Qu'il Est Bon De Lier Amitié!

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Une sulfureuse première expérience échangiste et saphique...
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Maxile
Maxile
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Qu'il est bon de lier amitié!...

Voila plusieurs semaines que nous avons organisé ce moment privilégié, ma femme Mathilde et moi même, Aurélien.

Nous avons rencontré ce couple en faisant nos emplettes au salon de l'érotisme. Devant un stand de divers gadgets, nos deux femmes choisissaient timidement de délicieux jouets vibrants lorsque leurs choix se sont portés sur le même charmant modèle de gode anal. Elles ont alors croisées leurs regards complices et nous avons échangés tous les quatre quelques paroles agréables. Nous avons décidé de boire un verre ensemble à la « buvette » de ce salon de l'érotisme en regardant un show de strip-tease plutôt excitant...

Ils ont la quarantaine, comme nous. Ils ont un comportement élégant, sans snobisme, mais avec une allure que nous prétendons cultiver également, Mathilde et moi. Simples et directs, souriants et détendus, cultivés mais ne cherchant pas à compliquer ni intellectualiser les plaisirs simples et puissants, le contact est naturellement passé entre nous quatre, sans autre embarras que celui des premiers pas.

La discussion est immédiatement partie sur les fantasmes de nos épouses, car leurs deux regards semblaient briller plus encore que les nôtres à la vue d'une fille somptueuse qui ondulait, nue, sous nos yeux. L'une comme l'autre avouèrent une fièvre particulière à l'idée de caresser et d'embrasser le corps d'une autre femme, ...mais l'une comme l'autre n'avaient jamais eu l'occasion de vivre ce rêve. Emportés par l'ambiance chaude de l'instant, et par je ne sais quelle magie de l'enchaînement des paroles, nous avons décidés de nous retrouver tous les quatre pour un week-end de complicité et de plaisirs...Mathilde et moi nous chargions de son organisation...

...Nous nous sommes retrouvés dans le salon de la réception, à l'entrée de cet établissement de chambres d'hôtes, il y a simplement une demi-heure. Léo et moi sommes habillés d'une façon simple mais élégante. Notre style un peu détente ne m'a pas empêché de choisir avec soin un boxer moulant et légèrement transparent qui, en tous cas, plait à Mathilde. Le peu que je connais de Léo me fait penser qu'il a certainement eu la même démarche. Nos femmes, quand à elles, sont éblouissantes et extrêmement séduisantes.

Cécilia porte une robe simple et légère, d'un rouge sombre moiré, très près du corps et assez courte pour dévoiler ses jambes magnifiques. Sa démarche distinguée se pimente d'un léger chaloupé hypnotisant. Les reflets du tissus jouent et dansent sur ses seins. Ces derniers semblent vouloir s'évader de l'étoffe à chacun de ses pas. Les fines bretelles découvrent ses épaules sensuelles et ses bras nus, simplement parés de bijoux d'or fins et délicats. Elle porte des chaussures fines pourpres dont le savant laçage croise haut le long de ses chevilles. Ses longs cheveux roux coulent en cascade sur son dos nu et cambré.

Mathilde a choisi une robe un peu plus longue, dans les tons ivoire agrémentée de motifs légers floraux dans des tons pastels. La robe dévoile également ses épaules, mais elle à choisit d'ajouter un accessoire de mystère et de suggestion : une fine étole de mousseline d'un vieux rose léger, bordée d'un ruban soyeux . Elle est chaussée de petites mules à talons hauts dont l'aspect satiné et ivoire rappelle élégamment sa robe.

Nous avons bus un verre pour nous permettre de renouer le fil évocateur de notre première rencontre. Nous leur avons dit que nous avions réservé deux chambres avec de grands lits...mais que nous avions pris soin de préciser que les chambres devaient communiquer... « Pour un week-end ou tout est permis, il faut que tout soit possible... » avait ajouté Mathilde, ma femme, en glissant un regard savoureux à Cécilia et Léo...

Prétextant devoir défaire nos bagages, nous nous sommes finalement tous dirigés vers nos chambres. Nous nous trouvons à présent devant la porte de la première...

