Ses Expériences Continuent 02

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Mari soumis.
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Partie 5 de la série de 5 pièces

Actualisé 03/18/2021
Créé 08/23/2005
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Deux jours après cette escapade, un samedi, nous étions à l'appartement, lisant chacun un livre devant le feu, Vincianne était habillée d'une jupe en tweed et d'un cardigan en cashmere beige sur sa peau blanche. La sonnette de la porte retentit à deux heures de l'après-midi. Comme nous n'attendions personne, j'interrogeai Vincianne du regard, qui me rendit ma question muette. J'approchai de la porte, en proie à des sentiments contradictoires. En jetant un coup d'oeil par l'oeuilleton, je vis le concierge, Monsieur Denis, son éternelle pipe au bec et son éternel survêtement informe et douteux couvrant son corps informe. Ce mec, la soixantaine, particulièrement usé par la vie, nous inspirait des sentiments contradictoires, où se mêlaient la pitié et le dégoût.

J'ouvris et sentis immédiatement que la visite n'était pas commune. Il me toisa de sa petite taille et de toute son autorité minable de concierge et m'annonça que tout cela ne se passerait pas comme ça, qu'il ne pouvait tolérer que l'on rentre dans l'immeuble à des heures pas possibles en y amenant des indésirables. Dans l'absolu, je me foutais de ce que ce mec pouvait penser. Il était, à tout prendre, notre employé, c'est à dire que c'était nous, et non lui qui décidions de la politique de l'immeuble. Enfin, en partie, tout du moins.

Je ne pouvais, néanmoins, éviter de penser qu'il pouvait nous causer de graves ennuis et que, tant que nous vivions dans cet immeuble, il disposerait d'un pouvoir de nuisance important. Je n'ignorais pas, non plus, que ma position professionnelle ne pouvait assumer un scandale. Aussi, je me fis penaud, comme un enfant pris en flag', et acquiesçai à tous ses commentaires. Vincianne se garda bien d'apparaître, consciente que cela ne ferait qu'empirer les choses. Monsieur Denis, néanmoins, semblait ne pas l'entendre de cette oreille. Il se démontait la tête pour tenter de regarder par dessus mon épaule. Mes tentatives pour l'en empêcher étaient vaines, il finit par apercevoir Vincianne, qui attendait dans le salon. Immédiatement, il se crispa. Je vis instantanément le tissu peau de pêche de son survêt' se tendre sur sa bite. Il n'avait pas du rester inactif depuis deux jours et il s'était sans doute si bien branlé en pensant à elle qu'il réagissait au quart de tour. Il me toisa et je commençai à comprendre que le seul moyen de sortir de cette situation était de lui donner satisfaction, d'une certaine manière. Etait-il venu, dès le départ, avec cette intention ou l'avait-elle effleurée en voyant ma femme, je ne saurais dire. J'appelai Vincianne.

Elle sortit du salon, méfiante, et se raidit devant l'aspect peu engageant de Monsieur Denis. Il la salua et, alors que je pensais qu'il allait reprendre le couplet qu'il m'avait servi, il sembla hésiter devant la beauté calme de Vincianne. Sa détermination, néanmoins, devait être bien trempée car il s'adressa à elle en ces termes : « -Madame, ce que vous avez fait est très mal et je vais devoir en référer au conseil de gérance. On ne peut pas se balader toute nue dans les communs, c'est contraire au règlement. Est-ce que je fais ça, moi? – Non, lui répondit Vincianne, qui avait compris où il voulait en venir et qui s'était résignée, vous avez raison, je m'en remets à votre discrétion. » Son visage se décomposa et il commença à bredouiller tandis que Vincianne entrouvrit son cardigan sur sa peau nacrée, révélant son soutien gorge blanc pur. Elle prit le concierge par la main et le fit entrer dans le hall, accompagné de son odeur de pipe et de patates.

A peine à l'intérieur, elle l'agrippa par la queue à travers le tissu douteux et commença à le masser, tandis qu'elle fourrait son visage entre ses seins. Il en avait les bras ballant d'étonnement, et faillit avoir une attaque lorsque, sur mon ordre, elle baissa sa jupe et sa culotte pour le laisser voir son corps. Il matait comme un malade, mais ma présence semblait le bloquer complètement. Vincianne lui dit que je devais rester, que c'était à prendre ou à laisser. Il était beaucoup trop excité pour laisser tomber et il se résigna. Il approcha ses grosses mains calleuses de ses fesses pour les caresser et glissa un doigt entre les jambes jusqu'à caresser la chatte encore sèche. Vincianne me jetait de fréquents coups d'œil à la fois apeurée et très excitée. Je l'encourageai du regard à aller plus loin.

