Terreur à Ténérife Ch. 03

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La fin du calvaire?
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00

Partie 3 de la série de 5 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 12/04/2007
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Chapitre 3 : la fin du calvaire?

Tout le monde sortit la camionnette, je vis alors un groupe de noirs qui nous reluquaient regardant alors que nous nous dirigions vers la hutte.

Harold dit à Jenny :

- "C'est là que travaillent les chefs! ..... Tu vas les payer pour nous laisser disposer de toi aujourd'hui... Tu vas être très gentille avec eux! ...."

Jenny hocha la tête misérablement et nous nous sommes arrêtés à la porte de la hutte. Deux hommes en sortirent, ils étaient tous deux de type espagnol et la conversation se déroula soudain en espagnol.

Nous ne parlions pas l'Espagnol, mais on était capable de reconnaître quelques mots. mais ils parlaient si vite et utilisaient tant de tournures populeuses que nous avions aucune idée de ce qu'ils se disaient.

Les deux espagnols s'approchèrent de Jenny et la toisèrent avec concu-piscence. Ils avaient tous deux une bonne quarantaine d'années, ils étaient tous deux grands musculeux et mal lavés.

Un des amis d'Harold sortit la caméra et se remit à filmer, alors qu'ils ex-ploraient avidement le corps de Jenny sous les yeux des nombreux as-sistants.

L'un des d'eux lui enleva son tee-shirt bien qu'il ne cacha pas grand chose de ses charmes.

Puis ils échangèrent quelques mots avec Harold et nous firent signe de rentrer dans la hutte.

Les deux espagnols emmenèrent Jenny vers un bureau disposé contre un mur et l'agenouillèrent face à lui. Ils se postèrent devant elle et ouvri-rent leurs pantalons et chacun à leur tour ils lui fourrèrent leurs grosses bites en bouche, et parfois jusque dans la gorge.

Après plusieurs minutes de ce régime, ils la firent relever et la couchè-rent dos sur le bureau.

L'un des deux remonta ses jambes sur son buste et entreprit de la baiser sauvagement tandis que son partenaire se dirigeait vers l'autre coté du bureau ou pendait sa tête et se mit à la baiser en bouche avec la même sauvagerie.

Jenny se débattit bien un peu au début, mais elle dut se résigner à son sort, et les laissa tranquillement se servir de son corps.

Cela ne dura pas bien longtemps, mais ils n'en avaient pas encore finis avec elle.

Ils changèrent de repris et se remirent de plus belle à la marteler de vio-lents coups de bites.

Nous nous tenions tous quatre dans un des coins de la pièce regardant Jenny payer sa mise à la disposition d'Harold! .....

Lorsque les deux espagnols eurent bien joui de ses charmes une se-conde fois, ils semblèrent se trouver dans de meilleurs dispositions, l'atmosphère se détendit, tout le monde semblait satisfait, à part Jenny et moi bien entendu.

Elle resta étendue sur le bureau pendant quelques minutes tandis qu'Ha-rold discutait avec eux, les deux copains d'Harold profitèrent de l'accal-mie pour se faire Jenny une fois de plus.

Ils prirent position de chaque coté du bureau et se servirent d'elle tout comme les Espagnols s'en étaient servis, l'embrochant par ses deux trous opposés.

Celui qui tenait la caméra continua à la filmer tout en la baisant.

Ils commutèrent leurs positions à plusieurs reprises avant de se vider les couilles dans les profondeurs de sa gorge et de son utérus.

Celui qui se trouvait dans sa foufoune attendit que son comparse extirpa sa bite de la bouche de sa victime, il se retira alors et contourna le bu-reau pour venir se faire nettoyer la bite par sa langue agile.

Je regardais sa chatte toute rouge et enflée le sperme des quatre hom-mes qui venaient de la posséder s'écoulant lentement de sa chatoune.

Elle était souillée et semblait visiblement fraîchement baisée, mais sa cramouille ne montrait pas de signes évidents des nombreux abus qu'elle avait enduré ces 12 dernières heures.

J'avais perdu le compte des hommes qui l'avaient violée depuis qu'Ha-rold nous avait asservi.

Les deux complices d'Harold aidèrent Jenny à se relever et l'emmenèrent à l'extérieur, nous les suivîmes en les regardant.

