Sarah et Son Fils Esclave 01

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Sarah stoppa sa moto sur la place du village.
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Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 03/18/2021
Créé 08/30/2008
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Sarah stoppa sa moto sur la place du village. Elle paraissait toute petite sur la grosse cylindrée. Seuls les rares touristes en ce début mai la dévisageaient. Les habitants de ce village de Haute Provence ne lui portaient aucune attention, pas plus qu'à son fils, filiforme jeune homme couvé par sa mère. Il se dirigea vers la boulangerie, prit la commande, régla et vérifia la monnaie. Martine l'opulente boulangère lui demanda :

- Alors Martin, toujours deux baguettes?

- Oui, Madame.

- Passe le bonjour à ta maman.

- Bien Madame.

Martin sorti de la boulangerie, rejoignit sa mère. Elégante dans sa robe à fleurs, chaussée de sandales aux talons vertigineux, Sarah contrastait avec son fils. Déterminée, extravertie, elle croquait la vie à pleines dents. Sa tenue peu propice à faire de la moto l'excitait, elle savait attirer les regards masculins. D'ailleurs les vendeurs du marché ne lui faisaient plus d'avances, Sarah ne les aurait pas accepté. Certains pensaient qu'elle était nymphomane, d'autres qu'elle organisait des parties dans la plus belle villa du village. Sarah aimait aguicher, elle voyait le regard jaloux des femmes, même des jeunes. Pourtant elle était respectée par tous depuis qu'elle avait tiré sur un voleur dans sa propriété. Elle avait contribué à l'arrestation d'une bande sévissant dans la région.

Manipuler était un jeu pour elle, si un male succombait à ses charmes, il devenait sa chose, patiemment il perdait ses certitudes de male dominateur pour se transformer en marionnette. Au lit elle prenait le pouvoir, dominait les ébats. Malheur au pauvre qui ne la satisfaisait pas au bout de la nuit. Pourtant, tous gardaient un souvenir impérissable de ces nuits d'amour, la meilleure expérience de leurs vies. Lorsqu'elle les jetait, car Sarah n'aimait pas s'attacher, ils étaient des loques, bafoués dans leurs orgueils, humiliés mais heureux d'avoir partagé quelques heures d'une sacrée femme.

Martin lui avait la chance de partager la vie de Sarah. Peu de gens l'envieraient s'ils connaissaient la vérité. Martin lui s'en accommodait. Timide, il ne connaissait rien de la vie extérieure. Mais il aimait sa vie. Dix huit années de joie à servir une femme et quelle femme! Energique, capricieuse Sarah avait enseigné à son fils l'art de l'aimer au-delà de toutes les contraintes sociales, de toute morale, au delà de toutes limites. Il vivait nu, toujours disponible pour servir son exigeante génitrice. Sarah alternait les douceurs, câlins, baisers, caresses et l'autorité. Ses ordres n'attendaient pas, obéir était impératif. Les travaux ménager, l'entretien de la vaste demeure mais aussi de la garde robe de Sarah et des ses chaussures occupait le plus clair de son temps. Mais il était aussi chargé du corps de sa mère, massages, vernis à ongles, soins de beauté. Souvent son pénis se cabrait, se gonflait de désir. Il aimait alors sentir les doigts qui enveloppaient son membre, lui procuraient d'incroyables sensations. Sarah prenait garde cependant à ne pas le faire jouir. Elle adorait le voir excité, frustré. Elle concluait ses caresses par une retentissante paire de gifles. Parfois elle délaissait l'organe male pendant plusieurs semaines. Martin se faisait alors encore plus servile.

Sarah arrêta sa moto devant le perron de sa propriété. Elle descendit à la suite de Martin qui portait les quelques courses. Elle se colla contre lui, sa main s'empara du pénis gonflé à travers le short du garçon.

- J'ai remarqué que tu bandais dès que je t'emmène faire de la moto, chéri.

- Maman, c'est mal, je le sais, mais vous êtes si belle à piloter un tel engin. Et je sers votre superbe corps dans mes bras.

- Tu n'es pas mon amant, tu es mon fils. Tu m'aimes c'est naturel, tu sais combien ta vie dépend de moi!

- Oui, Mère.

Elle se dirigea vers la porte d'entrée.

- Je vais à la piscine, rejoins moi dès que tu auras fini de ranger et apporte moi une vodka.