Lorsque nous entrons dans cette chambre d'hôte, au beau milieu de cette magnifique campagne normande...hormis le grand lit évocateur... nous apercevons un petit canapé et quelques coussins qui nous tendent les bras, disposés dans un angle de la chambre et faisant ainsi office de salon.

Ma femme Mathilde y prend place, aux cotés de Cécilia. Elles discutent alors d'une manière très complice, échangeant leurs aventures amoureuses les plus excitantes, avec de brûlants regards. Léo et moi sommes assis en face d'elles, chacun en face de la compagne de l'autre, sur les coussins posés à même le sol. Nos regards indisciplinés de petits loups prédateurs ne peuvent s'empêcher de longer leurs jambes, offertes à notre vue par notre position privilégiée (et, bien entendu, involontaire...) de contre-plongée.

La petite chaînette argentée, qui semble embrasser le bas ivoire de la cheville de Mathilde, juste au dessus de sa fine mule satinée, semble entraîner l'imaginaire de Léo vers de savoureuses contrées...

Pour ma part, je ne peux détacher mes yeux du mouvement lent, sensuel et involontaire de la main de Cécilia qui, toute absorbée par le récit qu'elle fait à Mathilde de sa première aventure sexuelle, caresse le mollet galbé de sa jambe croisée. Cécilia porte de troublants bas pourpres et opaques et d'élégantes chaussures rouge profond. Sa main semble à présent chercher à remonter plus haut sous le bas de sa jupe courte, à chaque va et vient, comme influencée par ma pensée .

Nous avons ouvert une bouteille de champagne et je me suis servi mon pêché mignon, un délicieux whisky, pour m'enivrer un peu plus les sens. A chaque gorgée de champagne, Cécilia lèche du bout de sa langue ses lèvres entrouvertes. elle renouvelle malicieusement ce geste sensuel, encouragée par le rouge qui monte aux joues de Mathilde. Cécilia ne peut déterminer à présent ce qui, de son récit ou de sa langue sensuelle, est responsable de ces petites pointes dures qui couronnent les seins de Mathilde sous le tissus léger de sa robe. Le trouble de ma femme démultiplie le mien.

Tout à coup, l' attention de Cécilia se porte sur Léo et moi. Nous sommes en train de discuter entre hommes, essayant désespérément de contrôler nos voix un peu tremblantes d'émotion, en conservant des airs détendus qui ne trompent personne. Nous venons de tomber d'accord sur le fait que...bien souvent...nous pouvons être sûrs que nous allons avoir beaucoup de plaisir lors d'un « plan sexe » dès les préliminaires...Cécilia interromp notre conversation pour nous avouer :

- «J'ai pour cela quelques secrets dont Léo raffole... »

- « Accepterais tu de me les confier, Cécilia? » demande Mathilde d'une petite voix troublante que je lui connais bien.

- « Bien sûr ma chérie, beaucoup de choses se partagent entre amies...mais...commençons par échanger nos secrets : tu m'en confis un, je t'en offre un en retour...ok? »

- « Avec plaisir! » répond Mathilde à Cécilia, d'un air gourmand « mais, pour être explicite, il vaut mieux que je te montre sur mon mari... »

Cécilia sent une sorte de fièvre l'envahir et elle s'entend répliquer à Mathilde, dans une surenchère de hardiesse sensuelle...et presque malgré elle :

- « Parfait, mais Aurélien, ton mari, ne sera pas objectif sur le plaisir qu'il ressent, il t'aime trop...Je te propose de t'occuper de Léo...Je te ferais une démonstration de mes talents sur Aurélien... vous êtes d'accord messieurs?»

...Un aveugle à t'il envie de voir?...

D'un sourire entendu, les yeux brillants et la voix légèrement vibrante de fébrilité, Mathilde répond :

- « voilà bien les règles du jeu dont je rêvais... »

Puis, repliant ses longues jambes et s'agenouillant ainsi sur le coussin de canapé, à coté de Cécilia, elle poursuit :

- « Tout d'abord j'aime commencer par un léger sourire gourmand, accompagné d'un regard chaud et prometteur... ça, c'est important que tu me regardes le faire...»