Ils l'emmenèrent à coté du hangar devant nous six et la troupe de travail-leurs de la plantation, dont queues femmes d'ailleurs.

L'un des amis d'Harold empoigna un tuyau d'arrosage et nettoya la chatte de Jenny à grand jet.

Lorsqu'il eut nettoyé les traces de sperme qui souillaient sa moule, il lui colla l'extrémité du tuyau dans la chatte, elle hurla.

Je ne sais pas si elle pleurait d'humiliation ou de douleur alors qu'il rinçait imperturbablement l'intérieur de sa cramouille.

Je remarquais que le groupe de travailleurs qui attendaient à quelques pas ne semblait ni choqué ni surpris de cette façon de faire.

Je me demandais combien de fois ils avaient assisté à ce spectacle que leur offrait Harold et ses deux acolytes.

Je savais d'après les discussions précédentes que nous n'étions pas les premiers touristes à tomber entre leurs griffes.

Enfin il ferma le robinet et tendit à Jenny son tee-shirt, qu'elle remit sur son dos.

Puis ils revinrent vers la camionnette.

Nous sommes retournés en ville et nous sommes garés devant un studio photo qui approvisionnait les quartiers populeux.

Les rues grouillaient de noirs, avec quelques espagnols et de rares blancs qui se promenaient dans la contre allée.

Tout le monde s'arrêtait pour reluquer les charmes de Jenny alors qu'à moitié nue, elle traversait, en notre compagnie, le parking pour gagner un bâtiment à quelques mètres du studio photo.

Je réalisais qu'on nous attendait, l'homme derrière le comptoir hocha la tête à l'adresse d'Harold et lorgna Jenny, il en fit le tour détaillant ses charmes ferma la porte du bureau et accrocha une petite affiche à la poignée de la porte.

On le suivit dans l'arrière salle où se trouvaient des box de poses, celui éclairé figurait une chambre à coucher naturellement.

Harold attira Jenny dans le box et discuta quelques secondes avec elle, on me poussa sur une chaise contre le mur, les comparses d'Harold s'assirent de chaque coté de moi.

J'écoutais la conversation entre Harold et Jenny.

Harold lui donnait ses instructions, elle écoutait attentivement en hochant de la tête.

Apparemment une des choses qu'il lui demandait lui posait problème, il semblait qu'elle tentait de le résonner, ou tout au moins de plaider sa cause.

Mais à la vue de l'air résigné qu'elle affichait, je compris qu'elle ne l'avait pas convaincu.

Elle savait qu'elle serait toujours la perdante, pourquoi argumentait-elle encore? .....

Harold revint vers nous et s'assit à nos cotés, le photographe se pointa alors pour prendre des photos de Jenny.

Les premières n'étaient que des poses dans son petit tee-shirt, mais bientôt elle dut l'enlever.

Interdit, je constatais que le photographe parlait en anglais, c'est le pre-mier, à part Harold et ses deux séides, que j'entendais parler en anglais depuis ce qui me semblait un long moment.

Il prit toute une série de photos de plus en plus obscènes alors que le temps avançait.

Il travailla les expressions de son visage pendant un long moment lui faisant finalement afficher des sourires satisfaits sinon joyeux.

On avait parois l'impression qu'elle se livrait volontairement à cette séance de poses.

Puis il arrêta et changea le film de sa caméra. , puis il renouvela carte d'enregistrement des caméras numériques qui entouraient la scène.

Il s'avança dans l'aire de tournage et s'esclaffa :

- "Cette salope m'excite trop..... A genoux et viens me sucer la bite! ..... Que je puisse me reconcentrer....."

Jenny obéit sur-le-champ, ce n'était pas un gros effort pour elle.

Elle ouvrit sa braguette extirpa sa bite et le suça jusqu'à éjaculation. Elle savoura longuement son foutre! .....

Puis ils reprirent la séance de pose.

Il lui dit de se positionner sur le lit, jambes grandes écartées, puis il se dirigea vers une porte dérobée, l'ouvrit et appela quelqu'un à l'extérieur, l'invitant à entrer.

