Story of fantastic Jayne Mansfield

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Description of body of the incredible beauty of Jayne Mansfield.
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Jayne Mansfield?? Elle n'est pas du genre de fille que l'on regarde dans les yeux. On peut difficilement quitter du regard ce fantastique objet de chair, cette martienne qui possède des seins si volumineux, si ronds, si parfaits. Les hommes rêvaient d'une créature parfaite, avec des gros seins fermes, une taille très mince, de très longues jambes fines, des hanches très larges, un joli minois rieur et une volonté de vouloir tout vous montrer, sans gêne... et voilà qu'apparaît Jayne Mansfield, la créature parfaite dont ils rêvaient. Elle est incroyable, mais elle existe. Elle est aberrante, mais elle est là devant vous et vous ne rêvez pas. Elle respire profondément, gonfle son indescriptible poitrine que vous ne pouvez plus quittez des yeux et vous vous demandez par quel miracle une fille est construite aussi parfaitement. Chacun de ses gestes est sensuel, provocant ; Vous cherchez une explication, il y a eu un miracle. Ou alors, il y a un défaut quelque part ou un artifice. Mais Jayne Mansfield, sans aucune gêne, se montre complètement nue et il n'y a pas de défaut, ni artifice. Et c'est la perfection. Les seins ne tombent pas, ils restent plantés très hauts, bougent comme des blocs majestueux. Jayne les palpe pour montrer qu'ils sont fermes, très fermes. La taille est une taille de guêpe et Jayne, rentre son ventre, diminuant encore cette taille si fine au-dessus d'un thorax si énorme et au-dessus d'un bassin grandiose. Jayne promène ses mains un peu partout, se caresse, se palpe, montre chaque endroit de son corps. Et les hommes sont là, qui transpirent, avec l'attirance irrésistible d'embrasser partout ce corps fantastique. Et ce n'est pas tout, Jayne, complètement dévoilée se couche sur un lit, se tourne, se retourne, s'étire devant les photographes et les journalistes qui regardent, bouche ouverte, la créature humaine, offerte entièrement devant eux et qui feraient n'importe quoi pour pouvoir posséder ce corps parfait, les formes incroyables de la si sublime Jayne Super Mansfield. Et Jayne qui sait tout de ce que pensent les hommes et qui se sent si sûre d'elle et si fière. Tellement fière qu'elle en est arrogante et encore plus belle. Elle sait qu'elle est la plus belle femme du monde, la femme la plus désirée et que tous les hommes rêvent d'avoir dans leur lit!

Jayne Mansfield : pourquoi elle est le symbole sexuel No 1 au monde!

Déjà son corps, sa plastique, ses seins, ses hanches sont une réussite parfaite. Tous les hommes sont fascinés par ses seins, des seins énormes, mais fermes ronds, parfaits. Jamais partout dans le monde on a vu des seins aussi parfaits. Les dieux ont vraiment donné un cadeau royal à Jayne Mansfield. Elle le sait et est fière, arrogante même quand elle défie les hommes. Elle se montre entièrement, ne cache rien, dévoile sa nudité avec passion. Elle se caresse, se palpe, respire, gonfle sa poitrine, surveille ses seins. Oh, si elle surveille ses seins, ce n'est pas pour les cacher, au contraire. Il faut qu'on les voient le plus possible, il faut contrôler que les tétons son bien visibles, que le décolleté ou la serviette soit assez bas. Elle ne cesse jamais de regarder l'admiration des hommes et de voir si on voit assez de sa majestueuse poitrine. Les soutiens-gorges sont trop petits, les décolletés trop bas et si les seins ne sont pas plus bas que les tétons, Jayne tire sur son décolleté, perd sa serviette ou même sort un sein ou les deux et se caresse comme si elle était en toute intimité. Pour elle, ça ne fait aucune différence, elle n'a absolument rien à cacher, mais au contraire tout à montrer, absolument tout. Même son pubis. Dans les dernières années de sa vie, elle ne portait plus de culottes (ça casse la ligne disait-elle) et portait des jupes trop courtes ou trop fendues qui laissaient voir ses poils pubiens. Et Jayne annonçait elle-même l'événement en disant : « Attention, ne regardez pas, je n'ai pas de culottes! ». Ceci pour prévenir les hommes qui évidemment scrutaient avec attention pour voir le pubis le plus envié du monde.

