Pleine Lune

BÊTA PUBLIQUE

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romane
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J'ouvris la porte de la penderie et Romane m'attendait tranquillement devant elle.

-Alors, tu croyais que je n'irais pas jusqu'au bout! » dit elle en me prenant la main et en m'emmenant dans notre chambre à coucher. Je la suivais tout penaud.

Je m'assis sur le lit et ma femme se mit devant moi, posant sa main sur sa chatte.

-Aimes tu sentir le sperme d'un autre homme dans le minou de ta femme? »

Je n'arrivais pas encore à parler lorsque je sentis le sperme gluant sur son pubis et son clitoris engorgé.

-Peut-être tu veux encore mieux voir?" dit elle alors qu'elle se rapprochait tout contre mon visage.

Je pouvais maintenant voir les lèvres de son minou légèrement ouverte et une coulé de sperme allant d'eux au bas de ses cuisses. Elle se rapprocha encore plus et je posais mes lèvres sur sa vulve et glissant ma langue à l'intérieur. Le goût était salé et légèrement amer, mais j'étais incroyablement excité alors je continuais à explorer le minou de ma femme avec ma langue. Je l'insérais aussi loin que je pouvais et je pouvais sentir qu'il avait été distendu par l'énorme pénis de Peter. La respiration de Romane devint plus profonde à nouveau et je devinais qu'elle allait encore jouir, alors je me mis à taquiner son clitoris comme elle aime si bien. Soudain, elle commença à venir et la les muscle de son vagin se contractèrent spasmodiquement. J'étais surpris quand ma bouche commença à se remplir d'un épais liquide crémeux qui avait macéré quelque minutes dans la chatte de ma femme. Je ne pouvais l'arrêter et buvait tout ce qu'elle me donnait. Cela n'en finissait pas de sortir et cela en fut trop pour moi. Le liquide s'échappa de ma bouche et coula sur mon menton.

Quand l'orgasme de Romane se calma, elle descendit elle même le long de mon corps, présentant sa vulve devant mon pénis vibrant. Elle était insatiable ce soir là. J'eus la sensation de rentrer dans une énorme grotte, toutes lâche et humide. Je ne pouvais sentir ses muscle vaginaux. Elle avait été réellement défoncé par l'engin massif de Peter.

-Alors est-ce que tu aimes sentir ma chatte écartelée? Je réellement aimé sentir son énorme sexe en moi... La sensation de son pénis en moi était bien meilleur qu'avec le tien. Est-ce que cela te rend jaloux? » me dit elle.

Je la regardais pendant qu'elle me disait cela et je vis qu'elle me disait la vérité.

-J'en veux encore plus de lui. Il m'a procuré une jouissance extraordinaire... Je n'avais rien connu de tel auparavant. »

Mon pénis était au bord de l'éruption qui rivaliserait avec celui de l'Etna.

Romane se pencha vers moi et collant sa bouche contre mon oreille, elle chuchota.

-Je peux à peine sentir ton engin chétif en moi , mais cela n'a aucune importance, vu que Peter a déjà pris soin de moi, et ce que tu me donnera ne sera pas oublié dans mon vagin. J'ai beaucoup aimé cela et je le referais à nouveau, le plus tôt possible! »

Je ne pouvais attendre plus longtemps et mon pénis explosa dans le vagin de ma femme maintenant profond. Je ne peux pas décrire l'intensité de cet orgasme qui dura, je pense, une minute ou peut-être même deux. J'étais jaloux, et cela me chagrinait de savoir que ma femme avait connu un plaisir intense avec un jeune puceau et que je serais incapable de lui en donner autant.

Quand je repris mon sang-froid, j'embrassais Romane profondément, la tenant serré et chuchotant dans son oreille.

-Je veux ton bonheur, mon bébé. Nous referons cette expérience plusieurs fois, aussi souvent que tu le désires, tant que tu ne me quittes pas et que tu restes aussi chaude pour moi après. »

Elle m'embrassa en retour et me dit à nouveau qu'elle avait beaucoup aimé baiser avec Peter, mais qu'elle ne me quitterait pas car notre mariage était plus fort qu'une simple partie de jambes en l'air. Je voulais la croire parce que, moi aussi j'ai beaucoup aimé ce qui était arrivée et je voulais renouveler l'expérience.

On éteignit la lumière afin de nous endormir, sans nous laver et c'est alors que je vis la lune dehors. Je sus maintenant qu'il se passait des choses spéciales les nuits de pleine lune.