Ce disant, Mathilde plonge son regard dans celui de Cécilia en se rapprochant de son visage. Le parfum légèrement chocolaté de Mathilde semble s'échapper de son décolleté. Penchée en avant et ainsi cambrée, Mathilde offre une soudaine vue presque entière de ses seins à Cécilia dont le souffle s'accélère. La bouche de Mathilde est à quelques millimètres de celle de Cécilia et ses seins semblent pointer vers les siens, les désignant comme de futures proies. Cécilia semble prise au dépourvu par la tournure que prennent les choses. Elle ne s'attendait pas à ce que Mathilde s'aventure à la séduire aussi rapidement. Sans quitter Mathilde des yeux, elle pose sa coupe sur le guéridon, semblant vouloir permettre à ses mains les plus folles initiatives.

- Mathilde ajoute dans un souffle sensuel :

- « ...puis, je pose un baiser léger et tiède sur les lèvres de mon amant, presque en les effleurant... »

Elle caresse les lèvres de Cécilia des siennes et sens son souffle sur sa langue. Mathilde réalise alors que la bouche de Cécilia s'est légèrement entrouverte et ses lèvres pulpeuses et humide lui évoquent voluptueusement la petite chatte qu'elle rêve d'aller découvrir entre ses cuisses.

Léo et moi sommes hypnotisés par la scène. Cécilia ferme légèrement ses paupières dans un léger abandon et sa langue souple et pointue sort un instant d'entre ses lèvres pour caresser langoureusement celle de Mathilde. C'est à ce moment que Mathilde, Charmeuse et joueuse, emprisonne de ses lèvres la langue de Cécilia, la suce doucement comme une glace exquise, s'écarte à contre cœur de son fantasme et lui susurre :

« retrouvons nous tout à l'heure...pour le moment, je finit ma confidence...»

Je trouve alors ma femme plus excitante que jamais. Je sais également qu'elle effleure du bout des doigt son fantasme saphique et cette pensée m'apporte un plaisir supplémentaire.

Elle sourit à Cécilia et se tourne alors vers Léo, s'agenouillant devant lui sur le tapis. Les yeux pétillants de Léo trahissent autant son trouble face au jeu de Mathilde que son bonheur de voir chavirer sa femme...Elle s'approche de lui en penchant légèrement son visage de coté, arrête son geste à quelques millimètres de sa bouche, le laissant juste goûter la tiédeur de son souffle et le sucré de son parfum. Son regard toujours plongé dans le sien, elle fait glisser une bretelle de sa robe le long de son bras...la seconde suit et la robe glisse seule sur sa peau de velours. Mathilde se retrouve nue jusqu'à la taille, la poitrine à peine couverte du voile transparent de son étole. Cécilia vois la courbe de son dos et le galbe de son sein droit pointant de désir. Elle aperçois, à la limite du drapé de la robe de Mathilde sur sa taille, le haut de son string et son fin cordon satiné qui plonge entre ses fesses. Elle découvre également un délicat tatouage floral sur le bas de son dos, juste au dessus de la naissance de la raie de ses fesses.

Sans quitter Mathilde des yeux, Cécilia glisse sa main sous sa propre jupe et commence à caresser la peau fine et sensible de l'intérieur de ses cuisses. Avant même d'être remontée suffisamment haut, elle sent déjà sur ses doigts la chaleur de son abricot tendre et lisse, gorgé à présent d'un délicieux nectar. Elle me regarde et son trouble est accentué par ma bandaison, que mon pantalon à bien du mal à contenir. Nos regards se croisent et je commence alors à caresser ma queue à travers mon pantalon. Cécilia se tourne alors légèrement vers moi, écartant ses cuisses pour que je regarde sa main plonger sous le fin tissus mouillé de son « shorty ». Je vois, à travers la dentelle rouge, ses doigts fins, ornés de bijoux, plonger entre ses cuisses. Son enviable majeur entre alors tout entier dans sa chatte. Elle tourne à nouveau son regard vers Mathilde et semble redoubler d'excitation en voyant onduler légèrement ses hanches et les fleurs délicates du tatouage qu'elle porte sur la chute de ses reins.