Dix minutes plus tard Martin se présenta nu, sexe érigé, un plateau à la main. Il s'agenouilla à coté du relax de Sarah et attendit. La belle nageait nue dans la piscine, ses seins fendaient l'eau. Martin stoïque, attendait au soleil. Il contempla les mules maternelles. Un frisson parcouru son corps. Hier après midi, Sarah avait pris un bain de soleil, vêtue d'un maillot une pièce, elle portait les mêmes mules et Martin avait passé trois heures à sucer les talons. Sa bouche avait doublé de volume sous le travail n'acceptant aucune faiblesse. Pourtant en fin d'après midi, Sarah l'avait giflé, serré ses testicules, trouvant qu'il manquait d'ardeur. Alors il avait continué à s'occuper des talons toute la soirée pendant que la cruelle Sarah lisait le dernier roman à la mode.

Sarah sortit de la piscine, Martin ne regarda pas son sexe, inutile, il ne pouvait pas se durcir plus. Elle s'installa sur une chaise longue ignorant un moment son fils. Elle ferma ses yeux. Elle revoyait l'amour que lui portait son seul enfant. Certes il léchait la moindre parcelle de son corps, certes il obéissait au moindre de ses caprices. Sarah sentit soudain son ventre se tordre, une irrésistible envie de baiser la prit. Elle prit le verre de vodka et le but cul sec. Puis elle glissa un doigt, négligemment sur son clitoris. Oui, son fils l'aimait, elle appréciait sentir le corps juvénile se serrer contre elle, la bouche dévorer ses tétons, les doigts se glisser entre ses cuisses. Elle jouissait, oui, elle jouissait deux, trois fois, sentant la frustration envahir le corps de Martin. Jamais il ne disait un mot de désarroi, au contraire il remerciait sa mère d'avoir eut l'honneur de toucher ce précieux tabernacle qui faisait d'elle un despote absolu. Combien de fois avait-elle expliqué à son fils la supériorité du vagin sur le sexe masculin? Combien de fois avait-elle expliqué qu'il était naturel pour lui de consacrer sa vie à le satisfaire? Chaque fois, Martin avait compris, s'était excusé de son désir. Chaque fois il avait redoublé d'ardeur pour lui plaire. Le summum était de le voir jaloux de ses amants. Le pauvre puceau enviait les males tolérés dans le lit maternel. Sarah avait souvent comparée la taille du sexe d'un de ses amants à celui de son fils. Il était humilié de voir combien sa mère préférait un membre viril large et long. Et le jour ou elle avait comparé le talon de sa mule, plus long que son pénis, 12 cm de bois que son malheureux fils ne pouvait surpasser, il avait pleuré de longues heures et malgré la honte il avait encore léché avec ferveur le minou de Sarah.

Sarah se redressa, elle vit le pénis tendu, le caressa et prit le gland entre deux doigts. Immédiatement la pièce de chair devint blanchâtre, le corps de Martin se raidit, le plateau trembla. Sarah lui ordonna de le poser puis indiqua son sexe.

- Il est impatient, ta bouche est prête?

- Oui Mère.

- Alors qu'attends tu?

Elle relâcha le sexe et s'étira pour profiter au maximum de la langue. Cinq minutes de délices, Sarah résista, puis comme une furie se leva. Elle bascula Martin et vint s'installer sur son visage. La langue se remit à lécher, sucer. Sarah caressa ses tétons, Elle résista encore un peu avant d'exploser dans un fulgurant orgasme. Epuisée elle se leva, le visage de Martin était luisant de ses secrétions intimes.

- Va nettoyer ton visage chéri et prépares mon déjeuner.

Martin s'exécuta, fier d'avoir procuré du plaisir à Sarah. Le déjeuner, frugal fut rapidement prêt. Il se tenait debout à la gauche de Sarah, la regardant manger. Il ne partageait jamais les repas de sa mère. Il se contentait des restes, parfois l'appétit de Sarah le forçait à sauter un repas. Pourtant cela lui semblait naturel, Sarah n'était pas celle qui possédait tout, avait l'argent? Aujourd'hui pourtant il osa une question.

- Mère, me forcerez vous un jour à vous quitter?

- Drôle de question, chéri, elle palpa les testicules de son fils, tu veux t'émanciper?

- Non Mère, j'ai peur que vous arrangiez un mariage.

- Je ne l'envisage pas. Mais si tel était le cas tu n'aurais rien à dire. Je sais ce qui est bon pour toi.

