Un magnifique cadeau de Noël

BÊTA PUBLIQUE

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Coulybaca
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Il reconnut le conducteur du 4x4, c'était le quarter back de l'équipe universitaire de football, dès qu'il franchit la porte du bureau.

Nate ne fréquentant la fac que depuis le début de cette année état totalement inconnu de Scott Berger.

En l'inscrivant sur le registre d'hôtel il eut la confirmation qu'il s'agissait bien de Scott Berger.

Sachant que Scott était parti pour jouer dans l'équipe universitaire il comprit qu'il était de retour le temps des vacances, il gloussa :

- Le foutu bâtard! .... A peine de retour chez lui et il se fait déjà une nana! ... Bordel je me demande si je la connais! ..... Si ça tombe, il s'agit d'une de ces ravissantes pom-poms gril! .....

Il se glissa discrètement jusqu'au rebord de la fenêtre de son bureau pour les épier, Nate aperçut la femelle assise sur le siège passage, elle regardait la route, apparemment soucieuse de vérifier que personne ne pouvait la voir!

- Bordel, il ne se fait pas n'importe qui! ... C'est madame Hastings! .... Putain il va s'envoyer madame Hastings! .... Une femme mariée, dont on vante partout la fidélité! .... Marmonnait-il sourdement.

L'année précédente il avait suivi les cours de maths de madame Hasting, il s'était payé de solides bandaisons rien qu'à la voie en cours, et voila qu'il bandait encore comme un cerf en la voyant débarquer dans le motel.

Alors que Scott lui ouvrait la portière, Carol les yeux fixés sur la porte de la chambre d'hôtel balbutia :

- Scott... On ne peut pas..... Je suis une femme mariée! .... Tu es un de mes anciens élèves! ....

Bien qu'elle protesta verbalement, Carol descendit de la voiture avec son aide, et le regarda éperdue glisser la clef dans la serrure magnétique de la chambre de cet hôtel. de passe.

Une seconde plus tard, son capuchon de laine jeté sur le lit elle embrassait fougueusement le séduisant jeune homme, lui roulant une pelle enivrante.

La veste de ski orange gisait sur le plancher, ainsi que son écharpe que lui avait arrachée le jeune homme elle posa ses doigts tremblants sur la boucle de sa ceinture de cuir et la déboucla.

Pendant ce temps la main du jeune gars progressait sous son sweat, elle en frissonnait de plaisir.

- Ooooooh Scott! Gémissait-elle éperdue.

Le bouton fermant son pantalon défait Carol tremblait d'excitation en s'infiltrant ses doigts dans son pantalon, puis dans son caleçon se promenant dans sa soyeuse toison.

- Ooooooooooooooh mon Dieu! ..... Doux Jésus! .... Mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuu! Haletait-elle doucement, suprise de la taille de sa virilité bandée, elle semblait bien plus grosse et bien plus longue que celle de son mari!

Elle jaillit agitée de soubresauts dans sa main, elle ne put s'empêcher de caresser la glorieuse hampe sur toute sa longueur.

Pendant ce temps Scott ait descendu son pantalon et ses mains s'insinuaient dans le dos de sa petite culotte empoignant et tripotant ses globes fessiers.

Cette scène semblait pourtant inconcevable entre madame Hasting et son ancien élève, il avait quitté le collège, elle était mariée et n'avait jamais transgressé ses vœux de mariage.

Carol ne réalisait pas que le séduisant jeune homme avait ourdi ce plan pour embellir ses vacances de Noël.

Se débarrassant de leurs lourdes chaussures de neige, ils se déshabillaient l'un l'autre comme s'ils étaient mari et femme et non ex-prof et ex-élève.

Scott allongeait auprès de la ravissante jeune femme qu'il embrassait passionnément ne put s'empêcher de lui préciser :

- Oooh madame Hasting, vous avez toujours été ma prof de maths préférée! .... Mais ce n'est pas en tant que prof que je me souvenais de vous! .....

- Je le vois bien Scott! .... Concéda-t-elle d'une voix égarée.

Haletante, nageant dans un délire passionné, Carol ne pouvait sortir de l'état de transe dans lequel l'avaient plongée les derniers baisers de Scott, cette fois ses lèvres courraient dans on cou, sur ses seins, son, ventre... et s'approchait furtivement de sa chatoune enfiévrée.

