Natasha

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Elle est là, contre moi, et mon corps tremble imperceptiblement d'une tension nerveuse incontrôlée, excitation et appréhension mêlée.

Impossible de me raisonner. Malgré son sourire et ses yeux qui m'appellent, je reste paralysé,

incapable de faire un mouvement. Et pourtant.

Son corps, qu'elle montre sans poser, se dévoile par touches discrètes comme une jarretière de bas. Cette dernière m'hypnotise, monopolise mon

regard et mon esprit s'affole à deviner et imaginer les trésors cachés derrière la frontière de nylon.

Ma main se pose le long de sa jambe et mon coeur bondit, surpris par ma propre hardiesse. Anxieux, j'attends une réaction qui ne vient pas.

Subrepticement, comme un voleur, mes doigts se tendent et viennent effleurer sa cuisse. Une caresse, furtive, qu'aucune dérobade ne vient

troubler.

Fondant comme neige au soleil, ma peur s'évanouit. Ma main prend son essor et possession de sa cuisse. Je la laisse courir sur le bas, glisser du genou à la jarretière. D'entre ses jambes rayonne une chaleur enivrante que j'évite encore. Je veux livrer à nos regards la vision du fruit qu'on ne défend plus. Pour ce faire, je relève par touches indécises le bas de sa jupe, découvrant peu à peu le haut de sa jambe. Quand mes doigts effleurent finalement sa peau laissée nue par le bas, ils propagent sa chaleur comme une vague à travers tout mon corps. Ma main

s'immobilise et je me repais du contraste de sa douceur avec le crissant du nylon. Sa main se pose sur la mienne et m'invite à reprendre. Je caresse à l'envie ce carré de peau soyeuse et tiède et mes doigts effleurent tantôt son string, tantôt son bas.

Je l'entends qui soupire. Elle s'étire en arrière, cambrant le dos et poussant son ventre à ma rencontre. Puis sa main se pose, exigeante, sur la mienne. Je ne bouge plus. Je la laisse me guider entre ses cuisses brûlantes. Elle applique ma main contre son sexe puis s'arrête.

Un moment, je reste là sans bouger. Je sens son désir sous ma paume et la moiteur légère qui traverse la dentelle. L'appréhension a laissé place à l'excitation. Ma main glisse de haut en

bas, prend possession de son ventre, revient sur ses cuisses toujours gainées puis les contourne, s'aventure aux abords de ses fesses et retourne

à son sexe où elle retrouve sa main.

Elle rayonne de chaleur et d'envie. Son regard, son corps qui se tend, ses mains pesantes, tout en elle est un appel au plaisir. Impatiente, elle

presse ses doigts contre la dentelle, comme si elle voulait la transpercer, faire tomber l'ultime barrière qui la retient de jouir.

Subjugué, je la regarde, frissonnante et frustrée. Elle implore, m'attire à

nouveau. Je viens à son secours et franchis la barrière. Ma main passe sous le string et s'étale, rampante, sur ses lèvres nues. Sa peau est encore plus lisse, encore plus douce. Mes doigts se couvrent d'humidité que j'étale au hasard. J'explore.

Je vais et je viens entre ses lèvres puis j'agace son clitoris. Je joue de son sexe comme d'un instrument duquel je tire des plaintes, des

soupirs, des sursauts.

Toujours plus impatiente, elle m'agrippe à nouveau et presse mes doigts contre l'orée de son vagin. Je préfère prendre mon temps, ne pas la

brusquer malgré son désir pressant. Un doigt, un seul, s'immisce lentement, pressant les parois comme pour les élargir. Je l'enfonce aussi loin que possible, à m'en faire mal à la main. Une fois abuté, je frotte, je caresse, j'agace le fond de son vagin et ses cris sont autant

d'encouragements à d'autres sévices délicieux. Très vite, le pouce remplace l'index, élargissant encore, et le va et vient commence, ponctué par

des pauses profondes. Le rythme s'accélère d'une passion violente. C'est un viol consenti, les jambes écartelées, qui tire sa jouissance de sa

brutalité. Elle jouit. Image de rêve.

