Professeur de Piano

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Comment faire bosser son élève avec une carotte.
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romane
romane
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"Histoire soumis dans 'Erotic couplings'. Même problème de soumission que pour 'Vengeance'"

Professeur de piano.

Je suis professeur de piano. J’aime cet instrument et j’aime faire partager ma passion aux autres. Je repaire facilement ceux qui ont du talent de ceux pour qui cela reste un loisir comme un autre. Il fallait parfois une carotte pour faire avancer l’âne.

Je me souviens d’un jeune homme, doué mais pas assez concentré à mon goût. Il avait un don extraordinaire, mais il n’en profitait pas.

Je décidais de faire un marché avec lui. A la fin d’un court, je discutais avec lui.

-Voilà, je trouve que tu as du talent mais tu ne te concentre pas assez. Je te l’ai déjà dit et tu ne m’a pas écouté. Je te propose donc un marché. »

Je pris le déshabillé que j’avais déposé sur la table du salon et le lui montrait. Il était d’une transparence inouïs.

-Si tu te mets à travailler plus assidûment et que tu fais le concert en fin d’année, je te promets de mettre cette petite chose rien que pour toi. »

Il avait les yeux grands ouverts. Il me promit de faire un effort.

Il me fit enfin plaisir, et reçu de superbe note lors du concert de fin d’année. Après le concert, je le pris à part.

-Demain, je te donne le dernier cours de l’année avant tes vacances. J’aimerais que tu joues rien que pour moi. »

-Oui madame. »

Je lui déposais un délicat baisé sur la joue ce qui le fit frissonner.

Je passais l’heure avant son arrivé à me pomponner. Je mis mes plus beau sous-vêtement, string bas, porte-jarretelle et soutien-gorge en satin noir. J’enfilais pour finir, le déshabillé que je lui avais promis de porter.

Le carillon tinta. Je le vis dans le juda. J’ouvris la porte le cœur battant. Ces yeux s’écarquillèrent à ma vue.

-Bonjour Vincent. Entre s’il te plait. »

Il barragouina un vague bonjour tellement je le troublais.

-Chose promise, chose du » lui dis je en tournant sur moi même histoire qu’il profite un peu plus de mes charmes.

J’avais mis des talon haut, ce qui accentuait plus la chute de mes reins.

-Viens me jouer quelque chose. »

Je le précédais jusqu’au salon. Je sentais son regard brûlant sur la courbe de mes fesses. Quand il s’assit sur le tabouret, je remarquais la bosse sur son bas-ventre. Je m’accoudais au piano.

-Joues moi l’air de hier soir. »

Il commença hésitant puis finit par se concentrer malgré ma présence. Je ne pouvais, pour ma part, quitter des yeux la bosse qui marquait son jean. Je me sentis légèrement excité par la situation. Il était majeur, alors au diable les interdits, me dis je.


Je quittais le piano dans une démarche la plus houleuse, voyant qu’il ne me quittait pas des yeux et allait m’asseoir dans le canapé. Je lui fis un signe d’invitation en tapotant la place près de moi.

Il arrêta de jouer et vint me rejoindre tout timide.

-Ce que tu vois te plait? » lui demande je avec malice.

-Oui, oui Madame. »

J’avançais ma main vers son genoux mais il recula.

-Je veux te donner un supplément pour ton excellent travail. »

-Quel, quel supplément madame? »

Je le regardais droit dans les yeux et me levais. Je fit le tour et lui caressais le torse dans son dos.

-J’aimerais soulager la petite chose qui te gêne dans ton jean! » lui dis je sans détour.

Il sursauta et essaya de se dégager de mes caresses. Je vins devant lui et dansais langoureusement.

-Je ne te plais pas? » dis je encore avec malice.

Je dansais tout en retirant mon déshabillé. Une fois en sous-vêtement, j’allais m’asseoir dans le fauteuil juste en face de lui, écartais largement les jambes et me caressais le corps sans le quitter des yeux. Au début, il détourna la tête, par timidité. Mais connaissant trop les mâle, il finis par me regarder. Je me comportais comme une salope, passant une langue sur les lèvres, caressant mes seins puis je finis par me caresser le mont de vénus tout en ondulant du bassin. Je laissais échapper quelques gémissements afin d’attiser encore plus l’atmosphère.