Lorsque Scott se tourna, Carol se mit à trembler en pensant au chiffre auquel il se referait, ce nombre "69", ses sœurs de fraternité gloussaient parfois en l'évoquant et lui avaient montré des dessins explicatifs figurant un couple en pleine action.

Elle n'avait jamais admis d'avoir de rapports oraux avec son mari, même s'il avait essayé une paire de fois, elle n'avait jamais fait de fellation quelque que soit le mâle avec lequel elle sortait.

Mais avec son séduisant ex élève qui soufflait son haleine chaude sur elle, alors que son pénis se balançait à quelques centimètres de ses lèvres, cela lui apparut comme un acte naturel entre deux amants, elle empoigna la verge dure d'une main ferme et se pencha pour pointer le bout de sa mangue sur l'ensorcelant champignon de chair.

Sa langue se démenait dans sa fentine embrasée, Carol relâcha la bite de son amant qu'elle emboucha en pleine gorge.

La sensation était à la fois sauvage et indéfinissable, elle n'avait jamais rien ressenti de tel, elle arquait ses hanches pour mieux s'offrir à ses caresses labiales alors qu'elle absorbait son épais épieu de chair dans l'arrière gorge qui jouait les ventouses.

Frissonnant irrésistiblement elle jouit sous les assauts de la bouche de Scott, elle s'efforça alors d'absorber la moitié de sa bite dans sa bouche avide.

Bien que submergée physiquement et mentalement par le meilleur orgasme qu'elle ait jamais éprouvé, Carol cherchait encore à plaire à son séduisant jeune amant.

Elle le branlait de plus en plus en vite dans sa bouche le caressant sans cesse de la langue.

La tête montant et descendant sur son chibre tendu, ses longs cheveux noirs lui balayant les cuisses, elle voulait que cela soit aussi bon pour lui que ça l'avait été pour elle.

Ceci dit le jaillissement du foutre chaud dans sa bouche la prit par surprise, elle eut pourtant le réflexe de déglutir avalant la plus grande part de la semence qui lui emplissait la bouche, s'accommodant des jets répétés qui fouettaient sa langue et tapissaient son arrière-gorge.

Scott, était ravi de se voir offrir cette excitante fellation par la femme de ses rêves, qui allait jusqu'à lui mordiller les couilles de sa bouche avide.

A voir la façon hésitante dont elle avait commencé ses caresses, il avait tout de suite compris qu'elle était totalement inexpérimentée dans ce genre d'acte sexuel, mais cela n'avait fait que l'exciter plus d'enseigner à son adorable prof de maths cette succulente façon de dispenser du plaisir à un homme.

Il se réjouissait d'ailleurs de l'enthousiasme qu'elle avait manifesté par la suite.

Effleurant des lèvres la douce figue de sa partenaire, titillant ses appâts intimes enfiévrés, puis il remonta languottant tendrement son nombril avant de grignoter ses tétons dardés.

Un nouveau patin enfiévré s'ensuivit alors que Scott, promenait son gland turgescent dans son étroite fentine impatiente de recevoir ce fougueux visiteur.

L'instant suprême était arrivé, celui dont il rêvait depuis si longtemps, puissant ses hanches en avant il enfourna lentement sa grosse bite palpitante dans son étroit chaton embrasé.

- Nnnnnnnnnnn...... Nnnnnnnnnnnnn... Nnnnnnnnnnnnn..... Scott...... Ohhhhhh, Scotttttttttttttttttttttttttttttt! Rugissait Carol, les yeux écarquillés alors que l'épais épieux de son jeune amant, bien plus épais que celui de son mari, élargissait impitoyablement son tunnel d'amour comme jamais il ne l'avait été jusqu'ici.

- Ohhhhhhhhhhhhhhhhh... MOn Dieuuuuuuuuuuu..... Oh, mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu...! Grognait-elle alors qu'il s'enfonçait profondément dans son avide chatoune.

Jambes nouées dans le dos de son jeune amant, doits de pieds en éventail, Carol s'arquait sur ses talons pour mieux s'offrir.

