Nadine 02

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Nadine's defilement continues.
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2

Partie 2 de la série de 7 pièces

Actualisé 11/02/2022
Créé 04/08/2008
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Nadine partie 2

Merci aux lecteurs qui m'ont encourage a ressortir cette histoire deja ancienne. Les incompatibilites entre les lettres accentuees et autres cedilles du francais avec le logiciel de Literotica m'ont force a me passer de ces caracteres. Mes excuses a ceux qui en seraient choques

Chapitre 4

Nadine venait d'accepter de continuer ce qu'on pourrait appeler son dressage pour encore une semaine au grand plaisir de son mari.

- Tres bien! Bien entendu, le port de pantalons est toujours interdit mais, en plus, tu devras porter des talons hauts. Tu vas jeter tout ce qui n'atteint pas huit centimetres, y compris mules d'interieur, sandales et bottes. Va chercher un autre sac.

Sans que Jean lui dise quoi que ce soit, elle se deshabilla en ayant bien soin de se presenter de face ou de profil pour qu'il en profite au maximum. en se mettant a quatre pattes, elle eut l'audace de poser son visage au sol, d'ecarter de ses mains les globes de ses fesses pour lui montrer sa fente luisante et son anus. elle poussa de toutes ses forces et le sentit s'ouvrir. elle eut le plaisir de l'entendre siffler de satisfaction. Elle se releva et partit vers la cuisine en balancant des fesses, sure d'avoir attire son attention et esperant bien en profiter rapidement.

Le tri des chaussures fut rapide et sans pitie. elle ne fut pas surprise lorsqu'il lui annonca qu'ils retournaient au magasin pour lui acheter quelques chaussures. Avant de partir, il lui fit prendre sa patee. Juste avant de la servir, il lui vint une nouvelle idee repugnante : il urina dans le bol, melangea le tout avant de lui servir une espece de soupe ecoeurante. Comme la semaine precedente, il lui fallut endurer une correction severe cette fois a la cravache avant de se soumettre.

Pour aller au magasin, il exigea qu'elle se maquille plus lourdement encore que la premiere fois, soulignant ses levres rouges d'un trait brun, insistant sur le fard a paupieres. Il lui choisit la grande jupe de velours avec une bande de dentelle et un chemisier presque transparent. Elle n'etait encore jamais sortie avec. en dessous, il l'obligea a mettre des bas fonces et rien d'autre. Tout le monde saurait qu'elle etait totalement nue sous sa jupe. D'ailleurs, sur le trajet a pied pour gagner le magasin, elle entendit des femmes s'exclamer sur sa tenue en la traitant de salope, de putain et d'autres termes encore moins plaisants.

A un moment ou Jean s'etait un peu ecarte pour jeter un coup d'oeil dans une vitrine, un homme, la prenant pour une prostituee, lui demanda son tarif. Sans lui repondre, elle se refugia aupres de son mari qui s'amusait beaucoup de sa confusion et de sa honte. Mais elle ne lui dit pas qu'en arrivant au magasin, son visage etait certes rouge de honte mais surtout sa fente etait humide comme jamais, degoulinante d'excitation. Elle se surprit a se demander ce que l'homme lui aurait fait si son mari avait accepte ses propositions.

Sur place, elle fut assez effaree de n'essayer que des chaussures a talons demesures de plus de douze centimetres. L'une de celles que Jean retint avait le talon colle a la semelle et la distance entre la pointe avant de la chaussure et l'arriere du talon ne devait pas depasser cinq centimetres. Des chainettes avec un minuscule cadenas empechaient de les enlever. Elle etait contrainte de faire des pointes en permanence. Dans le miroir, elle avait l'impression (premonitoire?) de porter des sabots comme un cheval. Meme les mules d'interieur lui donnaient l'impression de reposer sur un piedestal.

Pour completer le tableau, elle dut marcher comme un mannequin en croisant les pieds, ce qui faisait valser ses hanches au grand plaisir de son mari.

- Ces chaussures a talons vertigineux sont une invitation au viol. Je veux que tu les portes meme la nuit, pour t'habituer. Tu vas les garder pour rentrer. Il y a une bonne trotte jusqu'a la maison : je vais pouvoir me rincer l'oeil. Viens!

- Mais, je ne peux pas marcher avec ca! et on ne prend pas la voiture?