Pendant ses stripteases et ses photos nues, elle n'a jamais cherché à cacher son pubis.

Pendant le tournage des scènes nues de « Promesses, promesses! », Jayne avait souvent sa main droite entre ses cuisses. Le producteur s 'approcha d'elle et lui dit : « Jayne, il y a un problème, on à l'impression que tu te masturbes! » Jayne lui sourit et répondit : « Ecoute chéri, ce n'est pas une impression, je me masturbe vraiment et ce n'est pas un problème, d'accord? ». Le producteur eut un sourire gêné et lui dit que c'était OK. Jayne n'aimait pas les hommes qui ne cédaient pas à ses caprices. Et tous les hommes lui cédaient. On continua donc à filmer minutieusement, sous tous les angles, le corps sublime offert à tous par Jayne Mansfield qui continua à se masturber de plus belle.

Entre les scènes, Jayne se confia aux journalistes : « C'est tellement excitant d'être nue devant tant d'hommes que non seulement je me masturbe, mais je jouis! Vous pouvez l'écrire, j'ai jouit plusieurs fois! A la vérité j'aimerais bien être défoncée. Je n'y peux rien, c'est plus fort que moi. ». Puis elle enleva sa serviette, découvrit son pubis et déclara : « Regardez c'est tout humide! » Aucune honte chez Jayne Mansfield, au contraire, une arrogance et une provocation sans limite.

A un journaliste qui insistait, Jayne poursuivit : « Vous avez l'air choqué. Il n'y a pas de quoi. La plus belle sensation dans la vie, c'est l'orgasme. Plus j'ai des orgasmes et plus je suis heureuse! »

C'était ça la franchise de Jayne Mansfield qui ne pouvait cacher ses obsessions et le culte qu'elle vouait à son corps, à ses seins, à ses fesses, à la sexualité qui étaient pour elle le seul but et sa raison de vivre. Elle l'avait déjà déclaré : « Quand je reste 2 jours sans faire l'amour, je deviens malade! »

— Weber Claude (visiteur)

07/10/05 - 21:50

Jayne Mansfield est indiscutablement, comme femme, le plus beau spécimen de tous les temps connu dans le monde. Son corps et sa sexualité, sa provocation et ses gestes, son comportement et sa façon de se dévêtir, son culot et sa complicité, sa fierté et son exhibitionnisme font d'elle la femme la plus proche de la perfection. Elle n'était pas vulgaire, contrairement à ce qu'on a dit. Elle était très sensuelle et aucun homme n'est passé à côté d'elle avec ignorance. Certes, certains ont été choqués par ses audaces, mais ils étaient alors du temps d'une morale dépassée. Aujourd'hui Jayne ferait exploser les sites internet.

Elle a été désignée comme la femme la mieux déshabillée par le plus grand couturier américain de l'époque qui désignait d'habitude la femme la mieux habillée.

Elle a aussi été désignée par les gens du métier de marionnettes en ombre chinoise, comme l'idéal pour représenter la femme.

Elle fut et reste la femme, la personne même la plus photographiée du monde. Selon le FBI, elle est aussi la femme ayant eu le plus grand nombre d'amants (plus de 500 recensés). Elle a même eu une équipe entière de football américain dans son lit. Avec un de ses amants elle prétendit même avoir fait 40 fois l'amour en une nuit.

Elle n'a été désignée que deuxième par le magazine Playboy dans sa liste des plus belles femmes du monde. Juste derrière Marilyn Monroe, qui pourtant était un peu grassouillette, d'un teint trop pâle et avaient des jambes trop courtes.

Elle a plus de trente titres de Miss ou Reine de quelques chose.

Même les scientifiques ont trouvé que la morphologie de son squelette était exceptionnelle avec un bassin très large et une cage thoracique incroyablement développée.

Venons en à ses mensurations elles aussi exceptionnelles. Tour de poitrine 115 cm, tour de taille 45 cm, tour de hanche 95 cm.

Certes on trouve des tours de poitrines plus grands, des tours de hanches aussi, des tours de taille peut-être plus minces, mais le fait de réunir ses 3 dimensions chez une seule femme explique ce corps et cette silhouette incroyables.