Choqué, je vis deux jeunes noirs entrer, bien qu'ils aient plus de 18 ans ils semblaient bien plus jeunes, on leur aurait donné 15 / 16 ans.

Ils savaient ce qu'il devaient faire.

Ils se déshabillèrent prestement et grimpèrent sur le lit avec Jenny, ils la prirent de toutes les façons possibles et imaginables.

Elle le suça tous deux, puis ils l'enculèrent et la baisèrent tout à tour puis deux à deux variant les combinaisons à l'infini.

Cela dura plus d'une heure et ils éjaculèrent chacun trois fois plantés en elle.

Ils se relevèrent finalement, se rhabillèrent, le photographe désigna du doigt une petite salle de bain où Jenny alla se nettoyer, tandis qu'il re-nouvelait les cartes et les films de ses caméras.

Les deux jeunes noirs nous rejoignirent et s'assirent à nos cotés pour assister à la suite du spectacle.

Lorsque Jenny revint dans la pièce, elle s'allongea de nouveau sur le lit et deux autres jeunes gars vinrent la rejoindre, ils parlaient en espagnol bien qu'ils soient plutôt de type caucasien.

Leur peau était très blanche, ils se ressemblaient énormément et je su-bodorais qu'ils étaient frères, ils étaient tous deux majeurs mais, comme les deux premiers acteurs semblaient bien plus jeunes, ils avaient conservé un certain aspect enfantin.

Ils étaient tous deux aussi expérimentés que les jeunes noirs qui les avait précédés et tous deux capables d'avoir de fortes érections et de nombreux orgasmes, comme les scènes enregistrées devaient en té-moigner par la suite.

Ils re^rirent les mêmes postions que leurs deux prédécesseurs, chan-geant souvent de positions et la possédant de toutes les façons envisa-geables, en solo ou tous deux simultanément.

Jenny semblait baiser avec des mineurs.

Le tournage dura encore une bonne heure, puis les jeunes gens se rha-billèrent et prirent place avec nous comme spectateurs de la suite, déjà le photographe préparait les scènes suivantes, Il enjoignit à Jenny de prendre soin d'Harold et de ses deux complices.

Elle les suça tous les trois, puis elle se prépara à suivre les nouvelles consignes du photographe.

Depuis que nous avions quitté le club la veille au soir, à quelques coupu-res prêts, elle n'avait pas cessé de se faire baiser.

Je jetais un oeil sur ma montre, il était presque 15 heures.

A part quelques temps de répit, et la durée des transports cela faisait quasiment 17 heures qu'elle se faisait violer à répétition.

Evidemment, elle semblait très fatiguée, et c'est peu de le dire.

Elle suça à son tour le photographe et il l'envoya une nouvelle fois se nettoyer, une fois de retour il lui donna une paire de draps propre et lui intima de refaire le lit.

Cette opération terminée elle s'allongea sur le dos, le photographe se dirigea vers la porte et une petite jeune fille qui faisait bien moins que ses dix huit ans entra dans la pièce.

Elle ne semblait pas le moins du monde impressionnée par le nombre de spectateurs, les spots lumineux et les caméras.

Elle sourit au photographe et s'étendit entièrement habillée au coté de Jenny.

Jenny savait ce qu'elle devait faire et elle entreprit se gouiner avec la jeune fille, faisant en sorte qu'on ait l'impression qu'elle cherchait à la séduire tout en lui enlevant lentement ses vêtements pour la caresser et embrasser le joli corps d'adolescente qu'elle révélait sous l'objectif des caméras.

Je savais que Jenny n'avait jamais fait l'amour avec autre femme aupa-ravant, sa détresse était visible de devoir se gouiner avec une fille qui paraissait si jeune, bien plus jeune que son âge réel.

Mais elle s'exécuta comme on le lui avait ordonné.

Elle embrassa la jeune fille sur tout son corps, allant jusqu'à lui écarter les cuisses pour lécher tendrement sa fentine épanouie et son petit anus frétillant alors que la caméra prenait des plans rapprochés.

Une fois qu'elle eut bouffé la chatoune de la jeune fille lui procurant plu-sieurs orgasmes, elle fut finalement autorisée à arrêter.

Cette fois, alors que la fille restait sur le lit Jenny se releva et se disposa à quatre pattes entre les jambes d'Harold.