- Non, on la laisse ici. Je reviendrai demain en taxi la prendre mais tu vas avoir droit a la punition que je t'avais promise pour avoir encore ose parler sans que je te pose une question et ici tout de suite. Je voulais t'aider en portant les paquets, mais, tout compte fait, tu devras porter ces quatre sacs qui t'occuperont les deux mains. Comme cela, tu ne pourras meme pas t'appuyer sur moi.

Le pire fut lorsqu'il la fit poser le ventre sur un tabouret, au milieu du magasin, lui releva la jupe en mettant ses fesses a l'air. Il la laissa un instant devant les quelques clients et le vendeur qui la detaillaient sans honte. Jean revint avec un petit martinet dont l'extremite de chaque laniere de cuir formait un noeud. Il lui expliqua qu'ainsi, ca faisait nettement plus mal et lui annonca que, en complement de punition, il porterait la hauteur minimale de ses talons a douze centimetres dans un delai de quatre semaines pour lui laisser le temps de s'habituer.

Le comble fut lorsqu'elle dut accepter la punition a haute voix pour que tous les assistants l'entendent. Lorsqu'il commenca la correction, Nadine serra les dents mais au dixieme coup, elle ceda, se mit a pleurer, crier avant de hurler au milieu du magasin. Pourtant, elle resta le ventre colle sur le tabouret sans chercher a se lever, ne fut ce qu'un instant. elle dut ensuite le remercier platement a voix haute. Il proposa aux clients de tater ses fesses pour verifier qu'il n'avait pas fait semblant. Il dit ensuite a un vendeur de lui mettre le doigt dans le vagin pour voir si elle etait mouillee. L'homme lui enfonca tout l'index et le sortit brillant de sa mouille. Il annonca a haute voix :

- Cette salope est trempee. Elle est tellement ouverte que j'aurais pu y enfoncer le plus gros de nos godes, celui a picots pour le dressage des masos avant de les envoyer a l'abattage dans les bordels.

elle ne bougea pas pendant toute l'operation et se mit a sucer le doigt du vendeur lorsqu'il le presenta devant sa bouche. Avant de partir, elle vit que plusieurs clients avaient achete des martinets et certains le monstrueux gode a picots dont avait parle le vendeur. A cause d'elle, plusieurs femmes allaient avoir une soiree plutot desagreable.

Le retour fut un vrai calvaire, d'autant qu'avant de sortir du magasin, il lui avait fait retirer le K-way qu'elle avait mis pour se proteger d'une petite pluie fine. Elle etait totalement exposee a tous les regards et la bruine rendait son chemisier encore plus impalpable. Attentive a eviter une chute, les fesses endolories, elle ne pensait pas a sa tenue pourtant scandaleuse qui lui attirait les regards excites de tous les hommes qu'elle croisait et ceux haineux ou meprisants de toutes les femmes.

On distinguait facilement ses mamelons peints en rouge ecarlate. A l'aller, tout etait dissimule sous son K-way mais, la, elle ne pouvait plus rien cacher et Jean prenait un malin plaisir a l'exhiber dans des zones tres eclairees et bien achalandees et a y flaner plus que de coutume. Lors d'un de ces arrets, elle sentit quelques mains furtives sur son cul mais elle etait trop fatiguee pour s'en formaliser. De toute facon, Jean lui aurait certainement ordonne de se laisser faire. Ca risquait de l'emmener loin et elle n'y tenait pas du tout.

Finalement, elle prit l'habitude de porter ces echasses plus rapidement que Jean lui-meme ne l'avait escompte et ses anciennes chaussures de soiree a talons d'a peine dix centimetres qui lui avaient paru le comble de ce qu'elle mettrait dans toute sa vie se retrouverent a la poubelle beaucoup plus vite que prevu. Elle se debarrassa meme bientot de ses fameuses sandales jaunes qui lui avaient cause tant de problemes. Elles avaient pourtant la hauteur minimale que Jean lui imposait mais comparees a ses nouvelles chaussures, elle avait l'impression de porter des chaussons ecules. Certes, il ne lui etait plus guere possible de courir mais elle pouvait maintenant presser le pas sans risque important de chute.

Le vendredi soir, la question attendue vint :

- Alors, Nadine, tu t'habitues? Est ce qu'on continue?