Ajouter à cela que les seins de Jayne Mansfield étaient fermes, ronds et placés très hauts, du fait qu'ils étaient placés sur cette incroyable cage thoracique, tout cela explique pourquoi des millions d'américains (entre autres) rêvaient de coucher avec Jayne Mansfield. Et il y avait le reste. Cette silhouette supersonique placée sur de longues, très longues et belles jambes qui font que Jayne Mansfield fait et fera encore rêver pendant longtemps. Je crois qu'on n'atteindra plus jamais une telle perfection.

Et encore, oui encore, Jayne Mansfield réussissait toujours à trouver des décolletés époustouflants, toujours à la limite, mais qui souvent craquaient, se déchiraient, ou sous certains angles que les photographes recherchaient, laissaient voir l'amplitude d'un sein, l'apparition d'un téton, mais de toute façon ne cachaient finalement plus rien. Et si certains photographes peinaient à trouver le bon angle, Jayne, complice souriante, les aidaient, en respirant, en se tournant, en se penchant et même certaines fois en dévoilant brièvement mais complètement une poitrine divine. Normal pour une déesse, déesse de l'amour, déesse du sexe, comme elle fut longtemps surnommée.

Nue, complètement nue, elle le fut (et pas brièvement cette fois) pour le magazine Playboy où elle apparut offrant son corps complètement pour l'exaltation des lecteurs de la revue qui battit cette fois-là son record de vente absolu.

Mais la fièvre était aussi sur le plateau où tous les photographes et assistants se bousculaient et s'excitaient, non seulement pour leur métier mais pour eux-mêmes, pour cette splendeur animale s'offrant à eux, sans la moindre gêne, avec le sourire, se tournant, se retournant, tout cela avec la satisfaction extrême de voir tous ces hommes à ses pieds et la certitude que de toutes elle restait la plus belle. Son plaisir était si grand, dit un photographe, qu'on avait l'impression parfois, qu'elle jouissait vraiment.

A l'occasion de la venue de Sophia Loren à Hollywood, Jayne l'attendait, tous seins dehors. Sa robe, fine, lui collait à la peau. La chair de Jayne Mansfield débordait de partout. Mais surtout son décolleté était suffoquant, coupé juste au-dessus des tétons, car bien sûr comme très souvent, Jayne ne portait pas de soutien-gorge. Mais les seins de Jayne n'étaient de ceux qui tombent. Au contraire, ils étaient gonflés à bloc, semblant vouloir jaillir vers le haut. Jayne rodait autour de Sophia et tout en s'approchant, elle tirait sur sa robe pour essayer de faire jaillir ses seins hors du décolleté. Mais son satané tour de poitrine ne laissait pas descendre la robe. Alors Jayne, impatiente, prit sa main droite, plongea dans le décolleté et souleva son sein gauche qui jaillit enfin de la robe, libre, à la vue de tous et à la grande satisfaction de Jayne qui se pencha vers Sophia avec son large sourire. Des centaines de photos furent prises ce soir-là. Sophia fut littéralement assommée par la poitrine de Jayne, qui, semblant sur prise, replaça son décolleté nonchalamment. Ce qui ne l'empêcha pas de poursuivre la soirée, assise à côté de Sophia, bombant le torse, se penchant, s'étirant en arrière, se frottant les seins pour enlever une tâche qui n'existait pas. Ce soir-là les seins de Jayne Mansfield planèrent sur le tout -- Hollywood.

Sophia dont les regards étonnés ou gênés apparaissaient lorgnant sur les seins de Jayne déclara : « Je ne voudrais jamais porter une robe pareille ». Ce à quoi Jayne répliqua : « Elle ne devrait pas dire je ne voudrais pas, mais plutôt je ne pourrais pas ».

Elle aimait la provocation, mais avec tous ses excès, la provocation devint naturelle : bientôt elle ne s'aperçut plus qu'elle provoquait. A force d'être souvent nue, la gêne disparut. Mais le besoin de poser, de s'exposer, d'exhiber tout son corps était devenu une nécessité.

