Un délicieux cadeau

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Il offre une femme comme cadeau d'anniversaire.
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romane
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Etant toujours à la recherche de nouvelles expériences sexuelles, j'avais passé un jour, dans un journal, une annonce disant que je recherchais un couple afin de partager des moments amicaux et plus si possible. Je laissais une boite au lettre où me répondre.

Je reçus un nombre considérable de courier.

Je fis d'abord un tri sur ceux que je sentais être des zozos. J'appelais ensuite ceux qui me semblaient plus constructif, rejetais les rigolos et classais ceux que je considérais comme potentiellement possible.

Puis vint la rencontre et là d'autre chose surgirent : la compagne pas au courant du tout et plutôt contre.

Alors que je me sentais de plus en plus découragée, je tombais sur le couple qui me semblait idéale. J'appelais et tombais sur le mari. On fixa un rendez-vous dans un restaurant le midi suivant. Je sentais encore la femme pas du tout au courant du fantasme de son mari.

Dommage parce qu'il était assez mignon. Et pourtant, je sentais que cela allait coller cette fois.

Forte de mes échecs passés, je lui demandais si sa femme était au courant de ce que je recherchais. Il me dit, en souriant, que c'était elle qui avait trouvé l'annonce et qui lui en avait parlé. Ils avaient alors discuté longuement sur le fait que la source qui animait leur passion c'était légèrement tarie. Elle pensait que c'était l'occasion de rencontrer une nouvelle personne qui pourrait, peut-être, redonner vigueur à tout cela.

Il lui promit de réfléchir à sa demande. Depuis, chaque jour, elle lui demandais le résultat de ses réflexions. Il lui finit par dire que cela ne l'emballait pas du tout et elle se renfrogna. Elle l'interdit de la toucher pendant une semaine. Mais il avait eu une idée derrière la tête quand il lui avait répondu.

Son anniversaire approchait et il avait décidé de me contacter pour lui en faire la surprise.

Je trouvais cela très touchant. Je lui demandais de voir la personne pour qui j'étais destinée. On convint d'un rendez-vous dans un restaurant afin que je puisse voir sa femme. C'était une blonde magnifique, comme je les aimes. Je lui dis que cela me tentait. Il fut fou de joie. On échangea nos portables et on se quitta, s'embrassant sur la joue comme deux vieux amis.

Les quinze jours qui nous séparaient de la fête prévu pour l'anniversaire, fut l'occasion de préparer notre stratagème. On décida que je me présenterais comme une amie de travail en peine de cœur d'ou l'idée de mon invitation pour m'égayer un peu. Je laissais un sac dans la voiture un bustier clouté, un short en skaï et de longue cuissarde noir.

Elle m'accueillit à bras ouvert et s'occupa admirablement de moi. Elle portait un ravissant petit ensemble noir et les talons aiguilles qu'elle portait, lui donnait une superbe cambrure et des jambes magnifiques. Elle faisait tout pour que je ne m'ennuis pas.

Elle ouvrit ces cadeaux mais sembla déçu de celui de son mari. Il est vrai que la bague faisait vraiment pacotille. Elle ne fit pas scandale et la soirée continua.

Vers une heure du matin je décidais d'aller me changer. Il ne restais plus qu'un couple et ils en profitèrent de mon départ pour y aller aussi. Il m'avait donné un écouteur sans fil de tel sorte que j'entendais tout ce qui se passait au salon.

Je récupérais mon sac et me changeais dans l'escalier.

- La soirée fut géniale non? »

- Très sympa. Au fait, j'ai beaucoup aimé ta collègue. Je l'ai trouvé très sympathique. »

- On l'a réinvitera si tu veux? »

- Ho oui, je le veux bien. Comment un mec peut il quitter une si belle femme? »

- Eh oui, c'est à n'y rien comprendre. Au fait, tu es contente de tes cadeaux.»

Cela devient intéressant pour moi.

- Super, je suis très contente. Par contre... »

- Par contre? »

- Tu ne t'es pas foulé cette fois! C'est quoi cette bague ridicule? »

Je me plaçais devant la porte de l'entrée.

- C'est que j'avais un autre cadeau, plus intime celui-là. »

Je les entendis s'embrasser.

- Hummm... J'aime quand tu ne portes pas de culotte. » dit-il.