Elle l'attira contre elle. Il était si malléable, si obéissant.

- Débarrasse, dépêche toi nous allons faire une sortie à moto ;

Dix minutes plus tard Martin se présenta devant Sarah, il avait revêtu un short et un polo blanc léger. Sarah en robe, chaussait des sandales à lanières.

- Chéri, met plutôt ton short rose.

- Mère, il est très moulant.

- Effectivement, j'aime voir ton état.

La balade dura une heure, ponctué d'un arrêt dans une foret calme. Martin en profita pour descendre de moto. Il s'allongea près de Sarah pour lui servir de marchepied. Sarah s'assit sur la moto, posa ses talons sur le torse de son fils. Elle sortit de sa poche un paquet de cigarettes. Après avoir fumé elle décida du retour. Martin repris sa place sur la moto. Il serrait sa mère. Il posa son visage sur le dos de sa mère. Celle-ci devait sentir à travers le short son émoi. Martin pensa au soir, Sarah exigerait sans doute qu'il dorme dans ses bras. Il imagina son corps nu de jeune male blotti contre la nuisette de Sarah. Il s'abandonna à ses pensées. Quelques instants plus tard la moto quitta la route pour s'engager sur un chemin forestier. Sarah stoppa sa moto après avoir roulé cinq cent mètres. Elle fit descendre son fils, lui prit la main. Elle le conduisit près d'un chêne centenaire. Elle baissa le short de Martin. Le pénis était dur, droit. Sarah se pencha, trouva un bout de bois au pied de l'arbre. La fine baguette fendit l'air.

- Mon chéri, je conduis une moto, tu te permets de coller ton minable pénis contre mes fesses, impudent! Ne t'ai-je point appris que je suis seule à décider de l'usage de ton pénis? (Elle soulève les bourses du bout de la baguette). Désires-tu que je me montre cruelle, moi qui t'aime tant?

- Pardon Mère, je me suis perdu dans des pensées honteuses.

- Raconte!

- Je pensais à ce soir, votre corps serré contre moi, votre main caressant mon torse, mes cuisses...

- Cela tombe mal, ce soir j'ai invité Chaz, j'ai besoin de virilité dans mon lit. Bien tu vas rentrer à pied, trois kilomètres, trente minutes, retire tes chaussures, ton short.

- Je serai nu, Mère!

- Mais non tu as un polo.

Sarah joua encore avec les bourses de Martin. Elles devaient être bien pleines. Enfin elle se décida et enfourcha sa moto. Elle regarda sa montre et partit dans un rugissant de moteur. Martin regarda le nuage de poussière s'éloigner. Les deux premiers kilomètres seraient faciles à parcourir mais ensuite Martin devrait parcourir la fin de son chemin entre les villas. Si quelqu'un se trouvait sur la route il risquait de devoir se cacher et perdre du temps. Il prit son courage à deux mains et courut. Heureusement tout se passa bien même si ses pieds nus s'écorchaient. Il arriva en vue de la villa de Sarah. Au moment de franchir le portail une voix le pétrifia.

- Alors joli cul, on se promène?

Tétanisé, Martin se retourna. Sophie la fille de Martine la boulangère regagnait le village à vélo. Elle rigolait de le voir nu. Elle fixa le pénis flasque.

- Ne rougit pas, Martin.

Il voulut ouvrir le portail mais Sophie l'avait rejoint. Elle posa le vélo.

- Une minute, pourquoi es-tu nu?

- Je... j'ai déchiré mon short.

- Ce n'est pas bien de mentir!

- Maman, maman m'a puni.

- Vraiment?

- Oui, je dois rentrer vite il ne me reste que deux minutes.

- Sinon tu seras encore puni?

- Oui, maman est très stricte.

- Je sais, tout le monde le sait au village. Bon je garderai notre secret

Elle caressa les fesses de Martin. Il ne bougea pas. Elle fut surprise de la réaction du garçon qui se laissa faire docilement. Elle s'aventura plus avant, effleura le pénis. Martin restait figé. Elle posa une bise sur sa joue.

- Dépêches toi, ta mère va te gronder.

Elle remonta sur son vélo, se retourna vers la villa, Martin courrait sur le gravier. Au loin il lui sembla voir Sarah. Martin allait passer un sale quart d'heure. Effectivement, Martin arriva devant sa mère.

- Je suis là, Mère.

- Deux minutes de retard.

- J'ai été retardé.

- Pourquoi?