Le lendemain soir, je fus heureux de constater que le vagin de ma femme avait repris une dimension acceptable pour mon pénis. Elle aussi en fut ravie.

Cette expérience l'avait transformé. Elle devint un peu plus exhibitionniste, alors que moi je me contentais de mon rôle de voyeur. Notre couple repris un départ pour notre plus grand plaisir. Je retrouvais régulièrement ma cachette favorite, pendant que Peter besognait ma femme dans le salon. Elle fit des expériences avec lui. Elle tenta la sodomie, chose qu'elle n'avait jamais pratiqué avec moi. Bien que douloureux au départ cela lui plût et elle me fit participer à sa découverte. On faisait des retours de soirée vraiment géniale. Elle avait régulièrement ses dix orgasmes pendant ses soirées là.

Peter ne lui suffisait plus. Elle voulait connaître d'autres expériences. Lorsque je voulais savoir qu'elles autres expériences, elle restait dans le vague, me disant que ce serait une surprise. Je restais donc sur ma faim.

Un soir, en rentrant du boulot, elle m'accueillit dans une tenu très légère. C'est la première fois que je la voyais avec. C'était un long déshabillé transparent, couleur pêche, au travers duquel, on pouvait voir sa culotte et sa poitrine nue. Lorsqu'elle m'embrassa, je sentis le bout de ses seins dur comme du silex, signe d'une grande excitation chez elle. Je devinais une autre partie avec Peter. Elle me demanda de prendre ma place habituelle dans de pareil situation. J'étais déjà au bord de l'orgasme en entrant dans la penderie, surtout que ma coquine de femme m'avait longuement titillée. J'attendis alors l'arrivée de la tierce personne. Depuis la première fois, on avait aménagé la penderie plus confortablement. Je m'y trouvais comme un coq en patte. L'attente était pour moi une torture. Je me faisais beaucoup de films dans la tête m'imaginant ce qui allait se passer et je caressais mon pénis en érection, lentement et doucement.

On sonna enfin à la porte. Ma femme s'y précipita et avant d'ouvrir, elle m'adressa un clin d'œil, comme elle avait l'habitude de faire depuis deux mois. Je fus agréablement surpris de ne pas trouver Peter derrière la porte. C'était une femme, que je ne connaissais pas, peut-être une copine de gym de Romane. C'était une ravissante blonde, avec un corps que je devinais superbe sous ses vêtements stricts de femme d'affaire. Ses yeux s'écarquillèrent en voyant la tenue de ma femme, et elle la regarda de la tête au pieds. Ma femme s'effaça afin de la laisser entrer et une fois à l'intérieur, elle s'embrassèrent comme deux vieilles copines. Ma femme la précéda alors pour aller au salon. La blonde riva son regard sur les fesses de Romane pendant qu'elle la suivait. Elle la fit asseoir dans le canapé qui me faisait face et lui proposa un apéritif. La blonde sembla un peu perturbé au début, puis se détendit. Elle choisit sa boisson et une fois servit, ma femme vint la rejoindre sur le canapé.

Voilà donc sa surprise. Elle voulait connaître donc le saphisme et je trouvais son choix judicieux. Me femme avait débarrassé la blonde de sa veste, et je devinais une poitrine pleine sous le chemisier. Elles discutèrent longuement, me mettant à la torture. Romane lui dit que je ne serais là que très tard dans la nuit, retenu par un dossier important. La fille se détendit alors complètement. Elle promena un doigt le long de la poitrine de ma femme :

-Ton déshabillé est vraiment très jolie. Tu portes souvent ce genre de chose. »

-Cela m'arrive quand je suis seule, avec mon mari... ou quand je reçois quelqu'un que j'apprécie. »

-Tu l'as donc mis en ma faveur. Cela me touche beaucoup. »

Ma femme ne resta pas inactive. Elle aussi promena un doigt sous la poitrine de son amie à travers le chemisier. Leurs têtes se rapprochèrent. Lentement leur lèvres s'unirent et elle s'embrassèrent langoureusement. Pendant que ma femme défaisait les bouton du chemisier, la fille lui caressait plus directement sa poitrine. Le chemisier s'ouvrit sur une magnifique poitrine emprisonné dans un beau soutien-gorge. Le chemisier fut retiré ainsi que le soutien-gorge. Romane caressa alors la poitrine nue de sa compagne. Pendant tout l'opération, leur bouches ne s'était pas séparées. Leurs respiration était rapide. Une main de la femme quitta la poitrine de Romane afin de se promener sur ses fesses, palpant, appréciant leur courbure. Ma femme fit remonter la jupe étroite sur les hanche de la fille. Qui aurait put croire, que sous l'allure strict des vêtements, se cachait des merveilles. Elle portait un superbe string blanc avec des bas blanc et un porte-jarretelles. La femme défit ses cheveux qui coulèrent sur ses épaules.