- Oui, Maitre, aux deux questions! Je supporte bien tout ce que vous m'avez fait subir jusqu'a maintenant, mais j'ai cru mourir de honte lorsque, en revenant a pied de votre magasin, nous avons croise Pierre et sa femme. Pendant que vous discutiez, Pierre n'a pas arrete de lorgner mes seins, mes talons et la fente de ma jupe. Sa femme m'a dit hier au telephone, qu'il etait si excite en revenant chez eux qu'il l'a sautee trois fois de suite et qu'il voulait meme qu'elle le suce. Elle s'etait sentie violee. Comme elle refusait et resistait, il a meme essaye de l'enculer, tu te rends compte!

Le mot lui avait echappe. Tutoyer son maitre, un peche impardonnable qui necessitait une expiation immediate, elle s'en rendait compte elle meme. Les machoires serrees par la colere, Jean alla ouvrir un placard et en sortit un martinet a longues lanieres nouees a l'extremite : le fameux chat a neuf queues utilise jadis dans la marine anglaise. Elle allait avoir vraiment mal, pas comme avec le jouet qu'il avait utilise au magasin.

- La semonce au magasin ne t'a pas suffi? Parfait. Ce sera donc, comme c'est la seconde fois, six coups sur les fesses et trois sur les seins. Comme c'est aussi la premiere fois qu'on te les touche, je ne frapperai pas trop fort mais en echange, les coups sur les fesses seront bien appuyes. Tu vas peut etre saigner et tu porteras des marques pendant quelques jours. . . Ah oui, n'oublie pas de compter a haute voix les coups recus. Si tu contentes d'un cri, le coup ne comptera pas. . .

- Pitie, Maitre! Ces mots m'ont echappe.

- C'est vrai mais tu verras que les coups t'aideront a te rappeler.

Chapitre 5

Jean appliqua le fouet avec une dexterite extraordinaire qui arrachait a la malheureuse des hurlements de souffrance : les lanieres s'abattaient, epousaient le contour de ses fesses ou de ses reins et les nÏuds glissaient sur la peau lorsqu'il reprenait son elan, lui griffaient la peau et le sang perlait par endroits. Elle parvint entre deux cris a compter jusqu'a six mais elle perdit le compte a deux reprises lorsqu'il s'attaqua a sa poitrine si bien qu'elle fut gratifiee de deux coups supplementaires. Elle aurait voulu s'evanouir mais il lui fallut encore remercier son maitre et l'encourager a frapper plus fort la prochaine fois. Etait-ce possible? Comment pouvait-elle aller jusqu'a prononcer ces mots elle meme? Il ne lui vint pas un instant a l'idee de se rebeller ni meme seulement de se proteger.

Enfin, Jean reprit la parole :

- Voila une bonne chose de faite, et bien faite! Si tu voyais les marques! Elles mettront au moins huit jours a disparaitre et elles seront bien visibles sous un chemisier transparent! De toute facon, tu recevras desormais le martinet matin et soir pendant cette semaine. : disons quatre coups sur les fesses, deux sur le dos et deux coups a mon choix sur le ventre, les seins ou meme sur le sexe. Eh oui, petite, on te frappera aussi la : ca fait un mal de chien et tu devras tenir toi meme tes jambes ecartees pour que je te frappe plus facilement. C'est une punition tres raffinee, tu ne crois pas? Bien sur, si tu fais une betise, tu auras droit a une autre seance a midi a la place de ton repas. . . Compris?

- Oui, maitre.

La voix de Nadine etait brisee. Elle supporta vaillamment la semaine, comptant tout arreter la. Elle n'eut droit qu'a une seance de punition le jeudi lorsqu'elle l'avait supplie d'arreter quand un coup plus violent que les autres avait entame sa peau et fait perler quelques gouttes de sang. Le vendredi, pourtant, elle decida de continuer, en esperant seulement que les flagellations soient moins violentes. Jean la soulagea en lui donnant ses nouvelles instructions:

- Desormais, tu ne recevras plus tous les jours que deux coups sur les fesses, deux sur les cuisses, un sur ta poitrine et un autre sur ta fente mais tu en prendras quinze sur les seins si tu as commis une faute grave et je frapperai de plus en plus fort pour t'endurcir. Pour ta nouvelle epreuve, voila ce que j'ai decide pour toi : je te veux toujours accessible, jour et nuit. Donc, je t'interdis desormais, sauf contrordre explicite de ma part, de porter slip, soutien gorge ou collant meme en hiver. Tu n'auras plus droit qu'aux porte jarretelles, soutien gorge sans bonnets laissant la pointe des seins libre ou culottes fendues et, dans ma generosite, je t'accorde pour quelque temps encore le port de strings mais uniquement des ficelles comme celui que j'ai trouve dans ton tiroir : je verifierai moi meme et gare a toi s'ils sont plus larges. . . Cette semaine, pas question d'en mettre, il va falloir t'habituer!