Elle ôta son cardigan et son soutien gorge, se retrouvant complètement nue devant ce porc en training. L'humiliation qu'elle devait ressentir semblait un moteur pour son excitation. Elle me regarda, pour se donner du courage, et plongea dans le stupre pour sauver les apparences. Elle frotta son corps contre le tissu, sa peau délicate contre le synthétique brun tâché. Une tache, particulièrement, retenait mon attention, à hauteur de l'aine, un peu luisante. Une tache de sperme, à n'en pas douter, qui côtoyait des souillures de nourriture du matin (j'espérais) et de déchets de jardin. Je savais qu'il n'avait pas jardiné depuis le week-end passé, aussi sa saleté pouvait-elle être datée. Je frissonnai en pensant à l'odeur qu'il dégageait et qui devait être entêtante depuis là où le flairait Vincianne. Cela semblait, au contraire, l'exciter, contre toute attente. Elle écarta les jambes et frotta son pubis contre la hanche de Monsieur Denis, sa chatte effleurant le sperme séché qu'elle avait, elle aussi, repéré. Lorsqu'elle écarta son corps, je vis que son excitation était montée en flèche et qu'elle avait, comme un escargot, abandonné au tissu spongieux une traînée de mouille. Elle se frotta à nouveau sur lui, arquant son corps contre le concierge tandis qu'il continuait à lui pétrir les fesses. Sa chatte s'approcha du renflement du survêt' du concierge et elle se frotta de plus belle, les lèvres de sa chatte aspirant presque le tissu entre elles.

Lorsque la main du concierge revint vers la chatte, il crut qu'il allait exploser. La mouille abondante qu'il cueillit au creux de sa paume était un cadeau inespéré pour lui, le genre de choses qu'il n'avait jamais reçu de toute sa vie. Il baissa son visage vers les seins de Vincianne pour les téter, ce qui eut pour effet un nouveau jet de mouille. Depuis toutes ces années, aucune femme ne l'avait même regardé et voilà qu'une belle bourgeoise, jeune, bien foutue se frottait, toute nue, contre lui. Le fait qu'elle n'ait pas vraiment le choix de faire cela l'excitait à fond. Il assumait sans aucun complexe le rôle de la contrainte qu'on lui avait fait endosser. Cette femme qu'il obligeait à s'avilir contre lui, bien loin de la prendre en pitié, il avait la ferme intention de l'exploiter jusqu'au bout. Une pute, voilà ce qu'elle était, qui se faisait sauter par des nègres. Son mari, une pédale qui laissait faire.

Vincianne s'excitait de s'humilier ainsi, et frotter son clitoris contre la bite à travers le tissu lui envoyait des décharges électriques dans le corps. Elle n'avait jamais imaginé qu'elle pourrait s'exciter avec ce vieux porc qui la matait impudiquement chaque fois qu'elle passait dans le hall, qui, pour toute communication, grognait dans sa loge et qui sentait la bouffe et la pipe. Lorsqu'il lui appuya sur la tête pour la faire s'agenouiller, elle coula comme une fontaine. Elle agrippa le pantalon de jogging et le baissa d'un coup sec, faisant apparaître un slip kangourou un peu douteux gonflé par la bite du concierge. Elle embrassa le membre à travers le tissu, flairant les odeurs qui lui montaient à la tête. Elle glissa sa langue dans l'entrebâillement du slip détendu pour lécher les couilles velues, massant la bite. Les effluves qui l'emportaient se faisaient de plus en plus lourdes, la sueur qui venait aigrir les couilles lui titillait les papilles.

