Meilleur ami

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Un homme offre sa petite amie à son meilleur ami.
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romane
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C'est l'histoire originale que j'ai traduis dans la langue de Shakespeare (Best friend). Vous la trouverez dans la section "Group Sex". Je vais désormais mettre les deux textes afin que ceux qui aiment la langue de Molière en profitent également.

Meilleur ami

Cela faisait trois jour que le meilleur ami de mon compagnon du moment logeait à la maison. Je ne l’avais jamais vu auparavant. On ne pouvait pas dire que c’était un apollon, comparé à mon homme, mais il ne manquait pas de charme.

Il travaillait en temps que coopérant en Afrique noir. Il avait pris six mois de congé. Mon compagnon et moi l’avions reçu à bras ouvert.

La nuit du troisième jour, alors que nous faisions l’amour sauvagement, avec mon compagnon, je remarquais que la porte de notre chambre était entrouverte. Cela ne calma pas mes ardeurs, au contraire. Je suis un peu exhibitionniste et le fait de me sentir observé décuple mon plaisir. Il y avait il quelqu’un derrière la porte? Je tournais le dos à mon compagnon, le chevauchant comme une folle. Je l’aperçu enfin sur le miroir de ma table à maquillage. Il l’utilisait également pour nous regarder. Ce voyant démasqué, il faillit partir. Je fis un geste rapide afin qu’il comprenne que je voulais qu’il reste. Je lui fis un clin d’œil complice. J’aurais voulu voir son pénis que je devinais puissant sous son caleçon. Il se contenta de le garder bien au chaud, tout en le caressant vigoureusement. Je faisais la mou de dépit envers lui, mais continuais mon labeur, jouissant de plus en plus. Un violent orgasme m’emporta. Je tombais en arrière. Mon compagnon emprisonna mon corps parcouru de frissons et de soubresauts, me caressant les seins tendus à en mourir. Lorsque je réouvris les yeux, je vis qu’il avait disparu.

Je basculais alors sur le côté, libérant le pénis de mon homme et m’endormis le sourire au lèvre. Il avait longtemps que je n’avais connu un tel plaisir.

On arrivait à la fin de la semaine, et notre ami allait prendre congé. Par deux fois, il était encore venu nous regarder faire l’amour. J’étais un peu triste de perdre un complice. J’avais remarqué que j’aimais jouir sous le regard d’une tierce personne.

Pour nous remercier de notre accueil, il nous invita au restaurant. Il m’offrit des fleurs et un beau livre à son ami. Durant tout le repas, nos jambes se frôlèrent. Le contact de son pantalon sur ma jambe gainé d’un bas m’électrisait.

De retour à la maison, on décida de boire le dernier verre de l’amitié. On était tous les trois, un peu pompette. Je rigolais pour un rien. Je portais ce soir là ma robe rouge qui moulait merveilleusement mon corps. J’avais mis des bas noirs et aucun soutient gorges. Mon homme aimait beaucoup que je porte cette robe et cela le mettait en grande forme. La parti de baise qui suivait n’en était que meilleur. Je l’avais mise surtout en l’honneur de notre invité afin qu’il garde un meilleur souvenir de moi, surtout si mon homme m’honorait fiévreusement dans le nuit.

Le dernier verre de l’amitié ne fut pas le dernier. On discutait, surtout eux, comme si c’était la dernière fois que l’on se voyait. Alors que je me levais pour aller me servir un autre verre, le silence tomba. Je sentais leur yeux sur ma croupe. J’étais émoustillée.

Je finissais de remplir mon verre lorsque je sentis les mains de mon cher et tendre sur mes fesses et ma cuisse. Je sursautais manquant de renverser mon verre. Instinctivement, je me cambrais sous sa main. Sa bouche se colla à mon oreille et une langue chaude le lécha.

-Tu sais que tu m’excites dans ta robe! » me dit il.

-Oui, je le sais très bien. » lui dis en sentant son sexe tendu contre ma cuisse.

-Je ne pense pas être le seul. Raymond semble très excité lui aussi. »

-Ha bon? » fis je l’air innocente.

-Oui! On dirait que tu l’as fait exprès de mettre cette robe. Tu es une vraie cochonne et j’aime cela. J’ai envi de montrer tes fesses à Raymond.»

Je ne désirais que cela.

-Ho non, tu vas le choquer.! » dis je avec perfidie.

-Il a du en voir d’autre en Afrique. »

Il dévoila mon postérieur à Raymond. Mon Tanga ne cachait pas grand chose.

-Il ne te quitte pas des yeux. Il apprécie à mon avis. Si tu baissais ta culotte. »

-Non, je ne pense pas que cela soit bien! » J’en avais grandement envie.