- Oh oui... Oh, ouiiiiiiiiiiii... baise-moi..... Baise-moi... Scott... baise-moi encore..... Encore...... Chantonnait-elle se pressant contre le corps de son amant.

- Oh mon Dieu... Oh, mon Dieu.... Mon Dieuuuuuuuuu..... Ahh-hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh..... Couina-t-elle en jouissant alors que la bite experte coulissait vigoureusement dans sa chatoune em-brasée.

Frissonnante, tremblant de façon incontrôlable alors que le plus intense orgasme qu'elle ait jamais éprouvé déferlait dans tout son corps, un véritable feu d'artifice fusait sous ses paupières éblouies.

Bras et jambes noués dans son dos elle le sentait continuer à la pilonner de son épaisse virilité, une vague de culpabilité courut dans son esprit en l'entendant clamer :

- Madame Hastings... Madame Hastingssssss.... Je jouis madame Hastingsssssssss...... Ah, je jouissssss! .... Serrez-moi dans vos bras! ...... Serrez-moi fort! ..... Ahhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! ....

Carol qui flottait dans un délire de pure extase, submergée par un orgasme fracassant juste la seconde d'avant senti une vague de culpabilité courir dans son corps frémissant en entendant son ex-élève l'appeler par son nom marital en plein coït.

Se figeant instantanément bras et jambes toujours noués dans le dos de son jeune amant, seule une part de son corps vibrait encore sous son assaut à cet instant..... C'est alors que sa bite tressautante vomit un flot de sperme chaud dans son utérus fertile.

Carol était écrasée de culpabilité, elle réalisait à cet instant :

- Of, mon Dieu... Qu'ai-je fait? ..... J'ai trompé mon mari! .... Et un jeune voisin! ..... Un ancien élève! ....

Elle frissonnait en sentant la crème épaisse de son jeune amant lui remplir l'utérus, elle se lamenta alors :

- Oh mon Dieu... Et s'il m'avait engrossée! ....

Elle frémit d'horreur et de culpabilité mêlés alors que Scott crachait ses derniers jets de foutre au cœur de sa féminité embrasée, à sa grande honte son corps continuait à répondre à ses assauts, trayant quasiment le gros pénis de son amant pour mieux l'assécher.

Quelques instants plus tard, Carol gisait étendue sur le dos étreignant toujours le corps de séduisant jeune amant qui s'était effondré sur elle, elle flottait dans un mode féerique d'extase.

Son corps musclé allongé sur elle, sa pine vibrante toujours imbriquée dans sa cramouille, Carol se demandait si le cas échéant, elle garderait le fruit de son ancien élève.

La virilité de son jeune amant qui venait de lui donner tant de plaisir était toujours enfoncée en elle, mais maintenant cela lui causait surtout une énorme culpabilité et une forte angoisse de l'avenir.

Engoncé dans le fond de son van, Nate Manning épiait les vitres teintées de la chambre des eux amant son appareil photo en main.

Une fois son service terminé, il s'était rué chez lui pour y prendre son appareil photo et emprunter la camionnette de son frère, puis il était retourné à l'hôtel et avait garé le véhicule assez près de celui de Scott Berger.

Il s'était pressé de revenir à l'hôtel, il ne voulait surtout pas manquer cette fabuleuse opportunité, jamais il n'aurait même envisagé que la ravissante madame Hastings puisse tromper son vieux mari, jamais il n'aurait espéré même dans ses rêves les plus fous être le témoin de son aventure.

Ravis de voir que le véhicule de Scott se trouvait toujours à la même place à son retour, Il sourit se promettant :

- Oh ma chérie, bientôt ce sera pour mieux m'accueillir que tu écarteras tes jolies cuisses en grand! ... Bordel tu me semblais si jolie lorsque je te voyais assis à ton bureau! ..... Très bientôt tu me fourniras une formidable vue de ton corps nu étalé sur ton bureau! .....

Sachant que l'adorable prof était mariée et supposait-il heureuse en mariage, Nate soupçonnait qu'elle ne voulait surtout pas que quiconque la voit quitter cet hôtel de passe de ce fait il pensait que, profitant de l'obscurité, elle ne partirait qu'à la nuit tombée.

En ouvrant la porte de la chambre, Carol fouilla anxieusement l'obscurité de ses yeux perçants, elle retenait des larmes de honte alors que son corps tremblait de culpabilité autant que de nervosité.