Elle s'enivra des parfums prolétaires, à genoux, offerte au plaisir du vieux mec. Elle fit glisser délicatement le slip jusqu'à apercevoir les poils gris blanc du pubis, une couleur qui sembla l'électriser, puis le haut de la queue surgir comme un diable d'une boite. Ce vieux schnock bandait comme un fou, une sorte de chant du cygne de l'excitation, il semblait avoir rassemblé tout son potentiel pour cette ultime bataille. Vincianne accompagne d'un air gourmand la révélation du sexe hors du slip. Malgré l'excitation, je prenais cette queue en pitié. Par rapport à ce que Vincianne s'était pris dans la chatte deux jours avant, on aurait dit un jouet, mais elle ne semblait pas s'en formaliser. Sans doute, depuis jeudi, sa chatte s'était-elle déjà refermée, comme un écrin pour le prochain bijou. Elle empoigna la queue d'une main, et les couilles de l'autre. Je crus que le concierge allait juter à la seconde, tant son visage s'empourpra. Sa veille bite, depuis longtemps privée de femmes, qui ne connaissait plus que le rude contact de sa main, palpitait, comme animée d'une vie propre, à l'idée de ces réjouissances.

Vincianne commença à masturber la bite, doucement, sans décalotter le gland, juste en massant la hampe courtaude, mais large, largement veinée, sa main glissant sur la peau, l'autre effleurant les couilles très poilues, comme striées de flocons de neige. Elle fit, ensuite, glisser le prépuce sur le gland et lui administra un baiser sur le méat, tétant une goutte d'excitation, avant de l'encercler de sa langue. Elle l'emboucha et le téta comme une folle, le nez enfoui dans les poils blancs, le faisant gonfler plus encore, aspirant dans sa queue tout le sang de cet homme. Ses mains s'étaient refermées sur les fesses molles, attirant plus encore dans sa bouche la pine bondissante.

Le concierge croyait rêver. Sa pine coulissait dans cette bouche brûlante comme dans une cheminée de volcan. Il lui ramonait la bouche et chaque fois que les papilles de la langue frôlaient la peau de son gland, il ressentait dans la colonne vertébrale des décharges de plaisir. Cette petite pute, cette bêcheuse, qui ne lui avait jamais rien offert d'autre que des regards distraits et distants, s'occupait, maintenant, de sa bite pour de bon. Elle semblait aimer ça, en plus, et il mit tout en œuvre pour la satisfaire, même s'il était décidé à faire passer son propre plaisir avant tout. Il lui poussa la tête vers son corps, fouillant sa chevelure brune, ses cheveux si doux et si fins qu'il ne les sentait pas de ses gros doigts abîmés par le travail. Il n'aurait jamais pensé qu'il pourrait encore se taper une si jeune fille. Il y a quelques années, il s'était encore envoyé quelques prostituées, mais elles étaient bien moins jeunes que celle-ci, et bien moins fraîches. Sa bouche, bien que brûlante, était ferme, les lèvres dures, mais abandonnées. Le visage sans rides où disparaissait son gros membre fripé l'excitait à mort.

Ma femme n'en revenait pas de ce qu'elle sentait comme potentiel de jouissance dans ce vieux type. Il semblait ne plus avoir baisé depuis des années. La tâche de sperme sur son fute démontrait bien qu'il se branlait encore, mais, en tous cas, cela faisait certainement des années qu'il ne s'était plus fait sucer. Ca l'excitait au plus haut point et elle se remit à mouiller comme une fontaine. Elle était prête à le faire exploser avec sa bouche quand il lui agrippa le menton, bien décidé à se faire jouir dans sa chatte. Il lui dit : « Hein, que tu vas bien me faire jouir, petite traînée. Tu vas me faire jouir dans ta petite fente. Depuis toutes ces années que tu me méprises, tu ne t'en doutais pas, hein, que tu couinerais pour que je te baise. Dis le moi, que tu veux que je te baise. – Oh, oui, j'en ai envie, lui dit-elle, d'une voix rauque, j'ai très envie de votre grosse queue en moi, que vous me fassiez jouir et que vous vous lâchiez en moi. »

Il l'allongea sur le banc du hall, une perle louis XVI, et elle écarta ses jambes blanches, s'offrant à l'homme. Il approcha sa grosse bite de la fente de Vincianne et y frotta son gland pour l'ouvrir. Elle s'abandonna avec un chuintement, laissant le passage, et la lèvre caressa le bourrelet du gland. Elle me jeta un coup d'œil, comme pour me faire voir qu'elle ne m'avait pas oublié, que ma présence la rassurait et lui permettait de se livrer corps et âme à ce mec.

