Traquée par Sammy le malade- Rachel

BÊTA PUBLIQUE

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Utilisant son portable il s'astreignait à prendre un ton professionnel pour demander :

-Oh oui, mademoiselle Rachel Wilson je vous prie...

-Je suis désolée, mais madame Wilson est absente, elle est en audit actuellement... Je peux cependant prendre un message et lui communiquer dès son retour... Lui fut-il répondu fort courtoisement.

-Et sauriez-vous quand elle sera de retour? Insista-t-il aimablement.

-Elle devrait être là mercredi en début d'après-midi au plus tôt... C'était justement ma réponse qu'il escomptait.

Comme le chemin du retour devait durer à peu prêt 2 heures et demi, comme le ticket de parking indiquait qu'elle pouvait rester garée jusqu'à midi, il comprit immédiatement qu'elle se mettrait en route en début de matinée.

-Je dois établir une excellente stratégie! J'en ai vraiment besoin! Réfléchis Sammy! Réfléchis au meilleur moyen de déguster ce ravissant sushi la nuit prochaine! S'aiguillonnait-il.

-Ouais, c'est tout ce dont j'ai besoin! Se félicitait-il alors qu'il entrevoyait la solution.

-Je vais acheter des fleurs et je les lui ferai livrer de la part du bureau de réception dès son retour.

Il savait qu'il devrait laisser le bouquet au bureau d'accueil, un garçon d'étage se chargerait de le livrer à l'accorte jeune femme.

S'il jouait bien ses atouts il parviendrait à entendre dans quelle chambre le garçon d'étage monterait livrer son cadeau.

Cette première nuit de séparation, le jeune couple passa une bonne heure au téléphone se disant réciproquement à quel point ils se manquaient tout en s'assurant l'un et l'autre de leur profond amour.

Lorsqu'ils se préparèrent à raccrocher Jim Wilson taquina son ultra conservatrice femme en déclarant :

-Si ça tombe, tu as rendez-vous avec un amant maintenant!

Rachel gloussa sachant que son mari la taquinait et elle décida de répondre à sa provocation en lui répondant :

-Il se tient à mon coté et me fait signe de le rejoindre dans le lit qu'on puisse s'offrir une somptueuse séance de baise!

Sur ces mots elle éloigna le téléphone alors qu'elle criait pour que son mari puisse bien l'entendre :

-Attends mon chéri... Sois patient... Je termine la conversation avec mon mari et je suis toute à toi!

A coup sur Jim l'avait entendu, il en rit et, lorsque Rachel rapprocha le téléphone de son visage, il s'esclaffa :

-Bon, je ferai mieux de te laisser que tu pisses t'occuper de ton amant!

Ils gloussèrent tous deux avant de réaffirmer leur amour l'un pour l'autre une fois encore avant de raccrocher.

Séparé par des centaines de kilomètres, les deux époux s'étendirent dans leurs lits en pensant l'un à l'autre, le mari pensant qu'il se réjouirait si elle prolongeait son petit jeu provocant.

Rachel aussi avait aimé taquiner son mari de cette façon aguichante, elle se demandait jusqu'à quel point elle pourrait pousser la plaisanterie puisque cela semblait vraiment exciter Jim.

La nuit suivante, lorsque l'appel attendu résonna dans sa chambre, Rachel tremblait de peur d'entendre la voix de son mari résonner dans l'écouteur.

-Chéri? Est-ce toi? L'interrogea-t-il dans un murmure terrifié.

La lame affûtée posée sur son cou, son agresseur l'avait menacée de la tuer si elle ne suivait pas ses instructions à la lettre, Rachel avait envie de hurler mais elle était mortellement affolée par ce qui lui adviendrait si elle cédait à la tentation d'appeler à l'aide.

De grosses larmes ruisselant sur son visage elle était ligotée assise sur le fauteuil placé auprès de son lit.

Bien plus tôt, après avoir complété son questionnaire d'audit, de retour à son hôtel elle n'était à peine rentrée dans sa chambre lorsque la sonnette résonna et le garçon d'étage annonça :

-Des fleurs d'un certain Jim Wilson madame!

Elle ouvrit sa porte et accepta le magnifique bouquet, elle souriait aux anges à la pensée que son tendre époux avait pensé à lui envoyer ces fleurs.