On m'ordonna de me lever et de me déshabiller, je voulus refuser en comprenant leurs intentions.

Les comparses d'Harold se levèrent alors et tandis que Jenny faisait une savoureuse pipe à Harold il leva les yeux sur moi et hurla :

- "On a besoin de photos compromettantes de toi en pleine action pour pouvoir nous protéger de tout retour du bâton! .... Tu sais ce qu'on peut te faire! .... On peut te rouer de coups, on peut démolir ta petite amie, de toutes manières c'est nous qui gagnerons...... Si tu continues à refuser de participer de ton plein gré, cela va de-venir extrêmement douloureux! ..... Rassemble tes esprits et cesse de te révolter! ...."

Je reluquais la fille qui couchée sur le lit souriant et riant et plaisantant avec le photographe et je reconnus que j'avais pas le choix .

Je me déloquais et quand une fois prêt le photographe se dirigea vers moi, Harold m'ordonna de bouffer le gazon de la jeune ado, puis de la baiser.

Je le regardais fixement, Jenny avait fini de lui sucer la bite et taillait maintenant une pipe à son voisin.

Puis je baissais les yeux sur la jeune fille, elle arborait maintenant une expression paniquée, effrayée, comme si elle venait d'être menacée de mort.

Il était évident que les images montreraient clairement que je violais cette jeune fille.

Je grimpais sur le lit et me postais entre ses cuisses, une fois que je fuis en place elle commença à me supplier de la laisser partir, de cesser de la toucher, de ne pas la violer.

J'ignorais son comportement et me mis à lui bouffer le gazon, sa chatte était distendue par de nombreux services, pour satisfaire Harold.

Il était évident que de nombreuses bites s'étaient déjà succédées depuis longtemps, et j'en sentais désolé, mais à cet instant j'étais encore plus préoccupé par mon sort et celui de Jenny.

Lorsque je sentis que j'avais passé assez de temps à lui lécher la chatte pour satisfaire Harold, je changeais de place et m'efforçais d'introduire ma queue molle dans sa chatoune.

Finalement je me redressais et me postais à genoux devant son visage, visiblement embarrassée, elle me prit en bouche et me suça avec expé-rience pour ériger ma bite.

Lorsque je fus bien dur, elle s'étendit à nouveau et la séance reprit.

Elle afficha à nouveau un air paniqué, terrifié et elle se remit à me sup-plier de cesser alors que je me postais entre ses cuisses et pénétrais ai-sément sa chatte bien rodée.

Je la baisais assez longuement, je ne saurai dire combien de temps en fait.

Puis une fois que j'eus joui, je me redressais et m'assit sur le bord du lit.

Je remarquais que Jenny avait fini de sucer les deux amis d'Harold et s'efforçait maintenant de contenter les quatre jeunes qui s'étaient succé-dés dans ses trois trous, la jeune fille s'assit à mon coté et me dit dans un anglais des plus pur :

- "Je suis désolée, mais je suis obligée de faire ce qu'ils veulent, tout comme vous! ....."

Je hochais la tête, je la comprenais.

Je me rhabillais prestement tandis que Jenny faisait jouir rapidement les quatre jeunes hommes.

Quand elle en eut fini, on lui rendit son tee-shirt qu'elle remit sur son dos.

Elle s'était résignée à évoluer les fesses à l'air, elle savait que dès qu'elle faisait un pas elle exhibait en totalité sa croupe.

Nous quittâmes enfin le studio photos, il était plus de 16 heures maintenant et les rues étaient de plus en plus remplies de promeneurs, il y en avait bien plus que lors de notre arrivée 5 heures plus tôt.

Cette foule prenait grand plaisir à reluquer les charmes que Jenny ne songeait même pas à dissimuler.

Harold lui avait dit de marcher deux mètres devant nous, pendant tout le chemin de retour à la camionnette, elle fut copieusement pelotée et mo-lestée par les passants.

Elle n'essayait même pas de se défendre, elle n'avait aucune chance d'y parvenir, elle se contentait d'avancer faisant semblant d'ignorer toutes ces mains baladeuses qui inventoriaient ses trésors de féminité.

Nous nous empilâmes dans le van et Jenny dut à nouveau enlever son tee-shirt.