Il pénétra sa chatte gluante d'un coup, heurtant le fond tendre de son gros gland. Vincianne, qui avait, depuis quelques semaines, pris l'habitude de jouir à répétitions, s'abandonna une première fois. Les poils blancs et rêches se mêlaient, maintenant, comme du velcro aux poils soyeux de Vincianne. Il avait perdu le souvenir du contact élastique d'une jeune chatte, l'impression de sentir sa queue comprimée dans un étau de soie humide et mouvant. Pour la première fois depuis des années, il n'avait pas l'impression de flotter dans un vagin écartelé, mais se berçait de la douce illusion de défricher cette grotte sombre. Sa queue, pourtant petite et lubrifiée par des tonnes de mouille, semblait se nicher dans ce trou serré, poussant la tête à la recherche de toujours plus de profondeur.

Vincianne sentait, elle aussi, la queue fureter en elle, à la recherche d'un coin pour s'y blottir, comme pour attendre la jouissance au chaud, tout au fond. Elle sentait les couilles lourdes se lover à l'entrée de son cul, le massant du même mouvement rotatif que la queue dans ses entrailles. Le concierge s'était affalé sur elle, les mains sous les fesses de ma femme, maximisant les surfaces de contact, l'enveloppant de son corps un peu gras, coulant sur elle comme un nappage, fondant réellement. Elle sentait le pouvoir de l'abandon total de ce type, qui suait sur elle, en pleine extase. Je pouvais deviner sa jouissance à se laisser ainsi sauter devant moi par le genre de personnes que je n'aurais jamais imaginé même pouvoir la regarder. Plus il était laid et vieux, et suant, plus Vincianne prenait son pied. En s'offrant, ainsi à lui alors qu'elle me gardait à distance, elle me signifiait que sa jouissance lui appartenait, que je n'étais qu'un pion. Elle laissait le mec lui lécher les nichons avec volupté, jouissant des coups de langue qui faisaient un contrepoint aux coups de queue. Elle s'abandonna lorsqu'il lui murmura au creux de l'oreille : « Tu aimes ça, te faire baiser par des vieux, hein, si tu savais comme j'en ai rêvé de ce moment, comme je me suis bien branlé, souvent, en pensant à toi, à ton cul, à ta petite moule, comme j'ai juté pour toi. – Oh oui, dit-elle, jutez pour moi, en moi, sur moi, baisez-moi. – Tu parles que je vais te baiser, salope, je vais te faire crier, je vais te faire crier mon nom.- Oh, oui, Monsieuuuuuuuur, gémit-elle. »

Monsieur Denis, la bite plus dure qu'il ne l'avait eue depuis des années, pilonnait Vincianne avec méthode, repoussant de sa queue dans la chatte une mouille dégoulinante. Les jus de leurs plaisirs mêlés clapotaient et coulaient sur le tissu du banc. Il sentait chaque pulsation du corps de ma femme répondre aux pressions de son propre corps. Les muscles de la chatte serrée malaxaient sa queue et le bourrelet de son gland râpait contre les parois roses. Il était fou des bruits humides que produisait leur union, et fou du plaisir qu'il donnait à cette femme et qu'elle lui donnait en retour. Il me regarda d'un air de pitié, comme s'il voulait insister sur le fait que c'était lui, et non moi, qui la baisait et en jouissait. Il se pensait supérieur parce qu'elle miaulait sous sa queue, qu'il devinait qu'elle ne jouissait pas comme ça de moi. Tout cela semblait l'exciter au plus haut point. Il la baisait à présent en me regardant, et j'étais comme le miroir de sa jouissance. Chaque moue de ma part l'éclairait sur ce que devait ressentir Vincianne, chaque contraction d'envie et de frustration sur mon visage le renforçait dans sa domination.

Vincianne sentait monter les orgasmes les uns après les autres, perçant son corps comme ce dard en elle. Elle m'offrait des regards troubles, reflets de son abandon. Elle était seule face à sa jouissance, et j'étais relégué au rang de spectateur. Plus encore que quand les deux noirs l'avaient prise, elle prenait conscience de ma passivité, de mon impuissance et de mon trouble devant sa fente violée par cette misérable queue. Elle me jetait des regards de défi, comme pour me dire que si elle s'envoyait celui-là, elle pouvait se faire sauter par n'importe qui, elle me signifiait qu'elle se ferait baiser par le premier venu. Elle observait mon regard, qui ne pouvait se détacher de la queue qui entrait en cadence dans sa fente, et elle bougea un peu, roulant sur une fesse et écartant les jambes, pour me faciliter la vision. J'eus alors un aperçu idéal de la pénétration, et de la dilatation du sphincter sous les coups de la queue irrégulière. Les veines de la bite du concierge butaient sur les poils de la chatte de Vincianne et sur les lèvres gorgées de sang, avant de s'y engouffrer, lubrifiées par la mouille abondante. Les couilles venaient battre, au travers des fesses écartées, le cul rose et palpitant. Chaque poussée de la queue dans le corps de ma femme rapprochait Monsieur Denis de l'orgasme, le gland frottant les parois trempées, et chaque fois que la queue ressortait, les lèvres semblaient vouloir se détacher de la chatte pour la suivre, comme soudée à cette vieille bite.

