette, en sortit son sexe, le prit dans sa bouche. Elle s'activa des lèvres et de la langue, caressant même les testicules et la base de la verge du bout de ses doigts, espérant que l'homme éjaculerait le plus vite possible et que ce serait fini. Mais son agresseur n'avait pas l'intention de l'épargner.

« Ah, tu suces sacrément bien! Va te coucher sur le comptoir, cuisses écartées. »

En se retenant de fondre en larmes, elle retira sa bouche et, les yeux baissés, alla s'étendre sur le comptoir où elle avait tant de fois accueilli ses clients. L'homme écarta ses cuisses gainées de bas, posa la main sur sa fente, l'ouvrit largement. Elle essaya vainement de se détendre, mais ne put retenir un cri de douleur lorsqu'il se coucha sur elle et s'enfonça d'un coup dans son sexe contracté. Il commença à la pilonner sans ménagement ; elle ferma les yeux pour ne pas voir son visage à quelques centimètres du sien, semblant ricaner des gémissements étouffés qu'elle poussait à chaque coup de bélier.

« Regarde-moi! »

L'extrémité du revolver s'enfonça sous son menton.

« Ouvre les yeux! Regarde ce que je suis en train de te faire! »

Elle dut ouvrir les paupières et subir à nouveau, devant ses yeux qui s'embuaient de larmes, le visage de l'homme qui s'agitait au rythme du viol, la montée du plaisir sur ses traits. Lorsqu'il éjacula en elle, elle ne put s'empêcher de renverser la tête en arrière avec un long râle de dégoût et d'humiliation.

L'homme se relevait et se rajustait, la laissant pantelante sur le comptoir.

« Rhabille-toi, on repart. Non, pas le slip ni le soutien-gorge, laisse-les là. Remets juste tes vêtements de dessus. »

Elle suivit l'homme dans la voiture, se sentant éreintée et souillée. Nue sous son chemisier et sa jupe, elle avait l'impression que son bourreau continuait à abuser d'elle. Dieu soit loué, l'épreuve était finie, elle et ses enfants seraient bientôt libres...

Son coeur se contracta dès qu'ils furent revenus dans la maison. Des gémissements saccadés venaient du salon, dont elle comprit aussitôt la cause. Tandis que Jérémy, lié les mains dans le dos à une balustrade, tentait vainement de se dégager, Christelle était renversée sur le tapis, le T-shirt qui constituait son seul vêtement de nuit retroussé jusque sous le menton, laissant apparaître les pointes de ses seins menus et pointus et les boucles naissantes de son bas-ventre. L'un des bandits la maintenait plaquée au sol par les épaules, et l'autre, agenouillé entre ses cuisses, la tenait par les hanches en la pilonnant. Elle aussi avait les mains attachées dans le dos, et se tordait en gémissant, essayant en vain d'échapper à son agresseur.

Eva hurla et se précipita vers sa fille. Le violeur de Christelle la repoussa d'un revers du bras, l'envoyant s'écrouler aux pieds du chef de la bande. Eva releva les yeux pour voir le revolver à nouveau pointé sur elle.

« Kevin, Sam, vous n'êtes pas raisonnables, » lança-t-il d'un ton mi-contrarié mi-rieur. « Je vous avais dit de surveiller les gosses et d'éviter les histoires! »

« Tu peux parler, » rétorqua l'un des hommes. « Tu croyais qu'on ne savait pas ce que tu allais faire avec la patronne? Tu nous l'avais dit pas plus tard qu'aujourd'hui : celle-là, elle est trop bonne, pendant qu'on sera dans la bijouterie je me la fais... Et pendant qu'on était comme des cons à t'attendre, avec cette belle petite, assise comme elle était on voyait bien qu'elle ne portait rien à part son T-shirt, on s'est dit : pendant que Marc est occupé avec la mère, on va tenir compagnie à la fille... »

Christelle, qui, lâchée par les deux hommes, s'était péniblement mise sur les genoux, regardait Eva avec épouvante. Avant de la violer, les deux ordures lui avaient dit que sa mère subissait le même sort aux mains de Marc, et elle avait essayé de toutes ses forces de ne pas le croire. Mais maintenant, en voyant les yeux de sa mère baissés de honte, les larmes qui commençaient à couler sur ses joues...