Elle était sur le point de décrocher le téléphone pour appeler Jim quand résonna un autre coup de sonnette.

Reposant le téléphone elle se dirigea vers la porte et demanda :

-Oui...

-Une boite de friandises que vous envoie un certain Jim Wilson madame... S'entendit-elle répondre.

Mais en fait, il ne s'agissait pas d'une boite de friandise même s'il se tenait bien un garçon d'étage sur le seuil de la chambre.

Se retournant pour fuir son assaillant encapuchonné qui brandissait un poignard effilé, Rachel entendit la porte de sa chambre se refermer en claquant, elle tressaillit de terreur alors que la lame acérée se posait sur son cou.

Pleurnichant tout en sanglotant alors qu'elle reculait dans la chambre elle suppliait son agresseur :

-Je vous en prie... S'il vous plait... S'il vous plait, ne me faites pas de mal!

Cognant contre le lit elle tomba en arrière sur le lit, Rachel était paniquée lorsque son agresseur arracha son chemisier blanc de la ceinture de sa jupe glissant sa main calleuse à l'intérieur pour palper ses nibards au travers de son soutien-gorge en dentelle alors qu'il commentait :

-Délicieux, tes nibards sont vraiment sensationnels!

Contrainte d'informer son assaillant que son époux devait l'appeler à 20 h, Rachel y avait gagné un répit momentané lorsque que son assaillant l'avait menacée, s'il ne devait pas l'appeler, de la violer à l'instant même.

Elle ne voulait pas devenir une victime de viol et lui avait lâché cette information, depuis cet instant il la caressait intimement au travers de ses vêtements.

Rachel commençait à se demander :

-Pourquoi m'a-t-il demandé si Jim devait m'appeler ce soir?

Réalisant que ce sale bâtard était sur le point d'enlever son pantalon pour la violer lorsqu'il s'était brutalement interrompu en l'entendant avouer que Jim l'appellerait vers 20 heures, ses yeux s'écarquillèrent d'horreur en devinant :

-Oh, ce malade a décidé de me violer pendant l'appel de Jim!

Une heure avait passé, il serait 20 heures dans une autre, Rachel constatait que son assaillant commençait à s'impatienter alors qu'il se frottait de plus en plus souvent contre ses charmes.

Un horrible dilemme la frappa soudain alors que le sale pervers baissait la fermeture éclaire de sa braguette extirpant sa monstruosité couleur ébène avant de s'esclaffer :

-Il faut que tu fasses quelque chose pour e détendre!

A sa grande horreur il lui précisa :

-Et si tu refermais tes lèvres pulpeuses sur ma queue?

Elle secouait frénétiquement la tête en signe de dénégation, en réponse à cette vile suggestion.

-Non? Tu ne veux pas goûter à mon esquimau crémeux? Et pourquoi n'en veux-tu pas? Ta petite langue m'amènerait à te remplir la bouche de ma bonne potion crémeuse en un rien de temps! Se moquait son pervers assaillant en lui maintenant la tête tournée vers lui.

Puis le sale bâtard s'assit sur le lit tout près d'elle, posant la main sur ses cuisses tandis qu'elle frissonnait de révulsion, il lui intima alors :

-J'ai envie de gicler! Mais je ne veux pas d'une pipe pour l'instant, tu vas me faire jouir entre tes plantes de pied!

Sa main calleuse remonta alors sur sa cuisse jusqu'à atteindre la ceinture de ses collants.

Alors qu'elle se débattait les deux mains de ce satané salopard enfouies sous sa jupe noire cherchant à descendre son collant il lui donna le choix :

-Ou tu me laisses t'enlever ces saloperies de collants pour que tu me procures du plaisir avec la plante de tes pieds, ou tu me suces la bite salope! Que choisis-tu?

Ce choix l'amena immédiatement à cesser de résister pour empêcher ce sale bâtard de lui descendre son collant sur les chevilles.

-C'est ça chérie lève tes fesses pour m'aider à t'ôter ces saletés! La remercia-t-il en lui descendant brutalement son collant.

Rachel frissonna et se tourna alors que la main de son assaillant s'attardait à caresser la chair tendre de la face interne de ses cuisses.

Elle avait une forte envie de resserrer étroitement ses cuisses mais elle s'en retenait effrayée par les éventuelles conséquences qui en résulteraient, elle tremblait comme une feuille le collant descendu sur ses genoux.