-Allez mon amour, pour moi? »

Je pris ma culotte et la baissais pendant que mon mari m’embrassait goulûment. Je sentais le regard lourd de Raymond sur mes fesses. Les mains de mon compagnon sur ceux-ci ne calma pas mon feu.

-Ho putain, quel pénis!!! » jura mon homme.

Je me retournais et découvris enfin le phallus de Raymond. Effectivement, comme je l’avais deviné, il était superbe en taille et longueur. Je passais ma langue avec gourmandise sur mes lèvres.

-Qu’en penses tu? »

-Humm! »

-Avoue que t’aimerais le sucer? »

J’en hurlais d’envies.

-Hummm! »

C’est mon homme qui m’emmena près de lui tout en baissant le haut de ma robe afin de dégager mes seins. Je m’agenouillais entre ses cuisses. Je n’osais pas le regarder préférant la vision de son superbe sexe.

-Vas y mon amour! Tu vois, il te l’offre. Montre lui comment tu apprécies son présent! »

Je pris doucement son pénis entre mes doigts, ouvris la bouche et le glissais dedans.

Cela faisait longtemps que je n’avais goûté un autre pénis que celui de mon compagnon. C’était comme une découverte et je l’astiquais avec gourmandise. Je le débarrassais complètement de son pantalon sans recracher son offrande. Dans mon dos, mon homme me léchait l’anus et le clitoris avec vigueur ce qui décuplait mon plaisir. Je ne lâchais pas pour autant mon bâton pour gémir.

Mon compagnon insistait grandement sur mon anus, connaissant mon faible pour la sodomie. Mes fesses tanguaient sous ses attouchements. Petit à petit, il me prépara à la pénétration.

-Veux tu que Raymond de sodomise? »

-Hummoui! » dis je le nez dans ses boules gorgées de semence.

-Comment? »

Je finis par lâcher son sexe luisant de salive.

-Oui, je le veux dans mon cul. »

-Ok! »

Mon homme m’aida à me relever et m’accompagna sur l’autre canapé. Je tremblais, plus de peur qu’il refuse de me prendre. Alors que je m’agenouillais, je le vis derrière moi.

Je m’écartelais moi même et sentis, en tremblant son pénis à l’entrée de mon anus.

-Vas y défonce moi! » lui criais je.

Malgré son épaisseur, celui ci me pénétra sans retenu. Pendant que mon compagnon me disait des douceurs à l’oreille et m’embrassais le cou, Raymond me sodomisait sauvagement. Je jouissais et jouissais encore. Mon monde bascula dans un plaisir intense.

J’eus des orgasmes à répétition. Mon corps s’échappa de ma volonté. Je me sentis basculer sur le dos. Mon homme me pris pas le voie la plus normal pendant que je suçais les liqueurs de Raymond. Il remplaça ensuite mon homme. Je fus prise et reprise encore par eux deux. J’étais dans un monde de plaisir. Lorsqu’ils rendirent grâce, il me sembla entendre les oiseaux chanter. Ils m’avaient fait l’amour pendant quatre heure.

Je me réveillais dans mon lit fraîche et les muscles un peu ankylosé. Mon compagnon n’était pas là, mais le petit déjeuné était posé sur ma table de nuit avec une rose. Je trouvais un mot de Raymond.

Il me remerciait pour le séjour et surtout pour la nuit dernière. Il penserait beaucoup à moi par la suite et moi aussi.

Je passais un déshabillé transparent et sortis de la chambre. Je le trouvais sur le pas de la porte. J’eus le temps de le rattraper et de l’embrasser enfin sur la bouche. Ses mains pétrissaient mes fesses.

-Revient quand tu veux, et le plus tôt sera le mieux! » lui dis je.

-Tu n’a qu’à venir me voir en Afrique, mon amour! »

-J’y réfléchirais! »

On s’embrassa tendrement une dernière fois.

-Mon taxi m’attend! » dis il en me repoussant avec regret. « Adieu! »

-Non pas adieu! Au revoir! » luis dis je en caressant son pénis à travers son jean. « Je le sens encore palpiter en moi! »

Il ferma la porte et j’entendis la voiture partir.

-Il est partie?» dis mon compagnon du salon.

-Oui, il est parti! » lui répondis je en essayant de cacher mon amertume.

-Il te manque déjà? »

-Oui, je l’aime bien! »

-Je savais qu’il te plairait. Toutes les filles m’ont dit qu’il était bon amant. Je ne pouvais que t’offrir ce cadeau, ainsi qu’à lui. On le reverra ne t’en fais pas et se serra aussi bon. »

Sur ces dernière parole, on prit le petit déjeuné et j’oubliais Raymond de la journée. Son souvenir resurgit le soir alors que nous faisions l’amour. Je le cherchais via le miroir mais il n’était plus là. J’eus moins de plaisir se soir là.

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