Le concierge commença à perdre le rythme, annonçant secrètement son plaisir, et elle le fit pénétrer plus loin encore en elle, arquant son bassin pour lui offrir un réceptacle pour son foutre, lubrifié par les orgasmes qu'il lui avait donnés. Elle l'encouragea à jouir : « Allez, c'est bon, lâchez-vous, je vous attends, donnez-moi ce que vous voulez, ce que je veux, libérez-vous en moi, jouissez. Allez-y, putain, jouissez, je veux sentir votre sperme. N'hésitez pas, je suis à vous, je suis votre pute, rien que pour vous, donnez-moi votre sperme. » Il ne résista pas longtemps à ce traitement verbal et Vincianne sentit les couilles durcir plus encore et se contracter contre son cul, la bite pulsa en elle, les giclées montant à l'assaut du membre et, expulsées du gland, coulèrent comme de la lave en elle. « Ah, putain, je viens, je viens, s'exclama le concierge. » La paresse des flux de sperme, bavés plutôt que projetés, la déçut, mais l'abondance du foutre la combla. Elle se sentit réellement remplie de sperme, le recevant comme une rivière puissante plutôt que comme un torrent impétueux. Elle sentait avec volupté les flots dans son vagin, brassés par les ultimes sursauts de la queue, si tiède, qui la massait. En faisant jouir ce vieux mec, elle accueillait en elle un nouveau sperme, encore, qui venait secrètement l'enduire comme un baume.

Il ahanait, se vidant de ce qui lui semblait des siècles de foutre accumulé.Il s'écrasait contre les seins de Vincianne de tout son poids, écrasant son ventre ferme de sa bedaine mollissante, en cet instant, le plus accompli des hommes. Son sperme lourd et brûlant coulait de son gland en flux continu, inondant la petite pute qui s'était offerte et qui l'avait bien fait jouir. Ses fesses molles étaient contractées de plaisir et des spasmes de jouissance traversaient son corps, de moins en moins fréquents, de plus en plus profonds. Monsieur Denis retira sa bite mollissante de la grotte de ma femme avec un plop! Elle était laide, à présent, fripée et luisante; elle retournait se réfugier dans les poils blancs. Le gland se posta juste au dessus du pubis, sous les efforts du concierge pour se relever. Le vagin ouvert sur les restes de jouissance, laissait apercevoir les muqueuses souillées de traces blanchâtres. Une grosse goutte de sperme jaunâtre coula encore paresseusement du méat sur les poils soyeux, de manière plus obscène que tout. Je jouis à ce moment-là, tout seul, dans mon froc.

Monsieur Denis passa devant moi sans un mot, mais avec dans le regard tout à la fois de la pitié et du défi. Son sperme clapotait encore dans le ventre de ma femme, coulant entre ses jambes maintenant serrées et souillant mon banc. Et moi, il voyait s'agrandir sur ma braguette une tache plus sombre, l'aveu de ma faiblesse. Ce serait peut-être la dernière fois qu'il se taperait une petite salope comme ça, mais au moins, il l'avait bien fait jouir, pensait-il. Il enfila son slip, remballant dans son intimité tous les jus mêlés, les siens et ceux que ma femme avait fait couler pour lui, et qui maculaient son sexe et ses couilles, les dernières gouttes de mouille blotties contre le bourrelet du gland, sous le prépuce. Il retourna chez lui, dans sa loge et je devins presque fou en pensant qu'il passerait l'après-midi à laisser sécher sur sa queue les jus intimes de ma femme en se tripotant distraitement. Peut-être même se branlerait-t-il une fois encore, en reniflant, sur ses doigts, l'odeur de son sperme et de la mouille de Vincianne. Il partit sans un mot, mais avec un regard vers ma femme qui en disait long sur ce qu'il ressentait.

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