-C'est bon chérie... Et maintenant lève tes jolies jambes et pose les sur mes genoux que je puisse terminer de te dépouiller de ces saloperies de collants.

Elle leva ses jambes après moult hésitations, les mains calleuses lui empoignèrent les mollets et la dépouillèrent de ses hauts talons.

Le collant descendu sur les chevilles, Rachel frémit à nouveau, alors qu'il le lui enlevait avant de palper d'une main rude la plante de ses pieds.

-Ah chérie, tu as vraiment de très jolis orteils, ils sont si minutieusement vernis! La félicita-t-il alors qu'elle gardait la tête tournée, les yeux fermés pour ne pas voir le plaisir que prenait cet infâme salaud à la soumettre à ses volontés.

Elle voulait ignorer son plaisir grandissant mais son pied posé sur sa bite, elle ne pouvait que constater l'effet grandissant de sa caresse involontaire.

Il empoigna alors sa cheville droite et la força à caresser la bosse de son pantalon de la plante de son pied, au travers de son jean.

Rachel tremblait de peur, elle ne voulait surtout pas stimuler son assaillant, mais elle avait si peur qu'il l'oblige à exécuter l'autre alternative... Elle craignait tant de devoir emboucher sa grosse bite noire comme il l'en avait menacée!

Zipppppppp! Ce son strident lui provoqua un long frémissement tout le long de la colonne vertébrale, elle réalisait qu'il venait de baisser la braguette de son pantalon.

La tête toujours tournée, les yeux clos, lorsqu'elle sentit un objet charnu aller et venir entre ses plantes pieds.

-Ahhhhh, bordel... Tes pieds sont si soyeux! Oh chérieeeeeeeeeee... L'entendit-elle grommeler sourdement.

Comme elle s'accroupissait raidissant ses orteils de dégoût, les gémissements de ce pervers entraînaient d'involontaires réflexes de sa part alors qu'il gémissait :

-Oh oui chérie... C'est comme ça que j'aime te voir utiliser tes pieds!

Rachel frémit d'horreur une fois de plus, les mains calleuses tenaient fermement ses chevilles alors que sa grosse bite noire coulissait entre ses plantes de pieds.

Sammy le malade était ravi à la vue des grosses larmes ruisselant le long de ses joues alors que sa bite raidissait entre ses plantes des pieds.

Il allait mâter cette chienne étape par étape, et cela le ravissait à l'avance.

Allant et venant entre ses plantes de pieds, il se branlait avec de longs et amples mouvements, il commença à accroître le rythme en sentant qu'il n'allait plus tarder à gicler.

Soudain son corps se tétanisa alors que son chibre crachait giclée après giclée son foutre crémeux sur ses orteils frémissants.

Grimaçant de dégoût, Rachel était horrifiée de cette façon dont il s'était soulagé sur ses orteils, elle pensait néanmoins qu'un peu de savon et d'eau fraîche suffirait à laver les traces cette révoltante expérience.

Alors que son assaillant se relevait, Rachel découvrait maintenant ses pieds et ses orteils couverts de foutre gluant.

Frottant ses pieds dans l'épaisse moquette de la chambre d'hôtel elle tenta de les curer de toute cette ordure.

Mais ses pieds demeuraient gluants et plus spécialement entre les orteils, la moquette ne pénétrant pas entre ses orteils.

Son agresseur momentanément rassasié de ses charmes, alors qu'elle reprenait péniblement haleine, elle tentait de réfléchir, elle espérait secrètement que satisfait de sa prestation il l'abandonnerait sans la violer.

Assise sur son lit, capable de raisonner à nouveau, en se rappelant que ce monstre avait programmé de la violenter dès son entrée lorsqu'il lui avait demandé si son mari devait lui passer un coup de fil ce soir, elle frémit en évoquant l'infâme possibilité que ce malade veuille la posséder alors qu'elle discuterait avec son époux.

-Oh mon Dieu... Il est assez malade pour vouloir m'imposer cela! C'est un dément... Un animal... Il monstrueusement dépravé! Tremblait-elle paniquée.

Elle essayait de se convaincre que personne ne pouvait être assez pervers pour agir aussi ignoblement, mais elle ne pouvait esquiver l'idée qu'il n'avait interrompu sa séance de viol que pour mieux la reprendre ultérieurement.

