Tentation

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Autre variante de l'histoire "Paris".
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romane
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TENTATION

Je rentrais chez moi, en métro, par une chaude nuit d’été. Il faisait si chaud , que je ne portais qu’une légère robe d’été s’arrêtant en haut de mes cuisses et un Tanga blanc, afin qu’il ne se découpe pas trop sous ma robe.

Si le vent voulait se la jouer coquin, il pouvait soulever ma robe et dévoiler ainsi mes charmes. Cela ne me gênait pas du tout. Si quelqu’un pouvait profiter du spectacle, pourquoi pas, il n’en serait que plus heureux pour le reste de la journée. Je jouais même de cela. Lorsque j’attends à un feu pour traverser, je reste au bord de la route de sorte que les voitures en passant jouent avec ma robe. Vous avez donc compris. Je suis exhibitionniste.

Bref, ce soir là, j’étais dans le métro, un baladeur sur les oreilles lorsque je vis que l’homme en face de moi, me faisait signe d’approcher. Je retirais un écouteur. Il me proposa un verre. Je le dévisageais rapidement. Belle homme, la trentaine, compagnie peut-être agréable. Personne ne m’attendait, alors j’acceptais.

On descendit la station suivante. On sortit de la chaleur moite du réseau métropolitain. Je le suivais. On s’installa en terrasse et commanda nos boissons. Après un temps d’observation, il rompit le silence.

-Cela fait longtemps que je vous remarque dans le métro. Laissez moi vous féliciter pour votre ravissante robe! »

-Merci! Vous abordez souvent des inconnues dans le métro? »

-Cela m’arrive! »

On discuta longuement de tout et de rien. Au deuxième verre, il me dit pourquoi il m’avait invité.

-Je vous ais dis que j’abordais de temps en temps des inconnues dans le métro. D’abord, est ce que cela vous intéresse une petite aventure sans lendemain? »

Je le regardais interdite.

-Voilà ce que je vous propose. Vous m’accompagnez chez moi. Je vous bande les yeux afin que vous ne sachiez pas où j’habite. Il y a chez moi, en ce moment, un homme qui nous attend. Je peux vous dire qu’il est très bon amant. Vous aurez le choix entre lui, moi ou nous deux ensemble. C’est vous qui disposerez de nous. Vous n’aurez pas le droit de retirer votre bandage. Vous ferez l’amour à l’aveugle et croyez moi, vos sens en seront plus développés. »

Je croyais rêver. Ma première réaction, fut de me lever et de lui jeter mon verre à la figure. Je dois avouer que sa proposition m’émoustilla légèrement par le suite.

-Vous a t’on souvent jeté le contenu du verre à la figure? »

Il me regarda un peu dépiter prenant sûrement ma question pour un refus.

-C’est déjà arrivé! »

Ma culotte était humide, pas que de sueur.

-Quand y allons nous? »

Je vis son visage rayonner.

-Maintenant si vous le voulez! »

-Allons y! »

Il paya et héla un taxi. Je me bouchais les oreille à sa demande afin que je ne sache pas où on se rendaient. De sa poche, il sortit un bandeau et le plaça devant mes yeux. Je dépendais maintenant de lui. J’étais folle de me laisser à sa merci. Je n’avais qu’un geste à faire pour tout arrêter : retirer le bandeau. J’étais trop excitée pour faire cela. Mes tétons étaient devenu dur comme du silex, et la caresse du tissu de ma robe les excitaient encore plus.

Le taxi s’arrêta. Il paya et descendit. Il m’aida à m’extraire du véhicule. Au passage, il eu droit à mes charmes, vu que la robe s’accrocha au velours de la voiture et remonta sur mon ventre. Il me dit qu’il avait pris mes affaires.

On monta des escaliers, je ne sais combien d’étage. Je m’accrochais à lui. Je l’entendis frapper doucement à une porte.

-Qui c’est? »

-C’est moi! »

J’entendis la porte s’ouvrir.

-Je te présente une petite perle. »

Il ne pouvait que parler de moi. Sans que je m’y attende, une bouche se colla sur la mienne et une langue força le passage de mes lèvres.

-Bienvenu! » me dit il alors.

Il sentait l’eau de Cologne. Une touche de fraîcheur dans la moiteur de la pièce. Une main que je connaissais pas m’emmena dans l’appartement. Il me plaça devant un ventilateur qui me fit un grand bien.