- Un autre cadeau? Il est ici? »

- Oui! »

- Ca m'excite les surprises! Tu le sais bien? »

- Oui, je le sais. »

- Il est où? »

- Attends, je dois faire un truc à la cuisine. »

- Il est où????? »

Je sonnais alors à la porte.

- Tu vas ouvrir chérie, j'ai les bras occupés. » dit il.

- Bien, mais tu ne paies rien pour attendre. »

Elle ouvrit la porte et me découvrit vêtu d'un long manteau, surprise.

- Tiens! On parlait justement de vous. » dit elle. « Vous avez oublié quelque chose? »

- Oui, j'ai oublié quelque chose. »

- Ne restez pas sur le palier. Entrez! »

Elle s'effaça pour me laisser passer et ferma la porte derrière moi. Je m'approchais de son mari et arrivée à sa hauteur je me tournais afin de faire face à sa femme.

- Alors, qu'avez vous oublié? » dit elle.

- Le cadeau. »

- Le cadeau? »

Je défis la ceinture de mon manteau et l'ouvris doucement.

- Oui. Le cadeau de votre mari. »

- Le cadeau de mon mari? » dit elle alors qu'elle découvrait ma tenu provocante. « Mais vous ne portiez pas cela tout à l'heure? »

- Non. Je me suis changée pour vous. »

- Pour moi! »

Il me débarrassa de mon manteau et me prit la main. On s'approcha de sa femme, main dans la main. Elle ne savait plus quoi penser.

- Oui, chérie, c'est ton cadeau. »

- Ton amie, c'est mon cadeau? »

Je m'approchais d'elle et l'embrassais doucement sur la bouche. Elle ne recula pas.

- Je ne connais votre mari que depuis deux semaines. Nous ne sommes pas du tout collègues. Nous sommes plutôt des complices.» Je sortis d'entre mes seins l'annonce que j'avais passé dans le journal. « Tenez, lisez! Cela vous éclairera. »

Elle commença à lire le bout de papier et je vis dans ses yeux bleue que tout s'éclairait d'un coup. Je vis une joie immense l'envahir. Son mari avait marqué un grand point.

Je pris ses mains et l'embrassais à nouveau. Cette fois elle se détendis et répondis à mon baiser.

- Votre cadeau vous plait-il? » lui demandais je en tournant sur moi même.

Son sourire fut rayonnant.

- Beaucoup! Toi je t'aurais.» dit elle à son mari.

Je l'emmenais lentement vers le canapé et l'installais confortablement. Je caressais doucement le haut de sa cuisse.

- Détendez-vous! Je m'occupe de tout. Vous êtes la reine de la nuit.»

Elle gloussa.

Le baiser cette fois là fut plus mouillé, plus passionné. Elle s'abandonnait à moi.

Je défis un à un, les boutons de sa veste qu'elle portait à même la peau et dégrafais son soutient-gorge.

Je m'attaquais alors à sa poitrine avec mes mains et ma langue. Les tétons durcirent et la belle soupira. Je jouais longuement avec eux. Je glissais une main sous sa jupe et découvris l'effet de mes caresses sur sa vulve. Elle était trempée.

Je pris un peu de sa liqueur intime et la goûtais devant ses yeux ébahit.

- Hum, c'est délicieux. »

Je la fis se lever. On retira la veste et le soutient-gorge. Pendant que je l'embrassais dans le cou, lui procurant de nombreux frissons, je fis descendre le zip de sa jupe. La jupe tomba au sol. Elle arborait un magnifique porte-jarretelles. Je m'agenouillais et embrassais tendrement ses fesses. Je me redressais pour retourner l'embrasser. Je glissais genoux entre ses cuisses et elle commença à se frotter laissant une trace humide sur ma cuissarde.

Je remarquais qu'elle ne me touchait pas mise à part la tête qu'elle tenait fermement afin que nos bouche ne se quittent pas. Je fis un effort pour me dégager de sa bouche.

- Tu peux me caresser mon amour. Mon corps n'attend que ça. »

Ces mains, enfin se posèrent sur mon corps et elle me caressa timidement.

- Je brûle. » lui dis-je. Vas voir comme je brûle. »

Sentant qu'elle n'osait pas, je pris sa main et la glissa entre mes cuisses.

- Voilà! Comme ça! Tu sens comme je brûle? »

Elle avala sa salive et hocha de la tête. On s'embrassa à nouveau. J'aimais ses baisers.