Ma main s'est arrêtée. Lentement, je l'abandonne. Je lui donne à lécher son nectar et sa bouche gourmande aspire mes doigts. Est-ce son propre goût qui l'excite? Car à peine a-t-elle repris conscience que sa nature insatiable l'entraîne à nouveau. Un à un, elle se défait des voiles qui recouvrent ses appâts. Ne subsistent bientôt que ses bas et son porte-jarretelles.

D'un geste, ouvrant les bras, elle m'invite à la prendre. Comment (pourquoi) résister?

Je la caresse, du cou aux genoux, et mes lèvres se posent à la suite de mes mains. Je bois sa peau, je lèche son parfum et mon corps réagit à

l'appel de la chair qui suinte de tous ses pores. Irrésistiblement attirée, ma bouche dérive vers son sexe luisant. Je m'agenouille entre ses jambes

écartées. Chocolat et rose sont les couleurs de ses lèvres. Je pose mes mains de part et d'autre et ma bouche vient sceller son vagin. Je goûte

le fruit de sa jouissance, délicieuse friandise qui se déverse sans fin sur ma langue. Elle soupire de bonheur et je vois ses mains toujours

insistantes qui s'égarent sur ses seins et son ventre, appelant encore le plaisir.

Délaissant sa source, je fais glisser ma langue le long de ses lèvres, de haut en bas. Puis, délicatement, je découvre son clitoris entre mes

doigts, bouton de chair turgescent. Je l'interroge du regard. Sans un mot, haletante, elle réclame et attend mon bon vouloir. Je pourrais la faire languir mais l'envie est trop forte. Je veux l'entendre crier et se tordre sous ma langue. Cette dernière se transforme, se fait reptilienne et fouette son clitoris à petits coups rapides. S'arrête. Lèche lentement, pesamment. Puis reprend de plus belle. Plus belle, elle l'est quand son corps ondule incontrôlé, ses yeux grands ouverts sont aveuglés, ses mains caressent sans but. Elle m'affole et ma bouche engloutit le bouton sensible qui roule entre mes lèvres. Je le

lèche et l'aspire, le presse et mordille. Ses mains empoignent ma tête et me collent à son pubis, comme pour se noyer dans ma bouche. Ses plaintes se font plus aiguës, plus pressantes, et elle jouit encore.

Je m'allonge à ses cotés. A leur tour, ses mains se posent sur moi,cherchent ma peau. Mes vêtements disparaissent et je me soumets à ses

caresses. De ma bouche qu'elle embrasse, elle descend vers mon ventre. J'aime ses lèvres sur ma peau, l'avidité de sa bouche. Elle agace mes

mamelons et les fais durcir avant de descendre plus bas. Elle s'empare de mon sexe et m'emprisonne, menotté par ses lèvres. Je perds la notion de l'espace et du temps. Je ne vois plus que son visage. Mes mains dans ses cheveux, je m'abandonne à son baiser, experte, qui décuple mon érection.

Mon sexe pulse sous sa langue et bientôt mon esprit n'a plus qu'une envie : déposer mon offrande dans ce temple du plaisir qui m'accueille. Mais elle veut autre chose.

Quand elle estime que son labeur est suffisant, elle me libère et s'allonge.

" Viens "

Offerte, elle attend que s'immisce en elle le dard qui pointe entre mes jambes. Je m'introduit, lentement. Précaution inutile, son vagin serré est un fourreau dans lequel je glisse sans à-coup. Je pénètre sa gaine de chair chaude et souple jusqu'à mêler nos pubis. Ses jambes se nouent dans mon dos. Ses mains agrippent mes hanches et leur imprime un rythme impatient.

Je l'accompagne un instant puis m'immobilise pour reprendre sur un autre tempo. Je la pourfends à coups secs, en travers comme pour la transpercer.

Puis, je coulisse de toute la longueur de mon sexe, profondément. Peu à peu, les mouvements de nos bassins se synchronisent, langoureux ballet aux sonorités humides et gutturales. Les souffles se changent en râles, les soupirs en cris. Nos deux ventres brûlent d'explosions incontrôlées dont les souffles bientôt se rejoignent. Aux spasmes orgasmiques de son vagin répondent les jaillissantes pulsations de mon sexe et nos cris d'extase résonnent dans la chaleur de notre abri.

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