C'est alors qu'on la vit complètement nue, une main cachant ses tétons, un petit linge posé sur son sexe. Ou alors ne portant en tout et pour tout qu'une fourrure de vison avec laquelle elle jouait, presque toujours à la limite de l'explosion. Mais même si on pouvait voir un sein nu l'espace de quelques secondes, tant mieux : c'est ce qu'elle cherchait, puis baissait les yeux, faussement pudique.

Ce qui était étonnant, c'est qu'elle n'avait jamais peur d'être agressée, déshabillée, mise à nu par un fan ou photographe répondant à la provocation. Non, c'était amusant, dit-elle.

Pourtant deux fois elle fut entraînée par la foule et déshabillée en pleine rue. « Pas de problème, c'est normal, je les comprends ».

Deux autres fois, elle perdit son soutien-gorge dans une piscine publique. Normal, ils étaient toujours trop petits. Pour ressortir de l'eau, elle jouait la maladroite. Tout le monde pu voir ce qu'il voulait ou presque.

Parce qu'il restait tout de même une petite part de mystère. Tenait-elle ce qu'elle promettait en se montrant complètement nue?

C'est là qu'on se rendit compte de la perfection de son corps. Etendue, se tordant lascivement elle exposa au monde entier une anatomie éblouissante, un corps et un visage trop sensuels pour ne pas rendre les hommes fous d'elle et les femmes jalouses au point de l'avouer. « C'est à vous dégoûter d'avoir des seins ».

Plusieurs fois elle offrit ainsi ses formes resplendissantes au monde entier. En 1963, quand elle apparut complètement nue dans Playboy et d'autres fois vers la fin de sa vie. Elle s'était attaquée à toutes les reines de beauté de l'époque en leur montrant bien que de toutes elle était vraiment la plus belle. En se montrant complètement nue, elle les assomma complètement. Toutes reconnurent qu'elles ne pouvaient pas lutter contre un tel phénomène. Certaines même se demandaient comment un tel fantasme pouvait exister réellement.

Jayne elle-même était folle de son corps. Et elle en jouait comme une véritable artiste du nu, de l'érotisme.

Elle fut surnommée :

Le Buste

Le Corps

Reine du sexe

Reine de la volupté

Reine du sex-appeal

La blonde incendiaire

Le sex-appeal ingénu

La reine des Pinups

Miss Contours

La silhouette

La blonde explosive

Miss soutien-gorge

Miss oxygène

La Femme idéale

Reine du tour de poitrine

Miss déshabillée

Mme Buste

Miss Nude

L'impératrice du sexe

La monumentale impératrice du sweater

Le Siphon

L'Himalaya

Miss « Pare-Chocs »

L'Eruption du Vésuve

La blonde incendiaire et pyromane.

Le Fantasme aux formes exceptionnelles

Miss Glamour

Miss Lingerie

Miss Station d'Essence

Miss Nylon

Miss Courrier Rapide

Avec un tel corps, il est bien sûr évident qu'elle put faire toutes les conquêtes qu'elle voulut. Tant et si bien qu'elle fut citée comme responsable de plus de cinquante divorces. Des divorces pour pouvoir passer une nuit ou quelques heures avec Jayne Mansfield.

Bien entendu, avec tous les hommes qu'elle attirait, elle fit l'amour à plus de 1'000 hommes (chiffre de la FBI). Ceux qui ont eu ce bonheur disent tous leur ravissement, mais certains aussi assurèrent que Jayne étaient frigide à moins d'être complètement défoncée. C'est sans doute pour cela qu'elle chercha dans le spiritisme le moyen de coucher avec des êtres déments qui lui assureraient la jouissance selon Anton Lavey.

De nombreux épisodes incroyables me reviennent.

Tout d'abord en Italie à une intime soirée dansante. Jayne y était vêtue d'une robe courte et d'un veston blanc décroché de plusieurs boutons laissant voir le soutien-gorge blanc également. Elle fut vite invitée par un de ses chevaliers-servant. Après quelques minutes ce dernier caressait Jayne Mansfield par-dessous son veston. Jayne se pâmait de plaisir, mais quelque l'exaspéra. Elle eut une brève discussion avec son ami et disparut aux vestiaires. Quand elle revint, je n'y croyais pas. Jayne avait toujours son veston, mais plus de soutien-gorge dessous, et Jayne avait encore décroché un bouton. Ses seins gonflaient son veston quand elle respirait et parfois, un sein énorme sortait du veston. Le plus heureux était son ami qui ne se fit pas prier pour palper à pleines mains les seins libres de Jayne Mansfield. Celle-ci jouissait visiblement et elle prenait même les mains de son ami pour les fourrer sous son veston. Les gens gênés souriaient timidement. Plus tard Jayne disparut avec son ami pour une nuit inoubliable pour lui, sans doute.