-Détendez vous! Tout se passera bien! »

Je sentis une main déboutonner dans mon dos. Ma robe glissa alors le long de mon corps dévoilant ma poitrine nue, mon ventre. Je ne fis rien pour l’arrêter. J’entendis un soupir de satisfaction. Je tremblais légèrement sous le vent des palles du ventilateur.

-Humm! Tu as raison, c’est une perle. »

Il se plaqua dans mon dos et ses mains douces partirent à la découverte de mon corps. Je gémis. Il m'embrassait dans le cou me donnant des frissons. Mon corps ondulait sous ses mains habiles. Je m’abandonnais. Je sentis d’autres mains me débarrasser de mon Tanga. Ils découvrirent mon pubis fraîchement rasé et épilé en forme de « I ».

-Cela à l’air très accueillant! Quel bijou!»

Ma grotte était humide de mes liqueurs. La personne le constata en y faisant glisser un doigt. J’entendis un soupir de satisfaction lorsqu’il me goutta.

-Veux tu être avec mon ami, ou bien avec nous deux? »

-Vous… Vous deux! » hoquet je dans mon plaisir.

C’est alors que je sentis des mains écarter mes jambes et une bouche vorace se plaqua contre ma vulve. Je criais de surprise. Les caresses m’avaient déjà rendu toute choses, mais là c’était le paradis. Il suçait merveilleusement bien. Je jouis plusieurs fois entre leur mains.

Ils m’abandonnèrent un peu afin que je retrouve mes esprits. L’un deux me fit agenouiller. Je reconnus très bien l’objet qui me frappa le visage doucement. L’odeur était significatif. Je pris le phallus, le décalottais et entamais une caresse que je voulais merveilleuse pour lui. Je cueillis le deuxième phallus et les pompais comme une folle à tour de rôle. L’un d’eux avait un phallus plutôt court mais épais, et l’autre fin et long. Ils appréciaient beaucoup ma fellation. En récompense, j’eus droit à leur jus crémeux sur mon corps et dans ma bouche. Afin qu’ils ne perdent pas de leur vigueur, je continuais à les sucer.

L’un deux décida que cela avait assez duré. Il m’entraîna avec lui. Il me saisit par les hanches, dans mon dos.

-Ecartes ta chatte ma chérie et descend doucement! »

Je lui obéis. Je sentis la tête de son phallus à l’entrée de ma grotte. Je m’empalais lentement sur lui. Ils étaient tous les deux très bien monté. Je gémissaiS au fur à mesure de la pénétration. Mes fesses touchèrent le bas de son ventre. Je restais d’abord sans bouger, appréciant le pieu dans ma chair, essayant de retrouver mon souffle, puis commençais mon chevauchement. Je sentis une langue sur ma chatte. Je me faisais brouter pendant que je m’empalais comme une folle. Mon amant avait prit ma poitrine dans ses mains et pinçait douloureusement mes tétons.

Je sentis à un moment une odeur de cigare. Je sus qui avait une troisième personne dans la pièce et qui restait silencieux. Il n’était que pour nous regarder faire l’amour. Découvrant cela je me sentis encore plus chaude, plus salope. Moi qui d’ordinaire était peu causante lors de l’acte sexuel, je me mis à parler de plus en plus dans un langage que je ne connaissais pas.

-Oh oui, c’est bon! Fourre moi, baise moi, éclate moi! Je suis votre chienne en chaleur! Je veux votre foutre sur mon corps, vos langues sur ma chatte! Hooooo, oui! Encore, encore, encore… »

Je sentis la bouche remonter le long de mon ventre. Elle remplaça une main et me goba le sein. J’étais dans un nuage de plaisir. Je me tenais tant bien que mal sur les genoux de mon pourfendeur. Je sentis le pénis de mon suceur sur ma main. Je m’en emparais et le masturbais tant bien que mal. Nous gémissions tous les trois et l’odeur de notre transpiration se mêla à celle du cigare.

-Je viens, je viens… » commença à hurler mon pourfendeur.

Au moment ou son sperme jaillit en moi, j’eus un orgasme. Je gardais son pénis bien plantée en moi, mon sexe avalant son liquide crémeux. Je n’eus aucun répit, car mes seins étaient toujours soumis à rude épreuve.

Je finis part me dégager de mon amant. Mon suceur me prit la main et m’installa dans un autre canapé. Ma tête se posa sur les genoux d’une personne. L’odeur de cigare était plus forte. Une main, rappeuse et ridée, me caressa le visage, pendant que mon amant me suçait la grotte, buvant mes liqueurs et celle de son compagnon.