-Me menacera-t-il de sa lame de couteau posée sur la gorge lorsque je discuterai avec Jim? Me tuera-t-il si je m'avise de crier à l'aide de façon à ce qu'on se précipite dans ma chambre pour me délivrer? Se demandait Rachel terrorisée.

-Que ferai-je... S'il me maltraite alors que Jim discutera avec moi? Serai-je capable de retenir mes cris et mes gestes inconsidérés à cet instant! Que se passera-t-il si... S'il me viole en m'obligeant à tenir une conversation ordinaire avec Jim tandis qu'il me labourera à grands coups de braquemart... Et si je parviens à m'en sortir, cela mettra-t-il fin à cette odieuse agression, parviendrai-je à regarder Jim dans les yeux après cette épreuve?

Ces quelques questions traversaient son esprit horrifié.

-Mais si je n'y parviens pas, si Jim comprend que l'on me violente, et même que l'on me tue alors qu'il discute avec moi? Que se passerait-il alors?

Soudainement une pensée s'imposa à elle, nombre de possibilités de tenir Jim dans la totale ignorance de son épreuve, sans risquer d'y laisser sa peau.

-Mais pourrai-je survivre au fait de parler avec mon mari tandis que ce sale bâtard me violenterait! Se demandait Rachel éperdue.

-Oh mon Dieu, faite qu'il se contente de cette ignoble éjaculation sur mes orteils. Suppliait-elle mais elle se doutait que c'était faire preuve d'un optimisme forcené que de maintenir cet espoir insensé, d'autant plus que déjà son assaillant la rejoignait promenant ses mains calleuses sur ses genoux et ses cuisses.

L'épreuve de Rachel reprit immédiatement à cet instant ou ses larges mains calleuses la tiraient en avant l'amenant tout au bord de sa chaise.

Il écarta ses cuisses à deux mains en s'agenouillant au sol entre ses cuisses.

Levant les yeux sur son agresseur elle trembla de terreur en voyant que ce salopard agitait vicieusement sa langue dans les airs les yeux fixés sur ses cuisses entrouvertes, il empoigna ses cuisses et les posa sur épaules.

Le bas de sa jupe remonta à sa taille révélant son intimité dévoilée aux yeux du bâtard qui la convoitait avec concupiscence, elle détourna la tête et sanglota de désespoir.

-Nonnnnnnnnnnn... Nonnnnnnnnnnnn... Nonnnnnnnnnn... Arrêtezzzzzzzzzzzzz... Arrêtez... Oh mon Dieuuuuuuuuuuu... Nonnnnnnnnnn...

Rachel hurla lorsque le pervers bâtard plaqua sa bouche contre sa féminité plongeant sa longue langue dans les replis de sa chatoune.

Jamais de sa vie elle n'avait pensé qu'un homme pouvait se comporter en animal dépravé et accomplisse des actes aussi impudiques.

Et voila que les bruyants lapements émanant de son entrecuisse lui laissait quasiment croire qu'il avait décidé de la déguster toute vivante.

Secouant sa tête de droite à gauche elle essayait désespérément de ne pas répondre à ces assauts, mais la longue langue la conduisait pas à pas aux ultimes limites de son excitation.

Dédaignant sa volonté le corps de Rachel vacillait et se tétanisa brutalement.

Elle arqua ses hanches sous les délicieuses caresses linguales. Inconsciemment Rachel tendit ses bras et les posa sur les poignets de son suborneur lui maintenant la tête pressée entre ses cuisses.

-Ooooooooooooh... Ooooooooohhhh... Ahhhhhhhhhhhhhhh... Ah... Ahhhhhhhh... Pantelait-elle le corps secoué de sursauts convulsifs alors qu'un terrifiant orgasme la submergeait toute, en fait le plus intense qu'elle ait expérimenté de toute sa vie!

Des spasmes saccadés la secouaient de la tête aux pieds alors qu'elle fondait sous la langue de son assaillant.

Elle gisait maintenant mollement affaissée sur l'un des bras de son fauteuil, toute étourdie d'avoir succombé à un si violent orgasme, Sammy s'empara de la boite de friandises qui lui avait permis de pénétrer dans la chambre.