Ce nouveau coup porte a sa garde robe l'atteignit plus profondement que les precedents. Comment pourrait-elle sortir avec ces mini jupes en stretch, a peine plus larges qu'une ceinture de cuir. et puis, si elle allait au tennis comme chaque mercredi. . .? Son air affole fut remarque par Jean. Lorsqu'elle lui expliqua les causes de son affolement, il lui jeta simplement :

- Je ne vois pas ou est le probleme! C'est justement prevu pour cela! Je maintiens absolument mon exigence, surtout sur les courts de tennis . Lorsque tu te pencheras, tout le monde aura une vue imprenable. A propos, c'est toujours notre ami Pierre qui est ton moniteur, non?

- Oui, maitre. Mais rappelez vous lorsque nous l'avons rencontre en ville : il m'a deshabille du regard tout le temps, il me frole chaque fois qu'il peut : il doit fantasmer sur moi depuis longtemps. S'il me voit sans slip, il va surement me violer!

Ellle ne voulait pas lui avouer qu'elle avait deja failli y passer quelques semaines auparavant. Cette fois, elle etait certaine de ne pas y couper. En plus, il lui avait promis d'etre tres exigeant la prochaine fois. Quelle erreur elle avait commise, ce jour-la. Le moment de payer le capital et les interets allait sonner. Jean reprit :

- Impossible techniquement, ma chere, je te l'ai deja dit : une esclave comme tu es en train de le devenir, on ne peut pas la violer : elle doit etre disponible partout, tout le temps, pour tous ceux qui le demandent et autant qu'ils le souhaitent.

Mortification supplementaire, Jean decida que chaque matin, des qu'elle le verrait, elle devrait lui dire a haute voix comme un mantra indien: ce que mon maitre veut, quand mon maitre veut, ou mon maitre veut juste apres l'avoir suce. Apres son depart le matin, elle devrait se mettre a genoux devant une glace et repeter cent fois la meme phrase toujours a haute voix en regardant son reflet dans la glace. Il poursuivit :

- Je veux te dresser pour que tu puisses aller plus loin encore : autant de fois que mon ou mes Maitres le pourront! Une bonne esclave se contente de ne jamais dire non a son maitre mais je veux que toi, tu provoques tous les hommes jusqu'a l'epuisement; pas le tien (c'est sans importance et ca fait partie de ton entrainement), mais le leur. Je veux que tu vides completement les couilles de tous les males qui te passeront dessus. Si, ou que ce soit, tu sens une main baladeuse qui cherche a te peloter ou une bite qui essaie de t'enfiler, tu dois m'en informer si je suis a proximite et, dans tous les cas, te disposer pour faciliter la tache a ton visiteur ou l'amener dans un coin tranquille ou il pourra te faire ce qu'il veut. Tu ne dois plus refuser aucun homme que ce soit un ouvrier, un livreur, un clochard, un homme dans la rue ou quelqu'un que j'aurais designe et tu ne le regarderas en face que s'il t'en donne l'ordre. . . Il faut te mettre dans la tete que tu n'es plus qu'un receptacle a sperme, un objet sexuel uniquement destine a assouvir le plaisir de tes maitres.

Elle se rendit compte que tout ce qu'elle avait subi n'avait pour but que de lui faire accepter la loi de ses Maitres. Apprendre que desormais, elle n'avait plus le droit de repousser les avances d'un livreur, d'un voyou dans la rue ou du fils de la voisine lui fit prendre conscience de sa decheance. Pourtant il ne lui vint pas a l'esprit la moindre idee de revolte. Elle etait deja bien dressee. Jean reprit :

- Pour l'instant, je vais parler a Pierre pour qu'il s'occupe desormais de toi convenablement. S'il daigne s'interesser a toi, je veux que tu te mettes nue devant lui, a genoux et que tu lui dises aussi ta petite phrase. Tu t'en souviens?