Je n’étais plus qu’une poupée dans leur main. Je sentis qu’il s’intéressait à une autre partie de ma personne. Il releva mes cuisses et mit un coussin au bas de mon dos. Un doigt commença à aller et venir entre ma vulve et mon anus, lubrifiant ce dernier. La langue qui s’y introduit me chavira. L’homme, qui me caressait le visage, introduit un doigt dans ma bouche. Je le suçais alors avidement. Mon bassin ondulait sous les assaut de la langue dans ma chatte et mon anus.

Il introduisit un doigt, écartant mon sphincter. Il y eu un autre, et un autre. Ils les faisaient aller et venir.

Me sentant prête, il me fit relever. Il me fit alors pencher en avant. Je posais mes mains sur les cuisses de notre voyeur. Il remit son doigt dans ma bouche. Derrière, je sentis le pénis à l’entrée de mon anus. J’avais déjà pratiqué la sodomie sans en tirer un réel plaisir. Je sentais que cela allait être différent ce soir. Le pénis entra facilement entre mes chairs. Il m’avait très bien préparé. Le sexe me pénétra lentement, alors que je criais de douleur mélangé de plaisir. Quand je sentis ses boules me toucher les fesses, je sus qu’il était planté en moi jusqu’à la garde. Il laissa mon corps s’habituer au corps étranger, puis commença son va et vient, de plus en plus vite.

Comme tout à l’heure, une odeur significative me flatta les narines. Me penchant en sa direction, ma bouche toucha le pénis de notre voyeur. J’ouvris grand la bouche et l’avalais. Je le suçais pendant que l’on me sodomisait. Ce dernier me caressait la chatte par en dessous ce qui me rendait encore plus folle. J’activais ma fellation afin de le faire venir le plus vite possible. Je fus récompensé par un jet de sperme sur mon visage.

-Ma chatte est en feu! Il faut la calmer! Un pénis, vite. Je veux être pris en sandwiche! »

Mon enculeur, s’arrêta, le sexe bien au fond. Il m’entraîna doucement et on descendit tout les deux au fond du canapé. Il prit mes jambes et les écarta. Son compagnon s‘installa entre mes cuisses et j’accueillis son sexe avec une grande joie.

C’est la première fois que l’on me prenais en sandwich. J’en avais beaucoup rêvé en regardant les films pornos.

Ils accordèrent leurs rythmes. Je ne disais plus rien. Je ne gémissais plus. Je cherchais de l’air tellement le plaisir faisait battre la chamade à mon cœur. Je sentis l’orgasme venir de très loin au fond de moi. Il monta de plus en plus et éclata lorsqu’ils éjaculèrent à l’unisson. Ils me dirent après, que le cris que j’avais poussé n’avait rien d’humain. Jamais une seule femme n’avait crié comme cela. Ce fut grâce à cela qu’ils décidèrent de me réinviter une autre fois. Ils sentaient qu’ils avaient un potentiel avec moi.

Une fois mes esprits retrouvés, l’un deux que conduisit dans la salle de bain où une bonne douche me calma les sens en fusion. Je retrouvais mes vêtements. Je remis le bandeau et me laissait conduire dehors.

-Voilà! J’espère que cela t’a plût! »

-Et comment! Je cris rarement comme ça quand je suis contente! »

-Tu ne retirera ton bandeau que dans 2 minutes. »

-On se reverra? »

-Je pense que oui. Tu as été tellement cochonne , que nous sommes prêt à renouer l’expérience avec toi. Je reprendrais contact avec toi. »

-Mon sexe en palpite d’avance. »

-Je n’en doute pas. »

Je grimpais dans le taxi qu’il avait appelé et retirais le bandeau au bout de quelque minutes. Quelle aventure! J’en étais encore trempée. J’eus du mal à trouvé le sommeil se soir là entre mes flash-back érotique et mes caresses. Même le godemiché ne calma pas mes sens comme d’habitude.

Les mois passèrent, ainsi que les vacances. J’avais peu à peu oublié mon aventure sauf les soir au je faisais l’amour. Jamais je ne retrouvais la même sensation.