Elle n'espérait qu'une chose, que personne ne la voie sortir de cette chambre d'hôtel au bras de son ancien élève, si cela se savait, la rumeur s'en répandrait comme une traînée de feu dans leur communauté banlieusarde.

Agrippant le col de sa veste, elle se sentait nue en quittant cette chambre d'hôtel où elle venait de violer ses vœux de mariage, elle était grandement soulagée de ne voir personne traîner dans le parking.

Elle suivit Scott qui regagnait son véhicule et lui ouvrit galamment la porte de passager.

Carol poussa un gros soupir de soulagement en constatant que personne ne zonait dans le coin, espérant que cela continue jusqu'au moment où ils quitteraient ce maudit parking.

Elle était loin de se douter qu'à la seconde même où elle avait ouvert la porte de la chambre d'hôtel, une caméra digitale capturait et enregistrait sa mine coupable.

Sur le chemin du retour, le cœur battant la chamade, sa petite culotte trempée de cyprine et de foutre mêlés s'écoulant de sa chatte, Carol serrait étroitement ses cuisses l'une contre l'autre pour tenter de souiller encore plus sa petite culotte craignant si elle desserrait les cuisses qu'un flot de foutre s'échappe de sa cramouille engorgée.

Elle ne parvenait pas à croire à ce qui venait de se passer ces cinq dernières heures.

L'endurance de son jeune amant paraissait incroyable, elle se remémorait avec émotion cette rapidité avec laquelle il avait retrouvé toute sa vigueur entamant une nouvelle séance amoureuse qui avait débouché sur un nombre impensable d'orgasmes.

Puis plus tard, il avait remis une troisième fois le couvert et cette fois il avait totalement vidé ses couilles, épuisant ses moindres ressources lorsqu'il s'était retiré de sa chatoune lasse de plaisir.

Vers quatre heures lorsqu'il la déposa dans l'allée de leur garage, Carol sauta hors de son véhicule avant que son jeune amoureux ait le temps de venir lui ouvrir la portière et se rua vers la porte de son pavillon.

Elle avait eu peur qu'il l'escorte jusqu'à la porte de sa maison, elle savait qu'elle n'aurait pas été capable de l'arrêter dans son élan de la prendre dans son lit conjugal comme il l'espérait tant.

Une fois bien à l'abri chez elle, Carol se précipita dans la sale de bain et paniquée se rendit compte qu'elle avait oublié de racheter un flacon de douche vaginal la dernière qu'elle s'en était servie.

La voiture était dans le garage, l'allée du garage sous la neige, elle n'avait aucun moyen de se rendre en ville acheter cette protection dont elle avait tant besoin.

Elle réalisa alors que la pharmacie la plus proche se trouvait à environ deux kilomètres, et que de toute manière elle devait être fermée en cette période de fête.

Recroquevillée en position fœtale dans son lit, elle ne parvenait pas à effacer l'image de son jeune amant qu'elle avait en tête, elle se demandait qu'elles seraient les conséquences de son imprévoyance alors que sa semence fertile travaillait ses ovaires.

Plus tard dans la journée, cet après-midi de Noël, Carol ouvrit le luxueux paquet cadeau de son mari.

A la vue du collier en diamants et des boucles d'oreilles coordonnées elle lui donna un tendre baiser en s'efforçant de retenir les grosses larmes qui ruisselaient sur ses joues.

Son mari qui prit ses pleurs pour des larmes de joie l'enlaça et l'embrassa fiévreusement alors qu'elle essuyait ses larmes..... Ses larmes de culpabilité et de honte!

Etreignant son époux, elle se sentait si honteuse de savoir sa chatoune tapissée par la semence de son jeune voisin.

Six jours plus tard, à la veille du nouvel an, Carol hésitait à se rendre chez les Berger pour leur souhaiter une heureuse nouvelle année alors que son mari travaillait avec l'équipe de nuit de l'hôtel.

Mais c'était la tradition que de se rendre chez ses voisins, elle n'avait aucun moyen de se défiler sans éveiller les soupçons.

Elle savait que Scott devait être là, elle ne pouvait empêcher son cœur de battre la chamade à l'idée de le revoir si tôt, d'autant plus qu'elle n'avait pas répondu à ses nombreux coups de fil en identifiant son numéro d'appel.