Le sentant à point, je m’approchais de lui, lui tournais le dos et m’essayais à l’effleurer sur son bas ventre comme j’avais vu des strip-teaseuse le faire.. Je frottais mes fesses sur la bosse que formait son sexe. Jamais je ne m’étais comportée de la sorte. Une vrai chienne en chaleur.

Je me relevais et m’agenouillais sur le canapé près de lui.

-Je ne te plais toujours pas? Ce n’est pourtant pas ce que me dit ton petit oiseau. »

Je posais ma main sur la petite chose et le massais. Il soupira mais ne recula pas.

-Laisse toi aller, je vais te faire plaisir. »

Je déboutonnais alors son jean, descendis son caleçon et dégageais son pénis déjà bien turgescent. Il était bien monté le bougre. Je le regardais avec un sourire de satisfaction et embouchais l’engin.

Je lui prodiguais la plus belle des fellation de sa jeune vie. Je m’appliquais afin qu’il ne soit pas déçu. Son engin prit de l’ampleur dans ma bouche. Il gémissait mais ne s’occupait pas de moi, gardant les mains rivées dans le canapé. Je me relevais, dégrafais rapidement mon soutien-gorge avant de retourner à ma tâche. Je pris l’une de ses mains et a posais sur l’un de mes seins. Il s’y prit mal au départ. Je criais lorsqu’il me pinça. Je recrachais son sexe et allais lui parler au creux de l’oreille. Ma main ne le lâcha pas pour autant.

-Doucement mon amour. C’est fragile ces petites choses. Il faut pincer uniquement lorsqu’ils sont dur. »

Je glissais ma langue dans son oreille, lui mordillais le lobe et retournais le sucer. Sans que je le sente venir, il se crispa et déchargea dans ma bouche.

J’étais déçue. Je voulais faire l’amour et ma fougue allait me priver de mon but. J’avalais sa liqueur. Une fois qu’il fut essoré, dois je dire, son membre ne perdit pas de sa superbe. Que c’est beau la jeunesse. Sa caresse devint plus agréable sur ma poitrine.

Le trouvant à point je me levais et retirais mon string que je lui offris. Il n’avait d’yeux que pour ma chatte fraîchement rasé en forme de I.

-Passons au chose sérieuse. Je veux que tu me baises maintenant. »

Je l’aidais à mettre un préservatif que j’avais sortis d’un boite sur la table de salon. Je grimpais sur lui, lui faisant face et tenant son pénis dressé, je m’empalais dessus.

Hummm, cela faisait longtemps. Je me mis à le chevaucher doucement. Je pris son visage et le déposais sur ma poitrine afin qu’il me suce les seins. Nous gémissions en cœur au rythme de ma chevauché. Je voulais être prise en levrette.

Je me levais et allais m’agenouiller au coin du canapé. Je le regardais mais il ne bougeais pas.

-Viens, mon amour. Viens prendre ta belle professeur en levrette. »

Tout en lui disant cela, j’écartais mes lèvres juteuse de deux doigts, me massant légèrement. Il finit par se lever. Je l’aidais à me pénétrer.

-Ok, vas-y baise moi mon cœur. »

Il se débrouilla à merveille. J’eus plusieurs orgasme avant que le plus puissant me terrasse. Son foutre coula dans mes chairs à ma plus grande joie.

Il se retira de moi et je basculais dans le canapé l’entraînant dans mes bras. Je le dévorais de baisés pour le remercier. On flirta même tous les deux. On avait dépassé le temps de cours de bien trois heures.

Je lui proposais de se doucher avant de rentrer chez lui. Je l’embrassais une dernière fois au pas de la porte.

-Passe de bonne vacance mon amour et je t’attends à la rentrée. »

Une main furtive sur son bas ventre me fit constater qu’il était de nouveau au garde à vous.

-Hummm, j’envies tes copines de vacances. N’oublie pas de mettre un préservatif? » lui dis je comme un mère.

Je refermais la porte.

A la rentrée, on repris des relations, prof, élève. Je lui offrais mes charmes uniquement si il réussissait. Il devint très bon. A la fin de cette année là, je le vis partir avec regret pour des études supérieurs.

Il n’oubliait jamais de me faire un signe lorsqu’il revenait dans la région. On passait alors de long moment au lit à faire l’amour. Ce fut finit lorsqu’il rencontra la femme de sa vie, et là je sus que je l’avais perdu.

romane
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