« Oui, on s'est bien amusés, » répondit négligemment Marc. « D'ailleurs, » (du bout de son revolver, il désigna les seins de son otage, dont la forme et les pointes étaient bien visibles sous le chemisier) « elle n'a même pas eu le temps de remettre son soutien-gorge. Et elle n'a pas de slip non plus. »

« On peut vérifier? » demanda Kevin en s'approchant, suivi de Sam.

« Je vous la laisse. Pendant ce temps, je vais m'occuper de la petite. »

« Non! » supplia Eva. « Je ferai tout ce que vous voudrez, mais laissez-la! »

« Tu as déjà fait tout ce que je voulais, » répondit Marc, « et maintenant tu as intérêt à faire pareil avec mes potes. » En même temps, Kevin se glissait derrière Eva et lui ramenait les bras dans le dos.

« Ca c'est vrai, » dit Sam - c'était l'homme qui violait Christelle lorsqu'ils étaient rentrés.

« On a dû menacer d'étrangler le grand frère pour que la petite soeur accepte de nous sucer. Espérons qu'on ne va pas devoir faire de même avec toi! »

Eva jeta un regard désespéré à Jérémy, qui se contorsionnait à nouveau pour se libérer : « Courage, je t'en supplie, ce sera bientôt fini ». Puis Sam fut juste devant elle, bouchant son champ de vision. Il ouvrit son chemisier, découvrant de nouveau ses seins, puis presque tout de suite Kevin lui tira les bras, l'obligeant à se mettre à genoux. Les deux hommes la forcèrent à se pencher en avant et elle se retrouva à quatre pattes, le visage face à la braguette de Sam d'où sortait son mandrin en érection. Le bandit lui ouvrit la bouche et fourra son sexe à l'intérieur. En même temps, Kevin s'accroupissait derrière elle, retroussait sa jupe sur ses hanches et la prenait comme une chienne. Eva s'efforça de ne pas perdre l'équilibre lorsque les deux boutoirs commencèrent à la ramoner brutalement, l'un par en haut et l'autre par en bas. Dans sa position, elle était, malgré ses efforts, incapable d'apercevoir Christelle ; mais les plaintes de sa fille la renseignaient assez sur ce qu'elle subissait aux mains de Marc.

« Applique-toi un peu, » dit Sam en tirant violemment les cheveux d'Eva. « Ta fille nous a sucés tous les deux, et elle fait ça mieux que toi! »

« C'est vrai? » La voix de Marc se fit entendre. « Moi qui ai déjà essayé la mère, je ne demande pas mieux que de vérifier. »

Eva entendit le bref sanglot de Christelle, puis, sous la menace des coups, dut sucer et lécher le sexe qu'elle avait vu violer sa fille, jusqu'à ce que ses deux agresseurs éjaculent presque en même temps. Sam la retint par les cheveux pour que tout gicle dans sa bouche, et elle fut contrainte d'avaler pour ne pas s'étouffer. Lorsqu'il la libéra, elle fut tout de même prise d'une violente quinte de toux, sous les rires gras des deux hommes, et laissa échapper un reste de sperme qui coula sur son menton. Déjà, les deux hommes la retournaient sur le dos. Elle eut le temps d'entrevoir ses enfants. Jérémy avait apparemment cessé de lutter et regardait la scène, le visage crispé. Christelle, les mains toujours liées, était à genoux : après s'être fait sucer, Marc était passé derrière elle et la possédait en levrette.

Ecartelée sur le tapis, Eva subit à nouveau les deux hommes. Sam se coucha sur elle et la prit dans la position du missionnaire, tandis que Kevin s'agenouillait à côté de sa tête et lui donnait sa verge à sucer. Bientôt, elle sentit à nouveau la semence d'un violeur, le troisième, dans le fond de son sexe. Kevin, quant à lui, éjacula sur son visage et la barbouilla de sperme.

Elle vit de nouveau Christelle, que Marc, après avoir assouvi son désir, avait laissée, comme sa mère, pantelante sur le tapis. Elle aussi avait les lèvres et le menton souillés de sperme. Il lui détacha les bras.