Mathilde a maintenant entreprit d'ouvrir la chemise de Léo, et sa langue parcoure tendrement son torse sportif pour s'attarder voluptueusement sur ses tétons. Ses mains son occupées à caresser le corps de Léo, mais s'aventurent également impatiemment sous sa propre robe pour goûter le feu qui habite maintenant son entre-cuisse. Elle reprend alors le fil de son explication à l'attention de Cécilia :

- « Maintenant que mes mains sont trop occupées par ma chatte et par l'ouverture du pantalon de Léo, je caresse son torse avec mes seins... »

Léo, sentant la main de Mathilde réussir à ouvrir son pantalon et à se glisser habilement dans son boxer, commence à avoir le souffle court. Les seins de Mathilde s'invitent sur tout le haut de son corps. Cécilia s'imagine quelques instants à la place de son mari et cela augmente encore terriblement son envie de femme. Mathilde se penche alors sur la queue de Léo et entreprend de la lécher sur toute sa longueur. Elle la tient ensuite dans une main et sa langue fraîche et humide s'aventure lentement sur ses couilles...passant dessous...pour remonter sensuellement sur les aines, provoquant des gémissements sourds de la part de Léo. Puis, une à une, elle prend à pleine bouche ses boules délicates et les tête doucement tout en branlant la queue de Léo d'une main experte, alliant subtilement douceur et fermeté. Mathilde est maintenant si penchée sur la queue de Léo que son cul merveilleux semble inviter Cécilia à toutes les audaces.

Maintenant totalement sûre d'elle et du pouvoir de séduction qu'elle exerce sur Cécilia, Mathilde ne peut résister à la provocation ultime, ainsi agenouillée et cambrée devant Cécilia pour s'occuper de son mari : Elle soulève le bas de sa robe légère sur ses hanches, laissant apparaître la jarretière ivoire de ses bas, glisse sa main libre entre ses fesses pour écarter légèrement son string et plonge deux doigts habilles entre les lèvres humide de sa chatte, continuant de sa bouche gourmande à sucer la verge de Léo. Elle fait rouler sa langue agile autour de son gland, l'aspirant et le caressant de ses joues.

Cécilia est maintenant totalement ivre d'émotions. Quatre doigt de sa main sont plongés dans le volcan bouillonnant de son ventre, tandis que son autre main caresse furieusement ses seins qu'elle à libéré, arrachant quasiment le haut de la robe et libérant sa poitrine qu'elle portait libre. J'étais impatient, mais je savais qu'elle viendrait à moi lorsque le moment lui semblerait idéal...Cécilia dit à Mathilde d'une voix que le plaisir avait du mal à poser :

- « je pense avoir bien compris ta leçon, je vais tester cette approche sur ton mari... »

Disant cela, son regard plonge dans le mien, plein de promesses brûlantes. Faisant allusion avec humour aux baisers sur la bouche (qu'elle nous a dit préférer réserver ,du moins en ce qui concerne les hommes, à Léo) elle passe le bout de sa langue rapidement sur ses lèvres, dans un sourire sexy. Je la regarde caresser fermement et lentement ses seins magnifiques et excités. Elle ôte ma chemise et m'embrasse le torse, le léchant parfois à la manière d'un petit chat. Je ne peut résister à l'envie de caresser ses seins. D'abord tendrement, puis plus fougueusement. Ils sont souples et doux, semblant caresser la paume de mes mains plutôt que l'inverse...

Mathilde a maintenant avalé la hampe de Léo, qui se tord d'extase. Elle continue par intermittence son explication pour Cécilia :

- « vois-tu, je trouve agréable d'alterner des rythmes lents avec de plus rapides, et inversement...J'aime aussi aspirer, en tétant doucement le gland de mon amant...puis assouplir ma bouche, le laisser aller et venir un moment comme cela, en léchant d'une langue moelleuse sa queue à l'intérieure de ma bouche... » puis à l'adresse de Léo, d'une voix chaude et murmurée : « qu'en penses-tu mon bel Apollon? »

- « C'est absolument divin », répond Léo.

- « Ce que n'ose pas dire mon mari,...car il a peur que le compliment te choque, ma chérie...c'est que tu es véritablement une délicieuse petite salope et il aime ça!... je dois bien t'avouer que moi aussi!...»