Romane quitta les lèvres de la fille et descendit vers sa poitrine qu'elle se mit à sucer. La femme renversa sa tête et gémit de plaisir. Je connus ma première éjaculation. Alors qu'elle la suçait, Romane caressait le pubis de sa compagne à travers le string. Son bassin ondulait sous la caresse. La main de ma femme glissa sous le délicat tissus afin de la caresser plus intimement. La fille commença à gémir et à lâcher de petits cries. Soudain son corps se tendit comme un arc et elle jouit. Ma femme abandonna la sucions de la poitrine et retourna embrasser la fille. La poitrine luisait de la salive de ma femme. Sa main ne quitta pas la chatte de la femme continuant sa caresse. Son bassin ondulait toujours autant. Lorsqu'elle retrouva ses esprits, Romane abandonna sa prise et lécha ses doigts un à un, couvert des liqueurs de la fille. La respiration de la femme s'atténua un peu et elles s'embrassèrent à nouveau. Les caresses de la femme étaient plus incisive. Ses mains caressaient les seins de ma femme ainsi que son pubis à travers le déshabillé. Ma femme finit par se lever et se dressa devant elle. La femme prit le bas du déshabillé, le remonta le long des jambes, passa les hanche et ma femme prit la suite retirant son vêtement. Son amante posa alors ses mains sur les fesses de ma femme et approcha sa bouche. Ma femme se mit à onduler à son tour sous la caresse. La fille prit le string et le fit glisser à terre. Romane s'était récemment rasée et ressemblait maintenant à une adolescente avec son pubis imberbe. La femme reprit possession du pubis de ma femme. Romane lâcha de petit cri montrant ainsi qu'elle était sur la bonne voie. Elle écarta ses jambes et d'où je me trouvais, je pus voir le menton et le langue de la fille qui pénétrait dans la grotte humide de Romane. Les lèvres s'écartaient facilement sous ses assauts buccales. Je vis les fesses de ma femme se contracter et elle eut à son tour un orgasme.

Elle s'affala dans le canapé mais son amante ne lui laissa aucun répit repartant tout de suite à l'attaque. Elle lécha sa poitrine pendant qu'elle se gratifiait d'une superbe masturbation. J'éjaculais à nouveau en silence. Romane se caressait vigoureusement son sexe imberbe. Elles jouirent toutes les deux en cœur.

Elles s'embrassèrent et ma femme lui demanda de patienter un peu. Elle se leva et passa près de moi dans sa superbe nudité. La fille profita de son absence afin de retirer sa culotte. Elle s'installa confortablement et se caressa. Romane revint et je la vis harnachée. Les yeux de la fille s'écarquillèrent à son entrée. Une sangle ceignait sa taille et une autre partait du bas du dos pour passer entre ses cuisses. Que pouvait elle bien porter ainsi.

Elle s'assit près de la fille qui faisait la mou sans quitter du regard le bas ventre de ma femme. C'est alors que je vis pour la première fois cet objet dans ma maison. Elle portait un godemiché à la taille. La fille se baissa dessus et le goba avidement. Romane regarda dans ma direction avec un sourire narquois. Elle m'adressa un clin d'œil. De voir ma femme affublé d'un organe de mâle me fit éjaculer sans retenu. La fille pompait dessus comme une folle. Ma femme l'écarta et lui parla doucement. La femme chevaucha alors Romane et s'empala doucement sur l'engin. Romane goba la poitrine de la fille pendant qu'elle s'empalait à grand cris de plaisir. Le sexe en plastique noir entrait et sortait de la femme à une vitesse extraordinaire. Romane la tenait aux hanches afin qu'elle ne tombe pas dans son plaisir. Elle ralentit sa chevauché fantastique, bascula la tête en arrière et lâcha un cri qui n'avait rien d'humain. Romane sentit que la fille allait lui échapper. Elle l'agrippa dans le dos et la fille basculer sur elle. Elle la garda contre elle un moment, le pénis de plastique encore bien enfoncé dans les chairs puis la fit basculer sur le canapé. Elle sortit le sexe noir, gluant des liqueurs de la fille. Elle défit les lanières et goba le sexe. Elle ferma les yeux , appréciant le nectar. Je vis que la femme la regardait. Elle tendit la main et prit l'engin. Doucement, elle le fit glisser le long du ventre de Romane, joua un peu avec les lèvres humides de ma femme et le fit entrer en elle. Romane se mit à gémir à son tour alors que l'engin entrait et sortait. Elle s'écarta un peu plus m'offrant un superbe spectacle. Elle eut à son tour un orgasme.