« Petite, je crois que tu as bien mérité d'aller embrasser ta mère, et vice versa! »

Les deux femmes s'effondrèrent en tremblant dans les bras l'une de l'autre, agenouillées par terre. « C'est fini, ma chérie, » murmura Eva à l'oreille de sa fille. « Tu as été très courageuse. »

« Vous avez vu ce que vous avez sur la figure? » intervint Marc. « Il serait temps de nettoyer tout ça. »

Machinalement, comme si elle avait attendu l'ordre de ses bourreaux pour le faire, Eva leva la main pour essuyer les larmes et le sperme qui maculaient le visage de Christelle.

« Non, non, pas comme ça ... »

Eva comprit soudain quelle nouvelle humiliation ce pervers avait inventée.

« ... avec la langue. »

Christelle jeta un regard d'incrédulité à sa mère. « Il faut le faire, ma chérie, » souffla Eva. « Sois forte. Tu es ma fille. Je t'aime. »

Sa langue commença à lécher les contours de la bouche de sa fille, goûtant le sperme du violeur, puis au-dessous la peau et les lèvres de Christelle. Sur un ordre bref de Marc « Toi aussi, petite! », l'adolescente lui rendit la pareille et parcourut de sa langue le visage de sa mère.

« Vous pouvez mieux faire, les filles, » décida Marc. « Levez-vous toutes les deux. Enlevez vos vêtements. »

Christelle ôta le T-shirt qui, lorsque Marc l'avait fait s'agenouiller, était retombé et la couvrait de nouveau en partie. Pour la première fois, les hommes la virent entièrement nue et debout, avec son corps d'adolescente aux seins effilés, aussi belle, dans un autre genre, que sa mère, laquelle enlevait en même temps sa jupe et son chemisier froissés.

« Recommencez à vous lécher... Voilà, comme ça. Christelle, touche la langue de ta mère avec la tienne. Embrassez-vous. »

Les deux femmes étaient encore à cette ignoble imitation de baiser lesbien quand les ordres de Marc recommencèrent.

« Touche les seins de ta mère... Caresse-les. Voilà, comme ça, caressez-vous les seins toutes les deux. Et continuez à vous embrasser. Christelle, touche le ventre de ta mère maintenant... Sa touffe. Eva, fais-lui pareil. Toi, mets un doigt dans la chatte de ta mère. Et maintenant, asseyez-vous toutes les deux face à face. Christelle, tu vois bien la fente de ta mère? Remets-y ton doigt. Un autre maintenant. Je veux voir ta main y rentrer tout entière. Eva, fais pareil à ta fille. Et regardez-vous dans les yeux pendant que vous faites ça! »Les deux femmes, qui avaient gardé les yeux clos ou baissés depuis le début de l'épreuve, furent contraintes de se regarder en face, pendant que la main de chacune distendait la fente de l'autre. Dans les yeux de Christelle, Eva lut humiliation et révolte, et se demanda ce que son propre regard pouvait bien refléter.

A nouveau, la voix de Marc :

« Hé, mais regardez-moi ce petit salaud! »

Eva tourna son regard vers Jérémy, toujours paralysé sur sa chaise... et sur la bosse visible qui tendait le caleçon du jeune homme, dont les yeux étaient baissés de honte.« Il bande! Ca t'a excité, de voir ta mère et ta soeur se faire sauter? Et tu n'as encore rien vu. Maintenant, tu vas voir ta soeur se faire enculer par trois types. »

« Pas ça! » sanglota Eva en se tournant à genoux vers les trois hommes. « Faites-le-moi plutôt! »

« Ca peut s'arranger, » ricana Marc. Et il se tourna vers Jérémy : « A toi le choix, fiston. L'une de ces deux femmes va se faire enculer par nous trois. Pendant ce temps, l'autre se mettra à genoux devant toi et te sucera. Alors, laquelle choisis-tu? »

Jérémy imagina les trois énormes mandrins qu'il avait vus à l'oeuvre, déchirant l'anus adolescent de sa petite soeur. Sa mère, qui devait déjà avoir pratiqué la sodomie, souffrirait sûrement moins.

« Ma mère. » murmura-t-il d'un ton étouffé.

« Ta mère quoi? »

« Je préfère que ce soit elle que vous enculiez. »

A nouveau, Eva fut contrainte de se mettre à quatre pattes. Elle entendit la voix suppliante de Jérémy : « Pardonne-moi, maman. » Mais elle ne lui en voulait pas. Son anus était aussi vierge que celui de sa fille, mais elle était contente que cette épreuve soit épargnée à Christelle. Même si un autre supplice attendait l'adolescente.