Il s'y trouvait deux mini-caméras qu'il s'était procuré dans un magasin spécialisé dans l'espionnage industriel la veille de son voyage.

Il avait programmé d'enregistrer leur performance dès que le téléphone sonnerait relayant un coup de fil de son mari, aussi était-il un peu nerveux ne sachant comment réagirait sa proie lorsque ce moment serait venu.

Crierait-elle le moment venu? Ou feindrait-elle un comportement normal quand son époux appellerait? Se demandait Sammy fiévreusement.

Il ne voulait pas mettre son plan en oeuvre si elle révélait sa présence, c'est pourquoi il l'avait menacé suffisamment pour lui faire craindre des représailles si révélait la vérité.

Mais il était déterminé à la baiser tandis qu'elle discuterait avec son mari à l'autre bout du fil.

Si elle dévoilait sa présence dans la chambre, Sammy était déterminé à envoyer à son mari une copie du CD qu'il allait enregistrer pour lui montrer ce qu'il avait manqué.

Mais si elle se comportait normalement, la menacer d'envoyer une copie à son mari serait le meilleur moyen d'asservir cette ravissante jeune femme qui devrait alors le combler de félicités de temps à autre, à moins qu'il ne planifie de la soumettre à ses amis et connaissance, et pourquoi pas à la prostituer pour son usage personnel.

Comme elle reprenait le contrôle de ses sens, honteuse comme jamais d'avoir laissé son corps la trahir aussi misérablement en participant à cet acte révoltant qu'il lui avait imposé, elle réalisa alors que son mari devait lui téléphoner dans moins de 20 minutes maintenant.

Qu'elle lui semblerait longue ces 20 minutes pendant lesquelles elle devrait décider de son comportement à venir.

Bien qu'elle y réfléchisse, elle ne parvenait pas à éclaircir sa situation et encore moins la façon dont elle devait se conduire, d'autant plus que ce bâtard promenait maintenant ses mains sur ses nichons au travers de ses vêtements.

Puis il glissa une main dans l'entrebâillement de son chemisier, releva ses bonnets de soutien-gorge pour les dénuder et s'emparer rudement d'un de ses tétons dressés.

Dénudée et jetée en travers du lit, Rachel était maintenant postée à quatre pattes tentant de ramper hors du lit lorsque la sonnerie du téléphone la figea dans sa peur.

Jetant un oeil sur l'horloge murale, elle vit qu'il était exactement 20 heures, ce qui ne lui laissait aucun doute quant à l'auteur du coup de fil.

Son agresseur empoigna le téléphone et plaça le récepteur tout contre son oreille, Rachel commença :

-Hey... Hello...

-Hey chérie... T'amuses-tu bien? Prends-tu soin de ton amant? La taquina d'entrée son époux.

Rachel avala sa salive, décidée à poursuivre ce rôle q'elle s'était attribuée lors de leur dernière conversation. Elle rétorqua :

-Oh Jim... Je ne prends pas vraiment mon pied pour l'instant... Il insiste pour coucher avec moi maintenant...

-S'occupe-t-il de tes charmes actuellement? Lui demanda alors son mari.

-Oh oui! Répliqua-t-elle vivement, elle ne lui mentait d'ailleurs pas, son agresseur lui caressait les cuisses et les fesses.

-Quel endroit te caresse-t-il actuellement?

-Mes jambes... Mes cuisses et mes fesses! Et ajouta tout de suite :

-Peut-être devrions nous discuter plus tard, je suis trop occupée à cet instant chéri...

-J'ai programmé de regarder un film qui ne pas tarder à débuter... Tu n'as qu'à baguenauder avec ton amant pendant que nous discutons ma chérie! Lui conseilla-t-il croyant jouer son jeu.

Rachel répétait :

-C'est d'accord mon chéri...

-Je voulais seulement savoir si tu étais capable de discuter avec moi tandis que tu te fais baiser par ton amant! Je comprends bien que tu devras respirer de temps à autre! Lui répondit-il ironiquement.

-Hum bien, puisque tu insistes mon chéri... Répondit-elle, Jim n'en croyait pas ses oreilles d'entendre sa si conservatrice femme entrer si facilement dans son petit jeu.

-Ooooooh... L'entendit-il grommeler au bout du fil.

Pensant qu'elle l'allumait au bout du fil, il l'interrogea :