Nadine 07

BÊTA PUBLIQUE

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Mais la femme fut sans pitié. A la fin, elle s'enfonça triomphalement jusqu'au coude, s'amusant à pousser sur les parois pour que la peau du ventre soit soulevée de l'intérieur. Elle ramona longuement le cul de la malheureuse qui sanglotait puis, de l'autre main, elle mit un peu d'une crème d'un pot que Carmen lui tendit sur le clitoris de Mercedes. L'effet fut presque instantané : son corps s'arqua, ses hurlements redoublèrent mais ils n'étaient plus de douleur mais témoignaient d'un plaisir extrême. D'elle même, elle se mit à bouger pour sentir le poignet bouger en elle.

A son quatrième orgasme, une femme suggéra de lui mettre le poignet dans le vagin. L'autre avec un sourire de carnassier sortit son bras de l'anus distendu. Un bruit de bouchon de champagne retentit lorsque le poignet se libéra avec un flot d'huile souillée. Elle s'essuya les mains sommairement dans les cheveux de sa victime puis entreprit de faire subir le même sort au vagin. D'un rire moqueur, elle annonça qu'on n'aurait pas besoin d'huile tant Mercedes était trempée. Lorsque la pénétration fut totale, elle caressa le col de la matrice puis écarta les doigts en éventail, distendant les parois comme au passage d'un bébé. Mercedes s'évanouit de jouissance au milieu de la prestation au grand dépit de la femme qui aurait voulu poursuivre encore longtemps son office.

Curieusement, ce traitement paraît avoir dompté la mégère qui ne récrimine plus après son mari lorsqu'il fait usage de Juanita ni même lorsqu'elle le surprend avec une autre femme. Elle ne le chasse plus comme auparavant lorsqu'il veut la caresser et l'a même laissé lui faire l'amour sur une table un après-midi en public. Elle ne repousse plus non plus ceux qui lui font des avances ; elle semble, au contraire, plutôt rechercher celles-ci en soignant ses vêtements, son maquillage, ses bijoux et même sa démarche devenue beaucoup plus sensuelle qu'avant.

Mercedes s'est ainsi attiré les faveurs de Jean à l'occasion alors qu'il ne l'avait jamais remarquée auparavant. La première fois qu'il l'a prise, c'était dans la stalle de Juanita, debout contre le mur. Elle a crié de jouissance tout le temps qu'il la ravagea, la prenant successivement par devant et par derrière. Un autre signe de son changement d'attitude est que lorsqu'elle doit conduire Juanita, elle est devenue très douce et se contente souvent de faire claquer le fouet, sans même la toucher.

Depuis lors, lorsqu'une des femmes de la maison a commis une faute grave ou est jugée paresseuse, sa punition est de partager le travail de Juanita ou de la remplacer purement et simplement dans les cas graves. Les maris poussent parfois leur épouse à faire de grosses bêtises pour pouvoir avoir pour eux tout seuls la superbe Juanita pendant quelques semaines.

Un chariot en métal semblable à celui de l'ancienne épouse de Jean, mais réglable selon la taille de l'intéressée, permet aussi de seller et monter la fille punie et parfois de l'atteler en couple à la jument de l'hacienda. Ses compagnes occasionnelles pour une journée finissent toutes leurs journées de punition épuisées, misérables et souillées de foutre alors que Juanita, tout comme Mercedes maintenant, paraît encore fraîche et heureuse. Même les traînées de sperme font comme des bijoux sur sa peau, son visage ou dans ses cheveux.

Les filles punies font tout leur possible désormais pour ne plus mériter une nouvelle punition semblable et se demandent comment Juanita et Mercedes ont réussi à tenir pendant des mois. La participation active de Juanita aux orgies nocturnes dépasse leur entendement. Mais toutes celles qui ont été condamnées à une longue peine ont été transformées par l'expérience. On les distingue dans la cour sans peine avec leurs vêtements propres et non rapiécés, très ajustés, au décolleté généreux et leur démarche particulière : poitrine gonflée, ventre rentré, fesses cambrées et hanches ondulantes. Il faut dire que Carmen leur procure les crèmes pour faire gonfler seins et cuisses et les suppléments alimentaires pour supporter un régime assez particulier qu'elles continuent toutes volontairement à suivre scrupuleusement même en service normal.

Le résultat ne s'est pas fait attendre : une vague de naissances a touché l'hacienda : chaque femme en état de tomber enceinte a eu un ou deux enfants dans les cinq années suivantes. Carmen a même décidé que Juanita devait participer à cet effort. Elle n'avait pas besoin de lui demander son avis mais résolut d'en profiter pour humilier un peu plus Juanita. Un jour, elle se promenait sur le dos de Juanita quand il lui prit la fantaisie de la faire galoper sur la longue piste qui menait au pavillon de son mariage. En quelques kilomètres, Juanita fut épuisée. Carmen lui redonna un peu de forces en la piquant de ses éperons aux cuisses et sur les seins, ce qu'elle ne faisait presque jamais sauf pour de petites courses de vitesse. Elle utilisa même sa cravache de jockey et la fouetta sur les fesses jusqu'au sang. Lorsque sa monture ne put vraiment aller plus loin, elle tira brutalement sur les rênes et descendit, l'air furieux.

- Juanita, tu me déçois beaucoup. Tu vieillis. Tu n'es plus capable de faire un petit galop de rien du tout. Tu étais ma monture préférée mais je crois que tu n'es plus digne que de servir de mère porteuse comme Mercedes l'avait proposé. Un de nos amis m'a déjà fait la demande et je vais accepter.