Elle devait s'occuper d'Harold cette fois, alors que je regardais au dehors, je fus tout surpris de voir que nous prenions la direction de notre hôtel.

Le conducteur gara son van dans le parking de l'hôtel et on en descen-dit.

Décidé à éviter tout problème, Harold fouilla dans un sac à coté de son siège et tendit à Jenny une minuscule jupe qu'elle enfila ainsi que son tee-shirt.

Nous sommes allés directement dans notre chambre, Harold commanda un repas pour 5 personnes.

Je ne sais pas si c'était le cas de Jenny, nous n'avions pas l'autorisation de nous parler, mais quant à moi, j'étais affamé, je n'avais rien mangé depuis la veille au soir.

Jenny dut se déshabiller à nouveau dès que nous entrâmes dans la chambre, et 45 minutes plus tard, lorsque deux serveurs apparurent ap-portant la nourriture elle les emmena sur le lit et leur offrit un copieux pourboire en nature.

Elle savait ce qu'elle devait faire et s'y était mentalement préparée.

Les deux serveurs étaient noirs et l'un d'eux semblait connaître Harold, ils discutèrent un bon moment, ils semblaient prendre des arrangements, je ne sais pas ce dont il s'agissait bien sur, mais je me doutais qu'il s'agissait de mauvaises nouvelles pour Jenny.

Ils nous autorisèrent enfin à manger, nous nous jetâmes tous deux vora-cement sur les plats.

Elle était éreintée et malade à mourir d'avoir été violée à couilles rabat-tues par tous ces mâles en rut, la nuit avait été longue, le jour suivant tout autant et elle était affamée après tout cet exercice.

Une fois que nous eûmes mangé, ils nous autorisèrent à prendre une bonne douche.

J'étais fort surpris de voir qu'ils nous séparaient prudemment nous inter-disant de parler l'un à l'autre depuis qu'ils nous avaient piégés.

On se rendit dans la salle de bain et on resta longtemps sous le flot chaud de la douche nous serrant fortement l'un contre l'autre pendant un long moment.

J'aurai voulu la rassurer, mais je ne pouvais que lui dire :

- "Je suis désolé chérie! .... Mais rappelle-toi que je t'aime quoi qu'il arrive! ...."

Elle sanglota pendant un long moment et me répondit :

- "Ce n'est pas ta faute..... Tu as bien essayé d'intervenir...... Mais c'est mou qui ait insisté pour rester dans cette maudite boite! ..... Si je t'avais écoutée, rien de cela ne serait arrivé! ...."

Nous nous lavâmes mutuellement et nous restâmes encore un bon mo-ment sous le flot chaud de la douche, jusqu'à ce qu'arrive Harold nous enjoignant de sortir de la douche.

Ses copains et lui réclamaient quelques divertissements.

Jenny gémit mais nous dûmes nous séparer, fermer les robinets et nous sécher, j'enfilais des vêtements propres, Jenny resta nue et nous partî-mes rejoindre nos tourmenteurs.

Jenny eut alors un coup de pot, tandis que nous nous trouvions sous la douche, ils avaient rappelé le garçon d'étage qui avait renouvelé les boissons, il était reparti tout de suite, de ce fait elle n'eut pas à lui servir de pourboire cette fois.

On prit tous place sur le balcon et ils se mirent à regarder les gens assis autour de la piscine qui discutaient dans leur langue. Ils se désignaient du doigt certains hommes, ou certains groupes, ils semblèrent finalement prendre une décision.

Harold tendit à Jenny un de ses bikini, le plus sexy, celui qu'elle avait acheté le premier jour de nos vacances.

Il avait enlevé la doublure, et lorsqu'elle l'enfila, il s'avéra si transparent que ses tétons et sa chatte poilue étaient visibles au travers du fin tissu.

Harold l'avait regardé enfiler son bikini, il l'examina longuement et sem-bla totalement satisfait. de ce qu'il voyait.

Il lui montra alors du doigt les deux hommes qu'ils avaient sélectionné en compagnie de ses deux amis et lui ordonna de descendre à la piscine et de les inviter à l'accompagner dans sa chambre où ils pourraient la bai-ser de la façon qu'ils préféreraient! ....

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