Martin ne chercha pas à dissimuler la cause de son retard. Sarah sembla très intéressée par le récit.

- Je connais Sophie, elle est très belle. Elle a ton age, voudrais tu que je l'invite un après midi?

- Oh non! Elle semble perverse.

- Suis-je perverse?

- Non mère.

- Pourtant je t'oblige à vivre nu, aurais-tu honte si une jeune femme partageait un moment avec nous?

- Mais elle va parler, tout le village...

- Tout le village sait que tu es timide et couvé. Elle ne dira rien, au contraire je suis certaine que cela lui plaira beaucoup.

Chaz lui s'était installé pour le week-end. Martin n'avait pas aimé. L'homme touchait sa mère, l'embrassait, lui parlait crûment. L'attitude de Sarah était celle d'une chatte en chaleur, elle palpait devant son fils le membre viril impressionnant. Ils avaient passé de nombreuses heures au lit. Martin était jaloux. Enfin dimanche soir les amants s'étaient quittés, Chaz visiblement avait tout donné, il semblait fatigué. Sarah humilia Martin au moment du départ. Elle demanda à Chaz de caresser le sexe de Martin. Celui-ci ne se fit pas prier. Martin fut très surpris, son pénis se dressa.

- La prochaine fois je prendrai ton cul, mon mignon.

- Bonne idée, rétorqua Sarah, il a besoin d'une bonne expérience avec un vrai male.

L'homme quitta la villa. Martin livide regarda sa mère.

- Martin, c'est pour ton bien. Tu dois me contenter, mais tu dois aussi être docile avec mes amants. Cela fait parti de tes devoirs.

- Mais sa verge est démesurée! Il va me faire mal.

- Tu veux que je t'entraîne?

- Pardon.

- Il existe des godes spéciaux pour femmes. Une sorte de ceinture et il devient facile de pénétrer un anus ou un vagin! (Elle éclata de rire)

Vendredi, Martin avait débarqué dans la boulangerie. Ce n'était pas Martine qui l'accueillit mais Sophie. Martin d'une voix chevrotante demanda le pain et paya. Sur le pas de la porte il entendit Sophie murmurer :

- A ce soir, Martin.

Lorsqu'il retrouva Sarah sur la place il tremblait.

- Que t'arrives-t-il chéri?

- Sophie, elle m'a dit à ce soir.

- Oui, je l'ai invité à dîner. Tu feras le service.

- Nu Mère?

- Ce ne sera pas la première fois que Sophie pourra admirer tes fesses.

Martin suivi Sarah, elle acheta de nombreuses victuailles que Martin portait. Puis elle se dirigea vers la boutique de chaussures. Elle se pencha vers son fils et lui glissa quelques mots à l'oreille.

- J'ai besoin d'une paire de sandales pour ce soir, hauts talons, coupe sexy et des lanières. Tu vas m'aider à choisir.

- Oui, Mère.

Le choix fut délicat entre trois modèles. Martin pourtant succombât pour une paire de sandales aux talons métalliques de douze centimètres. Sarah semblait ravie du choix. Elle se demandait si Martin se doutait qu'elle les utiliserait pour marcher sur lui. Une conversation avec sa sœur l'avait excitée au plus haut point. Kathy, comme Sarah, dominait les males. Son mari vivait un calvaire bien plus éprouvant que Martin. Kathy avait en effet un goût très prononcé pour les jeux extrêmes. Depuis deux ans elle harcelait Sarah pour que Martin passe quinze jours chez elle. Elle voulait tester sa résistance, sa motivation. Sarah se dirigea vers sa voiture, ils devaient encore chercher un petit meuble chez une voisine.

De retour à la villa, Martin installa le guéridon dans l'entrée, Sarah posa dessus un gode de trente centimètres. Martin regarda l'engin et se demanda si Sophie ferait une remarque.

Dans quelques heures Sophie serait là et lui une fois de plus humilié, simplement pour faire plaisir à Sarah, simplement parce qu'il aimait sa mère.

Fin de la première partie.

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2 Commentaires
shyonesshyonesil y a plus de 15 ans
Très erotique

Normalement, je ne m'intéresse point de l'inceste ou de l'humiliation des hommes, mais cette histoire est tellement erotique et bien écrit que je bandais autant que Martin. Bon boulot!

mafemafeil y a plus de 15 ansAuteur
Vous voulez voir la suite?

Pour voir la suite, ça se passe sur; http://www.momdom.net/forum

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