- Ce que vous voulez, quand vous voulez, ou vous voulez, mon Maitre, et autant de fois que vous voudrez! Mais, la femme de Pierre m'a dit qu'il revait que je le prenne dans la bouche ou le cul. . .

- Bravo, tu viens de gagner une seance supplementaire de correction : tu viens encore de discuter un ordre clair. . . Quant aux fantasmes de Pierre, eh bien, ou est le probleme? Ils vont simplement se realiser et j'espere bien tous les deux, le plus vite possible a moins que tu ne tiennes a remplacer cette epreuve par la cravache tout de suite et un refus de continuer vendredi prochain. . . Tu es libre! Qu'est ce que tu decides?

- Je veux bien vous obeir mais tu, heu, je n'ai jamais fait ca. C'est t. . . vous que j'aime. C'est repugnant de sucer un autre homme que vous et puis par le cul, ca fait mal!

- Tu as raison! Chaque fois que je t'ai demande ces petits extras, tu as toujours cherche a y couper en me traitant parfois de noms d'oiseau. Maintenant, c'est fini. Il va falloir t'y faire. A ce propos, je trouve que tu ne sais pas tailler une pipe correctement. Comme tu l'avais deja fait de temps en temps avant nos accords, tu vas pouvoir commencer ton entrainement de pipeuse sans attendre la semaine prochaine mais pour l'enculage, il faudra peut etre attendre encore quelques semaines. Je dirai a Pierre d'etre prudent.

- Non, je ne veux pas! Surtout avec ce mec la!

- Et encore une punition, une! Allez, ne discute pas. Viens ici, a genoux, devant moi, tu vas prendre ta premiere lecon. Il est temps que nous completions ton education. Pendant quelques semaines, je me servirai seulement de ta bouche et je laisserai tes autres orifices a Pierre. Je te parie une semaine de repos sans nouvelle exigence, que, d'ici peu, tu pourras avaler la plus grosse queue jusqu'aux couilles sans haut le coeur et, bien entendu, je veux que tu avales la fumee en plus, sinon, tu auras droit a la cravache jusqu'au sang immediatement. Je t'ai bien dit que tu brulais les etapes. . . On va faire vraiment quelque chose de toi!

Chapitre 6

- Je te rappelle que tu as gagne le droit a au moins deux punitions : croise les bras derriere le cou. Je vais te les attacher pour que tu ne puisses pas te proteger.

C'etait aussi la premiere fois qu'on l'entravait pour la baiser. Elle le laissa passer un collier de chien a son cou et attacher ses poignets en croix derriere. Ainsi sa poitrine etait totalement degagee et il lui etait impossible de se proteger. Elle sentit soudain avec surprise son vagin se lubrifier abondamment au point qu'un filet de mouille commenca a suinter de son sexe. Ce n'etait pas possible : Elle etait excitee a l'idee seule d'etre battue : Elle devenait vraiment maso! Elle recut les quinze coups bien assenes sur les seins et la moule en hurlant et en comptant a chaque fois. Elle le remercia et le pria a nouveau de frapper encore plus fort. Elle pensa que dans ce cas, elle tournerait sans doute de l'oeil mais ca faisait partie du rituel qui lui paraissait deja normal de respecter.

- Maintenant passons a ton education dit Jean en s'asseyant sur un fauteuil profond. Viens a genoux devant moi.

Docilement, elle s'approcha de son mari, dut parcourir des levres puis de la langue toute la longueur de la bite decalottee. Jean lui commanda ensuite de lecher la tete deja tendue et violacee. L'odeur du sexe en erection etait forte, Elle y retrouvait son propre parfum, residu d'un vite fait dans la salle de bains un quart d'heure auparavant.

Jean l'avait juchee sur la machine a laver, l'avait enfilee sans aucune fioriture comme un soudard et avait lance un essorage long. Les vibrations de la machine, un vieux modele qu'il n'avait pas voulu jeter meme s'il ne servait plus et dont elle comprenait maintenant l'utilite, se transmettaient a son corps qui etait secoue en tous sens. Aucun d'eux n'avait besoin de bouger. Elle eut trois orgasmes successifs mais Jean se retint presque jusqu'a la fin du programme. Il se lava rapidement sans lui permettre de se lever. Le sperme coulait de sa fente. A la fin, il la deposa a terre et la forca a laper le sperme qui maculait le capot. Il etait froid maintenant mais elle aspira tout le liquide ecÏurant.

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