Quelques présentations de Jayne Mansfield tous aussi passionnés :

« Jayne Mansfield, aux mensurations extravagantes, a une poitrine si volumineuse que les vêtements semblent avoir du mal à la contenir ».

L'intelligence de Jayne Mansfield, c'est d'avoir compris l'atout de ses seins légendaires dont elle apprend à se servir avec génie, en s'arrangeant toujours pour qu'on les voie le mieux possible, pour soulever l'enthousiasme des photographes et du public prêts à en redemander.

Sex-symbol, elle explose dans l'Amérique d'après-guerre : Et Dieu créa la vamp...Jayne Mansfield.

Les mamelles de Jayne Mansfield étaient fabuleuses. Elles étaient son orgueil. On ne voyait que ça. Ses seins inouïs de nourrice fantastique la faisaient vivre.

Jayne Mansfield lança un nouveau modèle. La caractéristique de ce « gadget » était d'être bosselé pour accroître la surface chauffante. Afin d'intéresser le grand public, les directeurs avaient donné à ces bosses l'aspect des seins de Jayne, avec ce slogan : « Enfin, vous pouvez coucher avec Jayne Mansfield »

Jayne Mansfield est la reine incontestée du poitrail en cinémascope. Plantez-y votre regard. C'est le vertige assuré. Cardiaques, abstenez-vous, l'infarctus vous menace.

Jayne Mansfield avait la plus belle plastique d'Hollywood : de longues jambes, une poitrine ferme et généreuse, et une taille très mince. Mais elle était frigide, à moins d'être complètement défoncée.

Jayne avait une bien plus grande expérience des hommes que Marilyn Monroe. Marilyn se lançait toujours corps et âme dans une liaison. Jayne prenait les hommes comme ils venaient. Elle pouvait aussi bien coucher avec un joueur de base-ball, un barman ou le président des Etats-Unis... Pour elle, c'étaient tous des hommes et les hommes étaient tous les mêmes. Lorsqu'elle avait couché avec un homme, il ne l'intéressait déjà plus.

Représentante opiniâtre du sex-appeal américain, Jayne Mansfield a tous les culots. Elle s'est attaquée à toutes les affolantes, à toutes les capiteuses du siècle, avec des hauts et des bas. Ou si l'on préfère, avec des creux et des bosses. Capitonnée de partout, fessue comme une Hottentote et mamelonnée comme... Jayne Mansfield (107 centimètres de tour de poitrine), elle promène à travers le globe son insolente anatomie.

Jayne Mansfield était une femme comme tout le monde, à part qu'elle possédait un corps fabuleux et des seins qu'il fallait voir pour y croire. On ne savait plus comment les décrire, tant on restait étonnés par cette sublime poitrine. Cela tenait du phénomène de foire et, disons-le tout de même, du concours de beauté pour femmes-canons.

Cette poitrine photographiée des centaines de milliers de fois était l'illustration vivante du principe de publicité : pour vendre une chose, il faut la maintenir constamment sous les yeux du public.

Elle fut la plus superbe et la plus incroyable des starlettes made in Hollywood. Une starlette dont l'ambition déclarée était de porter la couronne de star, décernée par le public et les journalistes. Pour ce faire, elle usa de toutes les ruses, elle tira sur toutes les ficelles, elle défia toutes les imaginations. Contrairement aux belles apparences, Jayne Mansfield était loin d'être une écervelée. Un quotient intellectuel supérieur à la moyenne (164) lui permis de mener savamment sa barque dans un monde où tous les pièges l'invitaient à la noyade. Prête à toutes les folies pour soigner une image de marque publicitaire, elle cacha soigneusement son intelligence derrière les formes avantageuses de son précieux buste. Elle offrit généreusement son corps divin aux rêves du public, risquant et touchant même le scandale pour faire parler d'elle.

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