Je la fis asseoir dans le canapé. Son mari avait mis un musique très douce. Je me mis à danser et à me déshabiller. Je l'excitais verbalement. Son mari se caressait dans un fauteuil.

- Alors ma belle, le cadeau te plait toujours? Montre moi comment tu te caresses. Ton mari m'a dit que tu aimais le faire de temps en temps. »

Elle m'obéit et se caressa sans me perdre de vu.

- Ce que tu vois te plait? » luis dis-je. « Tu me plais beaucoup, tu sais. Je vais te faire jouir comme une folle. »

Je ne gardais que mes cuissardes et me collais dans ses bras. Un nouveau baiser et je descendis lentement, ne laissant pas une seule parti érogène de sa peau tranquille. Je caressais doucement son pubis. Elle soupirait de plus en plus. J'embrassais la peau tendre de son entrecuisse. J'humais déjà la fragrance de sa grotte. Lentement, je m'approchais de sa vulve. Je sentais son corps se tendre sous les assauts du plaisir. Elle gémissait beaucoup.

J'embrassais enfin son intimité. Elle se tendit brusquement. Doucement je léchais ses lèvres juteuse et glissais ensuite ma langue en elle. Je me mis à la dévorer sauvagement, buvant ses liqueurs abondante. Elle me tenait la tête afin que les soubresauts de son corps ne m'empêche pas de quitter la position.

Comme je l'avais prédis, elle jouit plusieurs fois et je buvais, avec délice, ses liqueurs.

- Stop! » cria t'elle "stop, je n'en peu plus. Je veux faire un break. »

Je quittais ma position et allais l'embrasser lui offrant ainsi le goût de son intimité.

- Ok ma belle, je te laisse en paix, mais ne te refroidit pas parce que j'ai d'autres projets... »

Je me levais et me dirigeais vers le mari qui se caressait.

- A nous deux maintenant. Je rêve de cela depuis notre première rencontre. » Je m'agenouillais et pris son pénis dans la main. Je le branlais à mon tour. « Ta femmes est prête a te recevoir et je vais m'assurer que tu l'honoreras correctement. »

Son baiser fut aussi doux que celui de sa femme. Je descendis le sucer.

Je suis très bonne à ce jeux. Je le dois à une amie Américaine. Les Américains sont très puritain en société mais dès que l'on se retrouve dans l'intimité, ils sont très chaud. La pénétration étant un sujet tabou, les filles deviennes donc des suceuses extraordinaires.

J'arrivais toujours à obtenir plus en taille. Il n'échappa pas à la règle.

Je jouais à l'amener à la limite de l'orgasme et arrêtais mon travail. C'était une véritable torture.

Je me levais et l'amenais auprès de sa femme. Je m'assis près de sa femme. Je lui pris la main.

- Viens t'allonger sur moi ma belle. »

Elle s'allongea sur moi. Je pouvais ainsi lui caresser les seins. J'écartais les cuisses de la belle.

- Allez, tu peux la baiser. Elle est prête. » dis je au mari.

Il ne se fit pas prier deux fois. Elle cria lorsqu'il la pénétra. Il la baisa vigoureusement. Ils jouirent tous les deux. Elle finit par avoir son orgasme.

Il se retira d'elle et alla récupérer dans le fauteuil. Je poussais sa femme sur le côté, anéanti. Je rejoignis le mari et mis tout en œuvre pour lui redonner de la vigueur. Une fois son pénis bien dressé, je m'empalais dessus. Je me mis à le chevaucher comme une furie. Le résultat ne tarda pas à venir. Un liquide chaud se répandit dans mes chairs. J'eus à mon tour un orgasme.

Je rassemblais mes affaires et pris congé du couple. Elle m'offrit le baiser le plus passionné qu'il soit.

- On se reverra? » demanda t'elle.

- Et comment, je n'ai pas finis avec vous deux. Ce n'est qu'un début. Joyeux anniversaire mon amour. »

Je l'embrassais une dernière fois de la soirée et partis.

******

Cher lecteur, chère lectrice.

Je vous pris de ne pas suivre l'exemple que je donne dans cette histoire. Oui, je parle d'un rapport sexuel non protégé avec un homme inconnu.

N'oubliez pas d'utiliser un préservatif.

Sortez couvert, c'est très important.

Merci

Romane

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AnonymousAnonymeil y a plus de 9 ans

Il existe des correcteurs d'orthographe

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