« Tu te souviens de ce qu'on a dit? » lui lança Marc, tandis que ses doigts distendaient au maximum le sphincter d'Eva. « Mets-toi à genoux devant ton frangin et suce-le! »

Sans regarder son frère, Christelle s'agenouilla à ses pieds, mit la main dans son caleçon pour en sortir le sexe raidi, le mit dans sa bouche et commença à le sucer. Derrière elle, sa mère eut un long râle de souffrance lorsque Marc dépucela son anus sans précaution. Ses cris saccadés rythmèrent le viol sodomite, et furent tout ce que Christelle put entendre en s'activant sur la verge de Jérémy.

Le jeune homme ne pouvait empêcher son sexe de devenir de plus en plus sensible à la fellation que lui prodiguait sa soeur, agenouillée nue et contrainte devant lui. Il était également sensible à la vision de sa mère, se tordant sous la pénétration atrocement douloureuse qui lui était imposée, recevant dans son rectum le sperme de Marc...

Son propre sperme gicla dans la gorge de sa soeur. Surprise, Christelle avala le premier jet, eut un hoquet et se retira, laissant le reste lui arriver sur la figure et les seins. Marc s'était retiré de leur mère. Dieu merci, l'anus d'Eva ne saignait pas, et elle ne semblait souffrir d'aucune déchirure. Déjà, Sam prenait la place de son chef, pendant que Marc passait devant sa victime pour la contraindre à sucer le sexe qui venait de ramoner le plus sale de ses orifices. Christelle et Jérémy regardaient le spectacle, comme pétrifiés, et le jeune homme sentit sa verge qui se redressait à nouveau. Ce fut bien pire lorsque, après avoir pris son plaisir, Sam se retira pour laisser la place à Kevin. Pendant que celui-ci pénétrait l'orifice désormais presque insensible, Marc fourra Eva par-devant et invita Sam à utiliser la bouche qu'il venait de libérer.

A bout de forces, défoncée par ses trois orifices, leur otage se laissait manipuler comme une poupée de chiffon, ne suçant plus que machinalement le sexe que Sam lui avait enfoncé entre les lèvres. Elle avait depuis longtemps renoncé à se dire « ils vont arrêter, c'est bientôt fini. » Son impression était que les trois malades allaient rester là pour l'éternité, les soumettant, elle et ses enfants, à des viols et à des humiliations sans fin.

Après avoir joui tous les trois, ils la laissèrent inerte sur le tapis, tous ses orifices douloureux. A nouveau, la voix de Marc :

« Eh, mais on dirait que le jeune homme bande à nouveau? Ta soeur ne t'a pas suffi? Bon, on va te trouver mieux. »

Empoignant Eva par les cheveux, il la contraignit à regarder vers Jérémy.

« A ton tour de faire jouir ton fils. Va l'embrasser avec ta langue. »

Chancelante, Eva se redressa et marcha vers l'adolescent aux mains toujours liées à la balustrade. Elle balbutia « Il faut que je le fasse... Je suis forcée » avant que leurs bouches ne se mêlent. Puis les ordres de Marc recommencèrent : « Donne-lui tes seins à sucer... Voilà, comme ça. Tète bien les seins de ta mère, petit. Mords-les... plus fort, je veux voir la marque. Oui, c'est bien. »

Eva subit cette atroce parodie d'allaitement maternel, en sachant que le pire était encore à venir. Elle dut s'agenouiller entre les cuisses de Jérémy, sucer un court moment le membre tendu à l'extrême avant que Marc n'ordonne :

« Et maintenant, assieds-toi sur ton fils. Chevauche-le. »

Presque incapable de respirer, Jérémy vit le corps de sa mère se redresser, puis descendre vers lui. Une main saisit son sexe et il se sentit glisser à l'intérieur de sa propre mère, dont les jambes gainées de bas enserrèrent sa taille. Le regard dans le vide, évitant les yeux de son fils, elle commença à se balancer d'avant en arrière.

« Bouge un peu plus! » lança Marc. « Bouge! J'ai un moyen de te faire bouger, moi. »

Il ôta sa ceinture déjà défaite et la jeta à Christelle, qui était restée prostrée dans un coin de la pièce.

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