Comme la neige avait fondu et la température était remontée, elle avait enfilé une élégante robe et des hauts talons. , elle se contenta d'enfiler u chandail pour se rendre chez les Berger.

Elle se tenait devant la maison des Berger se refusant à offrir à Scott l'opportunité de se serrer contre elle alors qu'elle avait pensé à lui toute la nuit.

Lorsqu'elle repartit, ayant rempli ses obligations de bon voisinage, Carol frémit en entendant Scott dire à ses parents :

- Je vais faire un tour! ... J'ai rendez-vous avec Jimmy Norton, et il doit déjà m'attendre! .....

Lorsque ses voisins rentrèrent chez eux, sa visite faite aux Berger et aux Norton ses voisins de l'autre coté de sa maison, elle prit le chemin du retour; Scott lui emboîta le pas.

A mi-chemin de sa maison elle annonça à Scott

- Je peux rentrer seule..... Prends du bon temps avec tes copains Scott! .....

Carol frémit nerveusement alors que Scott dédaignant son conseil continuait à l'accompagner, posa sa main sur sa taille la coupant :

- Ils sont tous chez Brian, et je leur ai dit de ne pas compter sur moi! ....

Sur son porche d'entrée, la clef insérée dans la serrure, elle se tourna vers son séduisant voisin et lui opposa :

- Scott..... Ce que... Ce que nous avons fait..... Etait mal..... Nous Ne pouvons pas... Je ne peux pas! ....

Mais alors qu'elle tournait la clef la main de Scott toujours posée sur ses hanches, elle se retrouva bien vite dans son hall d'entrée en compagnie de son si séduisant jeune voisin, la porte refermée dans son dos.

- Scott..... Je t'en prieeeeeeeee...... Nous! .....

Ne put-elle que soupirer alors que ses lèvres effleuraient déjà les siennes.

Le chandail repoussé de ses épaules tomba sur ses bras, et rapidement cette pièce de vêtement se retrouva sur la hotte du foyer.

Elle soupirait des sons incompréhensibles alors qu'il la débarrassait de son gilet.

Etreinte fermement par Scott, ses bras autour de son cou, Carol ouvrait ses lèvres pour accueillir sa langue qui fouillait sa bouche avec impatience, alors qu'il l'entraînait au travers du salon et montait les escalier menant à sa chambre.

Le lendemain matin, c'est le bruit de son mari rentrant au foyer et gagnant la salle de bain pour prendre une douche qui la réveilla, Carol était paniquée en se rappelant que sa robe et son chandail se trouvaient au salon sur la hotte du foyer.

Comme son mari était entré par le garage après y avoir rangé son 4x4 il n'était pas passé devant l'âtre, Elle réalisa alors qu'elle ferait mieux de se ruer au rez-de-chaussée pour effacer ses traces suspectes!

Yeux écarquillés, Carol laissa échapper un soupir de soulagement à la vue de sa robe noire et son chandail pliés soigneusement et ranges avec ses haut-talons noirs près sur une chaise le long de sa commode.

Soulagée, elle comprit que Scott s'était chargé de faire disparaître les traces trop évidentes de leur forfait.

Puis elle chercha des yeux son soutien-gorge et sa petite culotte mais ne les retrouva pas, elle réalisa alors qu'il avait du s'en emparer comme de trophées.

Elle se releva prestement et se rua sur sa penderie pour saisir une petite culotte à enfiler sous son pyjama.

De retour dans son lit, l'image de son jeune amant lui remplit à nouveau la tête alors qu'elle revivait chaque seconde depuis leur entrée dans la maison.

Se pourléchant ses lèvres gonflées, Carol se remémorait sa deuxième leçon de maths cette semaine, cette fois elle avait tenu à lui démontrer qu'elle maîtrisait parfaitement le chiffre "69".

Et comme la première fois ce 69 avait été suivi d'une longue séance d'amour fou, mais cette fois dans son lit conjugal.

Les coups de langue sur son clito l'avait rendue folle de désir, elle avait alors lapé son méat jusqu'à l'instant où il déversa ses premiers jets de foutre crémeux dans sa bouche accueillante.

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