On était à l’entrée de l’hivers. Cela faisait longtemps que les robes légère d’été étaient dans le placard. Je le reconnu dès qu’il entra dans la rame du métro. Il m’adressa un sourire d’invite. Pendant longtemps, mon cœur battait lorsque le métro s’arrêtait à la station ou l’on était descendu. Je sentis ma culotte s’humidifier. Je me levais instinctivement lorsque la rame arriva à la station dite. Il se colla dans mon dos pour descendre. J’ondulais des fesses en sentant son sexe turgescent. A croire que j’avais sentis que c’était pour ce soir là.

D’habitude, je mettais des vêtements pas très féminin, mais se jour là, j’avais opté pour une guêpière, des bas et un string ficelle, le tout noir. J’avais une jupe fendu, un chemisier blanc transparent et des bottes. J’étais plus sexy que d’habitude.

Il me suivait sans mot dire. Une fois dehors, je l’attendis sur le bord du trottoir. Il héla un taxi. Une fois dedans, il me banda les yeux et on se dirigea vers la destination inconnu. Le chemin fut plus long cette fois ci. On allait ailleurs. On discuta du temps qui c’était écoulé depuis notre dernière rencontre : les vacances, le temps… Je sentais mon corps ce concentrer sur une seule partie de ma personne : mon sexe.

Depuis la dernière fois, je l’avais totalement rasé. Je me faisais l’effet d’une jeune fille. C’était le résultat d’un fantasme d’un ami qui aimait les filles imberbes et en tenus d’écolière. On était resté ensemble durant 3 semaines. Les amants qui suivirent, trouvaient cela très mignon et depuis je me rasais la chatte régulièrement.

Arrivé à destination, il m’aida à descendre du taxi. Comme la première fois, il me guida dans les escaliers. Il sonna à une porte. Je reconnu la voix de son ami après que l’on soit rentré. Ils prirent mon sac et mon manteau. On m’emmena dans une pièce et on me laissa seule.

Je restais immobile, attendant la suite, tremblant légèrement. J’avais la sensation que plusieurs personnes m’observaient. Il me sembla entendre plusieurs chuchotements. Cette dernière constatation ne risquait pas de calmer mes sens.

Je sentis quelqu’un s’approcher de moi et passer dans mon dos. On me retira le chemisier, dévoilant ainsi ma guêpière. Le parfum qui me parvint au narine, était plus celui d’une femme que d’un homme. Cela me fut confirmé lorsque les mains prirent les miennes afin de les placer dans mon dos.

Une bouche sensuelle se posa sur la mienne et une petite langue glissa entre mes lèvres. Je goûtais au rouge à lèvre de la femme et découvrais un merveilleux baiser féminin. Je n’avais pas été embrassé par une fille depuis ma jeune enfance. Je trouvais cela très agréable. La belle prit ma poitrine au creux de ses mains et la caressa à travers la dentelle. Le baisé devint plus chaud et plus vorace.

Je sentis une merveilleuse poitrine se coller dans mon dos. J’étais prise en sandwich par deux femme. J’étais de plus en plus excitée, surtout en passant que mes deux amants regardaient la scène. Ma jupe fut retiré. La fille dans mon dos était en sous-vêtement elle aussi. Elle se colla dans mon dos. J’entendis un légère musique. Elle commença à onduler m’entraînant dans sa danse voluptueuse. La fille m’embrassait dans le cou. Je plaçais mes mains sur ses fesses dans mon dos. La fille quitta ma bouche et nos laissa seules à notre danse.

Je fermais les yeux derrière mon bandeau goûtant à la sensualité de notre étreinte. Elle me caressait les seins à son tour. Je gémissais doucement. L’autre fille revint, nue cette fois ci. Nos bouche s’unirent à nouveau. La fille dans mon dos se détacha et je sentis mon string quitter sa place. La partie humide resta collée légèrement entre mes cuisses.

J’avais envi d’elles. Jamais je n’avais ressenti un tel désir pour une femme. J’en avais rêvé sans passer à l’acte. Je sentais que c’était pour ce soir.

Je fus à nouveau prise en sandwich et on dansa ainsi toutes les trois. Nos mains découvraient nos corps mutuels. Nos bouches glissaient sur nos lèvres, nos cous. Je suçais leur langue à tour de rôle. Je mouillais de plus en plus.

La fille dans mon dos, m’entraîna avec elle au fond d’un canapé. Elle prit mes jambes gainées de noir et les écarta offrant mon intimité nue à la vue de tout le monde. Je tremblais lorsque je sentis le souffle de la respiration de l’autre fille sur mon sexe. Je frémis lorsque deux doigt commencèrent à me masser.

Devinez donc la suite mes amours….

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