La femme suça le godemiché. Romane grimpa sur la fille tête-bêche et elles se mirent à se sucer mutuellement. Je me branlais de plus en plus vigoureusement. L'éjaculation qui suivit me fit perdre un peu connaissance.

Les cris et les bruits de langues des deux femmes, me tirèrent de ma torpeur. La bataille faisait rage sur le canapé. Les deux corps tanguaient, menaçant de basculer hors du canapé. Les bouches étaient voraces et les langues agiles. Ce fut l'apothéose de la soirée. Les deux femmes jouirent ensembles, à gorge déployée.

Elles se redressèrent dans le canapé et discutèrent tout en se pelotant et en s'embrassant. Ma femme la prit par la main et l'entraîna dans notre chambre à coucher. Lorsqu'elles passèrent près de moi, je pus admirer la beauté de leur corps. Je n'avais aucune vision sur la chambre, mais j'entendis l'eau de la douche couler. Des rires me parvinrent aux oreilles. Elles prenaient une douche ensemble. J'hésitais pour sortir, malgré l'interdiction qu'elle m'avait donné. Cela fut plus dur lorsque j'entendis la femme gémir à nouveau. Cela ne dura pourtant pas longtemps.

Elles revinrent, drapées dans une serviette et la femme se rhabilla sous l'œil attentif de Romane. Une fois rhabillée, elles s'enlacèrent à nouveau :

-Je te remercie Romane de m'avoir fait découvrir tant de plaisir. C'est la première fois que je le faisais avec une femme. »

-Moi aussi!! » lui répondit elle. « Je savais que le faire avec toi serait une grande découverte et je ne suis pas déçue. On renouvellera l'expérience si cela te dit? »

-Et comment! Je suis très impatiente. »

-La prochaine fois que mon mari partira, je t'appellerais. »

Elles s'embrassèrent tendrement , la femme profitant pour caresser les fesses de ma femme sous la serviette. Ma femme ouvrit la porte, un dernier bisou et la voilà partit.

J'étais sans force. Elle vint ouvrir la porte du placard.

-Pas la peine de te demander si tu as aimé. Les cernes sous tes yeux me suffiront comme réponse. »

Elle m'aida à m'extirper du placard et me soutint jusqu'au canapé. Elle me servit un grand verre de Whiskies et s'installa près de moi pendant que je buvais la boisson revigorante. Elle était heureuse de me voir si abattu. La serviette s'était dénouée et m'offrait sa poitrine. Elle était encore excitée de son expérience car ses tétons pointaient dangereusement. Elle s'approcha et m'embrassa. Je retrouvais le parfum de ma femme et celui plus subtil des liqueurs de la fille. Cela changeait du sperme de Peter. Sa main s'empara de mon pénis flasque et se mit à le secouer énergiquement. Cette attention plus le goût des liqueurs de la femme dans sa bouche me redonna de la vigueur. Depuis ces nouvelles expériences, je remarquais que mon sexe prenait une taille plus importante. Ma femme me le confirmait à chaque fois. Elle quitta ma bouche afin d'aller me sucer. Elle devenait experte dans ce jeux là. Je glissais ma main dans son dos et allait glisser un doigt dans son rectum, chose qu'elle appréciait beaucoup depuis la découverte des joies de la sodomie. Je jouis dans sa bouche à grand flot de sperme.

De retour dans la chambre, elle me montra les objets qu'elle avait acheté récemment. En plus du godemiché, il y avait des boules chinoises, des olisbos de taille moyenne qu'elle pouvait porter dans la journée, soit dans son vagin ou dans son rectum. Elle me dit y prendre beaucoup de plaisir. On fit l'amour longuement avant de nous endormir.

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