Juanita était ulcérée par les mots qui la blessaient par leur injustice car elle savait bien que Carmen ne l'avait jamais soumise à pareille épreuve. Elle en conclut que sa Maîtresse ne l'aimait plus et voulait se débarrasser d'elle. Qu'allait-elle devenir? Est ce qu'elle serait jetée à la rue ou vendue à un bordel quelque part en Afrique ou en Asie? L'engagement de l'entretenir sa vie durant pris par Carmen pouvait être tenu en la jetant menottée dans une rivière avec quelques pierres de lest. Très abattue, elle écouta Carmen lui expliquer son plan.

- Ca tombe bien, tu es juste dans la bonne période. A partir de demain, je ne te donnerai plus la pilule. Les hommes, même Jean, devront tous mettre un préservatif avec toi sauf, bien sur, pour t'enculer ou se faire sucer. Il faut que ton client soit certain que l'enfant sera bien de lui. On te mettra tout ton équipement que tu portais pour notre mariage avec les clochettes. Lorsqu'il te montera, cela fera un joli carillon car il est très bien monté et il peut durer longtemps. Tu devrais apprécier. Autre chose, tu es habituée à baiser pas mal de fois chaque jour. Lorsqu'il viendra le dimanche après midi, tu n'auras pas eu d'hommes depuis le mercredi soir et je te ferais boire un grand verre de mon puissant aphrodisiaque! Tu devrais être capable de le traire à sec sans même t'aider de ta bouche. Interdiction en passant qu'il te jute dans la bouche. Je compte sur toi. Dernier point, tu ne dois pas savoir qui il est. Tu porteras en permanence un bandeau sur les yeux et des bouchons dans les oreilles.

L'homme était effectivement bien monté, plus même que Jean à son avis. Il arriva déjà plus qu'à moitié tendu. Elle le suça quelques minutes puis il la contourna pour s'enfoncer dans son sexe sevré d'amour qui n'avait certainement pas besoin de lubrification. Elle hurla de bonheur dès la première pénétration et tout le temps qu'il la prit. Ensuite, il reprit vigueur dans sa bouche avant d'inonder le fond de son vagin à nouveau. Avant qu'il ne la quitte, elle le suça une dernière fois pour le nettoyer.

Le client dut être un peu déçu car il n'eut pas besoin d'attendre sa période suivante, la vie saine en plein air de Juanita avait fait le reste. Son ventre arrondi ne lui permit plus au bout de trois mois de continuer son service. Mercedes se proposa alors pour la remplacer. Pedro, enchanté à l'idée de retrouver sa seconde épouse temporaire, accepta à la seule condition que l'année suivante, il pourrait à son tour engrosser la superbe cavale. Elle s'occupa des deux jeunes enfants de Mercedes en plus de toutes ses obligations vis à vis de Carmen, de l'hacienda et de Pedro.

Lors de l'accouchement, elle eut à nouveau les yeux bandés et un bouchon de cire la rendit sourde, officiellement, pour ne pas savoir le sexe de l'enfant ni la couleur de sa peau. Juanita était très affectée de ne pas avoir même entrevu son bébé. Trois mois plus tard, un nouveau né arriva à l'hacienda. Carmen annonça que sa soeur, gravement malade ne pouvait plus s'occuper de l'enfant et qu'il serait élevé désormais avec les siens. Carmen attendit encore six mois avant de révéler à Juanita que la petite Julia était en fait sa fille et que le père n'était autre que Jean qui avait apporté son concours à cette mascarade. Elle lui révéla alors qu'elle allait devoir faire maintenant un enfant à Pedro.

Voir son enfant et apprendre que la colère de Carmen étaient feinte ramenèrent la sérénité dans le coeur de Juanita. Mercedes la remplaça à nouveau le temps qu'elle se retrouve enceinte pour la seconde fois puis trois mois après lorsqu'elle ne put plus à nouveau assumer son rôle. Son ventre était nettement plus gros que la première fois. Elle donna effectivement à Pedro deux beaux jumeaux : Victoria et Ramon. Depuis, une part importante du travail de Juanita consiste à promener, souvent en couple avec Mercedes, dans un sulky construit à cet effet des ribambelles d'enfants pour lesquels elle fait partie du paysage quotidien.

L'ancienne épouse de Jean, quant à elle, est heureuse en regardant grandir ses enfants et ceux de Carmen et ne demande rien de plus sur Terre. Les hommes qui l'utilisent tous aussi souvent que possible vantent son vagin accueillant et toujours humide qui est néanmoins capable de les traire jusqu'à la dernière goutte tant il peut se resserrer sur leur bite. Son cul, son vagin et sa bouche se moulent parfaitement à tous les calibres depuis celui d'un puceau adolescent jusqu'à celui d'un âne ou d'un poney. Elle est fière d'avoir, à la dernière fête de Carmen, battu son propre record et d'avoir satisfait en une nuit d'orgie digne de Fellini, soixante quatorze hommes, dix-huit femmes, un poney, un âne et même un gros chien qui a profité de l'assoupissement général au petit matin pour sauter sur elle.

En dépit de ses excès, son corps reste parfait grâce à son entraînement physique quotidien, une nourriture saine et peut-être à sa boisson du matin: même lorsqu'elle est loin de l'hacienda, à Paris ou à New York, Carmen veille à faire congeler ses urines avec la contribution de Jean pour les envoyer à la maison.

Juanita a été présentée à plusieurs reprises à des concours de dressage en exhibition mais, jusqu'à présent, seul Marc a réussi à convaincre une femme d'aller aussi loin dans le dressage.

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AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Qui est Marc à la fin de l'histoire ? Certainement Jean ?

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