Cécilia connais bien Léo et le vocabulaire qu'il affectionne, mais aujourd'hui elle découvre la gourmandise de dire ce petit mot cru qui va si bien à Mathilde. Ses quelques paroles l'enivrent et elle se demande ce que la bouche de Mathilde pourrait faire avec sa petite chatte, si elle osait passer le cap....

Cécilia décide de livrer à Mathilde un de ses secrets. Elle boit une gorgée de champagne qu'elle garde dans sa bouche. Elle déboutonne mon pantalon, en extrait mon membre dont elle pose le gland sur ses lèvres fermées. Elle me laisse entrer dans sa bouche sans desserrer les lèvres et ma queue se retrouve plongée dans le succulent liquide frais en effervescence. C'est à se damner et Mathilde peut voir à mes râles que c'est un bonheur de sensations...Cécilia me suce un moment de cette façon pour finir par avaler sa gorgée de champagne, prétendant, pour me flatter un peu :

- « Elle a meilleur goût que les précédentes gorgées... »

J'entreprend de me déshabiller entièrement, bien décidé à faire l'amour avec Cécilia et sentir tout son corps sur ma peau. Elle prend ma queue dans sa main. Elle se raidi plus encore au contact de sa paume et mon bas ventre est parcouru d'un intense frisson lorsque sa bouche gourmande enveloppe mon sexe de douceur et de chaleur. Sa seconde main vient caresser mes couilles en les effleurant à peine, tandis que sa bouche, un peu plus fermement, presse mon gland entre sa langue et son palais. Elle relâche ensuite cette petite pression et fait aller et venir sa bouche le long de ma queue, en la caressant de sa langue comme Mathilde le lui a décrit...

Cécilia ressent une irrésistible envie de Mathilde. Je ne peux que la comprendre!.... Elle m'abandonne quelques instants pour s'étendre à plat ventre sur le dos de Mathilde. Passant alors ses mains autours de son corps, elle saisit ses seins en passant sous son étole vaporeuse et les caresse tout en les remontant pour qu'ils enveloppent les couilles de Léo, pendant que Mathilde le suce...Cette dernière gémit de bonheur au contact des mains de Cécilia sur sa poitrine. Mathilde prend alors les doigts de Cécilia dans sa main et les guide le long de son ventre ...les passent entre ses cuisses...et glisse, sans la moindre résistance, quatre d'entre eux dans sa chatte trempée d'envie.

Je me place alors derrière leurs délicieux petits culs, mes mains saisissent les fesses de Cécilia à travers la dentelle de son « shorty »et les écartent doucement et fermement à la fois. Elle me glisse dans un souffle :

« enlèves ma lingerie avec ta bouche, s'il te plait... »

Je prend le bord de dentelle rouge entre mes dents et déshabille lentement ses fesses rondes et lissent. Le parfum de désir de sa chatte me rend fou et je ne peux m'empêcher de goûter de toute ma langue l'abricot ouvert et mouillé qui s'offre à moi. Je fini de la débarrasser de sa culotte, puis j'entre lentement dans sa chatte bouillante et humide, sentant la chaleur de son petit cul sur mon ventre. Je pose mes mains sur ses hanches et commence à faire coulisser ma queue dans son volcanique vagin, qui semble s'ouvrir d'avantage sous l'effet du plaisir. Mes coups de reins sont plus violents à présent, mes couilles claquent sur son clito gonflé d'un brûlant désir. Mes mains sur ses hanches la tiennent fermement et elle sent mon sexe attiser le feu du plus profond de son corps. Une de ses mains malaxe avidement les seins de Mathilde, tandis que l'autre plonge toujours dans son sexe qui n'en fini pas de mouiller. Elles crient toutes les deux maintenant en jouissant et Léo et moi avons le plus grand mal à retenir nos orgasmes.

Pour calmer le jeu, Cécilia décide de m'allonger sur le dos, à même le tapis. Mathilde en profite pour lécher ma queue et dis à Cécilia :

- « J'adore le goût de ta chatte, ma chérie... »

Cécilia rougit à l'évocation de Mathilde. Elle décide de ne pas encore répondre aux suggestions saphiques de ma femme pour laisser encore son propre désir mûrir. C'est alors qu'elle me chevauche et viens s'empaler sur ma queue.

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